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4 mai 2010 à 16h23 #7278
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L’adoption internationale n’est pas une prédation, par Patricia Mowbray – LeMonde.fr
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Point de vue
L’adoption internationale n’est pas une prédation,
par Patricia Mowbray
LE MONDE | 03.05.10 | 13h55e suis née deux fois. Une première fois au mois d’août 1956 en Angleterre d’une femme danoise et d’un homme nigérian, et une seconde fois en février 1959 pour rejoindre ma famille adoptive au pied de la butte Montmartre.
Pour moi l’adoption est une seconde naissance, un choc salutaire qui peut se transformer en atout pour mieux interpréter et apprécier la diversité du monde qui nous entoure.Le drame à Haïti le 12 janvier, avec son cortège d’enfants meurtris, orphelins et abîmés, a ravivé les polémiques récurrentes qui tournent autour de cette prise en charge particulière qu’est l’adoption internationale. Elle permet à près de 40 000 enfants de passer, chaque année, les frontières de leur terre natale, pour exercer leur droit à vivre dans l’intimité d’une famille.
Mais au-delà de cette spécificité haïtienne, c’est la question plus générale de l’adoption internationale avec ses détracteurs et ses défenseurs qui est posée : sa légitimité, son fonctionnement et son impact tant dans les pays de provenance que dans les pays d’accueil.
Comme l’énoncent plusieurs conventions internationales, l’adoption est une mesure de protection de l’enfant, qui a le droit de grandir avec sa famille. Si les circonstances l’en ont privé, il doit pouvoir bénéficier dans son pays de naissance ou « dans un pays étranger, d’une adoption comme moyen d’assurer ses soins nécessaires, si celui-ci ne peut, dans son pays d’origine, être placé dans une famille nourricière ou adoptive ou être convenablement élevé », article 21 de la Convention internationale des droits de l’enfant de 1 989 (CIDE).
Avant le séisme dévastateur sur les 300 000 enfants haïtiens accueillis dans des structures diverses d’aide à l’enfance, en 2009, 1 300 sont partis à l’étranger, principalement en France, au Canada et aux Etats-Unis pour y être adoptés, pour y vivre et devenir des filles ou des fils de parents qui les inscrivent ainsi dans une nouvelle histoire familiale et nationale. Qu’advient-il de tous les autres ? Sont-ils condamnés au statut d’orphelins à vie, dans une errance affective et morale ? Dans des camps, avec le seul soutien d’un personnel souvent très dévoué mais qui aura rarement la possibilité de les porter vers un avenir serein. On sait que, bien avant l’adolescence, nombre d’entre eux iront rejoindre la cohorte des enfants des rues.
A ceux qui recommandent de ne pas agir dans la précipitation mais dans le souci du respect des lois, je répondrai que les règles qui régissent l’adoption internationale sont laborieuses et contraignantes. A Haïti, par exemple, quinze étapes de procédure doivent être franchies pour enfin obtenir le visa d’adoption à l’ambassade de France, qui autorise l’enfant à rejoindre légalement son nouveau pays. Les délais pour ce sésame varient de quelques mois à plusieurs années. Compte tenu de ces parcours, on peut estimer que le temps de la réflexion est offert aux parents et aux institutions pour juger de la pertinence et de la validité de la démarche engagée.
L’enfant pendant ce temps se trouve dans un no man’s land affectif, vivant son quotidien dans l’orphelinat, et, déjà engagé ailleurs, apprenant à désigner avec des mots nouveaux ou oubliés, comme « papa » ou « maman », des visages imprimés sur papier glacé. On sait que plus l’enfant grandit plus il aura de difficultés à guérir des séquelles de ces traumatismes. Il est donc vital d’accorder le temps de la justice à celui de l’enfant en accélérant les procédures sans les dénaturer, après que les apparentements ont été décidés.
Ce phénomène a toujours généré des débats passionnés. Il est vrai qu’il interpelle les sociétés par la mixité qu’il entraîne, il s’inscrit aussi comme une des conséquences de l’internationalisation des échanges. Le droit de l’enfant à avoir une famille est reconnu au-delà des frontières qui l’ont vu naître, en conformité avec l’intérêt supérieur de l’enfant – ouvrant ainsi depuis 1989 un espace juridique transfrontalier spécifique au monde de l’enfance qui reconnaît l’universalité de son statut.
Pour certains, le tribut de cet exil nécessaire pour trouver une famille serait trop lourd, trop invalidant, puisqu’il amputerait les enfants d’une partie de leur identité et favoriserait, de surcroît, un comportement égoïste et prédateur des Occidentaux, qui continueraient par ce biais à exploiter la misère du monde.
La stratégie familiale, qui consiste à laisser partir un ou plusieurs enfants dans l’espoir d’une vie meilleure, est un phénomène qui a toujours existé même sous nos latitudes. La littérature des XIXe et XXe siècles, Dickens en Angleterre, Maupassant en France, foisonne de récits mettant en scène des parents qui confient ou abandonnent leurs enfants.
Pour l’immense majorité des enfants recueillis, la seule chance de grandir dans un espace qui prenne le temps de les aimer et qui les inscrive à nouveau dans une appartenance affective et morale est l’adoption, qu’elle soit locale ou internationale, conjuguant le désir de parents de fonder ou agrandir une famille et le droit de l’enfant à en posséder une. Aucun camp, personne du monde socio-éducatif, ne remplacera le lien privilégié qu’entretiennent des parents avec leur enfant.
Sous prétexte de quelques dérives répréhensibles, très médiatisées, ne cachons pas la réalité de ces millions d’enfants qui attendent et grandissent nourris et parqués sur leur terre natale, dans des lieux sans âme et sans espoir. En Roumanie, de jeunes adultes se retournent maintenant contre les autorités de leurs pays, les accusant de les avoir privés de leur enfance en les gardant en otages depuis 2001 dans des institutions, en les empêchant d’être adoptés par des familles étrangères. A l’époque, le pays s’était fermé à l’adoption internationale pour mettre fin à la corruption qui sévissait aussi dans ce secteur. L’adoption n’est pas une prédation, elle est la juste réponse à la pire des solitudes, celle pour un enfant de grandir sans personne à qui se lier.Patricia Mowbray est fondatrice de l’association Racines d’enfance, auteur d' »A comme Adoption » (éd. Pascal, 2009).
Article paru dans l’édition du 04.05.10
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5 mai 2010 à 1h38 #114748
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23 mai 2010 à 20h55 #116753
Très bel article merci pour le lien.
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24 mai 2010 à 5h59 #116784
La détresse humaine à travers le monde amène indubitablement certains couples qui ne peuvent pas avoir d’enfant d’en adopter un. Bien que l’acte soit entièrement louable, faut-il, et ça c’est très important de le souligner ici, en avoir les capacités financières, culturelles et intellectuelles (par ordre d’importance). Cette classification quelque peu dérangeante pourra en surprendre plus d’un pour qui prendre inconsciemment l’enfant d’un parent nucléaire à l’autre bout du monde passe en premier lieu par l’amour qu’on peut lui donner quotidiennement et non par l’argent, le CV ou le test Q.I que le couple « candidat » à l’adoption pourrait présenter à son organisation humanitaire en guise de garantie.
Certains parents qui ne possèdent ni l’un ni l’autre profiteront de la faille de certaines lois de leur pays pour s’approprier le garçonnet ou la fillette désirée avec les conséquences catastrophiques que cela peut impliquer lorsque l’enfant grandit dans sa nouvelle sphère de vie (sociale, culturelle, scolaire et religieuse). Exemple tout bête teinté d’un réalisme éclatant, lorsque un couple de non intellectuel voit leur enfant les dépasser de cinq longueurs dans le « savoir » et dans la « logique » lorsque leur « progéniture » accède à un enseignement scolaire plus étoffé. Oui, je sais, il y a des exceptions mais dans la majore partie des cas dont j’ai connaissance, l’aventure de cette amour réciproque qui avait si bien commencée se termine sur les chapeaux de roue. Le contraire peut également se produire lorsque l’enfant s’avère n’être au final point le puis de science que Papa et Maman désiraient, eux qui avaient anticipé l’édification de la structure sociale de leur bébé pour en faire leur copie conforme.
Le bébé est une personne et indépendamment de son origine ethnique, le petit être possède les gènes de ses parents. Si le modelage social, culturelle, scolaire et religieux est réalisable, il est impossible de changer le caractère de l’être humain. Certains s’y sont attardés avec le lot de misères qu’ils ont du subir avec les années. Le but ici n’est pas de produire des théories spéculatives sur ce qui est bien ou non mais de décrire succinctement la complexité qui résulte d’un choix, celui d’adopter. Une personne s’est récemment manifestée dans l’une de mes interventions, elle parlait « d’apprivoiser » son enfant. J’ai trouvé cela si joli que j’ai jugé utile de le mentionner ici.
Vincent, enfant vietnamien adopté en 1970
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24 mai 2010 à 7h15 #116788romanhuong1970;109828 wrote:.
Une personne s’est récemment manifestée dans l’une de mes interventions, elle parlait « d’apprivoiser » son enfant.
J’ai trouvé cela si joli que j’ai jugé utile de le mentionner ici.Vincent, enfant vietnamien adopté en 1970
Bonjour à vous
Très sensible à votre témoignage .
Il y a longtemps que je m’intéresse à ces questions d’adoptions, dont « internationales « ( visité plusieurs orphelinats du Cambodge )Sur un sujet et un dossier très délicats et sensibles par principe, je continue de me méfier beaucoup des « discours enflammés en forme de croisade » d’où qu’ils viennent ; je consulte aussi avec beaucoup d’attention le site internet « La voix des adoptés «
Je ne sais pas dans quel sens vous employez la formule que j’ai reprise ci-dessus et qui me dit quelque chose à moi aussi :
– lui donnez-vous une « connotation péjorative », comme je crois le ressentir (style « apprivoiser = dresser » ou me fais-je des idées ?
– personnellement , moi qui viens d’être papy d’une petite-fille très récemment adoptée ( pupille de l’état français), j’utilise assez souvent ce verbe ….mais de la façon suivante :
« Il faut nous laisser du temps pour nous apprivoiser l’un l’autre, comme le petit Prince et le Renard dans St Ex » Est-ce que cette formule vous agrée mieux SVP ?
ps : 2 remarques supplémentaires sur « l’adoption internationale « :
– connaissez vous les BD du dessinateur coréen JUNG, adopté enfant par un couple Belge ?
– une histoire assez terrible s’est passée dans la région nantaise , il y a peu, concernant 2 petits Ethiopiens adoptés . -
24 mai 2010 à 8h15 #116800
Monsieur,
Non ! Ici, le verbe « apprivoiser » revête un caractère d’amour et de compréhension mutuelle et perpétuelle. C’est du moins le message qu’a voulu faire passer une gentille intervenante la semaine passée. J’ai cru bon reprendre ce mot car faisant partie intégrante du « package » que tout adoptant se devrait de mettre en pratique lorsqu’il envisage de « déraciner » quelqu’un au fin fond de ses origines terriennes. N’ayons pas peu d’employer les mots « appropriés » même si ceux-ci peuvent choquer par leur rareté de publication. J’apprécie que vous vous soyez manifesté si spontanément, c’est de cette manière que l’on ouvre un débat et qu’on le développe avec intelligence. La référence à Saint-Exupéry et à sont Petit Prince m’a fait revenir des années en arrière, à l’époque où mon instituteur de papa m’avait acheté le 33 tours. Oeuvre audio tiré du livre qui était récité par François Perrier.
Pour la DB, j’irais faire un tour sur le moteur de recherche Google afin de trouver les références exactes. Comme je m’envole très prochainement pour « Thuan Gio » (banlieue ouvrière de Saïgon), je l’emmènerai avec moi dans mes valises. Pour les deux petits éthiopiens, je méconnais l’heure dramatique histoire. Merci de m’informer de vos références svp.
Présentement, je planche sur la « CORRECTION » en profondeur des 45 pages de mon tout premier roman et de la continuité rédactionnelle des pages qui devront achever cette histoire. Comme vous avez pu vous rendre compte par vous-même, j’ai cessé toute activité littéraire sur mon blog. Quant au texte, il était imparfait, incohérent par moment. Au début septembre 2010, je prévois de publier l’oeuvre intégrale sur mon propre site Internet « littéraire ». Samedi passé, j’ai sollicité l’aide d’un professionnel pour me pondre quelque chose de pertinent. Je viens d’acquérir mon propre nom de domaine ce qui me laisse à penser que je serai plus solvable que sur un blog.
Un excellent lundi de Pentecôte si vous avez congé ! En Suisse, tout est fermé. Au plaisir de vous relire. Vincent, Lausanne
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24 mai 2010 à 13h25 #116833
Huong , bonjour,
Je viens de parcourir vos réflexions concernant » l ‘adoption »
pour moi , je pense que seule les personnes qui ont été adoptées peuvent » parler de l ‘adoption » , ainsi que les familles qui ont fait cette démarche . Je souhaite que toute adoption soit réussie pleinement , et que celà soit un acte d’ amour véritable pour l ‘enfant.
bonne journée yen -
24 mai 2010 à 14h30 #116838romanhuong1970;109844 wrote:Monsieur,
-Non ! Ici, le verbe « apprivoiser » revête un caractère d’amour et de compréhension mutuelle et perpétuelle. C’est du moins le message qu’a voulu faire passer une gentille intervenante la semaine passée.
– La référence à Saint-Exupéry et à sont Petit Prince m’a fait revenir des années en arrière, à l’époque où mon instituteur de papa m’avait acheté le 33 tours. Oeuvre audio tiré du livre qui était récité par François Perrier.
-Pour la DB, j’irais faire un tour sur le moteur de recherche Google afin de trouver les références exactes. Comme je m’envole très prochainement pour « Thuan Gio » (banlieue ouvrière de Saïgon), je l’emmènerai avec moi dans mes valises.
-Pour les deux petits éthiopiens, je méconnais l’heure dramatique histoire. Merci de m’informer de vos références svp.P
OK : bien compris .
J’adore » le Petit Prince « , et même en matière d’adoption, on y trouve à réflechir sérieusement, je trouve.
Père de 4 enfants, grand-père de 5 et bientôt 6, il y a un principe intangible ( quelle que soit l’origine de vos enfants ou petits-enfants), ceux-ci ne vous appartiennent pas, ils vous sont confiés très provisoirement sur le chemin de votre existence.
Les paroles et discours ne servent à pas grand chose ; seul l’exemple que vous donnez par votre façon de vivre restera dans les mémoires de vos descendants.° Sur JuNG et ses BD : « Couleur de peau : miel « , ce lien :
jung (www.kwaidan.net): Couleur de peau : miel
° Sur ce » fait divers » jugé récemment à Nantes, cet article :
[ 2010.03.09 : Les enfants adoptés abandonnés finalement
(Ouest France)Ils venaient d’Ethiopie.
Très vite, leurs parents adoptifs s’étaient sentis dépassés. Jusqu’à l’abandon. Le couple était poursuivi, hier, à Nantes, pour soustraction à ses obligations légales.
Les mots du procureur de Nantes sonnent comme une gifle : « Ils resteront parents de ces enfants qu’ils le veulent ou non, jusqu’au bout de leur vie ». Mais ils ne veulent plus. La mère, enseignante en collège, le père, administrateur de société, refusent tout contact avec leurs deux garçons, aujourd’hui sur le banc des victimes.
Ils ont entre 12 et 13 ans. Abandonnés en Éthiopie, ils l’ont été une seconde fois par ce couple adoptif. « On a voulu créer un lien affectif, mais on a été submergés par les difficultés matérielles », explique posément la mère. Son mari : « La première semaine s’est bien passée puis les relations se sont dégradées. » Le couple décrit des enfants difficiles, violents, qui font pipi partout. « Une demi-heure avant d’aller au travail, fallait nettoyer. » La présidente s’étonne : « Vous avez voulu un enfant absolument. Cela n’a pas marché. Un peu comme dans une démarche de consommation, on rejette le produit pas conforme. »« La moins pire des solutions ! »
Les parents ressassent leurs difficultés. « Très rapidement, on a demandé un soutien psychologique pour les enfants. » Mais la musique est différente à l’école, chez l’assistante sociale, la puéricultrice… L’institutrice s’inquiète d’« une absence de tendresse des parents, d’un mode éducatif rigide ». Malgré tout, l’adoption plénière est prononcée sans réserve.
En 2003, le couple donne naissance à une petite fille. La vie de famille se complique un peu plus. « Ils dégradaient tout à la maison. » Les deux garçons sont placés. Trois mois plus tard, les parents sollicitent leur abandon. Refus. « On était au bout du rouleau. On a donné pendant quatre ans, on n’a rien reçu. C’était la moins pire des solutions ! » Ils coupent donc les ponts. « On savait qu’ils ne grandiraient pas à la maison. Pourquoi recréer un lien artificiel ? »
Depuis, ils versent 400 € pour l’éducation des enfants mais n’exercent pas leur droit de visite. C’est pour cela qu’ils sont jugés. Les enfants les écoutent, sursautent, ravalent leur colère. Le plus grand veut dire quelques mots. S’il faisait pipi, c’était parce qu’il était enfermé dans sa chambre. Le procureur tonne : « Ils se sont soustraits à leurs obligations légales. C’est inadmissible. » Il requiert un an avec sursis.
« La loi n’est pas la morale », plaide Me Boog, l’avocat des parents, qui se place sur le terrain juridique. Selon lui, les parents ont rempli leurs obligations légales, c’est-à-dire l’autorité parentale et les frais d’entretien. C’est tout. Le reste ? « Sans doute pas moral », mais pas « sanctionnable ». Relaxe, plaide-t-il. Le jugement est mis en délibéré au 29 mars. ]
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– En matière « d’adoption », tous les cas ne peuvent être qu’individuels :
donc inutile de faire des généralités.
– En matière « d’adoption internationale », le B à BA d’une procédure correcte est d’avoir à faire à des pays :
° qui ont une tenue de leur état-civil irréprochable (sinon gare au trafic des Etres Humains)
° qui commencent par faire adopter leurs enfants, pupilles de l’état, par leurs propres concitoyens .
Après- et seulement après- on peut dire ce que l’on veut !!!ps : dans la « pouponnière française » où mes enfant sont allés faire connaissance de leur petite Marie (3 mois), il y a un tas de des gamins de 4 ans et +, non adoptables légalement de par le choix de leurs parents !
Je ne me permets surtout pas de juger ni les uns ni les autres : c’est un simple constat, assez cruel . -
24 mai 2010 à 16h16 #116842
rappel :
« Approved for adoption « , sur ce lien :
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24 mai 2010 à 18h32 #116858
J’ai visualisé cette courte vidéo. Mon avis, tout simplement magnifique. Merci beaucoup
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24 mai 2010 à 18h50 #116861
Très jolie vidéo? ça m’a émue…Merci pour le lien!!
Le débat est intéressant sur l’adoption; à mettre en lien avec le déracinement… -
24 mai 2010 à 18h58 #116864robin des bois;109889 wrote:rappel :
« Approved for adoption « , sur ce lien :
et aussi l’interview de JUNG ici
Dailymotion – Approved for adoption : Identity quest – une vidéo Art et Création
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25 mai 2010 à 4h38 #116874
Il me semblait qu’i manquait quelque chose. Merci pour cet ajout Robin des Bois.
Lorsque j’aurai terminé mon bouquin, c’est-à-dire, pas avant la fin du mois d’août 2010, il est probable que je m’attarde sur mon propre parcours de vie « inachevé » ou sur quelque chose qui y ressemble mais de manière romancée. A découvrir sur mon futur site lorsque ce dernier sera accessible à tous. Pour le moment, je m’attarde sur la correction du premier chapitre des écrits en cours, cela ne s’avère pas mince affaire…
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