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abgech;18326 wrote:Ne pas oublier les touches d’un clavier se changent en 10 minutes, même pour un portable !
Tu me rappelles que je dois nettoyer mes touches.:bigsmile:
bob;18320 wrote:
Après cela reste une question de choix, actuellement un portable est aussi puissant qu’un ordinateur de bureau, avec le très gros avantage de sa taille, et donc de pouvoir l’emporter ou bon nous semble.Comme Abgech le soulignait, le prix à puissance égale, n’est pas le même.
Autre avantage d’un PC statique : on peut le configurer comme bon nous semble.
Comme pour toi, le seul avantage d’un portable à mes yeux est sa…portabilité.:bigsmile:
Sortit de ce critère, le choix se résume entre l’apparence ou la puissance (pour un même prix). Ou entre le contenant et le contenu.
13 décembre 2006 à 11h10 en réponse à : "Dérapages écolo-écono-technico-phréniques contrôlés" #29242VNlover;18315 wrote:mais n’est ce pas le but justement, la peur est mobilisatrice:oops:Ok. Mais conserver une crédibilité reste nécessaire. Le risque étant un désintérêt à long terme.
abgech;18317 wrote:À mon avis, le portable ne doit pas être le substitut d’un ordinateur de bureau, il doit être réservé aux usages pour lesquels il est conçu.C’est sans compter sur l’effet de mode. J’ai lu il n’y a pas longtemps que le portable avait détrôné le PC de bureau en nombre de ventes.
Comme d’habitude, l’apparence est primordiale pour le consommateur lambda. Elle prime même sur l’ergonomie (clavier et « touch pad » sont une horreur dans le domaine) ou le besoin réel.
Le boîtier est la partie pour laquelle je dépense le moins : mon PC serait invendable vu les critères actuels.:bigsmile:
Pour 1 ou 2 bouteilles de champagne, quelques chocolats et/ou un bijou, tu peux y aller sans risque.
Toutefois, il me semble que le transport de liquide en cabine est réglementé depuis peu.
Et que la soute à bagage ne dispose pas de la clim’ (-30°C min. à 10.000m d’altitude)…12 décembre 2006 à 19h18 en réponse à : "Dérapages écolo-écono-technico-phréniques contrôlés" #29218Effet papillon et météorologie :
Wikipedia, l’effet papillon wrote:Dans l’exemple de Lorenz, un météorologue ne penserait pas forcément à prendre en compte les variations du courant d’air provoquées par le battement d’aile d’un papillon. Son idée de « non infaillibilité du système prévisionnel », théorisé sous la forme de « l’effet papillon », rappelle qu’il existe au moins une différence entre le déterminé et le déterminable.Vue d’un modélisateur :
Michel Dégué wrote:D’où vient la prévisibilité ?L’effet papillon popularisé par E. Lorenz dans les années 1960, illustré par le fameux modèle à trois variables (Lorenz, 1963) consiste en la divergence rapide (quelques dizaines de jours) de deux trajectoires initialement très proches (un battement d’aile de papillon). Cet effet montre que l’état initial de l’atmosphère n’est pas lié univoquement à l’état au cours de la saison suivante, car la connaissance de l’état initial est toujours entachée d’erreur (imprécision de la mesure, densité du réseau). L’effet papillon existe clairement dans les équations et donc les modèles, mais ne peut être mis en évidence à partir des observations (il faudrait des milliers d’années pour trouver deux situations très proches pour tous les paramètres en tout point du globe).
Un modèle de prévision numérique utilise deux ingrédients susceptibles de changer d’une année à l’autre :
• les conditions aux limites,
• les conditions initiales.Les forçages
Si le modèle n’est pas couplé à un modèle d’océan, la température de surface de la mer et l’étendue de banquise sont les conditions aux limites clés pour la variabilité interannuelle. Comme forçage d’un ordre inférieur, on trouve les aérosols volcaniques (éruption du Pinatubo), et à un ordre encore inférieur les concentrations en gaz à effet de serre autres que la vapeur d’eau (dioxyde de carbone, méthane, oxyde nitreux, ozone …) et l’activité énergétique du soleil («constante» solaire). Ces deux derniers paramètres jouent un rôle majeur dans l’évolution du climat sur plusieurs décennies, mais ne varient pas significativement d’une année à l’autre.
Les conditions initiales
Pour ce qui est des conditions initiales, on trouve l’état atmosphérique, l’humidité des sols et la couverture de neige continentale. L’état atmosphérique joue un rôle aux latitudes tempérées, en dépit de l’effet papillon : en effet les expériences de prévision dans lesquelles on choisit délibérément un état initial arbitraire conduisent à une dégradation des scores. Des expériences académiques ou utilisant des années extrêmes ont montré que l’humidité du sol ou la couverture de neige initiale contribuaient positivement à la prévisibilité.
Le paramètre majeur : température de surface de la mer dans les régions tropicales
Il n’en demeure pas moins que dans les modèles numériques actuels, le paramètre majeur pour forcer une année à se comporter différemment d’une autre est la température de surface de la mer dans les régions tropicales. La modulation du réchauffement des basses couches qu’elle produisent, se propage à toute la colonne par la convection, et conduit à l’excitation d’ondes dites de Rossby qui se propagent vers les latitudes tempérées. A partir de là, la circulation moyenne peut se faire préférentiellement du Nord-Ouest ou du Sud-Ouest sur une région donnée. Ceci conduit à des anomalies saisonnières de température ou de précipitations pour la région en question. Il s’agit bien entendu d’une différence de comportement au niveau de la distribution statistique; deux prévisions individuelles peuvent se comporter très différemment du simple fait de l’effet papillon.
Source : CNRS.
Il me semble que prévoir l’évolution du climat de façon globale est certainement plus facile que de faire des prévisions sur une zone déterminée. Le temps (pas le climat, hein :bigsmile:) doit jouer également énormément dans l’affaire.
Nem Chua;18289 wrote:Soit.
La suite en MP.
Ca sera bref.Ok. Merci d’avance.:jap:
Nem Chua;18287 wrote:Hello SL.
Veux-tu une réponse publique?
Privée?
Ca vaut le coup?Comme tu le sens.
Nem Chua;16393 wrote:Au bout du compte, ce qui m’aura déplu, c’est le double langage.C’est peut-être trop demander mais j’apprécierai que tu précises (avec des exemples, si possible).
mike;18246 wrote:désolé..c’était pas le bon lien..:oops::bigsmile::bigsmile: Ok. Mais quel était ce lien du début ? :bigsmile:
DédéHeo;18253 wrote:Moi je vais leur metre une tele et leur paser le film « la batail du rail » avec Jean Gabin:tdr1: Ou « Le train sifflera 3 fois »…:bigsmile:
DédéHéo;18253 wrote:(au Vietnam, même a Hanoï, on achetait les poulets vivant car il ny a pas d’abattoir)Le manque d’abattoir s’explique car c’est un gage de fraîcheur.
Merci Clara, pour les photos de toi.
Un admirateur conquit.
A. de St-exupéry wrote:On ne voit bien qu’avec le coeur. L’essentiel est invisible pour les yeux.Tout est dit.
LA phrase du bouquin pour moi.
11 décembre 2006 à 14h19 en réponse à : "Dérapages écolo-écono-technico-phréniques contrôlés" #29171mai;18240 wrote:merci Son Lam,peux tu m’aider à retouver la citation de T.Tseu?« Jadis une nuit, je fus un papillon voltigeant, content de son sort, puis je m’éveillai étant Tchouang-Tseu. Qui suis-je en réalité ? Un papillon qui rêve qu’il est Tchouang-Tseu ou Tchouang-Tseu qui s’imagine qu’il fut papillon ? »
apw;18145 wrote:En France il est apparemmant reconnu que les boeufs maltraités, voir ceux qui ont subi un stress lors du transport ont une fois abattus la viande dure » vous decouvrez des steack filandreux entre autre » une fois cuit, pratiquement inmangeables!Je suis tombé hier sur un reportage concernant un des meilleur boucher de France : à l’abattoir les vaches avaient droit a du Vivaldi et du Verdi avant d’y passer…
Hoan Kiem wrote:par contre je ne sais pas si il a ete savater avant sa mise a mort.J’ai entendu dire que certains clients le faisaient eux-mêmes pour être sûrs de la qualité de la viande.:je_sors:
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