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@JFB 16323 wrote:
Vraiment bien je commence à me familiariser avec la langue natale de ma future épouse, au fait avez vous des cours de francais pour elle à partir du vietnamien,
merci
jefBonjour JBF
suite à votre souhait pour votre épouse, j’ai également un cours de français en vietnamien (non sonorisé) envoyez moi vos coordonnées e-mail, je vous l’enverrai par internet, il est format acrobat reader .Mon adresse émail est [email protected]
cordialement RGje pourrais peut-être vous aider, j’ai une copie d’un cours de français en vietnamien, donnez moi votre adresse internet, je vous l’enverrai au format pdf, peut-être cela pourra aider votre dame.
cordialement GR
[email protected]Merci beaucoup pour votre proposition, j’accepte volontier si vous pouvez par internet sur mon adresse bouddhag(at)yahoo.fr*, au format pdf, si cela est possible cordialement RG
* remplacer (at) par @
merci Leon pour le lien, mais il est impossible de télécharger les pages, car elles sont blanches, pourriez vous me dire comment vous avez pu récupérer ? merci
:jap: Pour répondre à Mai:
HO XUAN HUONGFruit du Jacquier:
– Mon corps est comme le fruit du jacquier
– Une écorce bien rugueuse, une pulpe épaisse
– Ami, si vous l’aimez, enfoncez votre coin
– Mais de grâce, ne le palpez pas, vos doigts en seraient engluésConcubine:
– O mon préfet, pour la vie, vous m’avez quittée!
– Notre dette d’amour est entièrement acquittée
– Arc et flèches sont dispersésaux quatre coins du Ciel
— Où donc le fléau de la balance du Créateur s’est-il perdu ?
– Pour toujours, la matrice universelle est refermée.
– Vingt-sept mois, qu’est-ce donc ?
– O mon préfet, pour toujours, vous m’avez quittée
– Hélas ! mon pauvre époux, mon pauvre époux hélas!
– Notre union n’a duré que ce temps
– Le tétard n’a-t-il pas déjà perdu sa queue
– Dix mille pièces d’or ne peuvent au crapaud rendre ses marques à la chauxEt les bonzes:
– Un crâne tout ras, des habits non ourlés
– Devant des pains de riz gluant, offrande des fidèles,
– Derrière, six, sept dames, bonzesses effarouchées
– Un coup de cymbale par-ci, un coup de gong par-là
– Et la prière s’étire, se traîne, s’allonge
– A force d’ascèse, peut-être sera-t-il vénérable,
– On verra dodeliner sur le trône aux lotus– Toute une vie d’ascèse, lourde comme un bloc de pierre
– Et voilà, il suffit d’un rien, d’un petit rien !
– La barque de la compassion allait atteindre aux rives de l’Est
– Si le vent contraint n’avait brouillé voiles et cordage– Le bonze est en prière « Na Mô »
– Passe une belle, panier en main
– Qui s’en va à la pêche aux crabes
– Le coeur du bonze
– S’emplit de rêves
– Il laisse là le Livre Saint
– Et cout après la demoiselle
– Par quel chemin est-elle passée ?
– Et notre bonze va
– Et notre bonze vient
– En égrenant son chapelet.Avocate de la concubine et de la fille-mère:
– Partager un mari avec une autre, p de sort
– L’une dort sous des couvertures bien ouatées, l’autre gèle
– Au hasard, il va échoir une rencontre
– Une ou deux fois par mois, trois fois rien.
– On s’accroche pour arracher une bolée, et le riz est mal cuit.
– On sert comme une servante, sauf qu’on n’est pas payée.
– Ah ! Si j’avais su qu’il en était ainsi
– Je me serais résignée à rester seule comme autrefois– Quel malheur d’être concubine !
– Repiquage
– Labour
– Et la nuit
– Sans mari
– Toute seule
– Sans natte
– Avec le froid qui mord
– « Hé! la seconde
– Crie l’aînée
– Dès que point l’aube
– Cuis le son
– Coupe les patates
– hache aussi les lentille d’eau «
– O mon père et ma mère
– Suis-je ainsi condamnée
– Jour après jour
– Par votre pauvreté !– Un moment de complaisance, et me voici dans de beaux draps !
– O mon aimé, ressens-tu toute ma peine ?
– Le ciel n’a pas fait surgir le signe du destin
– Que déjà un trait vient barrer le tronc du saule
– Pour cent années, la faute, tu la supporteras
– J’accepte, moi de porter le fruit de notre amour
– Les gens peuvent médire, peu nous importe,
– Avisé ou pas, on n’en est pas moins habile.Le droit de la femme à l’amour charnel:
(Kieu)
– Kieu, dans un bain d’orchidées, trempe son corps, fleur printanière
– Pureté de jade, blancher d’ivoire
– Modelé impeccable, chef-d’oeuvre des dieux.(Ho Xuan Huong)
– Frémissement de brise d’été
– A peine allongée, la jeune fille s’assoupit
– Le peigne, de ses cheveux, a glissé
– Le cache-seins rouge s’est défait
– Pas de rosée sur les deux collines du Pays des fées.
– La source aux fleurs de Pêcher ne jaillit pas encore
– L’homme de bien, hésitant, ne peut en détacher sa vue
– Partir lui est pénible, mais inconvenant de rester.Le Col de Ba Doi
– Un col, un col, encore un col
– Loué soit celui qui cisela ce paysage suspendu !
– Le portique s’ouvre rouge vermeil, avec un faîte bien touffu
– Un rocher gît là, vert foncé, tout couvert de mousse
– La branche de pin tremble sous la rafale de vent
– La rosée perle sur les feuilles de saule toutes mouillées
– Sages, gens de vertu, personne ne veut renoncer
– Pieds fourbus, genoux rompus, tous veulent toujours grimper.La grotte de Cac Co:
– Ciel et terre ont fait naître ce rocher
– Une fente le divise en deux, noire et profonde,
– La mousse couvre ses bords et l’ouverture se fait béante
– Des pins que secoue le vent battent la mesure.
– L’eau bien fraîche perle goutte à goutte en clapotant,
– Et le chemin pour y pénétrer se perd dans le noir,
– Loué soit le sculpteur qui l’a taillée avec talent,
– Maintes gens lorgnent après cette fente grand’ouverte.La montagne du mari et la Femme:
– Quel amusant spectacle le créateur nous offre là
– On avait le Mari, il ajoute la femme
– En haut l’homme au crâne blanchi par la neige
– En bas la femme aux joues humectées de rosée
– Son affection, aux rayons de la lune, il la lui prouve
– Son amour, aux monts et aux eaux, elle le clame
– Rochers qui connaissez depuis longtemps l’amour
– Laissez-nous profiter de nos jeunes années.La balançoire:
– Bravo pour qui a si habilement planté les quatre piliers !
– Les uns montent se balancer, les autres regardent
– Le garçon arquant ses genoux de grue, bande, bande ses reins
– La fille cambrant son dos de guêpe, tend, tend son bassin.
– Quatre pans de pantalons roses claquent au vent,
– Deux paires de jambes s’étirent deux a deux
– ceux qui pratiquent ces jeux printaniers, les connaissent-ils vraiment ?
– Les poteaux retirés, les trous restent à l’abandonL’éventail:
– Dix-sept, dix-huit, quel est le nombre ?
– On ne sait, mais on l’aie, et ne s’en sépare pas
– On l’aime quand, dans sa minceur, il s’évase en triangle
– On l’aime tout ramassé avec le tenon qui l’enfile
– Plus il fait chaud, plus on aime sa fraîcheur,
– On ne s’en lasse pas la nuit, on l’aime encore de jour
– La colle du kaki lui fait des joues bien roses
– Rois et seigneurs ne chérissent que ce machin-làLes Gâteaux trôi:
– Un corps tout blanc, ma condition est d’être ronde
– maintes fois, je flotte ou sombre avec les eaux
– La main qui m’a pétrie me fait dure ou molle,
– Mais je garde toujours un coeur vermeil.Tissage de nuit:
– La lampe allumée, ô quelle blancheur !
– Le bec de cigogne, la nuit durant, ne cesse de gigoter
– Les pieds appuient, se relâchent, bien allègrement,
– La navette enfile la trame, s’en donne à coeur joie
– Large, étroit, petit, gros, tous les formats trouvent à s’ajuster
– Courtes ou longues, les pièces de toutes dimensions se valent
– Celle qui veut bien faire laisse tremper longuement,
– Elle attend trois automnes avant d’en dévoiler la couleur.Elle est essentiellement féminine:
– Que celui qui tient le gourvernail
– Ait ou non le bon plaisir d’accoster
– Mais que celle qui hisse la voile
– Puisse naviguer librement.– Dans la profondeur de la nuit, le tambour des veilleurs résonne
– Une mousse a voilé la surface du vol
– Quelques rochers lointains
– Déchirent les nuages,
– J’en ai assez d’attendre le printemps parti
– Et les brides d’amour qui me sont octroyées.-L’appel bruyant des coqs m’arrive de très loin
– La rancune est en moi, et mon regard se perd au fond du paysage
– Je n’agite pas la crécelle de ma tristesse et pourtant elle résonne
– Ni la cloche de mon chagrin. Alors pourquoi sonne-t-elle donc si fort ?
– leur bruit ne font qu’accentuer ma peine
– Maudit soit le destin qui m’abandonne ainsi
– Hommes de bien et vous lettrés, où êtes-vous ?
– Faut-il croire que déjà la vieillesse m’atteint ?:jap:
Je vous informe, qu’il existe une édition de KIEU en texte bilingue vietnamien et français éditer par » Edition en langue étrangère Hanoi 1979″, traduction par Nguyen Khac Vien
cordialement GRBravo et merci pour l’information, depuis le temps que je cherche ce film, pourriez vous nous dire sur quellle chaines sera diffuser le film ? merci cordialement GR
Bonjour, j’ai vu tardivement ton e-mail, même remarque que nemo, pour les tarifs, les toiles sont superbes
cordialement. GRMerci beaucoup Thanh Ba.ch pour ce beau poème et surtout avec sa traduction, qui nous permet au fond de soi.
pour les messages non lus depuis…….
et
réponses à vos messages…Affichage de : « Merci de réessayer. Si l’erreur se reproduit, merci de signaler cette erreur à un administrateur. »
cordialement RGSon Lam
Merci pour nous avoir communiquer ce site, les photos sont vraiment superbes, surtout ceux en noir et blanc.
cordialement
Bonjour Bichthao
Bienvenu parmi nous, j’espère que nous pourrions répondre à ton attente pour te permettre retrouver tes racines et des contacts humaines et vietnamiens cordialement
:bienvenue1:Nem Chua wrote::thanks:
Peux-tu nous donner une source?
:thanks: encorel’adresse :http://perso.orange.fr/claude.larronde/billet-Renee.html
Merci Bao Nhan de nous faire partager votre découverte de cet article concernant ce jeune adolescent à la découverte du monde. Cela nous permet de nous rappeler qu’il ne nous faut pas oublier, que nous devons toujours regarder le monde avec notre coeur d’enfant et d’oublier notre vision blasée et critique de ce monde de consommation, et nous souvenir, que nous avons cinq sens pour mieux percevoir le monde tel qu’il est, avec ses merveilles et ses laideurs, lorsque nous allons visiter les pays, les hommes… de notre planète, sans en être candide.
cordialement GR19 août 2006 à 10h18 en réponse à : Devoir de mémoire connaissez-vous SAINT LIVRADE SUR LOT ? #24490« VNlover: je me trompe peut etre mais il me semble me rappeler d’un reportage sur ce lieu il y a quelques années ou il etait question de le fermer mais le probleme du relogement etait impossible pour des famille ayant traversé toutes ces années par la seul force du soutient mutuelle et d’un coup comme cela un pontif decide pour ce faire mousser d’une pseudo action sociale sans aucune concertation amis il s’agis peut etre d’un autre lieu, bien que je ne pense pas qu’il y en ai tant que cela en france.
si ma memoire est bonne, la derniere compagne de Gainsbourg, Bambou as un lien avec ce lieu non? »Il y en d’autres lieux voir les sites ci-dessous:
« Permettez-moi vous de vous signaler quelques sites sur les camps d’hébergements dans anciens rapatriés d’Indochine, avant que cela tombe dans les oubliettes de l’histoire:
http://www.noyant.info
http://noyant03.free.fr/
http://www.alland.org/cafi
http://associationfoefi.ifrance.com
http://perso.club-internet.fr/aet.d
http://perso.wanadoo.fr/ho.truong »cordialement GR
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