Aller au contenu

[Cinéma] Les filles du botaniste

Discussions générales sur le Vietnam La Culture au Vietnam [Cinéma] Les filles du botaniste

  • Ce sujet est vide.
Vous lisez 10 fils de discussion
  • Auteur
    Messages
    • #903

      si vous voulez voir des magnifiques paysages du Viet Nam, allez voir ce film car l’ensemble des scènes ont été tourné au Viet Nam…j’ai reconnu certains endroits que j’ai visité l’été dernier, de plus c’est une belle histoire…et les 2 actrices sont toutes mimis :heat:

      J’ai édité ton titre pour plus de lisibilité. Nemo

    • #20146

      Film chinois, français. Genre : Drame
      Réalisé par Dai Sijie
      Avec Mylène Jampanoï, Li Xiaoran, Dongfu Lin
      Durée : 1h 45min. Année de production : 2005
      Synopsis :
      Dans la Chine des années 80, tous les tabous ne sont pas levés.
      Min, une jeune orpheline, part faire ses études chez un botaniste de renom. Homme secret et père autoritaire, son professeur vit sur une île qu’il a transformée en jardin luxuriant. Contrainte de partager cette vie solitaire et effacée, sa fille An accueille avec joie l’arrivée de l’étudiante. Très vite complices, les deux jeunes femmes voient leur amitié évoluer vers une attraction troublante, sensuelle et interdite.
      Incapables de se séparer, Min et An imaginent bientôt un dangereux arrangement pour continuer à partager le même toit…

      Site officiel : http://www.lesfillesdubotaniste.com/

      Le film est en salle actuellement.

      botaniste0uf.jpg

    • #20147
      mike
      Modérateur

        Merci Antony pour l’info

        La description fournie par Némo donne vraiment envie d’aller le voir..j’espère que le Film est à l’affiche sur la Côte

      • #20252

        :bravo: Je suis allé voir « les filles du botaniste  » ce w end …. super film !!! vraiment je le conseille …pas un film d’action c’est sur , mais de superbes images , film coloré et complet , toutes les scenes du film mériterait d’être prises en photos tellement les prises de vue sont magnifiques …film doté d’un scénario tres bien ecrit , le tout accompagné d’une BO (musique) excellente . Et puis bien …sur tres bonne interpretation des deux actrices . Cinéphiles ou pas allez voir ce film vous ne serez pas déçu !

      • #20254

        J’ai regardé aussi ce film. Je suis un peu déçue car l’histoire est trop simple et ne m’a pas vraiment convaincu. Sauf, les paysages sont beaux, les actrices sont belles, l’acteur qui incarne le rôle du papa joue super bien !

      • #20260
        Nem Chua
        Participant

          Tout est beau mais on s’ennuie?

          C’est un film de Trấn Anh Hùng?

          :je_sors:

        • #20331
          mike
          Modérateur

            le site http://www.lesfillesdubotaniste.com/ est vachement bien réalisé :bravo:

          • #53371

            Hier soir, je regarde Les valseuses sur arte, un film que déjà vu et revu alors je m’endors,
            RRZZZzzzzz
            Je me réveille, Gérard Depardieu et Patrick Dewaere sont entrain de jouer de la guitare électrique et de la batterie en plein air, ils ont les cheveux si longs qu’on ne voit plus leurs visages. C’est bizarre je ne connais pas cette scène de la kermesse ? Gros plan sur la guitare… Mais il joue bien… un vieux tube des Pink Floyd… Puis je réalise que j’ai dormis 1h et je suis dans le concert de Pink Floyd à Pompéi. Je me rendors à moitié puis Whooooo Whoooo…
            C’est les Pink Flyod qui font chanter leur chien, un lévrier blanc. C’est la première fois que je vois un chó ca sĩ…Je me rendors… ZZzzzz
            Je me réveille pour me retrouver à Bangkok dans Emmanuelle, c’est très amusant ce vieux film de cul, rien que regarder Bangkok de cette époque… Je m’endors quand même, je ne pourrais pas vous raconter la fin. RRRzzzzzzzz
            Puis je me réveille et je zappe sur la 2…
            lesfillesdubotanistemylxb3.jpg
            Je crois rêver, je vois un autobus russe jaune PAZ, en viet xe Hai Hau, la mouette qui arrive à Hoa Lu au Vietnam. Puis une fille se trompe dans une préparation d’herboriste et se fait engueuler

            Je réalise que j’ai atterri dans le film Les filles du botaniste. Il était programmé à 1h30 du matin sur France2, en tout petit sur le programme ; vive la Kultur !
            Ce film est génial !
            Et les paysages sont magnifiques. Bien sûr par la magie du cinéma, on passe d’une ville à l’autre sans s’en apercevoir. Les experts reconnaîtront :
            – Les temples des rois Dinh – Lê
            – Les montagnes de Hoa Lu
            – La « baie d’Halong terrestre »
            – La foret du parc naturel de Cuc Phuong
            Mais le plus drôle est qu’à chaque fois qu’ils traversent le fleuve pour entrer et sortir de leur île de Chine Kuning, ils sont sur le petit lac Hoan Kiem d’Hanoi. 2,3 fois ils vont en barque chercher le journal en ville au kiosque à journaux au bord Sud-Ouest du lac Hoan Kiem, en face du commissariat de police. Puis on circule dans Hanoi avec une antique ambulance russe UAZ maquillée en chinois (hihi les bagnoles russe de cette époque sont bien meilleur que les chinoise).
            Dans les rue d’Hanoi, on ne voit pas une seul affiche en viet. Hihi, c’est très drôle, on ne voit pas un Vietnamien moderne, ils ont bien fait leur truc. Ces Chinois là, on va les garder ! D’autant que l’actrice Mylène Jam-Panoï a le charme très français, on dirait une Sophie Marceau ou une Charlotte Gainsbourg. Ce film m’a complètement réveillé mais je ne vous raconterai pas la fin car ce n’est pas « hapy end »:wink2:

            Cherchez la Française
            lesfillesdubotaniste06xz6.jpg

            Hoa Lu !
            lesfillesdubotaniste02ne5.jpg

            La productrice du film est française, le réalisateur chinois Daï Si jie est aussi l’auteur réalisateur de Balzac et la petite tailleuse chinoise – uniFrance
            Une coproduction StudioCanal, TF1 International, Films de la Suane, France 3 Cinéma que nous avons pu voir sur arte la semaine dernière. :bye:
            balzacetlapetitetailleuzd2.jpg

            allocine.fr Les Filles du botaniste : Secrets de tournage
            Li Xiaoran parle de Sijie Dai
            Li Xiaoran, actrice chinoise extrêmement connue dans son pays garde un très bon souvenir du tournage, et en particulier de ses relations avec Dai Sijie, qu’elle ne voit pas comme un réalisateur étranger mais comme un « réalisateur chinois qui vit à l’étranger ». Impressionnée par ses méthodes de travail, elle a particulièrement apprécié « sa rigueur et, très curieusement, sa flexibilité. (…) Ce n’est pas un réalisateur buté, mais au contraire quelqu’un de très souple…
            Mylène Jampanoï, a dû, pour le rôle de Min Li, se glisser dans la peau d’une chinoise. Bien que son père soit chinois, elle possède un « handicap » majeur : elle a les yeux verts ! Pour convaincre Dai Sijie de lui confier le rôle, elle s’est donc présentée à l’audition avec des lentilles colorées marrons, avant de les jeter, jaugeant que le réalisateur préférerait le naturel. Pari gagnant !

            Métissage
            Pour adapter le personnage de Min Li à son actrice française Mylène Jampanoï, Dai Sijie a donc été obligé de réécrire son rôle, mais se dit finalement ravi ; cela apporte une profondeur et une épaisseur que Min Li n’avait quasiment pas auparavant. Le réalisateur confie que « métisse, elle ne l’est pas seulement physiquement, mais aussi intellectuellement, culturellement et idéologiquement. Peu comprise et presque rejetée par les autres, elle est plus que quiconque affamée d’amour et de tendresse ».

            Un plateau polyglotte
            L’équipe du film étant internationale, de nombreuses langues étaient parlées sur le plateau, rendant parfois la compréhension difficile. On pouvait ainsi entendre de l’anglais, du français, plusieurs dialectes chinois, sans compter du vietnamien, langue maternelle de la plupart de l’équipe technique, le tournage étant localisé au Vietnam.
            De plus, les deux actrices principales ne parlant pas les mêmes langues, il leur était impossible de se comprendre grâce aux mots. Mylène Jampanoï parle de « felling » pour décrire la relation qui les unissait.

          • #53375

            Vous avez manqué LES FILLES DU BOTANISTE (ah oui j’ai oublié c’était à 1h30 mais doublé en français pas en VO chinois)
            Je vous donne une chance de vous rattraper avec la rediffusion d’un film du même auteur mais dans les 3 gorges du Yangxe cette fois :
            arte (TNT) MERCREDI 13 AOUT 2008 à 14:55
            Balzac et la petite tailleuse chinoise

            Accueil – ARTE
            (France, 2002, 106mn, VF)
            ZDF
            Réalisateur: Dai Sijie
            Image: Jean-Marie Dreujou
            Musique: Wang Pujian
            Montage: Julia Gregory, Luc Barnier
            Acteur: Cong Zhijun, Kun Chen, Liu Ye, Wang Hongwei, Wang Shuangbao, Zhou Xun

            En pleine Révolution culturelle, deux jeunes Chinois tombent amoureux d’une petite tailleuse que la lecture de Balzac transforme à jamais. Un très beau film, avec la délicieuse Zhou Xun (Suzhou river, Beijing bicycle).

            2109638propertyimagedatvn3.jpg
            Avec une histoire

            guidetv.france2.fr Le programme télé de France 2
            LES FILLES DU BOTANISTE CHINOIS Films – Drame

            Origine : Fra – Can. (2006) Stéréo.
            Scénario : Dai Sijie et Nadine Perront.
            Musique : Eric Levi.
            Réalisation : Dai Sijie.
            Distribution : Mylène Jampanoï (Min Li), Li Xiao Ran (An Chen), Fu Ling Dong (maître Chen), Wang Weidung (Dan).

            Date : 06/08/2008
            Horaire : 01H30 – 03H05 Faut être un veinard comme DédéHeo pour l’avoir vu à une heure pareil
            Durée : 94 mn

            Dans la Chine des années 80, une orpheline commence un stage chez un botaniste de renom. Elle y rencontre sa fille, dont elle tombe éperdument amoureuse.

            Notes : Un film non dénué de charme et de poésie, mais, à vouloir trop privilégier la forme par rapport au fond, le réalisateur passe à côté de son sujet (la répression de l’homosexualité en Chine).

            Nota: Les lignes suivantes sont réservées à notre Luky Luke junior BenP pour éviter à son Luky Luke sénior de père des crampes à force de lui tenir la webCam pour faire un sreener du film.
            Balzac et la petite tailleuse chinoise – uniFrance
            La Chine du début des années 70 est toujours sous le joug de sa Révolution Culturelle. Rééduquer les « intellectuels » en les faisant travailler chez les paysans pour les mettre au contact de la dure réalité, telle était alors la politique de Mao. Deux jeunes adolescents, Luo et Ma, fils d’intellectuels appartenant au milieu médical et scientifique et à ce titre, sont considérés par l’appareil du parti comme des « ennemis du peuple » notoires et sont envoyés en rééducation dans une région perdue de l’Empire du Milieu. Aux confins du Tibet, la Montagne du Phénix du Ciel porte bien son nom… Décor sauvage de pics aigus. Escalier de pierre qui se perd dans les nuages. Là-haut, une minuscule vallée perdue. Un lac. Là est le village et ses habitants rustres, frustes, illettrés, à l’image de leur chef.
            Dès leur arrivée, les jeunes rééduqués apprennent sur le tas l’art de la débrouillardise et de la fronde. « Mozart pense au président Mao »… Luo n’a pas l’ombre d’une hésitation lorsqu’il doit rebaptiser ainsi une sonate interdite du compositeur occidental décadent, et ce dans le seul but de sauver d’un autodafé évident, le violon bourgeois de son ami. Sous le charme de la sonate révolutionnaire, le chef du village lève la sanction contre l’objet subversif et le violon est sauvé… Ma et Luo s’installent dans leur nouvelle vie de rééduqués. Corvées avilissantes. Travail épuisant dans les rizières. Extraction à mains nues du minerai de quelque mine oubliée, infestée de paludisme. Vu leurs antécédents familiaux, Ma et son ami n’ont que peu de chance de retourner un jour à la vie normale. « Trois pour mille », selon les statistiques : une véritable condamnation à la rééducation à perpétuité.
            Un jour, Luo et Ma font la connaissance du Vieux Tailleur et de sa ravissante petite-fille. Le grand-père, possesseur d’une inestimable machine à coudre d’un autre âge, mais pourtant incontestable symbole de modernité, est en charge du catalogue des modes de ce coin perdu aux antipodes de la civilisation occidentale.
            Luc tombe fou amoureux de la Petite Tailleuse et décide de l’éduquer en lui racontant des histoires dont, au début, il trouve l’inspiration dans les mélodrames chinois et les films nord-coréens que le chef du village les envoie voir à la ville voisine, à deux jours de marche. Charge à eux d’en faire le récit mimé aux villageois, le soir à la fraîche.
            Luo et Ma se font rapidement une réputation de conteurs émérites. Mais la matière première, soumise aux aléas de la programmation cinématogaphique d’une salle de fêtes de campagne, fait rapidement défaut. La Petite Tailleuse apprend aux deux adolescents qu’un troisième jeune rééduqué, le Binoclard, fils d’un écrivain et d’une poétesse connus, cache sous son lit une valise remplie de romans étrangers.
            La Petite Tailleuse, Luo et Ma décident de voler cette valise et y découvrent un vrai trésor. Flaubert, Hugo, Tolstoï, Dickens, Rolland, Dumas, Rousseau et, bien sûr, Balzac. Toute une littérature éminemment subversive et évidemment, absolument interdite. La découverte est inavouable. Luo et Ma travaillent le jour et lisent la nuit… dans le plus grand secret. Il se noue entre les trois héros une complicité à la fois amoureuse et amicale.
            Soir après soir, Luo et Ma racontent aux habitants du village les aventures d’Ursule Mirouët, ou celles du Comte de Monte-Cristo, en les assaisonnant généreusement à la sauce révolutionnaire. Le Chef du Village est permissif, pour autant que ces histoires soient dédiées à la gloire du Grand Timonier. Le Vieux Tailleur est surtout séduit par les élégances Louis-Philippardes telles que les décrit Dumas, au point qu’un zéphyr méditerranéen souffle sur sa création, transformant les villageoises en autant de petits marins royalistes.
            Luo et Ma puisent dans ces livres leur nourriture intellectuelle et s’initient à l’art d la séduction. La Petite Tailleuse, elle, fait son éducation sentimentale au travers de l’œuvre de Balzac, l’auteur qu’elle préfère car, dit-elle, « il sait si bien parler de la beauté des femmes ». Petit à petit, elle s’éveille à la liberté. Liberté de vivre – elle choisit l’insouciance et la complicité avec Luo et Ma. Liberté de penser – elle apprend à lire et à écrire. Liberté de rêver…bien au-delà des limites permises par le Petite Livre Rouge. Au-delà même de ce qu’imaginaient Luo et Ma. Liberté d’aimer – elle devient la maîtresse de Luo.
            Mais la situation est dangereuse. Une nuit, le chef du village surprend les deux adolescents racontant au Vieux Tailleur qui, lors d’une visite au village a choisi de s’installer chez eux, une histoire qu’il juge parfaitement réactionnaire. Il échange son silence contre les soins que Luo – fils d’un grand dentiste qui a soigné les dents de l’ordure Tchang Kaï-Chek – lui donnera pour le soulager des douleurs provoquées par une carie.
            Bénéficiant d’une autorisation spéciale, Luo quitte le village pour deux mois, ignorant que la Petite Tailleuse est enceinte. C’est Ma, celui qui l’aime en silence par fidélité à son ami Luo, qui l’accompagnera dans un hôpital et convaincra un médecin de l’avorter et lui promettant un livre de Romain Rolland en échange de ses services et de sa discrétion. Lorsque Luo revient au village, la Petite Tailleuse a déjà décidé de partir. Seule. Balzac lui a ouvert d’autres horizons et lui a donné à penser que, peut-être, l’herbe est moins rouge sur l’autre versant des montagnes du Sichuan. Un départ discret et définitif. Luo et Ma quitteront le village peu après. La Révolution Culturelle a vécu.
            Vingt ans après… Ma qui vit à Paris où il est un violoniste connu, apprend que son village va disparaître sous les eaux libérées du grand barrage des Trois Gorges. Il revient en Chine sur les lieux de sa rééducation. Il y retrouve les principaux personnages de sa jeunesse. A Shangai, il revoit Luo devenu un médecin réputé. Ensemble, ils évoquent cette période de leur jeunesse. Des souvenirs et des ombres. Le Vieux Tailleur est mort. Le village disparaît sous les eaux. Ni Luo ni Ma n’ont jamais revue la Petite Tailleuse dont ils ne savent pas ce qu’elle est devenue.
            Et elle… Saura-t-elle jamais que son histoire est à l’origine d’un best-seller international et d’un film qui est, en parallèle à une superbe histoire d’amour et d’amitié, un formidable hommage à la littérature et à la puissance magique et évocatrice des mots?

          • #72770

            je préfère le 2è film ,Balzac et la petite tailleur chinoise; l,autre film les filles du botaniste ,je manquais des bouttes ,
            je ne sais pas à cause du rythme de vie en amérique du nord ,les films sont trop lents ,ça m »ennuie ,ou des films que je devine le contenu ou des scènes que c’est copié me faire décrocher tout de suite .:bye:
            ps: je vais regarder de nouveau le film Balzac et la …,parce que je suis en congée et peut etre je verrai sous un autre angle .

          • #72987

            J’ai regardé la fin du film. Et l’actrice je savais qu’elle est française. Parce que je l’avais déjà vu. Mais je ne m’en rappelais plus où. Dans sous le soleil lol

            Dis donc elle est chinois par son père. Super jolie et parle super bien chinois

        Vous lisez 10 fils de discussion
        • Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.