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Agemon

Toutes mes réponses sur les forums

15 sujets de 316 à 330 (sur un total de 1,749)
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    Messages
  • en réponse à : Salons de beauté #138586

    1°- Massage, il faut peut-être comprendre aussi par  » SPA  »
    Locution latine : Sanitas Per Aqua – ce qui signifie « la santé par l’eau » – Thalasso
    Dans un hôtel à Phu Quoc ( le nom de ma ville natale) où j’ai été une année, il y avait ce service. Cela m’a rendu un sacré service car j’avais fait la sieste dans un hamac au bord de la mer et, me réveiller qq temps après avec un refroidissement – Fièvre, tremblotte et, tout le tra la la …
    Pour trouver où, il suffit de voir avec oncle Google avec les mots : Hôtel avec SPA au Viet Nam ou Hôtel Resort Spa Phu Quoc.

    C’était ici mais je ne puis vous donner le nom because  » PUP » :

    banner2010.jpg
    *****************

    2°deuxio – Simple un avertissement :

    Si au cours de votre séjour au VN, vous avez attrapé un « refroidissement » et que vous voulez faire un
    « Cạo gió » ( je ne sais pas traduire ce terme en français. Gratter le vent ne veut rien dire en français. Je laisse le soin aux spécialistes pour trouver le terme adéquate de ce massage spécialité du VN.)

    Si dans votre hôtel, il n’existe pas ce service et que vous appelez quelqu’un de l’extérieur, négociez le prix de la prestation toujours devant témoin ( à la réception par exemple).
    J’ai été témoin des histoires à ce sujet entre VK et masseurs de rue à TP-HCM, les flics ont dû intervenir….

    Nota for my cousin’e yen :

    Masser la tête ça va, même très agréable, tu t’endors mais jamais se faire nettoyer les oreilles. Because « hygiène », ils le font toujours avec la même tige et puis à force de pousser, ils te les bouchent ………… tes esgourdes.

    ………..Hein ? Qu’est-ce tu dis ? Parles plus fort. …………….. C’est pour rire !!!!

    Nettoyage-doreilles.jpg

    en réponse à : Emmener mon ordinateur au Vietnam. #138370

    Mon fils va tous les ans en Thailande & Laos, il va toujours avec son Netbook & se connecte gratuitement partout. Mettre tes bouquins numériques la dessus et tu peux les lire dans l’avion et à l’hôtel.
    Le Netbook est pratique, tu peux le trimballer partout & comme cela ne coûte que 2 cacahuètes, personne ne s’intéresse.
    Sais-tu que tu peux mettre des milliers de photos sur les cartes mémoires. Prends 10 cartes à 8 Go et tu verras. A moins que tu veux faire des posters, diminue un peu les pixels comme cela tu gaspilleras les mémoires.

    en réponse à : Les vidéos que j’aime…. #138367

    Patrick, Lara etc… c’est bien beau mais ils ont tellement usé ma Tivi que je zape maintenant. Tellement écouter & cela me donne today, mal aux « zoreilles ». C’est la raison pour laquelle j’ai mis un inconnu pour vous  » Maurice Médioni  » il y a quelques temps mais très connu de la communauté où je fréquentais dans mon jeunage. Je vous mettrai « Fais moi du couscous chérie » la prochaine fois, c’est super bon li couscous garbi.
    Pierre du VN a raison Patrick Bruel est méchant – Khaled aussi est mézant il a frappé son femme pour lui.

    Je n’aime pas tellement mettre de la musique ou vidéos françaises ou EU sur un forum destiné aux AZN mais celle-ci c’est pour les anciens, les chibanis.

    Vous pouvez comparer avec celles d’aujourd’hui, il n’y a pas foto. Dans le temps on savait faire de la belle musique…. Enfin ce n’est que mon avis naturellement, vous n’avez pas kifs, kifs (same,same) goûts que moi, c’est logique aussi …. mais écoutez …..

    Le premier pas – Claude Michel Schoenberg 1974
    YouTube – ‪Le premier pas – Claude Michel Schoenberg 1974‬‏

    ET CELLE -CI :

    Sans elle – Xa Em Ky Niem –
    par Lê Toàn
    [ Chanson de Claude Michel Schoenberg ]


    Profitez pour voir les belles robes longues du VN


    en réponse à : Les plus belles chansons d’amour vietnamiennes #138292

    J’ai trouvé cette citation sur le blog de HOÀNG THANH TÂM que je voudrais bien la partager avec vous:
    4111856998_5f4de87f54_o.gif
    Merci à la vie, chaque matin que je me réveille,
    J’en ai encore une autre journée pour aimer!

    ***************

    THÁNG SÁU TRỜI MƯA
    (Pluie de juin)
    De HOÀNG THANH TÂM & NGUYÊN SA
    chanteur : DUY QUANG
    YouTube – ‪THÁNG SÁU TR?I M?A – Duy Quang **** Hoàng Thanh Tâm‬‏

    Blog Nhạc sĩ HOÀNG THANH TÂM

    en réponse à : Việt-Nam quê hương tôi #138090

    Ces fleurs ne poussent, parait-il qu’en ce lieu, TP – Da Nang ( ville de Danang – Tourane pour les vieux des temps anciens)

    Pour le reste de la traduction, il faudrait voir quelqu’un d’autre, je parle, j’écris deux mots mais le reste …. plus nul que moi, tu meurs.
    Pour une fois oncle google est aussi nul que moi.
    Mon but, c’était de vous montrer ces merveilles ….. le reste zut !

    Hoa đào chuông – đôi môi thanh nữ

    (Dân trí) – Không phải ai cũng may mắn được ngắm từng “cái chuông” đang ngậm sương, gặp nắng sớm ban mai tạo ra hiệu ứng, óng ánh màu hồng nhý nụ cýời týõi của những nàng thanh nữ yêu kiều.
    Chắc hẳn không mấy ai ngạc nhiên khi thấy khu du lịch sinh thái Bà Nà – Suối Mõ (Hoà Vang – TP. Ðà Nẵng) lấy hoa ðào chuông làm biểu týợng, bởi vì loài hoa này chỉ mọc nõi ðây và cho hoa rất lạ, ðẹp, thu hút nhiều du khách tìm đến để chiêm ngýỡng hoa ðào chuông nở lung linh trýớc gió xuân về.
    Cái tên “ðào chuông” là do ngýời ðịa phýõng ðặt cho loài hoa này vì có những cánh hoa khi nở rộ trông nhý những chiếc chuông nhỏ màu hồng ðậm treo duyên dáng trên cành. Ngoài hoa ra, búp, lá non của các ngọn từ cành ðào chuông cũng ðổi màu từ ðỏ hồng ðến xanh non.
    Hai bên ðýờng từ khu biệt thự Bà Nà Bynight xuống chùa Linh Ứng và trong khuôn viên trýớc sân chùa có trồng nhiều cây ðào chuông nở hoa rất ðẹp. Thật tuyệt khi ðýợc ngắm từng “cái chuông” ðang ngậm sýõng, gặp nắng sớm ban mai tạo ra hiệu ứng, óng ánh màu hồng nhý nụ cýời týõi của các nàng thanh nữ yêu kiều. Và chắc không còn gì phấn kích bằng vào đầu năm mới, những cái chuông màu hoa đào hé nở nhý hàng trãm ðôi môi “ngýời ðẹp” ðang mỉm cýời chúc Tết ngýời thýởng ngoạn.
    Dýới ðây là một số hình ảnh về loài hoa tuyệt đẹp trên do bạn đọc Dân trí ghi lại :


    Voici quelques photos de belles fleurs en provenance des lecteurs du site de Dân trí :

    HOA%20DAO%20CHUONG%20NHU%20DOI%20MOI%20NGUOI%20THIEU%20NU%20(1).jpg

    HOA%20DAO%20CHUONG%20NHU%20DOI%20MOI%20NGUOI%20THIEU%20NU%20(2).jpg
    HOA%20DAO%20CHUONG%20NHU%20DOI%20MOI%20NGUOI%20THIEU%20NU%20(3).jpg
    c71HOA%20DAO%20CHUONG%20NHU%20DOI%20MOI%20NGUOI%20THIEU%20NU%20(4).jpg
    Hoa đẹp Tôi chưa bao giờ thấy
    HOA%20DAO%20CHUONG%20NHU%20DOI%20MOI%20NGUOI%20THIEU%20NU%20(5).jpg
    Splendide fleurs que je n’ai encore jamais vues
    HOA%20DAO%20CHUONG%20NHU%20DOI%20MOI%20NGUOI%20THIEU%20NU%20(6).jpg
    Schöne Blumen, dass ich habe noch niemals gesehen
    HOA%20DAO%20CHUONG%20NHU%20DOI%20MOI%20NGUOI%20THIEU%20NU%20(7).jpg
    Source : (Site Dân trí)

    Bye ! bye ! Et à plus ……
    mais celà n’a pas l’air d’intéresser grand monde.
    Peut- être …. peut-être …. la prochaine fois – couleurs de Hanoi
    IMG1416-copy_58e53.jpg
    en réponse à : Les vidéos que j’aime…. #138081

    Merci Bao Nhân – j’aime beaucoup.

    Kiss The Rain – Yiruma | Nhạc Không Lời

    en réponse à : bonne fete des pere #138078

    Merci de la part des papa’s !

    Je suis en retard because ma moitié m’avait conduit au lac de Bordeaux manger un bo bun nems & des oeufs couvés. ( au diable les accents).
    Hourra ! Ils sont revenus. J’ai eu l’occasion de bavarder en tieng viet avec un peu du mal mais c’était super !

    Lê Toàn – Cha Tôi

    YouTube – ‪Lê Toàn – Cha Tôi (Papa)‬‏

    Cela vous dit quelques choses la chanson ?

    Pour savoir plus sur le chanteur, cliquez sur son nom : Lê Toàn

    en réponse à : Les vidéos que j’aime…. #138076
    [IMG]http://t1.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcS8yzMKFgPQZmq5BZ_bzkqxUsH-yzJPAPmDHVLux5FUqWro2A93[/IMG]
    Mon pays d’adoption

    *******
    Salam Alikoum
    En souvenirs de mes soeurs et frères d’Oranie
    (sans oublier ceux de Tlemcen, de Lamoricière & des Abdellys)

    YouTube – ‪wahrane by Maurice Médioni‬‏
    En hommage à Maurice que j’apprécie beaucoup. Un chanteur rare de cette spécialité
    en réponse à : Les vidéos que j’aime…. #138067

    @carlos phan 133890 wrote:

    merci pour tout les video ..trop sympa agenom 1 grand merci j’adore les music japonnaise super melodie .merci as tout ce qui continu a poster c’est video bisous a tous carlosphan

    Hello Carlos !

    Si tu aimes la musique traditionnellle japonaise, jette un oeil ici sur un blog d’un brésilien ( je crois):

    ENKA MANIA

    Ma grand mère s’appelle  » Ottoyo  » est née à Nagasaki. Je ne l’ai pas trop connue.

    Attention, beaucoup confond le coréen et le japonais.

    en réponse à : Les vidéos que j’aime…. #138041

    Cette chanson a une histoire fascinante et qui avait fait un tabac au Japon en 2010.

    A méditer !

    Toire no Kamisama par Kana Uemura
    C’est une histoire d’une petite fille avec sa garnd-mère. Je ne peux pas tout vous raconter maintenant, cela là n’aurait plus de charme après. Suivez la vidéo avec les sous titres et vous le verrez au fur & à mesure.

    Pour la traduction en français, seulement la chanson et texte. Il faut aller sur dailymotion ( lien ci-dessous) sur forumvietnam la vidéo ne s’affiche pas. Sorry !

    Dailymotion – musique japonaise (kanji + rômaji + traduction) – une vidéo Musique

    Avec traduction en vietnamien :
    http://www.youtube.com/watch?v=OxsQtkyPFqg&feature=related

    Pour connaître un peu plus sur Kana Uemura.

    Sites officiels :

    Officiel : http://www.clearsky.co.jp/kana/

    Officiel : http://ameblo.jp/uemurakana/

    Please donate to the Red Cross following the Japanese tsunami/earthquake. Merci !

    en réponse à : Hmong Vietn Nam #137990
    VIÊT NAM – CAO SON
    Bienvenue chez les Hmongs Fleurs du Nord Vietnam
    [IMG]http://www.tripteaser.fr/jsThumbnail/thumbnail?img=uploads/reportage/1127/QqL3YxDwU9_1.jpg&maxx=480&maxy=380&mode=crop[/IMG]

    Lors de votre séjour à la Cao Son Eco-Lodge, vous avez entrepris de découvrir les environs à pied en commençant par La Pan Tan, le petit village Hmong qui se trouve à proximité, en compagnie de Tung, votre guide, et de Sa, un adolescent du village.
    Les Hmongs qui vivent ici sont de l’ethnie des Hmongs fleuris reconnaissable aux vêtements bariolés que portent les femmes. Venus de Chine, ils ont trouvé au Laos et dans le Nord Vietnam une nouvelle patrie où ils cultivent leurs différences et le riz.
    Lorsque vous allez arriver, le village nous semble vide, presque abandonné, mais ce n’est pas le cas, car en décembre, les travaux des champs n’ont pas encore commencé, et si les hommes vaquent quelque part à d’autres occupations, les femmes et les enfants sont à l’intérieur des maisons et les portes commencent à s’entrouvrir.
    Le village semble être fait de boue, il a plu la veille et les ruelles ne sont que mares, les basses cours des étendues de gadoues où porcs et volailles s’éparpillent à votre arrivée. Les habitations sont des cabanes de bois à l’architecture sommaire, les murs à peine surélevés par des culs de bouteille pour éviter l’humidité et les insectes qui pourraient en ronger le bois. À l’intérieur, on ne trouve souvent que deux pièces : la cuisine et son foyer sur lequel chauffent d’immenses woks de la taille d’un plat à paella, et le salon qui remplit aussi la fonction de chambre à coucher pour toute la famille la nuit venue.
    Sur le sol de terre battue, très peu de meubles, mais toujours une TV bien souvent en train de diffuser les derniers clips vietnamiens à la mode. Quelques tabourets, un petit autel dédié aux ancêtres… On a vite fait le tour des lieux, mais l’on est toujours invité à s’accroupir en compagnie de la maitresse de maison pendant que des ribambelles d’enfants nus malgré le froid qu’il fait vous regardent de leurs yeux ronds.
    Les jeunes filles et les mamans portent un assemblage de jupons colorés, mélange de lycra et de tissus ethniques, au-dessus duquel elles arborent pull en laine et petits gilets indifféremment superposés. Fichus sur la tête même en intérieur, elles laissent entrevoir de beaux visages que leurs sourires, rares mais toujours rayonnants, viennent magnifier au fil de la conversation à bâtons rompus que vous menez à l’aide de votre guide.
    De votre côté, vous êtes intimidés par les habitants de ce monde de terre où le temps semble s’être figé pendant que le maïs macère sur le feu et qu’une chanson à l’eau de rose fait vibrer les enceintes. De notre occident, les Hmong fleuris n’ont adopté que la télévision. Si le premier achat à force de travail est une petite moto chinoise indispensable pour se déplacer (et donc, vivre, sinon comment aller au marché ?), le second sera pratiquement toujours dédié à l’achat d’un écran plat, d’une parabole et de dvd pirates. Dans l’obscurité des maisons, l’écran est la seule lumière, blafarde et omniprésente, le seul luxe et la seule activité.
    Lorsque vous ressortez dans le jour gris, les enfants vous raccompagnent jusqu’à la sortie du village en faisant de grands gestes d’adieu qui vous déchirent un peu le cœur.

    Conseils pratiques

    OrientationDepuis Lao Cai, il n’y a pas vraiment de transport en commun pour rejoindre Cao Son à quelques heures de route (80 km). Louer un véhicule ou une moto.EquipementSi vous prenez des fournitures scolaires ou des jouets, mieux vaut les remettre directement au maitre d’école pour éviter les injustices.AutresMais si vous tenez néanmoins à offrir un petit quelque chose aux enfants, sachez que les ballons de baudruche ont beaucoup de succès.
    [IMG]http://www.tripteaser.fr/jsThumbnail/thumbnail?img=uploads/reportage/1128/g9m05l96z5_1.jpg&maxx=480&maxy=380&mode=crop[/IMG]
    Randonnée dans les rizières du Nord Vietnam dans la région de Cao Son

    Randonnée dans les rizières de Cao Son
    D’après une légende vietnamienne, le riz n’avait pas besoin auparavant d’être cultivé, on le convoquait en prière et un grand ballot venait se déposer ensuite miraculeusement dans chaque habitation, mais vient un jour où la femme de l’une des maisonnées du pays qui n’avait pas fini de balayer à l’arrivée du riz fit éclater le ballot par inadvertance. Depuis, les Vietnamiens doivent cultiver le riz à la main, ce qu’ils ne font pas à moitié, car le Vietnam est le deuxième exportateur de riz dans le monde (après la Thaïlande) et que sa production occupe encore 70% de la population active.
    Si la moitié de la production (et la majorité des exportations) provient du Delta du Mékong, le nord Vietnam produit également de grosses quantités de riz et offre donc aux visiteurs de magnifiques panoramas de rizières en terrasse. Avec une récolte par an dans les régions montagneuses du nord (contre 4 dans le delta), les paysages seront complètement différents selon la période où vous vous rendrez dans les rizières.
    L’agenda des paysans est légèrement différent d’une année à l’autre en fonction du calendrier lunaire, mais les plantations commencent généralement au mois d’avril et la récolte se fait en septembre. Les terrasses pourront donc soit être submergées d’eau, soit être vert fluo, soit être essaimées de paysans penchés sur l’ouvrage, soit être au repos laissant libre cours à l’imagination de la nature environnante. Qu’importe la saison, le spectacle reste toujours charmant, mais si vous voulez être sûr de voir les rizières en activité, il vous faudra venir entre avril et septembre.
    De notre côté nous avons randonné pendant une journée dans les rizières au départ de la Cao Son Eco-Lodge. La région de Cao Son, à l’écart de tout grand site touristique, est très peu fréquentée par les voyageurs. Plus généralement, dans le nord Vietnam, en dehors des grands marchés de Sapa et de Bac Ha, vous ne croiserez pas grand monde. À Cao Son, à plus de 1400 mètres d’altitude, nous sommes les seuls occidentaux à plusieurs kilomètres à la ronde et les villages alentour n’ont pas l’habitude de recevoir beaucoup de visites.
    Nous entamons donc notre journée sous l’œil goguenard des écoliers qui se rendent à l’école voisine, nous les retrouvons dans la cour en train de faire leurs exercices matinaux, chorégraphie endiablée dans le froid glacial du petit matin qui vise à réchauffer les cœurs et les corps, puis nous quittons définitivement la civilisation.

    ******
    Parce qu’on ne résiste pas à l’envie de partager cette séance de gym avec vous :
    Daylimotion ne s’affiche pas sur ce forum, il faut cliquer sur le titre ci-dessus pour voir la vidéo.
    *******************

    Nous découvrons alors ces montagnes verdoyantes sculptées par les hommes pour en faire une source de vie. Découpées en terrasses, leurs pentes se déploient à perte de vue formant un joli patchwork aux tons naturels. Côté marche, la randonnée n’est pas de tout repos, ça monte et ça descend, ça s’embourbe et ça glisse… Heureusement Sa, le jeune Hmong qui nous accompagne, chante à pleins poumons pour nous donner du courage. Il transforme plusieurs feuilles en instrument, et nous mêlons nos bruits de trompettes naturelles aux pépiements des oiseaux.
    Sur le chemin, nous croisons quelques habitants, des fillettes ramassant du gingembre sauvage, une grand-mère avec sa vache, une famille à dos d’âne… Ici les motos ne passent pas, pas de route, que des chemins, des sentiers que l’on emprunte chaque jour pour vaquer aux tâches du quotidien.
    Nous finissons par arriver à un mini village niché au fond d’une vallée, plus haut une nouvelle route se dessine, mais elle ne va pas encore jusqu’aux maisons qui sont encore, pour quelque temps, comme coupées du reste du monde. Sa est fier de nous présenter sa jeune fiancée qui vit ici à 5h de marche de chez lui avec toute sa famille. Comme celles de La Pan Tan, sa maison cache un mode de vie très simple, mais qu’elle est fière de nous faire découvrir, changeant spécialement le dvd musical pour nous marquer l’exception du moment. Ambiance karaoké avec les petits derniers de la famille qui joignent à nous le temps d’une séance photo.
    Une chanson encore et il est temps de repartir et de rallier cette nouvelle route qui nous fera traverser la forêt des singes avant de revenir à Cao Son.

    Conseils pratiques


    OrientationLes deux villages traversés se nomment Sin Chai A et Muong Lum, tous deux dans les environs de Cao Son à 80 km de Lao Cai. Comptez une belle journée de rando.EquipementSi vous prenez des fournitures scolaires ou des jouets, mieux vaut les remettre directement au maitre d’école pour éviter les injustices.AutresMais si vous tenez néanmoins à offrir un petit quelque chose aux enfants, sachez que les ballons de baudruche ont beaucoup de succès.

    en réponse à : Une nouvelle revue trimestrielle : ASIES #137983

    Un article sur le Viêt Nam

    Ceux qui habitent Hanoi – page n°30

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    en réponse à : Việt-Nam quê hương tôi #137982

    Ceux qui habitent Hanoi

    Extraits tirés de Mon Vietnam – Asies N°1 / Juin-Septembre 2011 * la revue webasies

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    Par Nguyen Viet Ha * / Traduction de Mac Thu Huong

    Nguyen Viet Ha, porte-drapeau de la nouvelle génération d’auteurs vietnamiens, nous emmène dans un voyage jusqu’aux tréfonds et bas-fonds de la capitale Hanoi.
    L’histoire de Hanoi, comme celle de New York, de Paris, de la plupart des grandes villes mythiques, s’est toujours faite grâce aux hommes. Pourtant, si l’on est certain de trouver aujourd’hui des Newyorkais à New York et des Parisiens à Paris, lesquels sont parfaitement typiques de leur ville, il semble que tel n’est pas le cas à Hanoi. L’appellation « Hanoiens » n’existe que dans les manchettes des journaux ou le fantasme d’un petit groupe de citadins, issus d’anciennes familles bourgeoises et sans doute cultivés, mais force est de constater que les soixante-dix ou quatre-vingts dernières années ont complètement éliminé de Hanoi l’élite des élégances et de la distinction. Cette disparition a fait oublier les gestes quotidiens de courtoisie, les goûts culinaires raffinés et l’amour de l’art sophistiqué. Ce à quoi nous assistons maintenant n’est qu’un « écho du passé », selon l’expression de l’écrivain Nguyên Tuân (1910-1987), modèle du Hanoien d’hier, fin, délicat et distingué. Récemment, lors des cérémonies démesurées organisées à l’occasion du millénaire de la capitale, les dirigeants et les soi-disant « hanoiologues » se sont efforcés d’attester la persistance de ces qualités, mais il se trouve que la plupart de ceux qui habitent la ville depuis au moins trois générations ­– critère utilisé par le savant professeur en histoire Lê Van Lan afin de mesurer la racine du « Hanoien de souche » – estiment quant à eux que toutes ces histoires ne sont que des légendes et des pures utopies.
    Aussi bien, existe-t-il encore des « Hanoiens » ou n’y a-t-il plus que des « habitants de Hanoi » ?
    De nos jours, l’homme est omniprésent à la surface du globe. Nulle part ne restent d’îles désertes ni de montagnes sauvages. Le marin malchanceux ayant échoué au large serait encore plus malheureux que Robinson, car une fois parvenu avec peine au rivage, il serait soudain entouré d’une bande de Vendredis locaux, tandis que plus loin d’innombrables miss et mannequins en tenues sexy, affalées paresseusement, couleraient une vie naturelle et sauvage aux frais de quelques nababs opulents dans des « resorts écologiques ». Comparé à hier encore, tout a changé. Il y a peu, l’homme vertueux rencontrait parfois la divinité au sommet des montagnes, et l’homme vicieux les démons dans les grottes de la forêt profonde. Maintenant, l’homme est désespéré car il est sans recours.
    Le Hanoi d’aujourd’hui a changé lui aussi. Nous n’y entendons plus le bruit sourd du pancovier tombé de la branche, et pas davantage le cri des marchants ambulants retentissant dans la nuit calme. Tout est étouffé, emmêlé, écrasé par les mille voix assourdissantes des foules compactes et denses. Qu’ils se bousculent dans un désordre total ou patientent dans une double ou quadruple file d’attente, ces êtres humains ont tous un visage qui exprime une énergie débordante, une détermination farouche à lutter pour leur existence. Le courant puissant de l’histoire de ces trente dernières années a poussé dans Hanoi le limon culturel de gens originaires d’autres régions qui sont venus, et viennent encore, pour s’y débattre à la recherche d’un moyen de gagner leur vie, non pas pour y poursuivre de brillantes carrières, se faire un nom ou vivre élégamment. Ceux qui habitent Hanoi sont ainsi trempés d’usages qui n’ont rien à voir avec Hanoi mais enrichissent l’identité de la ville du « Dragon qui s’envole », dite également « Capitale orientale » ; cette identité plurielle fait la fierté, silencieuse mais orgueilleuse, de ces respectables savants issus d’autres provinces et diplômés d’universités lointaines.
    Dans la partie «Coutumes» de la Géographie de Hanoi publiée en la quatrième année de règne de Tu Duc (1852), il est écrit «les hommes de cette région appelée le Nombril du Dragon sont connus pour leur civilité et leur loyauté, les femmes pour l’application aux travaux d’aiguille ; la plupart des lettrés n’ont orgueil ni convoitise, et même les illettrés savent garder leur dignité en s’abstenant de tout crime.» Être digne n’est pas aisé, bien entendu ; mais le rester est plus rude encore. Or il est heureux de constater qu’en dépit des difficultés de leur vie quotidienne, ceux qui habitent Hanoi actuellement s’efforcent de conserver cette dignité. La Géographie descriptive de l’empereur Dong Khanh précise: «Dans la province, par endroits les mœurs des lettrés et les coutumes du peuple sont en général très simples et peu tournées vers la culture, mais par endroits les gens sont singulièrement butés et sournois. On rencontre beaucoup de personnes frivoles et éprises de luxe, tandis que les caractèresimpétueux ne sont pas rares. Dans les échoppes des districtsde Tho Xuong et de Vinh Thuan, les gens de la ville ont la regrettable habitude de rechercher le luxe avec frénésie.»

    Extraits tirés de Mon Vietnam – Asies N°1 / Juin-Septembre 2011

    * Écrivain. De confession catholique, il est l’auteur du roman Une opportunité pour Dieu (Éditions littéraires, Hanoi, 1999) et de la nouvelle Révélation tardive (Éditions de l’Union des écrivains, Hanoi, 2005) dont une version a été publiée en français dans le recueil collectif Au rez-de-chaussée du paradis, Récits vietnamiens 1991-2003 (Picquier, 2005).

    Vous n’êtes pas obligé de le répèter

    DSC04431.jpg
    Ils sont mignons ces novices n’est-ce pas ?

    Si je vous dis que j’aime beaucoup la chanteuse Trung Hậu. Cela ne va pas vous étonnez puisque vous le savez déjà depuis longtemps que j’aime la majorité, si non toutes les chanteuses de mon pays natal – quê hương tôi.
    Il est vrai que Trung Hậu est charmante & chante merveilleusement bien les chansons du pays de mon coeur.

    Ca sĩ Trung Hậu trình diên ca khúc « Cô Gái PaKo » trong Chương trình ca nhạc « Vang Mãi Khuc Ca Tên NGười » do ĐTH TP.HCM thực hiện 2011.

    en réponse à : Việt-Nam quê hương tôi #137969

    Le long de la Rivière des Parfums s’égrènent les tombeaux impériaux de la dynastie des Nguyen, cette famille qui unifia le Vietnam et lui donna son nom. La plupart des souverains issus de cette lignée mirent un point d’honneur à concevoir leur sépulture (voire à la construire eux-mêmes) et rivalisèrent entre eux pour faire de la leur la plus belle de toutes.
    Difficile pourtant d’égaler l’harmonie et la beauté du tombeau du second empereur, Minh Mang, qui régna sur le pays de 1820 à 1841. S’il en choisit l’emplacement, l’architecture et les détails, c’est son fils, l’empereur Thieu Tri qui fit exécuter ses ordres dans les deux ans qui suivirent sa mort.
    Le lieu, dont l’importance était considérée comme directement liée au bonheur futur de la dynastie, fut choisi à l’aide des ministères de l’Astronomie et des Rites qui mirent tout leur savoir à la disposition de l’empereur. Ils présentèrent à celui-ci des plans inspirés de la description des tombeaux chinois et leur adjoignirent une symbolique précise en régissant l’équilibre.
    On découvre ainsi, au milieu d’une forêt de pins, un ensemble architectural d’une rare beauté où les lacs s’enchainent pour mieux dissimuler puis dévoiler les constructions.
    Le chiffre 3 y est à l’honneur, puisque c’est trois portes (Ta Hong, Dai Hong et Huu Hong) qui mènent à la cour d’honneur, trois escaliers qui relient cette dernière au pavillon où repose la stèle de marbre où sont rédigés les plus hauts faits de la vie de l’empereur, puis trois ponts qui séparent le temple Sung An dédié à l’empereur et à son épouse, des pavillons suivants.
    De ces trois ponts qui franchissent le lac Trung Minh Ho (le lac de la clarté pure), celui au centre, le Cau Trung Dao, tout de marbre vêtu, était réservé à l’empereur. Il est aujourd’hui permis de l’emprunter pour accéder à trois pavillons celui de la lumière (au sommet de trois terrasses symbolisant l’eau, la terre et le ciel), celui de l’air frais (à gauche) et celui de la pêche (à droite).
    Vient ensuite un second lac, le Tan Nguyet (le lac de la nouvelle lune, peut-être à cause de sa forme en croissant), qu’il faut traverser pour arriver au pied d’un grand escalier hérissé de dragons qui mène au tombeau en lui-même. Celui-ci, encerclé d’un mur symbolisant l’astre solaire, n’est qu’un simple tumulus fermé au public. En effet, en devoir de la date anniversaire de la mort de l’empereur, on ne peut l’apercevoir qu’à travers la grille. Mais, même si l’on pouvait y pénétrer, on ne trouverait rien à l’intérieur marquant l’emplacement exact de la tombe, l’empereur Thieu Tri craignant que les ennemis de la famille ne viennent profaner la tombe de son père, injure commise par son propre grand-père ayant disséminé les ossements des frères Tay Son qui décimèrent les Nguyens à la fin du XVIIIe siècle

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    Si vous pouvez y aller, ne manquez pas le Festival Huế 2012

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    Quelques photos déjà vues mais on ne se lasse pas de les revoir.
    Ici, le tombeau de l’empereur Minh Mang, 2nd empereur de la dynastie des Nguyen du VN
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    Le surprenant tombeau de l’Empereur Khai Dinh
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    La pagode Thien Mu
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    Le tombeau impérial de l’empereur Tu Duc, quatrième souverain qui régna le plus longtemps (de 1847 à 1883)
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    Le marché Dong Ba est le lieu de vie le plus animé de Hué
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    Hướng đến Năm du lịch quốc gia 2012 gắn kết với Festival Huế 2012

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    Que des belles filles !!!
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    Pour avoir une idée !
    Traditionnel Festival Hue 2011 Artisanat
    Festival Nghề truyền thống Huế 2011

    YouTube – ‪Festival Ngh? truy?n th?ng Hu? 2011‬‏

    Toujours pour avoir une idée – Festival 2010
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    YouTube – ‪Festival Hu? 2010 – Các ?oàn ngh? thu?t 2‬‏

    Je ne pense pas faire de la Pup – je ne donne aucune adresse d’hôtel mais pensez à vous installer confortablement. Le prix n’est pas excessif, il est même raisonnable pour un hôtel de cette catégorie. – si c’est pour une semaine seulement à Huế, pourquoi se priver ?
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    Alors ? Cela ne vous donne pas l’envie d’y aller ? Pensez à réserver la chambre avant pendant cette période de festival, c’est comme pour les fêtes du Têt. Beaucoup de monde.

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