Le festival de la mer à Nha Trang

merci bcp Hoang lam pour ce tuyau…malheureusement il se déroule comme tu dis mi juin, on est déjà le 06, c’est ..short quand même pour aller le voir !!, à moins de s’y trouver déjà sur place !! dommage !!

Merci pour l’info Hoang Lam..

Et y sont prévus quelques records sympas :

« Des records Guinness Vietnam seraient établis : un nem Ninh Hoà de 100 kg, le barbecue le plus grand (32 m de long), etc. « 

De quoi en nourrir des bouches…

pour plud d’infos : http://lecourrier.vnagency.com.vn/default.asp?CATEGORY_ID=16&NEWSPAPER_ID=39&TOPIC_ID=50&REPLY_ID=44217

quel gâchis.

L’actuel record va être pulvérisé : un Nem Chua de Can Tho d’environ 80 kg…:bigsmile::maiscnulca:

Haha!

Je vais me remettre au cháo cá et au mì gói, reprendre du sữa dans mon cà phê đá, arrêter de travailler dur et relever le défi!

[FONT=Arial, Helvetica, sans-serif] Beaux-arts : Nguyên Liêu, le pinceau de l’artiste pour préserver la nature

[/FONT] [FONT=Arial, Helvetica, sans-serif] [IMG]http://lecourrier.vnagency.com.vn/uploaded/2007/07/Vietnam/Culture/default/4136.g01as.JPG[/IMG]

La galerie Dewi – l’un des rares lieux de promotion des beaux-arts du Centre du Vietnam – présente dans le cadre du Festival de la mer de Nha Trang, la dernière série à l’huile du peintre Nguyên Liêu. Un artiste talentueux et engagé pleinement pour la préservation de l’environnement.
Cette année, le Festival de la mer qui s’est déroulé à Nha Trang a été un véritable succès sur le plan touristique et culturel. En quelques jours, la population touristique a quasiment doublé. [/FONT]
[FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]Envoyée en reportage dans le cadre du Festival, j’ai eu le bonheur de découvrir un grand peintre de Nha Trang, Nguyên Liêu. En effet, la Galerie d’art Dewi (Dewi est le nom d’une grande Déesse Cham – épouse de Shiva) a organisé dans le cadre du Festival de la mer, une soirée de vernissage pour présenter les œuvres du peintre Nguyên Liêu, expressionniste vietnamien dont les œuvres sont consacrées à la lutte pour la préservation de la nature. L’artiste rend hommage à la mer et à la femme, 2 symboles exprimant l’un comme l’autre la matrice de l’humanité – mère ou mer nourricière…

[/FONT] [FONT=Arial, Helvetica, sans-serif] Un monde énigmatique
L’expressionnisme frappe avant tout votre regard, avec l’omniprésence dans chaque tableau d’un portrait d’une vieille femme triste, à la limite de l’angoisse – sans doute la mère de l’artiste – comme un cliché aux couleurs passées, gravé au fond de la mémoire. Un monde énigmatique, codé, s’offre à vos yeux ; il va falloir décrypter, pour en percer le secret. L’énigme continue avec les images d’une réalité volontairement déformée. « On a l’impression de voir dans chaque tableau, un, 2, voire plusieurs tableaux se superpose », remarque un artiste venu de France à l’occasion du festival.[/FONT]
[FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]En effet, des paysages marins, des bandes de poissons, des plages de cocotiers, des personnages toujours incarnés par des femmes s’entremêlent comme dans un cauchemar ou un rêve. « Le monde est ainsi fait, rêve ou cauchemar, le choix nous appartient… « , déclare Nguyên Liêu.

[/FONT] [FONT=Arial, Helvetica, sans-serif] Le cri du peintre pour préserver notre veille terre
L’oeuvre de Nguyên Liêu vous dérange au plus profond de vous-même. Elle réveille votre conscience. Une pensée d’un poète français, St Exupéry, me revient à l’esprit : « L’essentiel n’est pas visible aux yeux ». Nguyên Liêu s’affirme comme un peintre engagé. Ses oeuvres véhiculent un message universel à tous les hommes d’aujourd’hui. Le combat pour la préservation de notre veille terre, si généreuse, si belle, pour peu que l’homme se soucie de préserver son environnement. [/FONT]
[FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]À 55 ans, Nguyên Liêu donne une dimension particulière à sa passion qu’il voue à l’art depuis plus de 20 ans ; son pinceau lui sert souvent pour exprimer le « cri du peintre » dans son désespoir, face à la destruction progressive de la planète. Pour l’artiste, il y a urgence ![/FONT]
[FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]Une peinture aux traits acérés, des personnages au teint livide, des femmes assises devant un étal de maigres poissons… Ces images nous rappellent que l’époque de la guerre et de la disette n’est pas si loin. La lutte pour la préservation de notre environnement et de notre espace de vie, mille fois meurtri par les guerres et les destructions étrangères, ne doit pas occulter les sacrifices de nos aînés. C’est aussi cela le message de Nguyên Liêu. « En voulant préserver l’environnement, Mai Lan – directrice de la galerie Dewi – cite le professeur Albert Jacquard, l’homme ne signe pas seulement un contrat avec la nature ; c’est un contrat entre l’homme et l’homme. » [/FONT]
[FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]Après le choc, la remise en cause, la révolte, votre esprit subitement s’apaise, vous avez pénétré son message ; celui-ci vous invite, à présent, à l’espoir. L’intensité expressive et l’angoisse s’estompent peu à peu ; les aplats de couleurs fraîches et harmonieuses rassurent votre regard. Le reflet des couleurs lumineuses, l’épaisseur des matières travaillées « à bras le corps » invitent votre regard à entrer au plus profond de la toile. La magie s’est opérée, vos yeux ne se lassent pas, vous êtes initiés. L’envoûtement est à son comble.
L’harmonie des couleurs et de la composition de l’oeuvre est un régal pour vos yeux. Ses images, empruntes de nostalgie, ouvrent votre conscience et vous interpellent pour sauvegarder notre veille terre. Gageons que l’appel de Nguyên Liêu soit entendu.[/FONT]
[FONT=Arial, Helvetica, sans-serif] Exposition « Mer 80 Carr  » par l’artiste Nguyên Liêu – jusqu’au 14 juillet 2007.[/FONT]
[FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]Galerie Dewi : 3, rue Nguyên Chanh, Nha Trang – Ouvert 7/7j – exposition permanente des artistes du Centre du Vietnam.[/FONT]
[FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]Contact : Mai Lan – Tél : (00-84) 058 25 45 29 ; Portable : (00-84) 918 45 69 28[/FONT]
[FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]Email: [email protected] [/FONT]

[FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]Source : Mai Tâm/Courrier du Vietnam
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