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7 mai 2007 à 7h12 en réponse à : [Où traduire les documents vietnamiens] traduction de l’acte vietnamien #35152
@mikael 24669 wrote:
Et quelqu’un a t’il l’adresse sur Hanoi, où traduire les documents
Je ne sais plus où avais je fait les traductions, mais le plus simple est de demander à la source :
CHANCELLERIE CONSULAIRE fax: (84 4)944 57 57
ambafrance-vn.orgSalut Bnp
Bienvenue dans la 4ème dimension.
L’usage des klaxons remplace les rétroviseurs et permet surtout au « pilote » de signaler sa présence, qu’il veuille dépasser ou non.
A propos du port du casque, le vietnam continue sa compagne de sensibilisation.
Question à ceux qui sont sur place : portez vous un casque lorsque vous roulez ?.Un soir à hanoi, j’avais pris un xe ôm express de chez express. La course donnait les mêmes sensations que la descente d’un « black hole » de « waterpark ». Le mot ôm prenait là toute sa dimension.
Maintenant avec le recul, je pense qu’un casque n’aurait pas été superflu.Le chào, on peut le trouver assez facilement dans la rue, ou le long des routes. C’est habituellement écrit sur l’enseigne.
A propos de potage, n’oublions pas le canh qui accompagne généralement le repas quotidien.@hoan kiem 23911 wrote:
Pour l’instant je n’ai jamais vu ce type de graph, a part les numéros de tel et je ne sais pas a quoi ils correspondent peut être le B.. Ô. du coin ????.:je_sors:
La culture Rap Hip Hop envahie le Việt Nam et est apprécier par une partie de la jeunesse, a quand les premiers albums rap made in Việt ??????J’avais eu des information chez KCA sur les gribouillis-sur-les-murs et
le rap viet@Philippe 23482 wrote:
Mike, merci pour ta réponse technique et explicative.
Tout est plus clair… :kimouss:Ah oui, j’oubliais : les être en ombres chinois sont un supers concepts, mais ils ne font pas très « vietnamiens » ou asiatiques. Le thème reste très primitiviste, un peu à la manière du dessin animé Kirikou. Enfin bon, ce n’est qu’un avis, somme toute.:bigsmile:
Salut Philippe, là tu te contredit : ombres chinoise, pas très asiatique :bigsmile: .
Bien au contraire, et malgré que ce ne soit plus à la mode à part Kirikou (made in vietnam pour le 2).
Il y a un conte vietnamien qui raconte l’histoire d’une mère qui fait croire à son enfant que sont père est une ombre projetée sur le mur. Puis un jour le père, le vrai rentre à la maison …:heat:Mike
Laisse tomber la version 6.0
Le design est au top
FélicitationsBon ok je n’ai pas encore testé la bête mais le design est au top (bis)
Un petit souhait : peut tu teinter légerement sur les côtés (bambou sur fond moins blanc)@Trâu Già 22961 wrote:
Un article de mon blog y a été cité.
Bonsoir à Toi.
Pourrais tu nous repréciser ?Peux tu lui demander si son documentaire sera projeté un jour dans la sud su côté de Cannes ou Nice ? Merci à toi..
heu…en même temps pose lui la même question concernant le coin d’Avignon, Marseille, …pour Orange je n’ose pas trop y croire (petite ville ..) merci !!!!
Même voeux pour moi du coté de Nouméa :bigsmile:
Sérieusement, ça pourrait interresser du monde28 mars 2007 à 6h03 en réponse à : Sécession ou pas sécession ? Quelle serait votre compréhension #33182@Bao Nhân 22570 wrote:
Sécession ou pas sécession, mais la page est déjà tournée. :bigsmile:
Depuis 1975 pour moi :friends:
@abgech 21564 wrote:
Au fait, pour en revenir au Vietnam, y-a-t-il une culture de cacao au Vietnam ? Le climat s’y prête-t-il ?
il avait eu une discussion sur ce sujet.
mais je ne sais plus où :bigsmile:Pour en revenir au café vietnamien, il y a aussi le dosage des différents aromes qui entre en jeu.
J’ai vu ma tante m’acheter du café en demandant tant de ceci avec tant de cela plus tant de celui ci qui devait etre du moka.
Chez Trung Nguyen, ils en sont à x déclinaisons dont un avec de la cerise (graine ?).
je viens de voir qu’ils ont même du café en sachet comme le thé.:bigsmile:salut et:bienvenue1:
Vivant à Paris – ville que j’adore de toutes mes fibres – je suis régulièrement la proie d’une intense nostalgie des rues de Saigon, de ses parfums, ses sons, ses couleurs… Bref, il m’est tout aussi impossible de renoncer à la culture française – et europénne au sens large – que d’oublier ce pays lointain qui se niche si intimement en moi, qui me définit, me donne mes repères et façonne mes émotions. D’une certaine façon, ma tête est française, et mon coeur vietnamien : ce n’est pas évident à vivre tous les jours, les amis, même si j’imagine être un « produit » réussi de l’intégration…
Très belle définition du ressenti de beaucoups vietnamiens d’outre-mer.:love:
@Jeryagor 20844 wrote:
Je m’apelle Jeremy et j’ai 17 ans. Je vis à Toulouse pour les études et dans un petit village nommé Saint Martin Petit (dans le Lot-et-Garonne) quand je suis chez mes parents.
Je suis étudiant en 1ère année d’école d’ingénieur (Institut National des Sciences Aplliquées ou INSA de Toulouse).
Salut,
17 ans en 1ere année INSA, eh bin.@Jeryagor 20844 wrote:
j’ai décidé de m’intéresser un peu plus au Vietnam.
Vietnam…iennes ??:bigsmile:
@mike 20828 wrote:
Tu parles du retour aux sources, à ses origines ?
Je parle du fait de rechercher des témoignages.
C’est une étape logique. Après l’histoire générale du Vietnam, la période coloniale, les deux guerres, il y a maintenant assez de recul pour s’occuper de l’histoire plus récente de la diaspora.
Lorsque je parle de parcours historique différent, c’est sous entendu celui lié à la Nouvelle Calédonie et au Vanuatu.
– Il y a eu une période coloniale avec les travailleurs immigrés,
– puis une période entre la fin de la guerre d’Indochine et le début de la guerre du Vietnam avec les rapatriements de la majorité des immigrés et de leur enfants nés outre-mer,
– ensuite il y a eu une période qui se fond avec celle de l’après 1975 avec le retour en Nouvelle-Calédonie de certain des descendants d’immigrés.
Sur ces périodes, les écrits restent peu nombreux mais des témoignages commencent à être récoltés.En résumé en Nouvelle-Calédonie, il y a principalement des viêt kiêu
– qui sont là depuis les années 1930
– ceux qui y sont nés dans les années 1940 et leur descendants
– ceux qui sont partis dans les années 1950, 1960 puis revenus dans les années 1980 avec leur conjoints (nés au Vietnam pour certaines) et enfants (eux même nés au Vietnam)
Au Vietnam il y a des viêt kiêu dont les témoignages restent à être recueillis(si ce n’est déjà fait) -
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