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25 octobre 2012 à 15h34 #10969
Si vous aimez l’antiquaire et beaux objets, alors rendez-vous sur le site de la fondation de la princesse Ton Nu Thi Nga :
Princess Thi-Nga Foundation, founded by H.I.H, Princess Thi-Nga* of Vietnam
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25 octobre 2012 à 16h41 #152356
@Bao Nhân 151088 wrote:
Si vous aimez l’antiquaire et beaux objets, alors rendez-vous sur le site de la fondation de la princesse Ton Nu Thi Nga :
Princess Thi-Nga Foundation, founded by H.I.H, Princess Thi-Nga* of Vietnam
Cà me fait toujours rire que des dames Tôn nữ ou des messieurs Tôn thất se traduisent par princesses et princes : ces appellations signifient simplement qu’ils appartiennent, de près ou de loin (même parfois de très éloignés descendants de bâtards), à la dernière dynastie des Nguyễn dont ils portent en réalité le nom de famille.
Par ailleurs, il y a bien 30% de Vietnamiens qui portent le nom de Nguyễn, si je me trompe pas.
Mais cà fait tellement chic de se faire appeler princesses et princes par les étrangers, alors que les Vietnamiens s’en f…nt ! :petard:
Dông Phong -
25 octobre 2012 à 18h11 #152361
@Dông Phong 151092 wrote:
Cà me fait toujours rire que des dames Tôn nữ ou des messieurs Tôn thất se traduisent par princesses et princes : ces appellations signifient simplement qu’ils appartiennent, de près ou de loin (même parfois de très éloignés descendants de bâtards), à la dernière dynastie des Nguyễn dont ils portent en réalité le nom de famille.
Par ailleurs, il y a bien 30% de Vietnamiens qui portent le nom de Nguyễn, si je me trompe pas.
Mais cà fait tellement chic de se faire appeler princesses et princes par les étrangers, alors que les Vietnamiens s’en f…nt ! :petard:
Dông Phong
Oui, ils et elles sont tellement nombreux qu’ils s’ignorent parfois l’existence des uns et des autres. Et concernant les descendants de bâtards, sachez qu’autrefois, les empereurs et leurs entourages mâles avaient chacun à leur disposition un harem rempli de femmes, dont le nombre dépassant parfois la centaine.
À la suite d’un article sous le titre de « The Princess Of Miami » publié par Miami New Time, alors, pour contester ce qu’elle a dit, dans son interview, un lecteur a envoyé ceci :
The story she told you of her youth sounds far fetched. I went to school with 2 descendents of the royal family of Vietnam and they told me that they have never heard of her. My friends invite me to attend the Royal Family Organization reunion next March 2013 in Los Angeles. They have never seen or heard of her.Dans un autre interview, elle a aussi dit :
« It is true that Americans tend to think of Vietnam as the Vietnam War, which is unfortunate, » Thi-Nga said. « I’d like to take this opportunity to express my gratitude to the American families and American soldiers who came to Vietnam to help save Vietnam. »Read more: Vietnamese Princess Embraces Cuban Exiles In South Fla. | WPBF Home – WPBF Home
Mais voyons, votre altesse ! Ne vous en faites pas SVP. Car ces soldats américains ne faisaient qu’accomplir leur devoir en obéissant à leurs dirigeants qui les y ont envoyés. Alors que pour eux, peu import que ce fût au Vietnam ou ailleurs.
Enfin, soyez digne comme votre cousine, Tôn Nữ Thị Ninh (si on peut le dire), qui a beaucoup fait afin que la position du Vietnam soit élevée parmi les nations.
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25 octobre 2012 à 20h11 #152364
@Bao Nhân 151097 wrote:
Oui, ils et elles sont tellement nombreux qu’ils s’ignorent parfois l’existence des uns et des autres. Et concernant les descendants de bâtards, sachez qu’autrefois, les empereurs et leurs entourages mâles avaient chacun à leur disposition un harem rempli de femmes, dont le nombre dépassant parfois la centaine.
…
Bonsoir Bao Nhân,
Voilà une histoire réelle que j’ai connue personnellement :
Une antiquaire bruxelloise (veuve) de mes relations – l’aristocratique Madame de…- allait succomber aux charmes épistolaires – des lettres enflammées et très poétiques en vietnamien que je devais traduire – d’un de ces princes qui draguait dans les annonces matrimoniales du Chasseur Français.
Sur mes conseils, elle engagea quand même un détective privé pour enquêter sur son mystérieux amoureux exotique.
Et le verdict tomba : le monsieur soi-disant prince Tôn thất Machin avait déjà fait plusieurs riches victimes sur la Côte d’Azur. Son merveilleux titre de prince faisait rêver !
Ma vieille amie (j’étais encore très jeune à l’époque) avait beaucoup de mal à se débarrasser ensuite de cet individu qui la relançait sans arrêt – en français, s’il vous plaît !
J’en ris encore aujourd’hui !
Dông Phong -
27 octobre 2012 à 7h26 #152414
Certaint rois Nguyen était impuissant, certains etaient très prolifiques.
Lequel déja ?
* un harem de 300 concubines ( assez prochent des prostituées)
* Une nuit, 5 concubines, 4 grossessesBref, des dames Tôn nữ ou des messieurs Tôn thất, il en fabriquait 12 à la semaine 😆
Avant d’être rétablis par les « Francais 1946 » colonialistes 1946, Bao Daï avait lui même échoué dans un bordel à Hong Kong.
Alors le destin des dames Tôn nữ et des messieurs Tôn thất issus des rois antérieurs doit être très varié.« He was born Nguyen Phuc Anh in 1762. At the time, the Nguyen family (in Southeast Asia the family name precedes the personal name) was powerful. It controlled most of the southern half of what is today Vietnam and had been in a position of power since the 1400s. But when Phuc Anh was fourteen years old, his entire family was massacred in the peasant uprising known as the Tay Son rebellion. The only one to escape, Phuc Anh was whisked into hiding by loyal courtiers, and spent his teens under the protection of the King of Siam (now Thailand). In hiding, he plotted his revenge.
In the late 1700s, Phuc Anh sent his seven-year-old son to Versailles to cultivate an alliance with King Louis XVI. Later, armed by the French, the son waged war on the usurpers, regained power, and declared himself emperor in 1802. «
le journaliste s’est emelé un peu.Le fils Canh ne sert que de preuve. il n’a pas vraiment de rôle actif.
Mais surtout « the peasant uprising known as the Tay Son rebellion » s’était établi comme une nouvelle une dynastie alors que les Nguyen n’étaient que Shogun du Sud (seigneurs)
Et les Tay Son étaient bien plus modernes mais ils n’aimaient pas les étranger et leur bêtises catholiques.
Alors Gia Long a utilisé les prêtres catholiques militaires pour les renverser. -
27 octobre 2012 à 7h37 #152415
@DédéHeo 151163 wrote:
Certaint rois Nguyen était impuissant, certains etaient très prolifiques.
Lequel déja ?
* un harem de 300 concubines ( assez prochent des prostituées)
* Une nuit, 5 concubines, 4 grossessesBref, des dames Tôn nữ ou des messieurs Tôn thất, il en fabriquait 12 à la semaine
…/QUOTE]
Bonjour Dédé,
C’est ce qu’on raconte de l’empereur Minh Mạng (1791-1841, règne : 1820-1841), le 2ème des Nguyễn, qui a produit, semble-t-il, plus de 150 rejetons.
A son époque, il y avait beaucoup de rhinocéros au VN !
Dông Phong
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28 octobre 2012 à 0h15 #152447
Apparemment son altesse la princesse Thi Nga est métisse viet-tây :
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28 octobre 2012 à 0h16 #152448
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28 octobre 2012 à 5h06 #152453
pas trop… elle est surtout très mure. Elle ne veut pas dire son age. Sur son site, elle met des foto de ses vacances en Grece (hihi visite « diplomatique ») mais c’était il y a très longtemps vu le style des foto :
elle nous a sorti sa généalogie ; son arrière grand père est Mien Tham, l’un des 150 rejetons de l’Empereur Minh Mang
(il y a un poem à 20 mots pour leur donner un nom (ça a du faire plusieurs tours !
voir le wiki de http://en.wikipedia.org/wiki/Minh_Mang
Imperial succession poem
Đế hệ thi
Minh Mạng had many wives and children, he decided to name his descendants (Nguyễn Phước or Nguyễn Phúc: all members of the Nguyễn Dynasty) by choosing the Middle name following the words of the Imperial succession poem to avoid confusion. For boys, the following poem is shown in Chữ Quốc Ngữ (modern Vietnamese script) and in chữ nôm:
Đế Hệ Thi
Miên Hồng Ưng Bửu Vĩnh
Bảo Quý Định Long Trường
Hiền Năng Kham Kế Thuật
Thế Thoại Quốc Gia Xương.帝系詩
綿洪膺寶永
保貴定隆長
賢能堪繼述
世瑞國嘉昌The meaning of each name is roughly given as follows:
Name . ! . Meaning
Miên respecting above all the rules of life, such as meeting & parting, life & death (trường cửu phước duyên trên hết)
Hồng building a harmonious family (oai hùng đúc kết thế gia)
Ưng establishing a prosperous country (nên danh xây dựng sơn hà)
Bửu being helpful and caring toward the common people (bối bâu lợi tha quần chúng)
Vĩnh having a good reputation (bền khí hùng ca anh tụng)
Bảo being courageous (ôm lòng khí dũng bình sanh)
Quý being elegant (cao sang vinh hạnh công thành)
Định being decisive (tiền quyết thi hành oanh liệt)
Long having a typically royal appearance (vương tướng rồng tiên nối nghiệp)
Trường being long-lasting (Vĩnh cửu nối nghiệp nối dòng)
Hiền being humane (tài đức phúc âm soi sáng)
Năng being talented (gương soi khuôn phép bờ cõi)
Kham being hard-working and versatile (đảm đương mọi cơ cấu giỏi)
Kế being well-organized (hoạch sách mây khói cân phân)
Thuật being truthful in speech (biên chép lời đúng ý dân)
Thế being faithful to the family (mãi thọ cận thân gia tộc)
Thoại being wealthy (ngọc quý tha hồ phước tộc)
Quốc (dân phục nhắm gốc giang sanc)
Gia being well-established (muôn nhà Nguyễn vẫn huy hoàng)
Xương bringing prosperity to the world (Phồn thịnh bình an thiên hạ)Girls receive also a different name on each generation, for example: Công-Chúa, Công-Nữ, Công Tôn-Nữ, Công-Huyền Tôn-Nữ, Lai-Huyền Tôn-Nữ.
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28 octobre 2012 à 14h28 #152468
@DédéHeo 151206 wrote:
pas trop… elle est surtout très mure. Elle ne veut pas dire son age. Sur son site, elle met des foto de ses vacances en Grece (hihi visite « diplomatique ») mais c’était il y a très longtemps vu le style des foto .Elle nous a sorti sa généalogie ; son arrière grand père est Mien Tham, l’un des 150 rejetons de l’Empereur Minh Mang
(il y a un poème à 20 mots pour leur donner un nom (ça a du faire plusieurs tours !
voir le wiki de Minh Mang – Wikipedia, the free encyclopediaIl y a des erreurs dans la traduction du poème :
the following poem is shown in Chữ Quốc Ngữ (modern Vietnamese script) and in chữ nôm:Đế Hệ Thi
Miên Hồng Ưng Bửu Vĩnh
Bảo Quý Định Long Trường
Hiền Năng Kham Kế Thuật
Thế Thế Quốc Gia Xương.
帝系詩
綿洪膺寶永
保貴定隆長
賢能堪繼述
世瑞國嘉昌
Les caractères sont des Caractères Han et non nôm
Les explications des mots sont parfois erronées ou fumeuses
_ Miên =longue durée ;Hồng= magnifique ;Ưng = accepter ( la mission ); Bửu ou Bảo= trésor ;Vĩnh = éternel
Bảo = assurer ;Quý= précieux ,noble ;Định= stable ; Long= prospère ; Trường = longue distance
Hiền= sage ; Năng= capacité ; Kham=supporter ;Kế = succéder ; Thuật= suivre l’exemple
Thế = monde ; thoai = erreur , c’est thụy = jade ; Gia= beau ; Xương = lumineux
_ le roi impuissant , c’était Tự đức , son prénom Hồng Nhậm
_ Duy tân , prénom Vĩnh San
_ Bảo đại = Vĩnh Thụy ; il était cousin de Duy Tân , c’était un usurpateur placé sur le trône par les colonialistes
_ le fils de Bảo Dai = Bảo Long -
29 octobre 2012 à 11h33 #152485
Qui trouve la date de naissance de la Princesse ?
**************************************
Ung Thi (14 October 1913 – 10 February 2001) was a prominent Vietnamese business man who, together with his wife Nguyen Thi Nguyet Nga, built and operated the Rex Hotel and Cinema in Ho Chi Minh City. After the Fall of Saigon, Ung Thi sought refuge in France where he lived until his death.He was born Nguyễn Phúc Ung Thi into the Nguyễn Dynasty, the last ruling monarchy of Vietnam. His grandfather was the renowned poet Tung Thien Vuong. His father, Hong Khang, founded the Lac Tinh Vien in Huế.
In World War II, he voluntarily enlisted into the army and served alongside Duong Van Minh in Savannakhet, Laos. He gained his law degree and worked as administrator for the Compagnie des Chemin de Fer in Hanoi. He was subsequently appointed as chief aide to the French Resident Superieur in Hanoi.
In 1946, Ung Thi married Nguyen Thi Nguyet Nga, great-granddaughter of Hoang Cao Khai, Viceroy of Tonkin, and had seven children.
Rex Hotel and Cinema
Ung Thi and his family moved from Hanoi to Saigon in 1954, following the Geneva Convention. He built and operated the Dai Nam Cinema. In his daily commute, he passed in front of the Bainier Auto Center, in the heart of the city and was interested to acquire this prime location but it was not for sale.
One day in 1961, Ung Thi took his daughter to tea and learned that the Bainier property might be on sale. He purchased the lot and built the Rex Hotel and Cinema. The building was modern for its time and featured a large screen theater and the first escalator in Vietnam. It was the leading hotel and cinema in Vietnam.
During the Vietnam War, the hotel was rented to the United States Information Agency, where it became a center of activity for military leaders and international journalists. In 1972, Ung Thi renovated the property and added two mini theaters, a coffee shop, a shopping mall and dance hall.
In early 1975, Ung Thi’s wife went to Europe to source for interior design supplies and could not return because of the advance of the Viet Cong. After the Fall of Saigon on April 30, 1975, Ung Thi had to surrender under duress his properties to the Government. In 1976, Ung Thi joined his wife and children in France.
********************[IMG]http://princessthingafoundation.org/EVENTS/Ballet%20imperial/GQ1Z7890.JPG[/IMG]
[IMG]http://princessthingafoundation.org/EVENTS/Ballet%20imperial/De45.JPG[/IMG]
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29 octobre 2012 à 16h22 #152494
@DédéHeo 151250 wrote:
[IMG]http://princessthingafoundation.org/EVENTS/Ballet%20imperial/De45.JPG[/IMG]
Son altesse la princesse Ton Nu Thi Nga doit être de très grande taille.
Une fois à Huê, j’ai posé quelques questions à propos des descendants de la famille royale en exil à l’étranger, le guide répondait à mes questions en commençant par sa question : « ah bon ! tu ne sais vraiment pas qu’ils sont déjà devenus physiquement et mentalement Tây ? ». Et puis, il continue : « Oui, certains sont revenus juste pour visiter l’ancienne capitale impériale, mais on ne les prend plus au sérieux. »
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29 octobre 2012 à 21h12 #152498
@DédéHeo 151250 wrote:
Qui trouve la date de naissance de la Princesse ?
**************************************
Ung Thi (14 October 1913 – 10 February 2001) was a prominent Vietnamese business man who, together with his wife Nguyen Thi Nguyet Nga, built and operated the Rex Hotel and Cinema in Ho Chi Minh City. After the Fall of Saigon, Ung Thi sought refuge in France where he lived until his death.He was born Nguyễn Phúc Ung Thi into the Nguyễn Dynasty, the last ruling monarchy of Vietnam. His grandfather was the renowned poet Tung Thien Vuong. His father, Hong Khang, founded the Lac Tinh Vien in Huế.
In World War II, he voluntarily enlisted into the army and served alongside Duong Van Minh in Savannakhet, Laos. He gained his law degree and worked as administrator for the Compagnie des Chemin de Fer in Hanoi. He was subsequently appointed as chief aide to the French Resident Superieur in Hanoi.In 1946, Ung Thi married Nguyen Thi Nguyet Nga, great-granddaughter of Hoang Cao Khai, Viceroy of Tonkin, and had seven children._ au lieu de suivre l’exemple de Hàm Nghi et Duy Tân , Ung Thi est allé servir les colonialistes
_ l’ancêtre de sa femme , Hoàng cao Khai était le super traitre , siêu Viêt gian , adversaire de Phan dinh Phùng
_ Bao Dai faisait partie de la branche cadette , on lui a fait usurper le trône pour diviser la famille royale . Il a été kidnappé dans son enfance et élevé par un résident colonial qui l’a initié à une vie de débauche ( alccol , jeu ,femmes , etc.. ); le pauvre ne savait même plus parler couramment le VN .Pour élargir sa base politique il a épousé Nam Phuong qui est la fille d’un grand propriétaire terrien catholique du sud VN , faisant partie de la classe des compradores au service des intérêts colonialistes
_ La dame Thi Nga , issue de la réunion de deux courants de Viêt gian doit être du même acabit , elle ne doit connaitre aucun mot de VN , ne doit fréquenter que des occidentaux en tant que banane pur porc .Elle remercie les soldats US pour être venus sauver le VN d’après elle , alors qu’ils ont perpétré des crimes génocidaires ; quelle déchéance pour des descendants directs de Minh Mang -
29 octobre 2012 à 22h23 #152499
@HAN VIËT 151265 wrote:
_ au lieu de suivre l’exemple de Hàm Nghi et Duy Tân , Ung T
_ Bao Dai faisait partie de la branche cadette , on lui a fait usurper le trône pour diviser la famille royale . Il a été kidnappé dans son enfance et élevé par un résident colonial qui l’a initié à une vie de débauche ( alccol , jeu ,femmes , etc.. ); le pauvre ne savait même plus parler couramment le VN .Pour élargir sa base politique il a épousé Nam Phuong qui est la fille d’un grand propriétaire terrien catholique du sud VN , faisant partie de la classe des compradores au service des intérêts colonialistesIl y a même des rumeurs qui disaient que c’est Paul Doumer, l’ancien gouverneur général de l’Indochine, qui est le vrai père de l’empereur Bao Dai.
PHT
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30 octobre 2012 à 10h37 #152505
151250]Qui trouve la date de naissance de la Princesse ?
**************************************
Ung Thi (14 October 1913 – 10 February 2001) en 1946, se marie à Nguyen Thi Nguyet Nga, great-granddaughter of Hoang Cao Khai, Viceroy of Tonkin, and had seven children…Les enfants sont née probablement en 1947, 49, 51, 53, 55, 57, 59
La dame Thi Nha dit qu’elle est née à Saïgon. Donc après que la famille quitte Hanoi s’installe en 1954« One day in 1961, Ung Thi took his daughter to tea… » Celle là ?
Donc elle est probablement née en 1955 !
[IMG]http://princessthingafoundation.org/EVENTS/Ballet%20imperial/GQ1Z7890.JPG[/IMG]
Bao Nhân : Apparemment son altesse la princesse Thi Nga est métisse viet-tây
DDH : Non non ! Y a que des Viêts Viêts dans les parents…Supposons qu’elle soit née à Saïgon en 1955, elle est très Nip/Tuck avec des jolis nichons en silicone de luxe de la clinique McNamara et Christian Troy de Miami. Elle est blonde comme ses copines très mûres.
Bao Nhân : Son altesse la princesse Ton Nu Thi Nga doit être de très grande taille.
Une fois à Huê, j’ai posé quelques questions à propos des descendants de la famille royale en exil à l’étranger, le guide répondait à mes questions en commençant par sa question : « ah bon ! tu ne sais vraiment pas qu’ils sont déjà devenus physiquement et mentalement Tây ? »
DDH : C’est vrai et je vois sur cette foto qu’elle à une duyen latin ? Comment est-ce possible ?
@HAN VIËT 151265 wrote:
_ au lieu de suivre l’exemple de Hàm Nghi et Duy Tân , Ung Thi est allé servir les colonialistes
(notaDD: Puis il loue son hotel Rex aux Américains comme quartier générale de la CIA)
_ l’ancêtre de sa femme , Hoàng cao Khai était le super traitre , siêu Viêt gian , adversaire de Phan dinh Phùng
(***)
_ La dame Thi Nga , issue de la réunion de deux courants de Viêt gian doit être du même acabit , elle ne doit connaitre aucun mot de VN , ne doit fréquenter que des occidentaux en tant que banane pur porc .Elle remercie les soldats US pour être venus sauver le VN d’après elle , alors qu’ils ont perpétré des crimes génocidaires ; quelle déchéance pour des descendants directs de Minh Mang…Elle dit qu’elle parle avec l’accent du Nord, du centre et du Sud, c’est bien possible…
La dame Thi Nga met Monsignor Pigneau de Béhaine dans sa page bio Princess Thi-Nga of Vietnam
et une page l’archevêque : Monsignor Pigneau de Béhaine
Avec l’histoire des 2 seconds, ces officiers français qui deviennent des généraux du roi Gia LOngJean-Marie Dayot (left) took a leading role in the Navy of Prince Nguyen Anh.
(***)
Jean-Baptiste Chaigneau in mixed Franco-Vietnamese uniform.Jean-Baptiste Chaigneau (1769, Lorient, Brittany-1832 Lorient) – Général de l’armée du Nord, marquis de Thang-Duc, ministre la Marine et Grand mandarin, 25 années au service du roi Gia Long, il a pris le nom vietnamien de Nguyễn Văn Thắng (阮文勝) et est considéré comme un membre de la de la famille impériale.
Parmi les autres grands mandarins truong co, membres de la dynastie Nguyen, il y a aussi Philippe Vannier, de Forsans et Despiau.
Et çà se passe un siècle avant la colonisation ! Ils ont du avoir tous les droits d’agrandir la famille royale avec plein de petits métisses, ces gens là !
Euréka ! Le siêu Viêt gian, super traitre est justement l’empereur Minh Mang ou Nguyễn Thánh Tổ (阮聖祖):
Monsieur à des épouses et des concubines lesquels sont simplement choisies parmi les jolies filles de Huê ; des métisses de noble origine ?
On ne dit pas qui est la concubine de Ming Mang qui à pondu son arrière grand père de prince Tùng Thiện Vương (松善王) ou Miên Thẩm (綿審). le 10ème fils de l’Empereur Minh Mạng ?
D’après son wiki, c’est cette dame Nguyễn Thị Bửu (1801-1851). Cette concubine de Minh Mạng n’est-elle pas métisse par les marins français de la cour impériale ?
Michel Chaigneau, le fils, a publié en 1867 : Souvenirs de Hué.
Voir aussi :
* André Salles, Un Mandarin breton au service du Roi de Cochinchine. Jean-Baptiste Chaigneau et sa famille, Hanoï, 1923, réédition en 2006, Les Portes du large, Rennes. ISBN 2-914612-01-X
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30 octobre 2012 à 12h19 #152513
Et un de plus !
Jean-Baptiste Chaigneau n’a pas de wiki viêt mais a un wiki français, anglais et chinois !
Merci les Chinois ; j’apprends que :Jean-Baptiste Chaigneau a épousé la princesse catholiques Ho Thi Huê. (ils ont une descendance nombreuse en Bretagne)
Et l’existence d’un autre général français de la dynastie Nguyen : 勞倫·巴里茲 Lauren Bali Zi (Laurent Barizy). Nguyen Anh le fait Marquis , sous le nom de Thien-Tri
Histoire de l’ile de Groix et de la famille Gourong
Laurent André Barisy, est né à Port – Louis, le 8 novembre 1769 mais il est originaire de Groix. En effet son grand-père Noble Homme Jean Jacques, sieur de Kerloret, né en 1697 à Locmalo (Guéméné:scorff) s’est marié avec Marie Anne Sainte Le Lidour, fille de joseph Le Lidour, sieur du Fossé et Renée Vallée, à Groix le 16 février 1722, il est en 1751 propriétaire de presses à sardines à Port Tudy de Groix. Toutefois son arrière grand-père Jacques est probablement originaire de Bruix. (?)
Devant lui s’ouvre un destin tout tracé; son père est officier de la compagnie des Indes.
Laurent André dès 17 ans sera marin de commerce. Il commande un lougre royal « l’Oiseau » puis à 18 ans second lieutenant sur un vaisseau de transport.
A 19 ans, il découvre un autre Port- Louis, le fameux port de l’île Maurice dans l’océan Indien. en 1789, il a 20 ans, il rentre en France lors de la 1ére année de la révolution
A 21 ans, il est commandant de l’ile de Groix
1791, la répression commence et avec elle un destin tragique pour sa famille: un oncle, gouverneur à Toulon, est égorgé; un second, commandant à Lorient, est proscrit; un 3éme, (Alexis) prêtre est jeté en prison. Et la série continue, l’un de ses beaux-frères est exécuté et un cousin pendu.
Laurent s’enfuit d’abord en Turquie, puis en Inde, ou il tombe aux mains de pirates malais. A 24 ans; il trouve refuge en Cochinchine auprès de Nguyen-Anh, pour lui commence une nouvelle vie qui ne sera pas de tout repos.
Nguyen-Anh, utilise les compétences de son protégé. Laurent Barisy, marin de commerce, aura la responsabilité de l’approvisionnement de la Cochinchine en guerre. Il va des Indes aux Philippines, en Malaisie, à Manille, à Malacca pour équiper les 200 000 hommes de terre et de mer. Pendant ce temps Ngyen-Anh s’endette auprés de la compagnie des Indes, qui lui avance 270 000 piastres.
Laurent devient un vrai Cochinchinois. Il épouse sa « Congaï. » (concubine en Indochine). Elle lui donne plusieurs enfants. Nguyen-Anh le fait Marquis , sous le nom de Thien-Tri (ce qui signifie : Droit et sincère)
Laurent porte entre autres les titres de d’ Envoyé Royal puis d’Envoyé Impérial. Les madarins jaloux l’accuse en l’absence de son protecteur (de vol, d’empoisonnements, et d’assassinat). Il est condanné à la guangue. Il restera une semaine en cet état, jusqu’au retour du prince . Il pardonne à ses détracteurs.
Mais un autre ennemi guette : l’Anglais. En 1797, l’affaire fera grand bruit; à Calcutta, un capitaine de vaisseau anglais du nom de « Thomas » saisit son navire l’Armide et s’empare de la personne de Laurent. Cet acte de piraterie portuaire soulève un problème de droit maritime et entraîne un acte diplomatique au plus haut niveau. Ngyen-Anh est furieux .
Le gouverneur général des Indes Cornwallis reste perplexe, il n’a pas oublié sa rédition à Yorktown, en 1781 et ceci devant les troupes Franco-Américaines, mais de là à se venger sur un officier francais et de plus breton !!! De plus la France n’est plus une ennemie de l’Angleterre et en Inde, il ne reste plus que 5 comptoirs à la France: Pondichéry, Chandernagor, Yanaon Karikal, Mahé.
Cornwallis fera libérer Laurent Barisy avec toutes les excuses dues à son rang. L’Armide réparée et rendue à son capitaine
Laurent devient Lieutenant -Colonel des armées du roi, il participe aux opérations terrestres, notamment à la prise de Tourane le 8 mars 1801. Le 15 juin 1801 Ngyen-Anh fait son entrée dans la capitale de l’Annam qu’il a quittée en 1775. La rébellion Tayson est écrasée et Laurent assiste a son triomphe.
Mais le bouillant Breton n’assistera pas pas à l’entrée dans Hanoï. Il mourra le 23 juillet 1802.
Ngyen-Anh prendra le nom d’empereur de Gia-Long (l’unificateur du Vietnam.)
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30 octobre 2012 à 13h10 #152512
@DédéHeo 151282 wrote:
Et un de plus !
Jean-Baptiste Chaigneau n’a pas de wiki viêt mais a un wiki français, anglais et chinois !
Merci les Chinois ; j’apprends que :Jean-Baptiste Chaigneau a épousé la princesse catholiques Ho Thi Huê. (ils ont une descendance nombreuse en Bretagne)
…
Bonjour Dédé et TLM,
Jean-Baptiste Chaigneau et Philippe Vannier sont enterrés pas loin de chez moi au cimetière du Carnel à Lorient.
Et il y avait plusieurs autres Bretons dans la bande de mercenaires amenée par Mgr Pigneau de Behaine à Gia Long.
Entre nous les Bretons, avec ou sans chapeau rond….
Dông Phong -
31 octobre 2012 à 16h55 #152539
Jean-Baptiste Chaigneau, qui fut grand mandarin, puis premier consul de France à la Cochinchine, naquit à Lorient, mais il n’était pas Breton de vieille souche.
Son grand-père, François Chaigneau est né le 27 février 1687 à Cadillac-sur-Garonne, village situé à 30 kil. en amont de Bordeaux.
Ces Bretons ont eu quelques problèmes de reproduction. Leurs dames Annamites procréaient bien mais les enfants meurent tôt du choléra ou de maladie qu’ils attrapent au cours de leurs voyages. Des filles qui survivent deviennent bonnes-sœur et aux dernières nouvelles de 1923, ils n’auraient qu’une fille avec une descendance en France.
C’est une histoire bien moins drôle que ne le laissait espérer le wiki.
J.B Chaigneau s’est remarié avec la fille unique de Laurent Barisy.
En 1923, il ne restait que 2 arrières petit fils : Michel-Marie-Jack Royot de Chaigneau, âgé de 15 ans, et Franck-Duc-Paul, son cadet, âgé de 10 ans.Ces deux garçons sont aujourd’hui tout l’espoir de la descendance du grand mandarin dont ils relèvent le nom, s’appelant désormais, à l’état civil, Royot de Chaigneau.
Je me demande si la lignée a survécu ?
Les autres Bretons ont-ils fait mieux ?
Le Bulletin des Amis du Vieux Hue Vol. 1, Jan-Mar 1923
JEAN-BAPTISTE CHAIGNEAU ET SA FAMILLE
Par A. SALLES,
Inspecteur des Colonies en retraite,LE PREMIER MARIAGE DE J.-B. CHAIGNEAU ET SA DESCENDANCE
La première Madame Chaigneau, Annamite catholique née Mlle Benoîte Hô-Thi-Huê ; appartenant à une famille catholique domiciliée sur la chrétienté de Tho-Duc, dans la banlieue de Hué,
au village de Phuoc-Qua Phu-Cam près de HuéDe cette union, naquirent onze enfants, en 13 ans , d’août 1802 à septembre 1815 mais six sont, morts en bas âge.
En 1820, Jean-Baptiste a conduit en France cinq enfants issus de son premier mariage.Le premier des enfants de Jean-Baptiste et de Benoîte Huê, fut aussi le dernier vivant : né à Hué le 25 juin 1803, il ne mourut que 91 ans plus tard, à Paris. Mais il n’a pas eu d’enfant.
Michel Duc tenait du type annamite par sa chère mère ; cela correspond à ce que le roi Gia-Long disait un jour, en riant, à J.-B. Chaigneau : « Vous avez fait à ce garçon un nez un peu cochinchinois »
LE SECOND MARIAGE DE J.-B. CHAIGNEAU ET SA DESCENDANCEJ.-B. Chaigneau, quand il devint veuf, en 1815, avait cinq enfants vivant, quatre garçons, Michel, Joseph, Pierre et François, et une fille, Anne Trinh. D’autre part, il avait recueilli la fillette de Laurent-Estiennet Barisy, à la mort de celui-ci en 1801 ou 1802. Barisy était un ami d’enfance ; sa veuve annamite se trouva sans ressources, avec une enfant sur les bras, car l’empereur Gia-Long fit saisir tous les biens et les remit, pour assurer le règlement de compte, à la compagnie anglaise dont Barisy était le représentant. Chaigneau se chargea de la petite Hélène quand la mère mourut ou se remaria.
Hélène Barisy, née à Saigon, vers 1800, grandit ainsi dans la maison de Phu-Cam, plus âgée de trois ans que l’aîné des enfants de J.-B. Chaigneau.
A la mort de Benoîte Hue, Chaigneau subit évidemment un grand vide ; sa femme gouvernait la maison, qui était remplie d’enfants et de nombreux serviteurs, sans compter les cinquante hommes de garde qui, chacun, avait sans doute sa famille. Aussi, quand il vit Hélène, à 17 ans, apte à le représenter vis-à-vis de tout ce personnel, songeat-il à assurer l’avenir de sa pupille en même temps que l’ordre dans sa maison, en l’épousant malgré qu’il eût trente ans de plus qu’elle.
« Mgr. de Véren, évêque de cette mission, M. Vannier, les missionnaires français et toutes les personnes qui avaient de l’amitié pour moi m’ont engagé à me remarier avec cette petite fille de M. Laurent Barizy, ce que j’ai fait, » écrivit-il à son frère aîné, le 1er décembre 1817, quand se forma en son esprit le premier projet de retour en France. Le mariage fut béni par Mgr. Labartette le 15 janvier 1817, en l’église de Phu-Cam, Vannier servant de témoin à son ami Chaigneau.
Le 6 décembre suivant naquit Louis Thuong qui eut Michel Ðuc pour parrain. Il fit le voyage de France en 1820 ; mais en mars 1825, il fut emporté par une attaque foudroyante de choléra, pendant le séjour d’attente à Saigon lors du départ définitif.
Puis vint Henri Quang mais il ne vécut que quatre mois et quelques jours (juillet-novembre 1819).
La date de son décès, 13 novembre 1819, coïncide avec la date de l’appareillage de Tourane, à bord du Henri.
Hélène Barisy suivit son mari en France, avec ses enfants. A l’arrivée à Bordeaux, elle était « grosse de six mois » (6). L’enfant vint au monde à Albi, le 14 juin 1820, pendant le séjour chez les de Rosières, et reçut le prénom de Marie. Mais son existence dut être courte.
Durant le nouveau séjour en Cochinchine, Madame Chaigneau donna le jour à un autre garçon qui fut dénommé Jean, le seul enfant de J.-B. Chaigneau qui ait constitué une descendance encore aujourd’hui vivace.
Plus tard, à Lorient, Madame Chaigneau eut encore deux enfants :
Une fille, en 1826, Marie, qui alla trente ans plus tard mourir à Naples comme sœur de St-Vincent de Paul, et, en 1828, un garçon, Edouard, qui ne vécut pas deux ans, le dernier de cette belle lignée des 17 rejetons du mandarin Chaigneau.Hélène Barisy, après la mort de son mari, continua à vivre à, Lorient, y élevant les deux enfants qui lui restaient, Jean et Marie.
Quand Jean et Marie, chacun de son côté, vers 1840-45, s’éloignèrent, Jean pour faire ses études de droit à Rennes, Marie pour suivre sa vocation religieuse, elle dut souffrir de l’isolement et se retira à la Maison de la Providence, rue de l’Hôpital. C’est là qu’elle mourut, le 17 septembre 1853 ; elle a rejoint son mari au cimetière de Carnel.
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Jean, son fils, né à Hué le 8 avril 1822, fit ses études au collège de Lorient. Il fut d’abord candidat au commissariat de la Marine, puis se tourna vers l’étude du droit, obtint sa licence et se fit inscrire au barreau de Rennes. Il fut admis notaire à Vannes en 1847 ; mais, en décembre 1851, il entra dans le personnel de la préfecture d’Ille-et-Vilaine, et y devint chef de division en 1858. Il occupa ensuite pendant plus de vingt ans (1861-1880) le poste de secrétaire général de la mairie de Rennes, qu’il dut quitter pour des motifs d’ordre politique. Il s’installa alors à Paris, comme agent général d’une compagnie d’assurances ; il est mort dans le 15e arrondissement, le 9 octobre 1892.Il s’était marié à Rennes, le 18 septembre 1844, avec Mlle Aline-Anne Jolys, fille d’un notaire de la ville.
De ce mariage sont issus huit enfants. Deux vécurent très peu,(…)Des enfants de Jean Chaigneau, une seule, Noémi, seconde née, morte en 1883, a laissé une descendance qui est aujourd’hui encore pleine d’avenir. De son mariage avec Claude Royot, juge de paix, elle eut deux fils :
Maurice Royott, mort à 20 ans.
Symphorien Royot, actuellement inspecteur général du Lloyd de France à Vannes, de qui, par son mariage avec Mlle Brochard, sont issus deux fils : Michel-Marie-Jack, âgé de 15 ans, et Franck-Duc-Paul, son cadet, âge 10 ans.
Ces deux garçons sont aujourd’hui tout l’espoir de la descendance du grand mandarin dont ils relèvent le nom, s’appelant désormais, à l’état civil, Royot de Chaigneau.
Il y a là un hommage familial auquel les coloniaux indochinois sont heureux de s’associer, en souvenir des services émérites rendus par Jean-Baptiste Chaigneau à la France et à l’Annam. -
8 novembre 2012 à 2h50 #152788
@Bao Nhân 151266 wrote:
Il y a même des rumeurs qui disaient que c’est Paul Doumer, l’ancien gouverneur général de l’Indochine, qui est le vrai père de l’empereur Bao Dai.
PHT
C’est pas du tout ça. L’empereur Bao Dai est bel et bien 100% vietnamien.
Par contre, les personnes descendantes de la vraie lignée (pur sang) royale (régnante ou non régnantes) savent très bien que le roi KHAI DINH était stérile. Boa Dai n’est pas de sang royal, il est le fils d’une des concubines du Roi Khai DInh et d’un intendant. Il a été mis au trône par les français et le Roi Khai Dinh l’a adopté.
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