Merci Ben pour la photo..C'est une bonne bécane pour débuter..
C'est pas une mob, meme si elle ne fait que 50cc, puisqu'il n'y a pas de pedales !
Ensuite, pour rouler au maximum a 50 km/h sur HCM, c'est pas la peine d'avoir une gros cube.
Le panier est tres pratique, surtout quand on n'a pas de coffre : j'en ai un et je mets plein de choses dedans.
En cas de panne, tout le monde saura la reparer (et pour pas cher).
Quand on sait que le pieton n'a pas droit de cite dans les villes vietnamiennes, on comprendra que c'est mieux que le bus.
C'est clair, j'en demande pas plus de la part d'un véhicule...
Thi oc risque de devenir la prochaine personne à qui je vais devoir casser la gueule...
Faut me voir conduire : un vrai malade !
Hé, hé, hé...
Si tu montes dans mon panier, je risque de t'emmener ailleurs qu'aux courses...
Pas de mec sur ma mob ! Cela ne m'excite pas...
Le régime étant contre mes principes (et vu que je pourrai jamais arrêter les sucreries...), je pense qu'il faudra plutôt que je revoie mes pneus, et que je les gonfle de manière à ce qu'ils supportent mes 80 kilos !!!
Merci à toi !
Et pour finir aussi... Je ne compte pas en changer...
Tout à fait d'accord !
Et sur tous les points !
Et alors ?
T'es jaloux, hein ?
Moi, j'ai droit à une jolie fille qui me propose de "monter" dans mon panier pour "aller faire des courses"...
Et toi ?
Sois heureux en rendant les gens heureux !
Ne fais jamais aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse...
exact, surtout le pneu arrière, !!!!
Rencontre avec un réparateur d'anciens scooters italiens à Hô Chi Minh-Ville
Lê Quôc Tuy est une "légende vivante" pour tous les amateurs de vieux scooters italiens. Il les retape puis les vend. Un des ses collègues raconte qu'il en a expédié une centaine à l’étranger.
Dans un coin de l'axe Vo Thi Sau-Dinh Tiên Hoàng, le magasin où Lê Quôc Tuy répare des motos ne paie pas de mine.À plus y regarder, on aperçoit des dizaines de carcasses de Vespa, éparpillées sur la mezzanine et le sol. Le chef des lieux est un homme de petite taille aux mains barbouillées de lubrifiant.
"Jeune, je suis passé à côté de mes études et j'ai vite arrêté pour rester à la maison aider mon père, un réparateur de motos", se rappelle M. Tuy.
Durant la journée, en tant qu'apprenti, il regardait les manipulations du contremaître puis débuta par le desserrement de vis et la réparation des petites pannes. Le soir, quand les mécaniciens rentraient chez eux, il démontait les motos pour apprendre sur le fonctionnement du moteur et trouver les meilleures solutions pour réparer. Au bout de 6 mois, il est déjà un expert dans le métier, à la grande surprise de son père et de ses collègues.
M. Tuy se forge une réputation dans le diagnostic des pannes. Rien qu'en écoutant le moteur, il détermine l'origine du mal. Les clients n'ont jamais à attendre longtemps et apprécient cet homme jamais avare de conseil, comme lorsqu'il leur permet de rouler économiquement en rajustant le régulateur d'essence.
Exportateur d'anciens scooters
Il y a une dizaine d'années, M. Tuy fait une tournée à Biên Hoà, province de Dông Nai, pour se procurer de vieilles motos. Il "débusque" alors une Vespa laissée dans une porcherie. Il l'achète pour 1,2 chi d'or (un chi vaut le dixième d'un taël) et la revend pour 2,5 chi à un Viêt kiêu. Lors d'une autre excursion à Xuyên Môc, province de Ba Ria-Vung Tàu, il tombe sur la carcasse d'une BMW abandonnée en plein air. Son moteur sert de pompe. Il dépense 5 chi pour la retaper plus tard. Après quelques semaines, un Viêt kiêu l'achète pour 1.500 dollars.
"Celui-ci sera délivré à un Danois, celui-là à un Viêt kiêu des États-Unis", dit-il en désignant une Vespa et une Lambretta noire, ses 2 dernières "créations".
Il garde une photo de toutes les motos qu'il a retapées, ainsi que leurs "casiers". "Ma profession exige que je connaisse parfaitement chaque série de motos et chaque détail du moteur. Grâce à quoi, je peux convaincre les clients, surtout les connaisseurs exigeants. La restauration doit être impeccable pour garder le prestige du magasin", avance-t-il. Il dispose également de ses propres pièces détachées. Parfois, M. Tuy voyage jusqu'à Huê et Dà Nang (Centre) pour chercher des véhicules. Il possède même un hangar où sont entreposées des pièces détachées de différentes marques.
Nul doute que les anciennes Vespa et Lambretta ont actuellement la cote. Le prix d'une Lambretta peut s'élever à 5.000 dollars. Les restaurateurs professionnels comme M. Tuy n'ont pas donc de soucis financiers.
Source : Huu Chiên/Courrier du Vietnam/(05/10/2007)
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