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Je cite: « Le secteur à participation étrangère a actuellement attiré près de 1,4 million de travailleurs, ce qui représente environ 3% de la main-d’oeuvre nationale. » Et, un peu plus bas: « Selon des statistiques encore incomplètes, environ 90.000 étrangers travaillent actuellement dans le pays. »
Comment doit-on comprendre ces deux chiffres? 1.4 millions, est-ce en comptant ceux qui sont déjà repartis? Mais alors, est-ce que ca fait 3% de la force de travail du Vietnam?
Difficile à suivre. C’est bien du VNA!
On pourrait même se demander lequel vient de l’autre: Quelle est l’origine de « facteur » plutôt que « postier »?
Un autre: faire des chichis, c’est à peu près exactement le sens de « làm chuyện chi chi » à Huế.
Est-ce que le francais a emprunté?
Donc tu as un projet au Vietnam.
La seule manière que je connaisse est de monter un dossier selon les normes du département du plan et de l’investissement, et de le leur soumettre.
Après, c’est essentiellement une question de patience.
Quant au besoin ou pas de glisser des choses sous la table, ca dépend beaucoup de toi. Il peut y avoir des invitations ou pas. En province, il ne faut pas trop chercher à en voir partout. À Cần Thơ, ca arrive mais c’est rare.
Que dire d’autre…?
En tout cas, le sujet est vaste.
Mais je te recommande vraiment de change le titre de ton fil, ca réduit l’audience.
Ubuntu qui ne fonctionne pas? Effectivement, il faut que je voie ca.
Cần Thơ n’est pas loin non plus, Bưu Hòa! Et il n’y a pas de neige

Mais en partez pas, ni Nemo, tout le monde est bienvenu!
Je pense que le mot juste est « người phát thơ », ce qui veut dire « la personne qui distribue le courrier ».
Non, pas grand-chose à rajouter, si ce n’est que Windows en Vietnamien, ca n’existe pas (si, bien sur, il y a une version vietnamienne de Windows, òu il y a marqué « bắt đầu » à la place de Start, mais comme personne ne s’est donné le mal de traduire vraiment les logiciels, pour l’essentiel, c’est la même chose qu’un Windows anglais.
Quant à Linux, je suis pour ma part un amateur d’Ubuntu, que j’installe à tours de bras ces temps-ci –et ce n’est pas moi qui vais faire du prosélytisme, c’est les nouveaux usagers qui passent me voir avec leur machine sous le bras. Étonnament, nombreux sont ceux qui veulent virer complètement Windows, chose que je n’avais pas faite avant d’être sur de savoir faire tourner une machine virtuelle. Il faut dire que repartitionner un disque n’a jamais été aussi facile qu’avec le Live CD d’Ubuntu, même s’il y a des données dessus.
Pour essayer Ubuntu, et ce sans toucher à un cheveu de votre disque dur, rien de plus simple: téléchargez un Live CD (c’est un très gros fichier .iso), gravez-le sur un disque et démarrez dessus. Aujourd’hui, avec la dernière version, il y a de grandes chances pour que tout marche presque tout de suite. Si vous optez pour l’installer, il reconnaitra Windows si celui-ci est installé, et vous permet de le garder (et de choisir au démarrage de lancer Windows). Après installation, il vous suggère une mise à jour, et après ca tout tourne tout seul.
Pour installer en vietnamien, il suffit effectivement de le choisir à l’installation, ou de changer un paramètre si on veut changer après-coup.
Abgech mentionne que KDE est plus proche de Windows, c’est simplement un gestionnaire de fenêtres parmi d’autres. Là òu on ne connaissait qu’un seul gestionnaire sous Windows, dans le monde de liberté qu’est Linux, il y en a plusieurs et on peut tout-à-fait choisir. Ubuntu vient avec Gnome, et il y a les variantes Kubuntu avec KDE et Xubuntu avec XFCE, qui est, comme le dit très bien Klent, plus léger.
Toutes les distributions de Linux peuvent bien sur installer SCIM et gérer le vietnamien très simplement.
Tuyệt vời chưa?
Ce pouvoir évocateur de l’image de ta mère, c’est dire combien tu avais fait ton deuil du Việt Nam. Combien tu étais incomplète avant de rentrer. J’espère que ton retour n’a pas privé ta mère de l’image qu’elle te donnait: ce deuil-là est le rôle des parents: libérer leurs enfants comme des colombes (allez, yo!: comme des nuages).
Kỳ Vân, comme Némo, ca me donne encore plus envie de le lire.
Une tumeur à l’oeil, dis-tu? T’en es-tu sortie? Ou est-ce resté comme un nuage dans l’oeil?

Une célébrité, sans doute: un ami de Hanoi m’a appelé tout secoué pour m’en faire part.
Voyagers77, ne t’inquiete pas de ce que je te dis, c’est vrai que tu ne perds rien a mettre une annonce.
Ce qui doit te garder le moral au beau fixe, c’est qu’effectivement d’autres l’ont fait –bien qu’en general ils l’aient fait a partir de rien, pas de fonds de commerce a reprendre.
Il on commence à chercher les dissonances, il y a pas mal de malheureux.
Je pense à Le Van Tai (avec le francais), mais aussi avec l’anglais: Phuc My, My Dung etc…
Une chose à te relire (et à te lire sur le chat), tu sembles chercher un fonds de commerce.
Ca, tu devrais en parler sur place, parce que tu vas être accueilli à bras ouverts: en général, personne ne vend un fonds de commerce. (Je ne sais même pas si c’est possible.) Tu loues une maison et tu montes ton affaire dedans.
Autant dire que sans être sur place, pas grande chance.
Je rejoins pas mal DédéHeo.
Le tourisme est très concurrenciel, et effectivement, il faut trouver un métier òu tu puisses défendre ta différence, sachant que pour l’essentiel, ca veut dire offrir un service que tes concurrents ne comprennent pas. Si des tiers (et donc par extension tes employés) comprennent ce que ca apporte a tes clients, comment et qu’ils ont les moyens de le reproduire, ploum! tu as un concurrent dangereux.
Des concurrents, tu en auras, et des durs –en particulier en arrivant après, tu seras considéré toi-même comme le nouveau concurrent par ceux qui sont déjà installés. Mais la concurrence peut être bonne pour toi si tu sais te placer.
Donc il faut séparer les rôles (et pour ca avoir une taille suffisante): avoir un marketing bien verrouillé et des ventes honnêtes (un autre moyen d’éviter de voir surgir des concurrents destructeurs), par ailleurs une technique solide (et un design dont toi seul comprends le pourquoi du comment), et enfin une équipe de service qui se fait plaisir en faisant du bon boulot.
Quand tu as ca, tu es solide, meme quand la concurrence est forte.
Maintenant, pense quand-même que dans le gloom et la crise en Europe, le tourisme est un des premiers secteurs touchés.
Je relis Nemo,
Oui, ce serait un comble.
Mais l’Agence Internationale de l’Energie Atomique proclame déjà haut et fort que le delta du Mékong leur doit les semences qui résistent à l’eau salée.
Ca doit se vendre, ca, non?

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Je rejoins JeanneThanh pour ce qui concerne les effets de la lutte contre la grippe aviaire: la campagne s’est révélée bien hermétique et difficile à éduquer, et les élevages extensifs sont toujours bien là.
Je rejoins aussi Caliméro pour mentionner qu’entre autres j’espère, Tuổi Trẻ a permis la publication d’articles qui ont mis le doigt sur des dérives et des scandales –au prix parfois de la liberté de ses journalistes, même s’il est difficile de faire la part des choses entre une censure trop dure et effectivement des mauvaises pratiques journalistiques.
Je rejoins enfin NVTL (de quel syncrétisme* fait-il donc preuve aujourd’hui, ce NC!), pour mentionner que de la mesure est bonne en toutes choses et en particulier quand on touche à des sujets inflammables.
* non, ce n’est pas un gros mot!
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