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Salut Thuong,
Je me suis renseigné auprès de mes amis d’ici, ils ont eu des problèmes avec les graines de Bi Dao, elles proviennent des fruits de plantes hybrides.
Un producteur a fait venir directement des plantes du Vietnam.30 mars 2014 à 20h10 en réponse à : "né sous Z…" reportage sur les enfants "métis" de la guerre d’Indochine #158295Non il n’y avait pas de loi pour les enfants à l’admission de l’école d’enfant de troupe de Dalat,c’était une école militaire. La plupart était placé par leur mère qui se retrouvait seule et sans ressources, pour d’autres c’était les parents.
La majorité de ces enfants étaient des orphelins, les plus jeunes avaient 8ans.30 mars 2014 à 8h56 en réponse à : "né sous Z…" reportage sur les enfants "métis" de la guerre d’Indochine #158292Je suis eurasien né en Indochine et enfant de troupe eurasien de Dalat, je connais bien le problème.
Je ne veux plus étendre cette polémique.30 mars 2014 à 6h51 en réponse à : "né sous Z…" reportage sur les enfants "métis" de la guerre d’Indochine #158598Bonjour,
Je suis désolé pour vous, dans la séquence où Robert retrouve ses amis pour la réunion annuelle, voici le dialogue :
Robert : …On avait tout ce qu’un enfant pouvait avoir sauf….l’affection
1er intervenant : ..Ils nous ont quand même…comment dire .. bon y en a qui sont devenus voyous partout mais on est quand même resté dans le droit chemin, y en a qui ont mal tourné.2ème intervenant : La fédération avant 44..la majorité a mal tourné, c’étaient des mercenaires, beaucoup de barbouzes, ils sont rentrés dans les enfants de troupe pour l’appât du gain et comme ils n’ont pas de métier, ils sont engagés pour avoir des primes er là ils sont morts.
Comment faut-il comprendre cette conversation ???29 mars 2014 à 8h10 en réponse à : "né sous Z…" reportage sur les enfants "métis" de la guerre d’Indochine #158738Bonjour,
Ce film ne mérite pas la diffusion à la TV, tout est flou, on ne mélange pas le parcours des enfants de la FOEFI avec les enfants de troupe de Dalat.
Les enfants de troupe ne sont pas des mercenaires, ni barbouzes, ce n’est pas non plus l’appât du gain ni les primes qui font de nous des militaires au service de la France ( Indochine, Algérie, etc..) dont certains sont morts pou défendre la patrie !!
Honte à ne réalisation de ce genre !![h=1]A méditer ….
Français, soldat, résistant mais toujours « niah-koué »[/h]
Publié le lundi 07 janvier 2013 à 15H37
À 95 ans, Kiem Van Pham se sent une nouvelle fois humilié par l’administration
Cet ancien tirailleur indochinois de 95 ans vit comme une terrible humiliation le refus de visa de court séjour adressé à sa petite-nièce qui souhaitait assister à l’ouverture de l’année Capitale.
Photo La ProvenceNon, Kiem Van Pham ne jettera pas son passeport français au visage de ses compatriotes. Pour la France, cet ancien tirailleur indochinois a toujours donné sans compter. Mais cet homme de 95 ans vit comme une terrible humiliation le refus… minable que vient de lui opposer le pays pour lequel il s’est tant battu.
« Pour la dernière fois peut-être, mon père voulait voir sa petite-nièce, Minh, sa dernière parente au Vietnam. Trop fatigué pour faire le voyage, il l’avait invitée à Marseille, pour l’ouverture de l’année capitale de la Culture », explique son fils, Yves. Mais les assurances apportées par les Van Pham sur les conditions du séjour de Minh, qui a économisé sou par sou pour ce voyage en France, n’ont pas suffi : le visa de court séjour a été refusé par le consulat de France à Ho-Chi-Minh-Ville. Qui craint sans doute que la jeune femme ne reparte plus au Vietnam.
Engagé volontaire à 20 ans
« Mon père a beau être Français, il reste un niah-koué pour l’administration… », en conclut durement Yves, qui nous conte l’histoire, triste et belle, du soldat Kiem Van Pham. Ce parcours, qui a été retracé dans un livre et dans un film (*), fera sans doute écho dans de nombreuses familles d’origine indochinoise. Né dans le Annam en 1918 (ou en 1919 : l’administration coloniale ne se souciait guère de ce genre de détail), Kiem a 20 ans quand il s’engage en 1939 dans l’armée française, comme le feront 20 000 jeunes Indochinois.
Cinq semaines de voyage dans la cale d’un bateau plus tard, il débarque à Marseille, avant d’être acheminé en Normandie sur la ligne de front. Où il est fait prisonnier. Suivront trois années de stalag en Allemagne et en France, des camps « réservés aux Indigènes », où les conditions de détention sont particulièrement difficiles. « Transféré à Saint-Dizier, mon père a réussi à s’évader, poursuit Yves, Il a rejoint un réseau FFI et s’est engagé activement dans la Résistance 7 mois durant. »
En septembre 1944, Kiem demande à être réintégré dans l’armée. Au sein de la 10e division d’infanterie, il participe à la libération de Colmar et de Mulhouse, puis prend part à l’occupation de L’Allemagne dans la région de Coblence.
Deux fois Français…
Kiem, devenu sergent, refusa de retourner se battre contre les siens, en Indochine. Il est démobilisé en 1946. À l’époque, ses papiers portent la mention « Français d’origine indigène ». « Mais en 1958, lorsqu’il voulut faire renouveler sa carte d’identité, on lui notifia qu’il était désormais un étranger ! », raconte son fils. Contraint de quémander la naturalisation, Kiem dut attendre six ans que ses démarches aboutissent, « pendant toutes ces années, il continua de voter à chaque scrutin, puisqu’il avait refusé de rendre sa carte d’électeur! »
En 1964, la nationalité française lui est enfin à nouveau accordée… ainsi qu’à ses trois enfants, pourtant tous Français nés en France de mère jurassienne !
« Ce manque de reconnaissance de la France fut une mortification. C’est pourquoi, aujourd’hui, ce refus de visa lui fait revivre très douloureusement cette humiliation », dit son fils. Cadre territorial à Marseille, Yves Van Pham se refuse à faire jouer ses relations pour faire venir en France sa petite-cousine. « Le piston, le clientélisme, ce n’est pas digne de mon père. »
Kiem Van Pham ne jettera pas son passeport et une nationalité française si durement acquise. Mais son fils vient d’écrire au Président François Hollande pour lui conter cette histoire. Dans sa lettre, il joindra les insignes de l’Ordre du Mérite qui lui ont été remis il y a quelques années. À la nation, la famille Van Pham ne demandait pas tant…
(*) « Kiem Pham Van, l’évadé des Annexes » de Guy Scaggion et « Oubliés et trahis », un film de Violaine Dejoie-Robin et Armelle Mabon sur les prisonniers indigènes durant la Seconde Guerre mondiale.Sophie MANELLI
J’ai assisté à la projection du film « Công Binh » en avant première à Sainte livrade sur Lot le 13 Janvier 2013 en présence du réalisateur Lam Lê et 2 des enfants des travailleurs indochinois.
La sortie nationale est prévue le 30 Janvier 2013. Film à voir absolument, diffusé seulement dans les salles d’art et essais. Quand à la sortie en DVD, comme c’est une production indépendante, ce sera difficile car les coûts sont très élevés au dire du cinéaste.Merci
Amicalement. FrédéricBonjour Kitty,
Quel est ton nom de famille ? Au camp de Sainte Livrade ( Lot & Garonne ) il y avait La famille Ribeiro & Lobato de Faria, peut-être d’autres familles indo-portugaises …9 août 2012 à 13h11 en réponse à : premier grand rassemblement national des métis franco-viêtnamiens le 14 Aôut 2012 au CAFI #150593Salut Thuong,
Pour les recueils de poèmes de Xuan quynh , c’est bon pour la mise en vente au CAFI, je m’en charge.
Bises à Simone & à toiSuperbe photo ! Thuong est repartie chez lui ce matin. Au fait les photos de l’école qu’il t’a envoyées sont de nouvelles constructions érigées sur le plateau et autour de l’ancien stade.
les viets du Nord ne prononcent pas le R, et Mangin = mang zin, etc…Bonjour les internautes,
Merci pour tous les renseignements et les photos. Effectivement les photos de Thuong 19 confirment que la piscine et le stade sont maintenus rasés.
Albert comment vas-tu?
Thuong 19 est chez moi en ce moment, c’est un ami.Bonjour,
Merci pour la réponse.
une précision :
Le stade mangin se trouve à côté du tour du drapeau, à l’angle de l’avenue qui va vers l’ancien lycée albert sarraut et le grand lac.
amicalement. -
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