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@yen 133126 wrote:
Coucou Agemon,
Merci , pour toutes ces infos.
PRENDS TON TEMPS, lorsque tu es sur le post. Je viens de commander , le livre sur la renovations des quartiers de Hué.
Je t’ avais posé une question concernant l ‘ origine des enfants scolarisés au collége Pellerin, si tu peux me répondre, merci!
Bonne journée yenHello yen !
Suite de mon raisonnement, lire cet article ou le lien :
Hommage au défunt fondateur de la Mission catholique vietnamienne à Paris
Un parcours exceptionnel
ROME, Mardi 15 février 2011 (ZENIT.org) – Une assemblée émue a participé aux obsèques du fondateur de la Mission catholique vietnamienne à Paris, rapporte aujourd’hui « Eglises d’Asie » (EDA), l’agence des Missions étrangères de Paris. Il avait reçu le baptême à 16 ans, ce qui lui avait valu l’opposition des siens.
Le 23 décembre dernier, de nombreux Vietnamiens d’une certaine génération, étudiants à Paris dans les années 1950 et 1960, ou membres de la communauté catholique à cette même époque, sont venus à la chapelle de la Mission vietnamienne de la rue des Epinettes pour participer aux obsèques du P. François-Xavier Trân Thanh Fian. Celui-ci fut l’aumônier des étudiants vietnamiens de Paris, le fondateur et longtemps l’animateur de la Mission catholique vietnamienne. Ce fut une figure attachante, bien connue dans les milieux vietnamiens de la capitale.
Le P. Gian s’est éteint très discrètement, le 18 décembre 2010, à la villa Marie-Thérèse, maison de retraite des prêtres de la région parisienne où il s’était retiré il y a quelque trois ans. Il avait 96 ans. La cérémonie des obsèques était présidée par Mgr Xavier Rambaud, représentant de l’archevêque de Paris. Concélébraient avec lui Mgr Joseph Mai Duc Vinh, actuel recteur de la Mission catholique vietnamienne, le P. Jean-Baptiste Etcharren, ancien supérieur des Missions étrangères de Paris, et de nombreux prêtres vietnamiens.
François-Xavier Trân Thanh Gian est né en 1914 dans la province de Quang Binh, au Centre-Vietnam. Il a vécu ses premières années dans l’ambiance confucéenne stricte d’une famille de cinq enfants dont il était l’aîné. Voulant le faire bénéficier d’une éducation de qualité, ses parents le placèrent, après ses études primaires, à l’école Pèllerin de Huê, tenue par les Frères des Ecoles chrétiennes. C’est là qu’il découvrit le christianisme. Lorsqu’il fit part à sa famille de son attirance pour le catholicisme, son père s’alarma de cette évolution, craignant surtout qu’il ne devienne religieux, délaissant ainsi son rôle de continuateur du culte familial des ancêtres. Pour le soustraire à cette influence, il le ramena à la maison.
Après quelques tentatives avortées, le jeune garçon s’échappa de la demeure familiale pour se réfugier dans une maison de repos des Frères des écoles chrétiennes au pied du Col des nuages. C’est à cet endroit qu’à l’âge de 16 ans, il reçut le baptême. De retour à la maison, il continua les études sous la surveillance vigilante de son père. Cependant, en 1930, celui-ci s’inclina devant la persévérance de son fils et le laissa entrer au séminaire de An Ninh. Le jeune homme termina ses études secondaires avant d’entamer ses études de théologie. En 1941, il était ordonné prêtre dans l’église de Phuc Am. Ses parents et toute sa famille étaient autour de lui et le ramènent au village natal pour un grand banquet où tout le voisinage fut invité.La suite ici éventuellement : ZENIT – Hommage au défunt fondateur de la Mission catholique vietnamienne à Paris
Si j’oublie quelques choses, il faut me relancer parce que je ne me rappelle plus de ce j’avais fait la veille.
Pour Info hors sujet :
Je viens de recevoir une carte des anciens de Dalat suite à leur réunion annuelle en Ardèches.
Je vais telephoner voir si Bertin y était.[IMG]http://img.over-blog.com/300×224/3/56/53/76/Voyages/Vogue-avril-2010-034.JPG[/IMG]
C’est le domaine où nous allons.[IMG]http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcSqUaxN-_bJucBdsN8HKuiVGZx9hx7MT_f3CxQHCiqFEf9liMw9[/IMG]
En contre bas@stephaneSaigon 133059 wrote:
Bonjour, Monsieur Agemon
On va finir par le savoir, et vous aboyez pas mal d’ailleurs !!
enfin faut lui en vouloir a l’Agemon c’est un peu le
le http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcTcCt_jFR16oTAWw4yEoPKPWl8rbVyn9FhFsnWRUpaUaJbacoVc
de FVCOOL MAN !!! moi qui me disait plus on devient vieux, plus on s’assagit, je
commence a voir des doutes.:jap:
Cela fait le malin et cela ne comprends même pas le sens du proverbe.
Et cela dit être breveté ! Pauvre France !
Eh oui ! Il y a des vieux cons & des jeunes cons ………. rien de spécial, c’est comme partout.
Mais je me suis aperçu trop tard que j’ai perdu du temps à discuter avec des musclés brevetés.
J’arrête là de participer mais je vais seulement suivre vos discussions …..disons très intellectuelles !!! Ha ! ha ! ha ! loooooool !@yen 133184 wrote:
Agemon , bonsoir,
Merci pour toutes ces infos. Concernant la mise de tes photos , pourrais tu me dire vers quelle date a été prise la derniere photo ( le groupe de jeunes enfants avec les deux eclesiastiques au grand col blanc) Merci et tres bonne soirée. yenTu sais que j’ai des problèmes de mémoire mais de plus je suis assez têtu, depuis que tu m’as demandé, je cherche mais je n’ai pas trouvé l’année spécialement sur cette photo mais je pense que c’était vers les années 50 ( Une photo accolée faisait mention 1953)
Ici les adresses des photos :Secundo : Un peu vers le bas de la page. C’est un forum viet …ne fais pas gaffe aux autres photos
[HUE city] 1945-1995 – Page 15 – SkyscraperCity
Sur le premier site cela parle des frères Minh Alban, Valéry, Fortuna, Désir etc.. ( je n’ai rien compris)
Texte traduit par Google :
Alban Frere Pellerin très nombreux élèves connaissaient dans leur cours des 50 dernières années de l’enseignement, la frere sports gens s’inquiètent pour son élection à l’école et est célèbre pour les affaires du football au basket ou de volley-ball’s Express (selon les termes frere Désir ou frere Valery Un dépouillement judiciaire, frere frere Fortunat Phong An et aussi un élève de frere Alban).
J’ai trouvé un site qui donne beaucoup, beaucoup des photos de l’ancien Huê & du Viêt Nam mais je te les donnerai après pour ne pas mélanger les pédales.
Je perds beaucoup de temps car en cherchant, c’est tellement prenant & intéressant que je reste une demi-journée sur le même endroit et je ne sais plus après ce que je faisais là. Entre-temps le temps passe !!!!Regarde ici des photos superbes de Huê : Attendre un peu le téléchargement pour pouvoir les voir ..
Truong Tien bridge | Hue, Vietnam – SkyscraperCityA plus !!!!
Hallo yen !
Je trouve toujours des choses mais c’est en majorité en vietnamien.
J’ai des notions de beaucoup de langues mais seulement qu’en surface. Le vietnamien pour moi c’est aussi la galère. Bref bavardage.Les écoles des Frères se nomment toutes d’après ce que j’ai compris LASAN et puis dans chaque ville les frères donnent un nom. Huê c’est Pellerin, Saigon c’est Taberd ensuite Adran, St Joseph pour les autres etc… Ces écoles en principe, ne sont pas réservé spéciquement pour une catégorie de gens (pour une population bien déterminée) mais comme tu le sais à l’époque, il n’y avait que les enfants fils des gens aisés – fils à papa …si possible planteur d’hévéa etc.., hauts fonctionnaires, mandarins etc – ou français qui ne pouvaient seulement les fréquenter ces écoles catholiques. ( de plus ils étaient méchants les frangins, j’ai été à Taberg à Saigon ds les années 448/49 – sais plus et je suis d’ailleurs tj.aussi nul ).
La preuve est que la majorité des anciens sont des intellectuels ou ont occupé des postes de hautes fonctions ( enfin, d’après ce que je crois – que mon avis)
Site des anciens des écoles Lasan – langue viet ………..Lasan est-il un Saint ?
GO ! provisoirement avant que mon texte se volatilise.
Anecdote :
Hommage au défunt fondateur de la Mission catholique vietnamienne à Paris
Un parcours exceptionnelROME, Mardi 15 février 2011 (ZENIT.org) – Une assemblée émue a participé aux obsèques du fondateur de la Mission catholique vietnamienne à Paris, rapporte aujourd’hui « Eglises d’Asie » (EDA), l’agence des Missions étrangères de Paris. Il avait reçu le baptême à 16 ans, ce qui lui avait valu l’opposition des siens.
Le 23 décembre dernier, de nombreux Vietnamiens d’une certaine génération, étudiants à Paris dans les années 1950 et 1960, ou membres de la communauté catholique à cette même époque, sont venus à la chapelle de la Mission vietnamienne de la rue des Epinettes pour participer aux obsèques du P. François-Xavier Trân Thanh Fian. Celui-ci fut l’aumônier des étudiants vietnamiens de Paris, le fondateur et longtemps l’animateur de la Mission catholique vietnamienne. Ce fut une figure attachante, bien connue dans les milieux vietnamiens de la capitale.
Le P. Gian s’est éteint très discrètement, le 18 décembre 2010, à la villa Marie-Thérèse, maison de retraite des prêtres de la région parisienne où il s’était retiré il y a quelque trois ans. Il avait 96 ans. La cérémonie des obsèques était présidée par Mgr Xavier Rambaud, représentant de l’archevêque de Paris. Concélébraient avec lui Mgr Joseph Mai Duc Vinh, actuel recteur de la Mission catholique vietnamienne, le P. Jean-Baptiste Etcharren, ancien supérieur des Missions étrangères de Paris, et de nombreux prêtres vietnamiens.
François-Xavier Trân Thanh Gian est né en 1914 dans la province de Quang Binh, au Centre-Vietnam. Il a vécu ses premières années dans l’ambiance confucéenne stricte d’une famille de cinq enfants dont il était l’aîné. Voulant le faire bénéficier d’une éducation de qualité, ses parents le placèrent, après ses études primaires, à l’école Pèlerin de Huê, tenue par les Frères des Ecoles chrétiennes. C’est là qu’il découvrit le christianisme. Lorsqu’il fit part à sa famille de son attirance pour le catholicisme, son père s’alarma de cette évolution, craignant surtout qu’il ne devienne religieux, délaissant ainsi son rôle de continuateur du culte familial des ancêtres. Pour le soustraire à cette influence, il le ramena à la maison.
Après quelques tentatives avortées, le jeune garçon s’échappa de la demeure familiale pour se réfugier dans une maison de repos des Frères des écoles chrétiennes au pied du Col des nuages. C’est à cet endroit qu’à l’âge de 16 ans, il reçut le baptême. De retour à la maison, il continua les études sous la surveillance vigilante de son père. Cependant, en 1930, celui-ci s’inclina devant la persévérance de son fils et le laissa entrer au séminaire de An Ninh. Le jeune homme termina ses études secondaires avant d’entamer ses études de théologie. En 1941, il était ordonné prêtre dans l’église de Phuc Am. Ses parents et toute sa famille étaient autour de lui et le ramènent au village natal pour un grand banquet où tout le voisinage fut invité.
Le jeune prêtre, après avoir passé son baccalauréat, enseignera un temps au collège de la Providence, établissement fondé par les Missions étrangères à Huê. Puis, en 1945, il sera chargé du ministère paroissial aux alentours de Huê où les forces vietminh étaient déjà présentes. Il est à Dalat en 1949 lorsque son évêque l’envoie en France avec pour mission d’y poursuivre des études de mathématiques en vue d’un futur enseignement, sans doute au collège de la Providence. Il a alors 36 ans. En France, il obtiendra rapidement une licence de mathématiques, mais sera détourné de la préparation d’un doctorat par les urgences de la pastorale dans la diaspora vietnamienne de Paris. Il exerce alors son activité parmi les étudiants déjà nombreux, pour qui il organise des camps d’été chaque année. Il se soucie également de l’ensemble de la communauté catholique vietnamienne pour qui il va créer des lieux de rassemblement sociaux et cultuels. C’est lui qui, peu à peu développe, ce que l’on appelle « la Mission vietnamienne ». Cette dernière est d’abord située rue de l’Observatoire. Il va l’aménager, lui donner une nouvelle chapelle de style traditionnel dans la propriété des sœurs visitandines, rue Boissonade. Il est nommé officiellement aumônier de la communauté vietnamienne en 1955 et va le rester jusqu’en 1971. Il y fait preuve d’une activité débordante et multiplie les initiatives concernant la communauté vietnamienne.
La retraite n’arrêtera pas ses activités pastorales et sociales. A l’époque de la grande vague des boat-people, il participe activement à l’assistance sociale dont les réfugiés vietnamiens ont un besoin urgent. Il collabore également à l’œuvre des « villages vietnamiens », qui, au Vietnam, recueillent et élèvent de jeunes orphelins. Un peu plus tard, avec l’aide de quelques laïcs vietnamiens, il fonde une revue de langue française Droits de l’homme (Nhân Quyên), qui couvre l’actualité sociale, politique et religieuse des trois pays de l’ancienne Indochine : Vietnam, Cambodge, Laos. Ce sera là son dernier labeur d’importance. En juin 2008, il se retirera définitivement à la maison de retraite Marie-Thérèse, où, selon les témoins de ces derniers moments, il attendra la mort avec discrétion et bonne humeur (1).
(1) Une partie de ces renseignements sont tirés d’un article en vietnamien paru dans la revue de la Mission catholique vietnamienne, rédigé par Mgr Joseph Mai Duc Ninh.
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@yen 133017 wrote:
J ‘ oubliais , veux tu bien m ‘ excuser , pour t’ avoir appeler tonton, dans mon esprit c’ était :oncle comme tonton Bertin!
Bonne journée yenHello !
Cela ne me dérange pas d’être appelé tonton (c’est même très » zentil « ) mais j’ai un peu peur de me sentir déja comme un vieillard surtout depuis que le toubib me défend de ne plus pratiquer les arts martiaux à cause de mon anévrisme.
Je ne suis que le frère de Bertin ( dans le sens que tu le sais et même le petit. Il est mon ancien) . Je ne suis pas dans mon assiette ces derniers temps (comme d’habitude). Cela fait deux fois que je t’ai préparée un long message sur Huê et par deux fois j’ai fait une fausse manipulation et tout s’est volatisé.
Ma femme m’appelle toujours pour voir les infos !!!!En vitesse deux mots que je vais poster tout de suite.
Le vieux quartier français s’est concentré dans l’ancienne capitale Impériale le long de la rue Jules Ferry ( dont Luc est l’arrière du petit neveu). Cette rue est l’actuelle rue Le Loi.
Le collège Pellerin a été crée en 1904 par des frères. Il se situe au n°1 de la rue J.Ferry , il est devenu maintenant l’école du parti (PCVN).
Les frères ont construit les école sous le même modèle, les photos sont toutes les mêmes.
L’école des frères de Taberg à Saigon est comme celle de Huê ou de Soctrang etc..Le Trésor public se trouvait également dans la même rue J.Ferry. Il me semble qi’il est devenu une banque de l’Etat. Je suis allé en 1998 mais comme il y avait trop de monde, j’ai préféré effectuer la transaction de changes au marché auprès d’un commerçant Ấn Độ (India).
J’ai trouvé un site mais seulement en viet qui donne tous les renseignements sur toutes les rues de Huê mais je n’ai pas maintenant le temps de l’exploiter.Si tu as le temps jette un oeil ici books google.com
ou La Résidence Huê.com ( il faut ouvrir le pdf pour le voir ou l’enregistrer si tu veux le conserver)
La rivière des parfums
Pagode de la Dame célesteA plus ………..@yen 132919 wrote:
Tonton Agemon, merci pour ces photos , elles sint magnifiques. Aurais-tu dans tes archives , une photo concernant le collége Pellerin , le trésor public institution ou couvent de la miséricorde. Merci , si tu peux.
Bonne journée yenNe m’appelle pas ton tonton STP Yen !
J’ai trouvé ton collège ( il n’a plus le même nom … je crois) mais il se fait tard, je te mets seulement que deux photos et un poème de Lamatine que j’ai pioché sur le site des anciens.
Il faut me rappeler si j’oublie demain car j’ai très peu de souvenir.Je n’ai pas pu redimensionner les photos car je les ai mises directement à partir du site avec les adresses url. Désolé, je vais faire autrement la prochaine fois.
Đây là một đoạn của bài thõ L’isolement » của Lamartine mà tôi còn nhớ:
Voici un extrait du poème L’Isolement « de Lamartine que je me souviens:
Souvent, sur la montagne, à l’ombre du vieux chêne,
Au coucher du soleil, tristement je m’assieds.
Je promène au hasard mes regards sur la plaine,
Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
Ici gronde le fleuve aux vagues écumantes.
Il serpente et s’enfonce dans le lointain obscur.
Là le lac immobile étend ses eaux dormantes,
Où l’étoile du soir se lève dans l’azur.
Và đây là một bài hát ngắn nghe êm đềm như nột bài hát ru em:
Que des baratins puis …. Une douce berceuse.
Le ruiseau dans la plaine
Murmure bien faiblement
L’oiseau sur le grand chêne
Chante bien doucement
Bonsoir! Bonsoir!
Petit enfant, bon soir
Bonsoir! Bonsoir!
Petit enfant, bonsoir.Les chansons sur le site sont magnifiques !
Elles sont de … Quang Linh et de Vân KhânhActuellement j’écoute : Retourner à Huê au printemps.
( Vê Huê, Chieu Xuân par Quang Linh)A demain !
Hello man, I am a bronzed !
Mi pas obligé aimé li blan, pas b’soin forsé mi. Li blan pas aimé non plus li kaf.
I call white because they call me black
Mi oubli pas sa !
http://www.youtube.com/watch?v=0u5zsGkcIlE&feature=fvsr
Mi aimé liberté
Les chiens aboient, la caravanne passe.
Fini li temps de :
li kaf ont ossi la parol !
Fé pas chié li blan !
5 juin 2011 à 17h33 en réponse à : L’inflation galopante, l’évolution des salaires et le pouvoir d’achat au Vietnam #137172@robin des bois 132870 wrote:
Bonjour Agemon
Ce n’est pas totalement « faux », je trouve, surtout lorsque l’on se rapporte uniquement à la valeur d’une monnaie en soi .
En soi , une » monnaie » est un support d’échange , et n’a d’intérêt que comme moyen technique pour faciliter et régler le troc et/ou le négoce : logiquement il doit circuler .
Quelqu’un qui ne fait qu’amasser ferait aussi bien, sinon mieux, en stockant de l’or ou des pierres précieuses !
Bonsoir RDB !
Ouh la la ! Ouh là là ! Houlala ! C’est trop fort pour moi tout cela …
Un pays déficitaire est mieux qu’un pays excédentaire ? Plus on a un trou béant dans le budget, plus c’est mieux. Comment cela se fait-il que je ne le savais pas ?
En attendant en France on ramasse rien, nous faisons qu’ emprunter pour payer nos fonctionnaires et re-donner aux autres pays ( je n’ose les citer, c’est dans les journeaux – on donne même aux insurgés, bourreaux des infirmières bulgares) mais ce qui est, j’en suis sûr, nous amassons que des ordures à la place de l’or.
Je suis également très attaché à Huê. Peut-être par son histoire, ou son côté culturel, je n’en sais rien peut-être aussi par l’accent particulier du Centre & pourquoi pas son « BÚN BÒ HUẾ » ? Il parait, c’est au Centre que se trouve les plus belles filles du Viêt Nam.
Je ne voudrait pas créer des polémiques mais ce n’est pas moi qui le dit, sont les spécialistes qui le disent parait-il ! ………Moi, ce n’est pas compliqué, elles sont toutes belles les filles de mon pays natal. ……. & surtout celles de Huê. lol !
Je m’énerve souvent à Huê car on ne trouve pas le Bún bò Hué dans la journée que le matin (moi qui se levait qu’à 9 h du matin).
Comme tu as l’air d’aimer les photos de Huê ma chère cousine, voici quelques rares photos de ….. ( surtout de la mère de l’oncle, elles sont vraiment rares. J’y tiens ici à dire un Grand Merci à Emeric Bensaci pour ses photos car les miennes ont fait tild avec mon ancien, ancien & vieux computer, j’avais oublié de faire des sauvegardes.
Je ne puis redimensionner des photos car je n’ai pas telecharge les photos, elles sont mises directement à partir de l’Url sur le forum.Porte de la cité :
Des rares photos de la maison de la mère de notre oncle HCM :
Metier de tissage de sa mère :
Pont menant à l’île
Petit autel
une rue de Huê
les canaux
Mon plat préféré : Mùi vị ẩm thực – Ngọt ngào bún bò HuếQuand je vous dis qu’elles sont les plus belles du pays !
5 juin 2011 à 0h55 en réponse à : L’inflation galopante, l’évolution des salaires et le pouvoir d’achat au Vietnam #137114Cela me fait penser au gars avec qui je discutais un jour sur l’économie mondiale.
Ce gars voulait me convaincre à tout prix qu’il n’est pas bon pour le pays qui a trop d’excédents dans les échanges commerciaux.
La France est nettement la meilleure en Europe (bien sûr comme toujours – cocorico !) parce qu’elle est toujours déficitaire. C’est parait-il un très bon point.
Heureusement que j’étais assis. J’ai arrêté nette la discussion car il était trop fort pour moi en économie et que …………. je perdrais mon temps, moi pauvre mec qui n’a jamais rien compris.
Il est évident que, moins qu’on vend, plus qu’on est meilleur. Comment cela fait-il que je n’ai pas compris ?
De toute façon en France, on ne peut rien vendre, puisqu’on ne fabrique plus rien ……..
Et que le mot CON, c’est un compliment.
Oui, oui c’est un compliment ………….. puisque pour flatter le gars, on dit :
T’es pas con dit, tu as compris si vite ?
Ou bien :
T’es pas con dit, tu as tous ces diplômes ?
Il faut bien rire de temps en temps !!!!
Un petit coucou à l’attention de mes cousins » yen » et xim.
***********************Hue : histoire, situation économique et géographique de la ville
La cité impériale est au centre du Viêt Nam. Hué est située sur le 17e parallèle. La rivière aux parfums traverse la ville. À quelques encablures de la capitale actuelle Hanoï, Hué est une ville attachante, provinciale, malgré son prestigieux passé. C’est une étape incontournable pour le visiteur. Les archéologues mettent à jour, régulièrement des traces de la civilisation
Cham.
La cite impériale de Hué : une ville bourgeoise qui avec son palais impérial, sa rivière aux parfums, ses temples et son marché permet aux visiteurs de faire un pas en arrière dans l’histoire du Viêt Nam.
Par Monique ( Cliquez sur son pour connaître l’auteure )Les débuts de Hué au Viêt Nam
Au XVIe siècle, Hué est la capitale de la dynastie des Nguyen, la dynastie du sud. Elle sera capitale de tout le Viêt Nam en 1802. Hué devient, au fil des ans, la ville des élites, des arts, du raffinement.
Son dernier empereur, Bao Dai, abdiquera en 1945.La fin
Hué perd son statut de ville impériale, mais restera une ville intellectuelle et artistique jusqu’en 1968.
Note de Albert : J’ai effacé une ligne intentionnellement –
Hué, ville touristique
Le tourisme
Le visiteur ne peut manquer l’excursion qui, au fil de l’eau, sur la rivière aux parfums, mène de temple en temple.Tout au long de la promenade, on rencontre des barques barrées par de jolies jeunes femmes qui rament avec leurs pieds.
Visiter le palais
C’est rencontrer le Viêt Nam d’antan et ressentir ce que pouvait être la fascination de l’Asie. Hué est un atout pour le touristique vietnamien.
Passer quelques jours à Hué
La pratique
De nombreux hôtels pour toutes les bourses. Le plus grand régal, c’est, sans aucun doute, manger sur le marché ou dans les petits restaurants installés au bord de la rivière aux parfums.
À noter
Un restaurant est tenu par une famille de sourds muets, sur la route menant au palais impérial. Un plat étonnant, les oeufs de cane couvés qui ne sont pas de tous les goûts, mais méritent d’être testés.
( Note de Albert : J’allais justement très souvent lors de mon séjour à Huê dans ce petit restaurant – Les oeufs couvés, je les adore mais il n’ y a pas que des oeufs dans ce restaurant).***************Aller au Viêt Nam hors tour opérateur
C’est très facile et permet de découvrir le Viêt Nam que chacun aimera trouver.
( Note de Agemon : Entièrement d’accord à 100 % )Les informations complémentaires
En tapant dans le moteur de recherche les mots : hué Vietnam photos, hué Vietnam ou sur Wikipedia, vous pouvez obtenir des informations pertinentes sur cette ville.
Source : http://www.les-experts.com/
L’Entrée de la Cité Impérial
Palais Impérial de HuêLa rivière des parfums
Les guerriers
Note d’Albert : N’oubliez pas de visiter le vieux Huê derrière la cité – si possible en vélo ou en cyclo. Les touristes n’y vont jamais & il me semble que c’est par là que j’ai visité la maison qu’on m’avait dit de la mère de l’Oncle, le libérateur du pays.@stephaneSaigon 132860 wrote:
Re bonjour Agemon,
Non, non, moi j’ai un vrai diplome, un B.E.P (brevet etudes professionnelles)
d’Agent du transport … comme on disait a l’epoque … maintenant, on parle de
logisticien !! Et quand j’ai commence a travailler, je n’avais effectivement que
fait, qu’etudier.Bravo pour vos animations … ca met de l’ambiance !
:jap:
J’aime souvent dire : Celui qui se sent morveux n’a qu’à se moucher.
Ce n’est point mon problème.Alors pourquoi sentez-vous viser ? Si vos brevets sont authentiques.
Pour épater la galerie ? Ou simplement pour me contredire sur des choses qui ne vous concernent même pas, juste pour le plaisir ?Avis :
Ce n’est pas la peine de me donner vos CV les gars.Je n’embauche personne. Je suis à la retraite & j’ai revendu ma boîte.
:Vietnam:@sebv95 132851 wrote:
bonsoir
Je ne sais pas qui vous êtes mais votre façon d’écrire est tres désagréable non convaincante et agressive ! Moi aussi j’ai compris via votre texte une généralisation (au moins dans vos exemples cités pour un ce but). On n’a pas besoin de sentir d’etre visé pour répondre à vos allégations.Vous êtes à plusieurs ?
Cela me rappelle l’histoire de Marrakech ou tous les congénères du gars se jeter sur lui, faute d’avoir trop parlé des drôles de moeurs …de l’un de ses congénères.Vous avez tous des faux diplômes ? Pourquoi sentez-vous tous viser par des faux ? J’avais dit au début que j’ai connu des cas et vous êtes là quelques uns à m’accuser d’avoir généralisé …. C’est plus grave à ce que je pense alors ?
Je n’ai rien génaralisé mais si vous êtes à plusieurs à m’attaquer, je serais obligé de le penser ?
Oui ! c’est dur de se faire chatouiller n’est-ce pas ? Quand on est chatouilleux.Qui suis-je ?@Nca78 132784 wrote:
Je suis « blanc » donc pour vous je suis un feignant qui n’avait pas de boulot en France et qui est venu en quémander un au Vietnam, où on m’a très généreusement offert un salaire extraordinaire pour un poste auquel je ne suis pas qualifié.
Dans la réalité :
– je suis payé moins au Vietnam qu’en France, et dans mon domaine si je rentre en France je retrouve un boulot moins difficile et mieux payé très rapidement
– j’ai eu mon permis de travail « dans les règles » sans aligner les dessous de table
– je paye plus d’impôts qu’en France, je paye un loyer, je dépense mon salaire ici, c’est tout ça de gagné pour l’économie Vietnamienne
– les employés de ma boite sont bien payés et déclarés avec leur vrai salaire, on paye donc les vraies charges (sécu, retraite) et les vrais impôts sur le revenu pour eux. Contrairement à une majorité des entreprises au Vietnam qui trichent pour payer moins d’impôts, en premier lieu les entreprises 100% vietsJe suis très content d’être au Vietnam, et ma femme Vietnamienne encore plus. Mais ce n’est pas non plus le paradis, et je ne peux pas vous laisser généraliser (c’est bien ce que vous faites…) et dire que tous les étrangers ici sont des profiteurs et des sangsues qui se nourrissent du travail des Vietnamiens et profitent du pays sans rien donner en retour.
Je n’ai pas dit que le blanc est » feignant » ( d’ailleurs j’aurais écrit : white fainéant, j’utilise jamais l’adjectif feignant, c’est trop faible )
Puisque je suis à moitié blanc. Le serai-je alors moi aussi à moitié « feignant » ? La fainéantise n’est pas une question de couleur, ni de pays mais de tare à la naissance. ( en arabe ṭarḥ )
Je n’ai pas parlé des entreprises, des comportements du blanc au Viêt Nam mais seulement des faux diplômés & une coopération de bas de gamme etc… & du white. Pas tout ce que vous avez cité ….entreprises, employés, femme vietnamien ou pas, impôts etc…
Vous délirez mon ami. Pourquoi sentez-vous viser comme cela ? En principe de ce que j’avais dit, ne vous concerne nullement. A moins que ……. Je suis tombé dans le mille sans le vouloir faire exprès. Alors dans ce cas, je suis désolé de remuer le couteau dans la plaie, je n’ai pas fait exprès. Et votre réalité ne m’intéresse pas … Ce ne sont que des bla, bla, bla non vérifiables & pleines de contradictions !!!!Je n’ai rien généralisé, je parle pourtant le français …..dois-je répeter ?
Qu’estce qu’il y a dans mon message à voir avec les entreprises ? Arrêtez de délirer ce n’est pas bon quand il fait trop chaud sur la tétette ! Allez boire un verre d’eau au lieu d’un Tiger.4 juin 2011 à 17h10 en réponse à : L’inflation galopante, l’évolution des salaires et le pouvoir d’achat au Vietnam #137080@kimsang 132736 wrote:
Bonjour,
Je confirme c’est une situation critique pour les vietnamiens ne serait que de ce nourrir !!! Jusqu’ou cela va aller ??? Quand je suis arrivee au Vietnam, il y a un an, cela allait encore mais depuis apres le Tet, c’est la folie : toutes les factures (eau, electricite …etc) ont subis plusieurs augmentations, sans compter les denrees alimentaires, l’essence (avant un plein pour ma moto c’etait 70 000 vnd et maintenant c’est 100 000 vnd).
Kim Sang
La situation en France n’est pas meilleure. Tout augmente le gaz, l’electricité …… je ne puis tous les énumérer ……. même la paie de nos gouvernants, députés, sénateurs etc… ont fait un sacré bond en avant mais pas les notres, ni la retraite.
Je ne voudrais pas que tu perdes le moral pour lire les journaux de l’économie en France mais jette un oeil de temps en temps et saches que nous ne sommes pas mieux lotis, il y a sans cesse des augmentations et beaucoup de médicaments ne sont plus remboursés et tous les jours le gouvernement en rajoute d’autres non remboursés ….Il faudrait une autre révolution, pire que Mai 68 pour remettre de l’ordre dans tout cela mais je sais…..je rêve !
Le « Livre porte-voix de la pauvreté »
Et pourtant nous avons de l’argent pour aller faire la guerre & donner des millions aux autres pays …….pendant que nous en Aquitaine nous attendons toujours des aides pour débarrasser et replanter la forêt landaise suite aux tempêtes de « 1999 « . En attendant, nos forêts pourrissent & tout le monde s’en fout. Après, ils vont rire jaune car il faudrait le tripe pour rattraper le retard. Simple info en passant.
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