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Pour tous ceux qui sont nés l’année du Dragon

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    • #10087

      Clin d’oeil pour les Dragons du Forum. Saviez- vous qu’on vous promettait Sagesse et Courage ?
      [h=1]Asie: baby-boom de petits dragons pour la nouvelle année lunaire[/h]
      L’année du dragon, qui débutera lundi selon le calendrier lunaire, promet courage et sagesse aux enfants nés sous ses auspices, selon des croyances ancestrales. Mais elle ne tombe que tous les douze ans, de quoi déclencher en Asie un véritable baby-boom.
      « Bien sûr que je suis heureuse », exulte Cassandra Cheong, 26 ans, en sortant d’une clinique de Singapour. « Mais ma mère et les membres de ma famille les plus âgés sont encore plus enthousiastes que moi d’avoir un bébé dragon », raconte-t-elle à l’AFP, caressant son ventre rebondi où grandit une petite fille qui verra le jour dans une semaine ou deux.
      L’année du dragon, qui suivra lundi celle du lapin, est considérée comme la plus propice dans le calendrier lunaire. Un enfant né sous le signe du dragon, symbole des empereurs en Chine, ne manquera pas d’apporter le bonheur sur l’ensemble de sa famille, selon l’astrologie chinoise.
      Ainsi, les années dragon ont toujours été synonymes de pics de naissance en Chine, où une hausse de 5% des accouchements est prévue en 2012, selon l’agence de presse officielle Chine nouvelle. Le même phénomène est attendu à Hong Kong, Taïwan et Singapour.
      A Hong Kong, territoire chinois semi-autonome, les autorités tentent de freiner l’afflux de Chinoises qui viennent accoucher dans l’ancienne colonie britannique afin de se voir accorder le droit de résidence et, ainsi, le droit à l’éducation. La dernière année du dragon, en 2000, avait provoqué une hausse des naissances de 5,6%.

      Le nombre de places dédiées aux Chinoises et étrangères arrivées à terme a ainsi été plafonné dans les cliniques afin d’assurer « la priorité aux résidents de Hong Kong », a expliqué un porte-parole des autorités sanitaires du territoire.
      L’année du dragon est en revanche une aubaine pour Singapour, qui tente avec difficulté de lutter contre un recul de sa natalité: à 1,15 bébé par femme, elle est très loin du taux de renouvellement de 2,1. Le manque de main-d’oeuvre qui s’ensuit provoque un afflux d’étrangers, qui représentent un quart des quelque 5,2 millions d’habitants dans la cité-Etat.
      « Cela va apporter une aide, mais temporaire », explique Shirley Sun, professeur adjoint de sociologie à la Nanyang Technological University.
      Le nombre de naissances avait bondi de plus de 10% à Singapour en 2000 et en 1988, les deux dernières années du dragon. En 2012, Tan Kok Hian, président du département obstétrique à l’hôpital public pour femmes et enfants KKH, prédit 8% de naissances en plus.

      La même tendance peut être observée jusque dans les pays où l’ethnie chinoise ne représente qu’une minorité, comme en Malaisie. Le gynécologue-obstétricien malaisien M Devindran dit ainsi avoir vu, dans sa clinique d’assistance à la procréation, « une hausse de 10 à 15% du nombre de couples chinois tentant d’avoir un bébé ».
      « Le signe du dragon est très puissant », constate-t-il . :biggthumpup:

      http://www.lepoint.fr/insolite/asie-baby-boom-de-petits-dragons-pour-la-nouvelle-annee-lunaire-20-01-2012-1421321_48.php

      Chuc Mung Nam Moi

    • #146032

      Oui,je vois.Ma femme est née us le signe du Dragon.Nous espérons avoir un bébé cette année.Mais Le bébé arrivera un jour ou une nuit!

    • #146048

      Bonjour TLM,

      Une naissance est attendue aussi dans ma famille… Une grande année donc : vive les futurs petits dragons !

    • #146118
      thuong19
      Participant

        quelques dragons qui ont marqué l’histoire du Viêtnam
        (Courrier du Vietnam)

        De grands hommes nés sous le signe du Dragon
        25/01/2012 12:43
        À chaque période, ses grands hommes. Et c’est l’histoire qui en conserve la mémoire. À l’occasion du Têt Nhâm Thin (Année du Dragon), voici le parcours de quelques-uns nés sous le signe du Dragon.
        TRUONG DINH (1820-1864), leader de la guérilla anti-française

        Truong Dinh ou Truong Công Dinh est né en 1820 dans le village de Tinh Biên, district de Son Tinh, province de Quang Ngai (Centre). En 1844, alors âgé de 24 ans, Truong Dinh accompagne son père, Truong Câm, dans la province de Gia Dinh (Sud) où ce dernier exerce les fonctions de chef militaire provincial, sous le règne du roi Thiêu Tri (1807-1847).

        [TABLE= »width: 310, align: center »]
        [TR]
        [TD]19120121827236.jpg[/TD]
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        [TD]L’intérieur du temple dédié au héros national Truong Công Dinh, au chef-lieu de Go Công, province de Tiên Giang. Photo : CTV/CVN[/TD]
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        [/TABLE]

        Là, Truong Dinh épouse Lê Thi Thuong, fille d’une riche famille dans le district de Tân An (province de Gia Dinh) et s’établit dans le pays natal de son épouse. En 1850, en répondant à la politique royale de défrichement des terres incultes, Truong Dinh réunit environ 500 paysans pauvres et dirige les travaux de défrichage et de fondation de nouveaux villages. En reconnaissance de cette action d’éclat de Truong Dinh, la Cour le nomme chef d’escouade.

        Dès 1859, il lève des troupes insurrectionnelles pour attaquer les Français occupant Saigon (aujourd’hui Hô Chi Minh-Ville), il doit se retirer ensuite à Go Công. Devant la supériorité des armes modernes, la Cour de Huê adopte d’abord une politique de concession, laquelle finit par aboutir à la capitulation. Elle signe avec les Français le traité de 1862, cédant à la France trois provinces orientales (Gia Dinh, Biên Hoa et Dinh Tuong). Elle ordonne à Truong Dinh d’évacuer sa base de résistance pour commander les troupes d’An Giang à l’Ouest de Luc Tinh. Consacré par le peuple Grand maréchal pacificateur des Occidentaux (Binh Tây Dai Nguyên Soai), il désobéit au roi pour continuer la lutte armée. Patriotique, Truong Dinh a de la compassion pour le peuple. Sa troupe de partisans est celle réunissant le plus grand effectif (6.000 personnes), faisant subir de lourdes pertes à l’ennemi. Cela influence et galvanise grandement le mouvement patriotique contre l’invasion étrangère. Truong Dinh et sa troupe reçoivent alors le soutien du clan des partisans de la guerre dans la cour royale, lettrés, progressistes et peuple. Il se lie à d’autres troupes de maquisards pour coordonner les opérations. Le champ d’activité des insurgés s’élargit sur plusieurs provinces.

        Le 26 février 1863, l’armée française lance une attaque contre la troupe de Truong Dinh dans sa base militaire. La bataille est atroce. En raison du déséquilibre des forces entre l’ennemi et les maquisards, Truong Dinh décide de se retirer vers la province de Biên Hoà et Tây Ninh, conservant ainsi ses effectifs et les provisions pour continuer la lutte.

        Fin 1864, lors d’une bataille à la base de Tân Hoà, Truong Dinh tombe malencontreusement dans le piège tendu par l’ennemi. Ce à cause de la trahison d’un maquisard rallié à l’armée opposée. Pris dans le guêpier, Truong Dinh et ses hommes se résolvent à mener une guerre à mort contre l’ennemi. Dans ce combat, Truong Dinh a le malheur d’être blessé par balle à la colonne vertébrale. Sa volonté de ne pas tomber aux mains de l’ennemi aboutit à son suicide, d’un coup d’épée, le 20 août 1864. Il était alors âgé de 44 ans.

        La disparition de Truong Dinh fut une grande perte pour la résistance contre l’ennemi étranger. L’insurrection menée par Truong Dinh contre l’invasion étrangère fut un jalon important de l’histoire de défense nationale. Ému de ce sacrifice, le poète patriote Nguyên Dinh Chiêu a écrit Van tê Truong Công Dinh (Oraison funèbre en l’honneur de Truong Công Dinh).

        Près de 150 ans après la mort de Truong Dinh, de nombreux ouvrages historiques, littéraires, théâtraux dont les auteurs sont Vietnamiens ou Français, exaltent encore les mérites du grand héros. Dans de nombreuses localités du Centre et du Sud, le peuple a bâti et conserve encore aujourd’hui les monuments commémoratifs en l’honneur de Truong Dinh. Une grande fête culturelle dédiée à notre héros se déroule chaque année à Go Công (chef-lieu de la province de Tiên Giang). Les hauts faits de Truong Dinh restent profondément ancrés dans la mémoire collective.

        TRAN PHU (1904-1931), premier secrétaire général du Parti

        [TABLE= »width: 310, align: center »]
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        [TD]19120121827855.jpg[/TD]
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        [TD]Trân Phu (1904-1931). Photo : Archives/VNA/CVN[/TD]
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        [/TABLE]

        Trân Phu est né le 1er mai 1904 dans une famille de lettrés patriotiques du district de Duc Phô, province de Quang Ngai (Centre). Orphelin de père à l’âge de quatre ans puis de mère à six, il vit une enfance douloureuse.

        Intelligent et studieux, Trân Phu obtient en 1922 le diplôme d’études primaires supérieures, le plus élevé de l’enseignement français au Vietnam à cette époque (il est même le lauréat de l’examen). Il est ensuite nommé professeur à l’école primaire de Vinh (province de Nghê An). En 1925, il rejoint l’Association Phuc Viêt (rebaptisé plus tard Tân Viêt Cach mang Dang – Parti de Nouveau Viêt révolutionnaire) à Vinh (Nghê An). Un an après, il se rend à Canton (Chine) pour organiser la fusion de son organisation avec l’Association des jeunes révolutionnaires du Vietnam.

        En 1927, il retourne à Canton avant de se rendre à Moscou pour y suivre les enseignements de l’École supérieure de l’Orient. En 1928, il participe à la 6e session de l’Internationale communiste. En 1930, de retour au Vietnam, il est nommé au Comité central provisoire du Parti communiste du Vietnam (PCV) qui lui confie la tâche de rédiger le programme politique du Parti. La même année, le 1er Congrès du Parti entérine ce programme, tout en élisant Trân Phu secrétaire général du Parti. Ce programme politique et d’autres documents écrits par le Président Hô Chi Minh (Tactique sommaire, Programme sommaire, des Statuts abrégés du Parti et de certaines organisations de masse, l’Appel lancé à l’occasion de la fondation du Parti) sont des actes importants du Parti permettant de définir les lignes stratégiques, les tactiques de base de la révolution nationale, ainsi que les buts et principes d’organisation comme d’action du PCV. Le document rédigé par Trân Phu précise l’objectif à poursuivre par la révolution vietnamienne. À savoir : entreprendre la révolution bourgeoise populaire avant de passer à la révolution socialiste. Le programme stipule que l’aboutissement de la révolution bourgeoise-populaire conduira à la création d’un gouvernement basé sur le bloc d’alliance ouvriers-paysans.

        Trân Phu fut arrêté le 19 avril 1931 à Saigon. En prison, il continuait d’organiser des débats politiques pour ses compatriotes incarcérés. Malade et épuisé, il est décédé cinq mois après, le 6 septembre 1931, à l’âge de 27 ans. Avant de rendre l’âme, il a encore recommandé à ses camarades de prison : «Restez combatifs

        NGO XUAN DIEU (1916-1985), roi des poèmes d’amour

        [TABLE= »width: 310, align: center »]
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        [TD]1912012182780.jpg[/TD]
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        [TD]Ngô Xuân Diêu (1916-1985). Photo : CTV/CVN[/TD]
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        Xuân Diêu est né le 2 février 1916 dans la province de Binh Dinh (Centre). Il fait ses études secondaires françaises d’abord à Qui Nhon (Binh Dinh), puis à Huê (ancienne capitale impériale) et enfin à Hanoi.

        Membre du groupe littéraire autonome (Tu luc van doàn 1938-1940) – groupe littéraire indépendant, Xuân Diêu publie son premier recueil Tho tho (Poésie poésie) en 1938, puis Phân thông vàng (Le pollen d’or des fleurs de pin) en 1939. La publication de Tho tho, composé de poèmes exaltant l’amour, la jeunesse, le printemps, la joie, la nature, la vie et la passion de vivre, soulève à l’époque une vague d’indignation chez certains et d’admiration chez d’autres, de par sa poésie moderne, tant au niveau de la forme que du fond. Xuân Diêu est considéré comme l’un des chefs de file du mouvement de la Poésie nouvelle, prince de la poésie vietnamienne.

        Outre la poésie, Xuân Diêu collabore pour les revues Ngày nay (De nos jours), Tinh hoa (Élite) et Phong hoa (Moeurs) – organe de combat du groupe littéraire autonome (cette revue parvient, par la satire, à faire disparaître certaines mœurs et coutumes anciennes). Il est aussi un des fondateurs de l’Association nationale des journalistes.

        En 1944, Xuân Diêu participe au mouvement Viêt Minh. Après la Révolution d’Août 1945, il s’engage dans différentes organisations culturelles nationales devenant, dès lors, un des poètes révolutionnaires. Il laisse derrière lui environ 450 poèmes, quelques nouvelles et de nombreux mémoires, critiques littéraires. Il se meurt en 1985, à l’âge de 69 ans.

        HOANG HOA/CVN

      • #146122

        Papa: dragon de feu; futur bébé: dragon d’eau
        Maman va avoir du mal avec nous deux !!! hihihi….

      • #146123

        Quand un dragon rencontre un cochon, c’est la fortune assurée!

        pas de chance pour moi,
        mon mari est du même signe que moi: dragon d’eau

      • #146226

        Bonjour ngjm95,

        en complément de ton article cité plus haut

        « …Ainsi, les années dragon ont toujours été synonymes de pics de naissance en Chine, où une hausse de 5% des accouchements est prévue en 2012, selon l’agence de presse officielle Chine nouvelle. Le même phénomène est attendu à Hong Kong, Taïwan et Singapour.
        A Hong Kong, territoire chinois semi-autonome, les autorités tentent de freiner l’afflux de Chinoises qui viennent accoucher dans l’ancienne colonie britannique afin de se voir accorder le droit de résidence et, ainsi, le droit à l’éducation. La dernière année du dragon, en 2000, avait provoqué une hausse des naissances de 5,6%.

        Le nombre de places dédiées aux Chinoises et étrangères arrivées à terme a ainsi été plafonné dans les cliniques afin d’assurer « la priorité aux résidents de Hong Kong », a expliqué un porte-parole des autorités sanitaires du territoire…. »

        À Hong Kong, le cauchemar des futures mères de bébés dragons

        Le Point.fr – Publié le 27/01/2012 à 14:03
        Pour beaucoup de femmes asiatiques, donner naissance à un enfant l’année du dragon est un rêve. Mais pas à Hong Kong.

        [IMG]http://www.lepoint.fr/images/2012/01/27/dragon-chine-hong-kong-490287-jpg_334317.JPG[/IMG] L’année du dragon a débuté en Chine, comme ici à Hong Kong. [HR][/HR]

        • Par Sihem Souid

        Pour beaucoup de femmes asiatiques, donner naissance à un enfant l’année du dragon, qui a démarré lundi selon le calendrier chinois, est un rêve. Mais à Hong Kong, cela risque de tourner au cauchemar pour les futures mères. Chaque année, des dizaines de milliers de Chinoises du continent se rendent sur ce territoire pour accoucher, provoquant une pénurie de lits dans les maternités débordées. Les futures mères et le personnel hospitalier de Hong Kong craignent une accentuation de ce phénomène en cette année du dragon. Les enfants nés sous ce signe, qui ne revient que tous les 12 ans, sont parés de toutes les vertus, selon la croyance chinoise.
        « Nous n’avions pas programmé cet enfant pour qu’il soit un bébé dragon », déclare Michele Lee, 38 ans, qui attend une fille pour avril. « Nous étions très excités au début, mais très vite, nous avons commencé à nous inquiéter de ne pas trouver une place dans une maternité ». Mi-janvier, 1 500 personnes ont défilé dans les rues de l’ancienne colonie britannique contre l’afflux de Chinoises du continent dans les hôpitaux. Un enfant né à Hong Kong obtient automatiquement le droit d’y résider et d’y aller à l’école. Accoucher sur l’ancien territoire britannique permet également d’échapper à la politique de l’enfant unique toujours en vigueur en Chine. Hong Kong a été rétrocédé à la Chine en 1997, mais bénéficie d’un statut semi-autonome, avec sa propre législation, sa monnaie, sa justice.

        « Il faut se battre »

        Dès qu’elle a appris sa grossesse, Michele Lee a voulu réserver une place dans la maternité de son obstétricien. Mais il était déjà trop tard. « Je ne pouvais pas aller dans la clinique privée de mon choix, alors que j’étais prête à payer, et que mon mari et moi sommes Hongkongais », dit-elle. « Des amis me disent qu’il faut que j’inscrive déjà ma petite fille dragon au jardin d’enfants. Il faut se battre, comme pour les hôpitaux », ajoute la future mère. En 2011, sur 80 131 bébés nés à Hong Kong, 38 043 avaient pour mère une Chinoise du continent, selon les statistiques officielles. Lors de la précédente année du dragon, en 2000, le nombre des naissances sur le territoire avait augmenté de 5,6 %. Pour 2012, les médecins prévoient 100 000 naissances, alors que les réservations dans les hôpitaux publics ont augmenté de 15 %.
        En prévision d’un baby-boom, les autorités de l’ancienne colonie ont durci les conditions d’entrée, avec une augmentation des contrôles à la frontière avec la Chine et une limitation des places dans les hôpitaux pour les femmes venues du continent. Mais certaines, parvenues à destination, attendent alors le dernier moment pour aller aux urgences de la maternité. Les autorités hospitalières de Hong Kong rapportent un triplement des naissances dans les services d’urgence en 2011. « Le système ne peut plus faire face. L’augmentation du personnel et des capacités d’accueil ne peut pas suivre la hausse de la demande. Il y a beaucoup trop de femmes enceintes qui viennent du continent pour accoucher à Hong Kong », déclare Cheung Tak Hong, chef du service obstétrique du Prince of Wales Hospital, un hôpital public situé près de la frontière.
        « Nous ne pouvons plus faire face »

        En arrivant au dernier moment, ces femmes mettent leur vie et celle de leur bébé en danger, ajoute le médecin, porte-parole d’une association d’obstétriciens de Hong Kong. « Elles n’ont pas de place réservée, pas de dossier médical, nous ne les avons pas suivies et elles arrivent au dernier moment. Cela met beaucoup de pression sur le personnel », ajoute-t-il. « Je ne les condamne pas, car autrefois les gens de Hong Kong faisaient la même chose. Nous voulions offrir de meilleures chances à nos enfants », précise-t-il. « Mais nous ne pouvons plus faire face à cet afflux. » Lors des années précédant la rétrocession à la Chine en 1997, de nombreuses Hongkongaises partaient accoucher à l’étranger, pour garantir à leur bébé une autre nationalité dans le cas où la situation se dégraderait.

        817-grey.gif Le Point.fr

        À Hong Kong, le cauchemar des futures mères de bébés dragons – Le Point

      • #146230

        Tous les ans, on nous ressert du :  » Cette année c’est l’année où les Chinoises pondent leur mômes »

        Le 8/8/2008, l’année du Cochon etc Surtout que c’était un cochon en or
        Et puis l’année du tigre et puis l’année de la souris qui est tres intelligente car elle arrive en tête de la course au animaux.

        Je ne sais pas les Chinois mais au Vietnam, l’année du dragon, elle ne pondent pas plus que d’habitude.

        Au début de la decénie, il y a eu une année mais je ne me rapel plus la quelle ou on voyait vraiment des femmes enceinte partout à Hanoi (enfin… pareil que le 93)
        En seine saint denis c’est l’année du dragon tous les jour !

      • #146231

        @thuong19 142733 wrote:

        quelques dragons qui ont marqué l’histoire du Viêtnam
        TRUONG DINH (1820-1864), leader de la guérilla anti-française
        Truong Dinh ou Truong Công Dinh est né en 1820 dans le village de Tinh Biên, district de Son Tinh, province de Quang Ngai (Centre).
        (Courrier du Vietnam)

        Cela doit être Truong Dinh qui a écrit le serment de Go công en 1862 lors du début de l’invasion colonialiste
        Tous les habitants de la province de Go công, d’un commun accord, formulent cette déclaration. En perdant le gouvernement de notre roi nous sommes dans la même désolation qu’un enfant qui a perdu son père et sa mère. Votre pays appartient aux mers occidentales, le nôtre aux mers de l’Orient. Comme le cheval et le buffle diffèrent entre eux, nous différons par la langue, par l’écriture et les mœurs. L’homme fut créé autrefois en races distinctes. Partout il a la même valeur mais sa nature n’est pas la même. La reconnaissance nous attache à notre roi. Nous vengerons ces injures et nous mourrons pour lui. Si vous persistez à porter chez nous le fer et la flamme, le désordre sera long, mais nous agirons selon les lois du Ciel .Mais si vous refusez de partir , nous ne cesserons de lutter pour obéir à la volonté du Ciel. Nous redoutons votre valeur, mais nous craignons le Ciel plus que votre puissance. Nous jurons de nous battre éternellement et sans relâche. Lorsque tout nous manquera, nous prendrons des branches d’arbre pour en faire des drapeaux et des bâtons pour armer nos soldats. ]

      • #146247

        Bonsoir Ti Ngoc,et TLM
        @Ti Ngoc 142741 wrote:

        Quand un dragon rencontre un cochon, c’est la fortune assurée!

        pas de chance pour moi,
        mon mari est du même signe que moi: dragon d’eau

        En général, les Dragons entre eux se comprennent à mi-mots.:dance3:

        salfyt _Papa: dragon de feu; futur bébé: dragon d’eau

        Maman va avoir du mal avec nous deux !!! hihihi….

        Maman s’apercevra qu’elle aura deux enfants pour le prix d’un…:wink2:

      • #146251

        @Ti Ngoc 142741 wrote:

        Quand un dragon rencontre un cochon, c’est la fortune assurée!

        pas de chance pour moi,
        mon mari est du même signe que moi: dragon d’eau

        Bonsoir TLM
        Bonsoir Ti Ngoc

        Quand un vicomte
        Rencontre un autre vicomte,
        Qu’est-ce qu’ils se racontent?
        Des histoires de vicomtes…
        Quand une marquise
        Rencontre une autre marquise
        Qu’est-ce qu’elles se disent?…
        Des histoires de marquises…

        Et quand un dragon
        Rencontre un autre dragon
        Qu’est-ce qu’ils se racontent ?

        Des histoires de Dragons…

        cordialement
        AnhTruc

      • #146284

        :bigsmile: Bac Anh Truc très bon après midi à toi

        dragon-gif-084.gifTi Ngoc

      • #146296

        @Ti Ngoc 142942 wrote:

        :bigsmile: Bac Anh Truc très bon après midi à toi

        Ti Ngoc

        Lưỡng Long quần vũ – Dragon happy with the wind
        (deux dragons dansent dans le vent)

        lnglong.jpg

        source:Google earth
        Cordialement
        AnhTruc

      • #146297

        Phố Bôn Sa TV ( PhoBolsaTV ) couvre la période de tết pour la première fois au pays ancestral

      • #146312

        @AnhTruc 142958 wrote:

        Lưỡng Long quần vũ – Dragon happy with the wind
        (deux dragons dansent dans le vent)

        lnglong.jpg

        source:Google earth
        Cordialement
        AnhTruc

        Merci Bac Anh Truc pour cette belle danse céleste
        très bon dimanche à toi
        Ti Ngoc

      • #146677

        Bonjour TLM,

        L’histoire du Vietnam à travers la symbolique du Dragon dans Vietnam+ 10/02/2012


        Symbole du dragon dans la vie des Vietnamiens

        Le dragon est un animal imaginaire, mais son image est omniprésente dans la vie des Vietnamiens. Animal sacré, il occupe une position particulière dans la vie et la croyance des Vietnamiens vivant de la riziculture.

        Pour les paysans vietnamiens, le dragon est le symbole du yang, principe de vie et de croissance, il apporte la pluie, essentielle pour l’agriculture. Le dragon est intimement lié au climat et à l’eau. Il est capable de changer le climat et est responsable des récoltes.

        Le peuple vietnamien se réclame du Dragon comme ancêtre. Selon la légende, Lac Long Quân, fils du Dragon anéantit les monstres marins et créa un vaste royaume. Il épousa Au Co, fée de la montagne qui lui donna cent oeufs, lesquels donnèrent cent garçons… Cinquante d’entre eux suivirent le père vers la région maritime, le reste se dirigea vers la montagne avec la mère. Le fils aîné fut proclamé roi Hung, fondateur de la première dynastie royale vietnamienne… Cette légende est à l’origine du proverbe « Con Rông, Chau Tiên » (« Fils du Dragon, petits fils de la Fée »).

        L’image du dragon se transforme à travers les époques, selon les critères esthétiques à chacune.

        Sous le régime féodal, le dragon représentait le roi, fils du Dieu, l’autorité suprême, la puissance de la nation. Le mot « dragon » (long en vietnamien) était utilisé pour désigner les parties du corps de l’empereur et ses objets à usage quotidien. L’image de cet animal sacré est présente dans tous les édifices de la cour (palais royal, temple dynastique…)

        Sous la dynastie des Ly (1010-1225), le mince dragon qui découle de cette période représente le roi et est le dragon de la littérature. Son corps arrondi forme de longues courbes s’effilant graduellement vers la queue. Son dos est orné de façon ininterrompue de petites nageoires régulières. La tête, redressée, possède une longue crinière, des yeux proéminents, une moustache pointant vers l’avant, mais pas de cornes. La mâchoire est grande ouverte, à l’intérieur de laquelle se trouve toujours un châu (joyaux), symbole d’humanité, de noblesse et de savoir. Les jambes sont courtes et fines, avec habituellement trois griffes à leur extrémité.

        Le dragon de la dynastie des Trân (1225-1400) est semblable à celui de la dynastie des Ly mais devient plus intrépide. Il se pare de nouveaux détails: des bras et des cornes. Sa tête majestueuse arbore une moustache plus courte. Son corps courbe est plus gros, mais toutefois plus fin au niveau de la queue. Il existe plusieurs sortes de queues (droite et pointue, en spirale) tout comme plusieurs types d’écailles (une demi-fleur aux pétales rondes régulières, une écaille légèrement courbe). Ce dragon symbolise les arts martiaux, les rois de cette dynastie étant des descendants d’un commandant mandarin. A cette époque-là, il faut savoir que les Vietnamiens ont à combattre les envahisseurs mongols.

        Durant la dynastie des Lê (1428-1788), les dragons sont majestueux, symbole de la puissance, représentés dans des différentes positions. Leur corps ne présente plus que deux grandes ondulations. Leurs pieds possèdent cinq griffes acérées.

        Sous la dynastie des Nguyên (1802-1945), le dragon est représenté avec une queue en spirale et une longue nageoire. Sa tête et ses yeux sont larges. Il possède les cornes d’un cerf, un museau de lion, des canines développées, une moustache courbée et des écailles régulières. Les dragons représentant le roi possèdent cinq griffes, les autres quatre. Il est personnifié par exemple dans l’image de la mère avec ses enfants.

        Le dragon est non seulement le symbole de la noblesse, du pouvoir suprême, mais encore une image familière de la vie populaire. Dans tous les villages et hameaux figurent des images du dragon abondantes et variées. Les maçons ont orné les temples, pagodes et maisons communales de reliefs, gravures, sculptures de dragon… Le dragon est présent également dans les fameuses images populaires du village de Dông Hô (province de Bac Ninh, Nord).

        Dans l’ensemble du pays, il y a de nombreux toponymes relatifs au dragon: capitale Thang Long (Dragon prenant son essor) – ancien nom de Hanoi, baie d’Ha Long (Dragon descendant), baie de Bai Tu Long (Petits dragons se prosternent devant leur mère), pont de Ham Rông (Mâchoire du Dragon), delta du Mékong ou des neuf dragons..

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