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Maison 2 étages VN (1 étage français)
il faut préciser la largeur de la rue ou ce trouve la maison
trong ngo rong dans une ruelle large.
Loyer mensuel 100 $ le rez-de-chaussée, 50 $ l’étage
Pour l’étage – accès indépendant, il faudra prévoir une échelle car l’ancien escalier qui empiétait illégalement sur la rue a été démoli
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DédéHeo;42548 wrote:Maison 2 étages VN (1 étage français)
il faut préciser la largeur de la rue ou ce trouve la maison
trong ngo rong dans une ruelle large.
Loyer mensuel 100 $ le rez-de-chaussée, 50 $ l’étage
Pour l’étage – accès indépendant, il faudra prévoir une échelle car l’ancien escalier qui empiétait illégalement sur la rue a été démoli
[FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]Vers un paysage débarrassé des maisons étroites [/FONT][FONT=Arial, Helvetica, sans-serif][IMG]http://lecourrier.vnagency.com.vn/uploaded/2007/12/Vietnam/Société/default/4285.402as.JPG[/IMG]
Présentes en nombre dans les nouvelles rues de Hanoi et de Hô chi Minh-Ville, les maisons étroites commencent à constituer un problème pour les autorités municipales car elles font perdre leur charme à ces 2 cités.
Certaines maisons dans les rues Dào Tân, Nguyên Trai, Kim Liên-Ô Cho Dua… (Hanoi) et Diên Biên Phu, Hoàng Hoa Tham… (Hô Chi Minh-Ville) sont larges de 8 m et profondes de 0,8 m à un mètre, a indiqué Nguyên Dinh Toàn, chef de l’Institut national d’étude en architecture. Et d’ajouter qu’il y a même des logements de moins de 15 m² dans ces nouvelles rues.
À Hanoi, suite à la mise en œuvre des projets d’élargissement et de construction des rues, sont recensés dans l’arrondissement de Dông Da un grand nombre de logements oblongs. Afin d’y remédier, plusieurs réunions entre les autorités locales et les habitants concernés ont été organisées. Cependant, les avis sont partagés.
Alors que dans les nouveaux arrondissements de Câu Giây et de Long Biên, les personnes vivant sur de petits terrains ont été expropriées. Selon un responsable de l’arrondissement de Dông Da, cette solution n’est pas envisageable dans les vieux arrondissements intra-muros (Ba Dinh, Hoàn Kiêm, Dông Da et Hai Bà Trung). En effet, le manque de terrains ne permet pas de reloger tous les habitants expropriés. Dans l’arrondissement de Ba Dinh, on compte des centaines de petites maisons, dont 121 dans la seule rue Kim Ma, une des grandes artères de la capitale. Ledit service a proposé d’exproprier les habitants de ces habitations. Dans la capitale, la situation est partout la même, il y aurait en effet des milliers de bâtiments de ce type.
Avis d’experts
Outre l’interdiction de construire des logements sur des terrains trop petits, le Service municipal d’urbanisme et d’architecture, en association avec les services concernés, a déjà mis en place plusieurs mesures : ne pas attribuer les certificats de droit d’usage du terrain et de propriété… aux constructions ne répondant pas aux normes.
« La construction d’une route nécessite d’importants capitaux qui sont majoritairement destinés à la libération des terrains. Cependant, même si les travaux de construction sont en cours, des centaines de logements aux styles architecturaux différents poussent comme des champignons », a souligné l’architecte Hoàng Dao Cung. D’après lui, au lieu de libérer des terrains selon un plan, les services concernés devraient récupérer 150 m de chaque côté de la rue afin de limiter la construction de maisons trop étroites. « Ce qui permettrait de construire une route plus large », a-t-il ajouté.
Partageant cet avis, le chef de l’Institut national d’études en architecture Nguyên Dinh Toàn a fait savoir que les grandes et belles rues faisaient parties de la physionomie de toutes les villes modernes. Et d’indiquer que « bien que les travaux d’élargissement des rues soient en cours, on voit fleurir les maisons petites et étroites avec plusieurs styles architecturaux aux bords de ces rues ». Un problème qui ne contribue « pas à embellir la ville », a-t-il souligné. Pham Sy Liêm, vice-président de l’Association vietnamienne de construction, a de son côté proposé de mettre en place une mesure : responsabiliser les autorités locales.
Le Docteur Iwata Shizuo, de la compagnie japonaise Almec, a avancé une solution qui a été mise en oeuvre avec succès dans son pays. « Les propriétaires fonciers s’associent et attribuent une part de leur terrain au projet d’élargissement ou de construction de la route. C’est l’État qui réaménage ensuite les cités urbaines à proximité de cette route et construit les infrastructures nécessaires », a-t-il affirmé.
Long Hoàng/CVN
(30/12/
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HUYARD Pierre;42612 wrote:Si le RDC fait 80 sq/m et qu’il y a 3 niveaux, j’arrive a 240 sq/m !!
Non, car il y a des tas de balcons à l’étage
c’est bien connu d’ailleurs, j’ai meme lu un article ya pas longtemps la dessus dans Vietnam News, parait meme que c’est illégal de construire des balcons qui empiètent sur la rue -
Tapioca;42641 wrote:Non, car il y a des tas de balcons à l’étage c’est bien connu d’ailleurs, j’ai meme lu un article ya pas longtemps la dessus dans Vietnam News, parait meme que c’est illégal de construire des balcons qui empiètent sur la rue
Il y a donc 60 sq/m de balcon illegalement fermes a l’etage.
Ce ne sont donc plus des balcons.
Ou, si ce sont des balcons, ce ne sont pas des metres carres habitables.
) !!!
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