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Les prostituées enfin LIBÉRÉES !

Actualités Vietnam L’actualité générale du Vietnam Les prostituées enfin LIBÉRÉES !

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    • #152225

      Je ne retrouve pas le nom de la dame chinoise qui a été libérée d’une détention abusive en camp de rééducation par le travail après y avoir été envoyée par la police pour se venger d’avoir fait condamné un ripoux.

      Les peines de rééducation par le travail sont une forme de sanction administrative émises par la police, plutôt que par le système judiciaire. C’est ce qu’on reproche à ces camps de travail.

      Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (juillet 2007).
      La forme ou le fond de cet article est à vérifier.

      Lao jiao (rééducation par le travail) est un système des détentions administrative en la République populaire de Chine. Il est généralement employé pour détenir des personnes pour des crimes mineurs tels que petits vols, prostitution, et trafic de drogue. Lao jiao est différent de Lao gai, qui désigne une prison et signifie camp de réforme par le travail. La durée de détention ne dépasse pas quatre ans.

      Le gouvernement chinois proposa en mars de 2007 de l’abolir, dans un effort d’améliorer des Droits de l’Homme. Le China Labor Bulletin estime qu’ il y a actuellement plus de 300 000 détenus dans les laojiao. Dans sa proposition d’abrogation de cette loi, le gouvernement chinois ne prend pas seulement en compte la question des Droits de l’Homme. Il devra également faire face aux problèmes économiques liés à la perte de 300 000 ouvriers travaillant sans aucun salaire.

      Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Reeducation through labor »
      Re-education through labor – Wikipedia, the free encyclopedia
      This page was last modified on 15 June 2012
      (notaDD: la dame dont je parle a été libérée à une date plus récente que la mise à jour de l’article ; vers septembre 2012.)
      L’article en anglais a une « médaille d’argent » qui signale un article de qualité.

      Re-education through labor (RTL) (simplified Chinese: 劳动教养 ; pinyin: láodòng jiàoyǎng), abbreviated (simplified Chinese: 劳教; pinyin: láojiào) is a system of administrative detentions in the People’s Republic of China which is generally used to detain persons for minor crimes such as petty theft, prostitution, and trafficking illegal drugs, as well as religious or political dissidents such as unregistered Christians or Falun Gong adherents. Sentences typically span one to three years, with the possibility of an additional one-year extension. Re-education through labor sentences are issued as a form of administrative punishment by police, rather than through the judicial system. While incarcerated, detainees are often subject to some form of political education. Torture, sometimes resulting in death, has also been reported in labor camps. The re-education through labor system has been in place since 1957 and was subjected to minor reforms by the Chinese government in 2007. Estimates on the number of RTL detainees on any given year ranges from 190,000 to 2 million. China Daily in 2007 estimated that there were a total of 310 re-education centers in China at that time.
      Voir la suite sur le wiki

    • #152228

      @DédéHeo 150938 wrote:


      Les peines de rééducation par le travail sont une forme de sanction administrative émises par la police, plutôt que par le système judiciaire. C’est ce qu’on reproche à ces camps de travail.

      Bonjour Dédé,
      Ci-après, un article de Human Rights Watch (septembre 2011) sur les « camps de rééducation » pour drogués au VN.
      Dông Phong

      [h=6]Vietnam : Torture et travail forcé dans les centres de détention pour toxicomanes[/h]
      (Bangkok, le 7 septembre 2011) *– Les personnes détenues par la police au Vietnam pour utilisation de drogue sont détenues sans procédure régulière pendant des années, contraintes à travailler pour un salaire faible ou inexistant, et subissent la torture et la violence physique, a déclaré Human Rights Watch dans un rapport publié aujourd’hui. Les centres de détention pour drogués gérés par le gouvernement, mandatés pour « traiter » et « réhabiliter » les utilisateurs de drogues, ne sont rien de plus que des camps de travail forcé, où ces personnes travaillent six jours par semaine dans le traitement de noix de cajou, la couture de vêtements ou la fabrication d’autres articles.

      Lire la suite sur : H

    • #152248

      En Belgique, ils ont estimé le coût d’hébergement d’un détenu en respectant à la lettre tous ses droits. C’est le même coût que l’hébergement dans un hôtel 3 étoiles.

      Un pays comme la Belgique n’a plus les moyens pour maintenir ces prisons dans un état acceptable. Alors qu’est ce qu’il fait ? Il relâche les prisonniers ayant des peines de moins de 6 mois.

      Le VN n’a pas les moyens pour payer ce coût non plus, alors ils font travailler les détenus pour amortir. C’est un choix comme un autre.

      Bien sûr, c’est pas bien de détenir les gens sans un jugement équitable. C’est pas bien de les torturer non plus, mais quand ils refusent de travailler pour payer leur logement, qu’est ce qu’il faut faire ? Les relâcher comme font les Belges ?

    • #152250

      @dannyboy 150962 wrote:

      En Belgique, ils ont estimé le coût d’hébergement d’un détenu en respectant à la lettre tous ses droits. C’est le même coût que l’hébergement dans un hôtel 3 étoiles.

      Un pays comme la Belgique n’a plus les moyens pour maintenir ces prisons dans un état acceptable. Alors qu’est ce qu’il fait ? Il relâche les prisonniers ayant des peines de moins de 6 mois.

      Le VN n’a pas les moyens pour payer ce coût non plus, alors ils font travailler les détenus pour amortir. C’est un choix comme un autre.

      Bien sûr, c’est pas bien de détenir les gens sans un jugement équitable. C’est pas bien de les torturer non plus, mais quand ils refusent de travailler pour payer leur logement, qu’est ce qu’il faut faire ? Les relâcher comme font les Belges ?

      Non, il ne s’agit nullement de question purement financière que les camps de rééducation furent créés.

      Un ancien instituteur habitant Hanoi a répondu à ma question concernant ce sujet en disant « il serait injuste que cette vermine soit logé, blanchi et nourri avec l’argent des contribuable qui en sont déjà eux-même les victimes.

      Concernant la durée des peines, d’après lui, alors cela dépend du progrès et de la transformation ainsi que de la prise de conscience du condamné. Car il s’agit de lieux de rééducation par le travail et non des prisons. Et puis, relâcher quelqu’un qui risque de récidiver ce serait un acte irresponsable.

      Enfin, Lénin disait : « celui qui ne travaille pas ne mange pas ».

      PHT

    • #152251

      @dannyboy 150962 wrote:

      En Belgique, ils ont estimé le coût d’hébergement d’un détenu en respectant à la lettre tous ses droits. C’est le même coût que l’hébergement dans un hôtel 3 étoiles.

      Un pays comme la Belgique n’a plus les moyens pour maintenir ces prisons dans un état acceptable. Alors qu’est ce qu’il fait ? Il relâche les prisonniers ayant des peines de moins de 6 mois.

      Le VN n’a pas les moyens pour payer ce coût non plus, alors ils font travailler les détenus pour amortir. C’est un choix comme un autre.

      Bien sûr, c’est pas bien de détenir les gens sans un jugement équitable. C’est pas bien de les torturer non plus, mais quand ils refusent de travailler pour payer leur logement, qu’est ce qu’il faut faire ? Les relâcher comme font les Belges ?

      Pareil aux Etats Unis , la Californie a libéré en 2011 ,autour de 60 000 prisonniers avec des peines légères.Il vaut mieux cela que d’avoir des prisons bondées. par ex: 2 fois plus de prisonniers la capacité prévue. C’est le cas de pratiquement tous les états.Il y a deux fois plus de violences à l’intérieur qu’à l’extérieur. Les viols , meurtres et rackets se sont multipliés. Il est bien plus dangereux d’être dans une prison gardée que dehors dans les quartiers chauds !
      En Arizona , les prisons sont des camps de tentes avec du fils barbelé autour. Bonjour la violence ,la nuit.
      Que fait HRW. C’est vrai qu’on ne peut pas dénoncer son bienfaiteur, ça fait désordre. 😡

    • #152265

      @ngjm95 150965 wrote:

      Que fait HRW. C’est vrai qu’on ne peut pas dénoncer son bienfaiteur, ça fait désordre. 😡

      Mhmhmh… on fait du troll conspirationniste de bas étage ?
      Un petit tour sur le site concerné pour te rendre compte qu’ils dénoncent des tas de choses aux US dont le fonctionnement du système carcéral ?

      Au hasard trouvé sur google vite fait :
      Human Rights Watch condemns US prison system, immigration policy

      Conclusion: ils critiquent les violations des droits humains en Amérique du nord aussi. Mais c’est sûr c’est plus facile de balayer les critiques en décrétant le contraire sans même prendre 2mn pour vérifier.

    • #152269

      Entre leur site en catamini , la Une des journaux et les télés d’après toi quelle est la différence d’impact médiatique auprès des américains?
      Quant aux soupçons de conspiration, t’en fais pas, tout le forum est au courant.

    • #152278

      @Dông Phong 150941 wrote:

      Bonjour Dédé,


      Vietnam : Torture et travail forcé dans les centres de détention pour toxicomanes

      (Bangkok, le 7 septembre 2011) *– Les personnes détenues par la police au Vietnam pour utilisation de drogue sont détenues sans procédure régulière pendant des années, contraintes à travailler pour un salaire faible ou inexistant, et subissent la torture et la violence physique, a déclaré Human Rights Watch dans un rapport publié aujourd’hui. Les centres de détention pour drogués gérés par le gouvernement, mandatés pour « traiter » et « réhabiliter » les utilisateurs de drogues, ne sont rien de plus que des camps de travail forcé, où ces personnes travaillent six jours par semaine dans le traitement de noix de cajou, la couture de vêtements ou la fabrication d’autres articles.

      Lire la suite sur : H

      @Nca78 150984 wrote:

      Mhmhmh… on fait du troll conspirationniste de bas étage ?
      Un petit tour sur le site concerné pour te rendre compte qu’ils dénoncent des tas de choses aux US dont le fonctionnement du système carcéral ?

      Au hasard trouvé sur google vite fait :
      Human Rights Watch condemns US prison system, immigration policy

      Conclusion: ils critiquent les violations des droits humains en Amérique du nord aussi. Mais c’est sûr c’est plus facile de balayer les critiques en décrétant le contraire sans même prendre 2mn pour vérifier.

      @ngjm95 150989 wrote:

      Entre leur site en catamini , la Une des journaux et les télés d’après toi quelle est la différence d’impact médiatique auprès des américains?
      Quant aux soupçons de conspiration, t’en fais pas, tout le forum est au courant.


      Bonjour TLM,
      Si j’ai publié le rapport de HRW sur le Viêt Nam, c’est parce que nous sommes sur un fil de discussion portant sur ce pays.
      HRW surveille tous les pays du monde (ou presque).
      Pour les Etats-Unis, il y a même 2 rubriques concernant
      – leur politique intérieure :
      I
      – leur politique étrangère :
      E
      Et c’est ouvert à tous les media et à tous les internautes !
      Dông Phong

    • #152283

      Don’t Act Dong Phong

      J’ai simplement soulevé le problème d’un traitement différentié de HRW selon les pays.

      HRW par l’intermédiaire de son représentant en Asie n’hésite pas à aller devant les médias pour dénoncer les abus sur les droits de l’homme en prison. Aux Etats_Unis , les mêmes abus n’ étaient dénoncés pour leur grande majorité qu’à travers leur site qui n’offre pas la même résonance. Les Etats _Unis possèdent de loin la plus grande population carcérale du monde devant celle de la Chine , les violences dans les prisons devraient être dénoncées plus souvent dans la presse internationale. Or c’est plutôt l’inverse qui s’est produit.
      _Il y a sept fois plus de monde par tête d’habitant dans les prisons américaines que dans les prisons vietnamiennes. HRW a-t-elle dénoncé sept fois plus les violations américaines devant les grandes médias ?
      Où un vietnamien a-t-il le plus de risque d’être la petite femme des détenus dans les prisons US ou Vietnamiennes ? Et on ne parle pas des brimades quotidiennes ni les viols des détenues par les gardiens etc…

      Carte de la population carcérale

      http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/1/11/Prisoner_population_rate_world_map.png

    • #152284

      @ngjm95 151004 wrote:

      ….

      Moui … pas très convaincu par l’argumentation qui mélange un peu tout…

      Le problème cité par HRW, c’est quand sans jugement tu peux te retrouver dans un endroit fermé et obligé de travailler pour rien. Ce qui était le cas dans l’article cité au dessus, et à priori aussi pour les prostituées dont on parlait dans ce fil de discussion.
      Si on parle de détention arbitraire, le cas le plus similaire aux USA c’est Guantanamo. Et à moins d’être hypocrite on ne peut pas dire que le sujet n’a pas été couvert par les médias en général et par HRW en particulier. Immensément plus que les camps pour drogués au Vietnam sur lesquels je n’avais jamais rien lu.

    • #152285

      @Nca78 151005 wrote:

      Moui … pas très convaincu par l’argumentation qui mélange un peu tout…

      Le problème cité par HRW, c’est quand sans jugement tu peux te retrouver dans un endroit fermé et obligé de travailler pour rien. Ce qui était le cas dans l’article cité au dessus, et à priori aussi pour les prostituées dont on parlait dans ce fil de discussion.
      Si on parle de détention arbitraire, le cas le plus similaire aux USA c’est Guantanamo. Et à moins d’être hypocrite on ne peut pas dire que le sujet n’a pas été couvert par les médias en général et par HRW en particulier. Immensément plus que les camps pour drogués au Vietnam sur lesquels je n’avais jamais rien lu.


      Bonjour Nca78,
      Je crois que vous êtes à HCM-ville, n’est-ce pas ?
      Si oui, ces échanges prouvent alors que des posts sur FV « désagréables » pour la RS du VN sont accessibles aussi chez vous.
      Cela doit rassurer nos gentils modos et certains membres vivant au VN ???!!!
      Dông Phong

    • #152287

      je detient un exemplair secret (origin: gvt vietnan ; km0) The power of sexual surender
      chapter 8
      THE GROWTHN OF LOVE

      C’EST le livre qui s’apel
      « THE POWER OF SEXUAL SURENDER »
      ca vient de la biblliotheque du gouvernenent de la Republic du VN

      The Power of Sexual Surrender

      May 29, 2002

      Marie N. Robinson MD, a Cornell educated psychiatrist devoted her New York City practice to the treatment of frigidity. Her small book, The Power of Sexual Surrender (1958) is the sanest work on feminine psychology ever written. In a world where thousands of self-help books are published, this eloquent guide to sexual health and happiness is out of print. The reason? It is politically incorrect.

      Dr. Robinson writes that a woman’s identity lies in an « essential feminine altruism. » A woman’s self-expression and power is based on making her husband and children her first priority. Similarly, her sexual satisfaction and spiritual fecundity depend on self-surrender.

      Robinson says men and women are different by nature. Men are designed for mastery of the external (physical) world, and women for mastery of the internal (spiritual) world and the home. These are not social stereotypes, as feminists argue. « Women are designed for duties different from those of the marketplace, another kind of stress entirely, » writes Robinson. They « tend to lose their essential womanliness if they stay [in the marketplace] by choice. » (149)

      Dr. Robinson says that millions of American women suffer from frigidity. While she explores many complex causes in detail, she notes that frigid women universally adopt the feminist view. This view (that men exploit woman and a career as a wife and mother is demeaning) creates an « emotional logjam » that impedes sexual response and psychological development.

      According to Robinson, modern women have an identity crisis because they think they are no longer needed as women. Before the industrial revolution, the home was the center of all life and a woman was the indispensable center of the home. She prepared clothing and food, reared and trained the children and helped with farm tasks. The industrial revolution seemed to make women obsolete. Everything could be bought in stores. The home was empty. Children went to school, husbands to work. Children were not needed and were even considered a liability.

      Woman’s response was to turn against her own femininity. Mary Wollstonecraft launched feminism with her book Vindication of the Rights of Women (1792). Proclaiming that women were identical to men, she dedicated feminism to the achievement of maleness in women. According to Robinson, « the feminist credo thoroughly discredited feminine needs and characteristics and substituted male goals for female goals. »(53)

      The other response to the industrial revolution was not feminist, but « Victorian » but it also rejected femininity. Robinson says Victorian women took « revenge » on men by denying women had any sexual feelings. They « were amazingly successful in convincing men in general and even the scientists of the day that frigidity was indeed a basic attribute of the female. » (54)

      Thus, feminists and Victorian women laid the foundations for modern female neurosis.

      « The depreciation of the goals of femininity, biological and psychological, became part and parcel of the education of millions of American girls. Homemaking, childbearing and rearing, cooking, the virtues of patience, lovingness, givingness in marriage, have been systematically devalued. The life of male achievement has been substituted for the life of female achievement. » (55)

      The feminist-Victorian antagonism to men was handed down from mother to daughter so that « to millions of women, hostility towards the opposite sex seems almost a natural law. Although many a modern women may pay lip service to the ideal of a passionate and productive marriage to a man, underneath she deeply resents her role, conceives of the male as fundamentally hostile to her, as an exploiter of her. She wishes in her deepest heart, and often without the slightest awareness of the fact, to supplant him, to exchange roles with him. » (emphasis mine, 56)

      Robinson says that women have blamed their problems on the outside world instead of looking within for the real problem and the real solution. She says that if feminism had brought women happiness in relationships or careers, the game might have been worth it.

      « But it hasn’t been. The game has brought frigidity and restlessness and a soaring divorce rate, neurosis, homosexuality, juvenile delinquencyall that results when a woman in any society deserts her true function. » (56)

      Dr. Robinson writes that once the emotional « log jam » is removed, a woman’s natural instincts will flow and health will be restored. Essentially this involves « allowing herself to trust her husband in a very deep sense. It means that she finally realizes that she no longer has to fear or oppose his strength, but that she can rely on it to protect her, to give her the secure climate necessary for the full flowering of her femininity. » (153)

      On the other hand, the woman who mistrusts her husband’s love and, as a consequence, her own femininity has a « difficult, painful, frenetic » approach to life. She is at war with herself.

      In bed, she has to feel « in control all the time. » For a profound vaginal orgasm, Robinson writes, « the excitement comes from the act of surrender. There is a tremendous surging physical ecstasy in the yielding itself, in the feeling of being the passive instrument of another person… » (158)

      Robinson regards the clitoris as a masculine vestige. She implies that even if a woman is sexually active and mechanically adept she may still be frigid. Feminine sexuality depends on « absolute trust » in a man, which enables a woman to fully receive and fully respond.

      Dr. Robinson believes that there is nothing in life as important as love. Marriage is the key to our development as human beings. It is through this relationship that the power of love is felt in the world.

      « Love means, in its very deepest sense union; union between individuals…It is the most basic and profound urge we have and its power for good is illimitable… the lover partner becomes as important as oneself…This fact is why real love never leads to domination or to a struggle for power… » (129)

      The significance of The Power of Sexual Surrender is profound.

      By coercing women to abandon their femininity and usurp the male role, feminism throws a spanner in the natural heterosexual mechanism of humanity. The consequences are dire. Millions of women are condemned to emotional and physical isolation. Similarly, men are deprived of the role of protector and provider essential to their psychological development and fulfillment.

      The triumph of such a manifestly wrongheaded ideology, and the suppression of the truth, signifies that control in the world has passed to a malignant force. As I have shown in previous articles an amoral elite power fosters feminism as part of a long-term agenda to dislodge western civilization from its religious and cultural moorings. The tax-exempt foundations, the elite media, the CIA and the Communist Party of the USA are all behind the promotion of sexual dysfunction in the guise of feminism. The purpose is to destroy the nuclear family, decrease population, stunt human development and destabilize society. Our government is part of this elite agenda that aims to create a materialist, fascist « New World Order ». Feminists who oppose the NWO are unwitting agents of it.

      Finally, where does this leave the female « identity crisis »? Men and women must be free to find fulfillment in any way they please. A woman can have a career. Robinson’s work suggests that a woman need not give up her femininity if her career takes second place to her love of husband and family. The world (men women and child alike) is starved for the feminine principle: beauty, grace, love. This article could as easily have been titled: « Wanted: A Few Good Women. »

      mon edition est de mauvaise qualité mais il y a traduction et anotation des mots konpliké (gynécologic)

    • #152290

      @Dông Phong 151006 wrote:


      Bonjour Nca78,
      Je crois que vous êtes à HCM-ville, n’est-ce pas ?
      Si oui, ces échanges prouvent alors que des posts sur FV « désagréables » pour la RS du VN sont accessibles aussi chez vous.
      Cela doit rassurer nos gentils modos et certains membres vivant au VN ???!!!
      Dông Phong

      ça sonne un peu comme une menace de mafieux :bigsmile:

      Sinon oui on peut lire l’ensemble du forum à partir du Vietnam, je me souviens pas que ça ait jamais été bloqué…

    • #152296

      @dannyboy 150962 wrote:

      En Belgique, ils ont estimé le coût d’hébergement d’un détenu en respectant à la lettre tous ses droits. C’est le même coût que l’hébergement dans un hôtel 3 étoiles.

      Un pays comme la Belgique n’a plus les moyens pour maintenir ces prisons dans un état acceptable. Alors qu’est ce qu’il fait ? Il relâche les prisonniers ayant des peines de moins de 6 mois.

      Le VN n’a pas les moyens pour payer ce coût non plus, alors ils font travailler les détenus pour amortir. C’est un choix comme un autre.

      Bien sûr, c’est pas bien de détenir les gens sans un jugement équitable. C’est pas bien de les torturer non plus, mais quand ils refusent de travailler pour payer leur logement, qu’est ce qu’il faut faire ? Les relâcher comme font les Belges ?

      Dire qu’à cause d’un blasphème à propos de Victor Hugo, on envoi DBy en exile à Bruxelles 15 jours ; Merde ! C’est chez lui ! (la prochaine fois, ça sera les îles anglo-normandes).
      [IMG]http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/2/20/Maison_du_Pigeon_-_01.JPG/220px-Maison_du_Pigeon_-_01.JPG[/IMG]
      La maison du Pigeon, maison de la Grand-Place de Bruxelles que Victor Hugo habita lors de son exil à Bruxelles en 1852.

      Houai, je voulais surtout parlez des prostituées mais ms Robinson travail sur 2 tableau et sous son nom officiel avec les toxio c’est :
      Marie Nyswander – Wikipedia, the free encyclopedia

      Nyswander died in 1986 of cancer, possibly caused by her lifelong addiction to cigarettes. [6] Until her death, she continued to promote methadone treatment and to defend it against its critics.[3]

    • #152312

      @Nca78 151005 wrote:

      Moui … pas très convaincu par l’argumentation qui mélange un peu tout…

      Le problème cité par HRW, c’est quand sans jugement tu peux te retrouver dans un endroit fermé et obligé de travailler pour rien. Ce qui était le cas dans l’article cité au dessus, et à priori aussi pour les prostituées dont on parlait dans ce fil de discussion.
      Si on parle de détention arbitraire, le cas le plus similaire aux USA c’est Guantanamo..

      Première leçon: Lire le titre car il montre ce qui est le sujet principal du texte !

      Vietnam:Torture et travail forcé dans les centres de détentions pour toxicomanes

      Donc les moqueries sont pour le moins précipitées à la manière du Jacky des quartiers !
      Peut-être pour toi ,les violences exercées par des détenus sur d’autres , les viols etc… ne sont pas des atteintes aux droits de l’homme !

      Et à moins d’être hypocrite on ne peut pas dire que le sujet n’a pas été couvert par les médias en général et par HRW en particulier. Immensément plus que les camps pour drogués au Vietnam sur lesquels je n’avais jamais rien lu


      Fais le décompte des parutions. Cela évitera de parler dans le vide.Oui, Guantanamo sera traité aussi mais chaque chose en son temps

      Quant au camp pour drogués , il m’a semblé avoir lu le titre sur Thanh Nien. Si quelqu’un pouvait le remonter .

    • #152315

      @Dông Phong 150941 wrote:

      Bonjour Dédé,
      Ci-après, un article de Human Rights Watch (septembre 2011) sur les « camps de rééducation » pour drogués au VN.
      Dông Phong

      [h=6]Vietnam : Torture et travail forcé dans les centres de détention pour toxicomanes[/h]
      (Bangkok, le 7 septembre 2011) *– Les personnes détenues par la police au Vietnam pour utilisation de drogue sont détenues sans procédure régulière pendant des années, contraintes à travailler pour un salaire faible ou inexistant, et subissent la torture et la violence physique, a déclaré Human Rights Watch dans un rapport publié aujourd’hui. Les centres de détention pour drogués gérés par le gouvernement, mandatés pour « traiter » et « réhabiliter » les utilisateurs de drogues, ne sont rien de plus que des camps de travail forcé, où ces personnes travaillent six jours par semaine dans le traitement de noix de cajou, la couture de vêtements ou la fabrication d’autres articles.

      Lire la suite sur : H

      Témoignages de personnes interrogées pour « l’Archipel de la réhabilitation » :

      – J’ai été pris par la police dans une rafle de toxicomanes …. Ils m’ont emmené au poste de police dans la matinée et le soir même je me trouvais au centre pour drogués. … Je n’ai vu aucun avocat, aucun juge.

      Quy Hop, détenu au centre de Binh Duc (province de Binh Phuoc) pendant quatre ans

      – Les gens ont refusé de travailler, mais ils ont été envoyés à la salle de discipline. Là, ils ont travaillé de longues heures avec un travail plus épuisant et s’ils rechignaient, ils étaient battus. Personne n’a complètement refusé de travailler.

      Ly Nhan, détenu au centre de Nhi Xuan (Hô-Chi-Minh-Ville) pendant quatre ans

      – J’avais un quota de 30 kilos [de noix de cajou] par jour et travaillais jusqu’à ce qu’ils soient faits. Si vous refusiez de travailler, vous étiez envoyé à la salle de punition et après un mois [là-bas] vous acceptiez de travailler à nouveau.

      Vu Ban, détenu au Centre No. 2 (province de Lam Dong) pendant cinq ans

      – Le travail était obligatoire. Nous fabriquions des meubles en bambou, des produits en bambou, et des pailles en plastique. Nous étions payés à l’heure pour travailler huit heures par jour, six jours par semaine.

      Luc Ngan, encore un enfant lors de sa détention initiale qui a duré trois ans et demi au Centre pour jeunes No. 2 (Hô-Chi-Minh-Ville)

      – Sur le papier, j’ai gagné 120 000 [VND] par mois, mais ils l’ont pris. Le personnel du centre a dit que cela couvrait notre nourriture et nos vêtements.

      Quynh Luu, qui a passé plus de cinq ans au Centre No. 3 (province de Binh Duong)

      – Si nous nous opposions au personnel, ils nous frappaient avec une matraque en bois d’un mètre, à six faces. Les détenus avaient les os des bras et des jambes cassés. C’était la norme à l’intérieur.

      Dong Van, détenu pendant plus de cinq ans au Centre No. 5 (province de Dak Nong)

      B]La cellule d’isolement[/B était d’environ deux mètres sur deux, avec un petit siège et une petite fenêtre. Un trou pour les toilettes donnait à l’extérieur. Vous pouviez y être maintenu seul d’un à quatre mois.

      Cho Don, une femme détenue pendant cinq ans au centre de Phu Van (province de Binh Phuoc)

      – Personne ne refusait de travailler en ne se présentant pas au travail. Tout le monde travaillait, même les enfants.

      Thai Hoa, détenu au Centre pour jeunes No. 2 (Hô-Chi-Minh-Ville) pendant cinq ans
      […]

      Les gens sont souvent détenus dans les centres de détention après que la police les enferme ou que des membres de famille les proposent comme « volontaires » pour la détention. Dans quelques cas, les individus se portent eux-mêmes volontaires, croyant que les centres offrent un traitement efficace contre la toxicomanie.

      D’anciens détenus ont affirmé à Human Rights Watch qu’ils avaient été envoyés dans des centres sans audience légale ni procès formels, et sans avoir pu voir d’avocat ni de juge. Ils ont expliqué qu’ils n’étaient au courant d’aucun moyen de révision ou d’appel de la décision de les détenir. Les détenus qui sont entrés de manière volontaire ont indiqué qu’ils n’étaient pas libres de partir et que leur détention avait été arbitrairement prolongée par la direction du centre ou par des changements dans la politique du gouvernement.

      Des détenus ont expliqué avoir effectué des tâches subalternes pour de longues périodes dans le traitement de noix de cajou, l’agriculture, la couture de vêtements et de sacs à provisions, travaillé dans la construction et la fabrication de produits en bois, en plastique, en bambou et en rotin. Kinh Mon, un ancien détenu, a déclaré à Human Rights Watch : « J’ai fait du décorticage de noix de cajou pendant trois ans. J’ai travaillé durant des périodes allant desix heures et demieà huit heures par jour pour remplir mon quota. Le liquide provenant des noix de cajou a brûlé ma peau. »

      Certains détenus travaillent pendant des années sans salaire. D’autres sont payés une fraction du salaire minimum, et la direction du centre déduit de leur salaire la nourriture, l’hébergement et les soi-disant « frais de gestion ». À la fin de leur détention, ont déclaré certains détenus, leurs familles ont dû payer aux centres des sommes dues par les détenus, selon ce que prétendaient les responsables du centre.

      Depuis 1994, les bailleurs de fonds internationaux ont travaillé avec ces centres sur le « renforcement des capacités », notamment la formation du personnel des centres dans les formes de traitement de toxicomanie et de soutien pour les interventions contre le VIH. La prévalence du VIH parmi les détenus est inconnue, mais selon diverses estimations elle serait de 15 à 60 pour cent. La plupart des centres n’offrent pas de traitement antirétroviral ni même de soins médicaux de base.

      Si après avoir lu ça il y a encore des gens pour dire que les centres de rééducations vietnamiens marchent bien, je mange mon chapeau lol.

      @dannyboy 150962 wrote:

      En Belgique, ils ont estimé le coût d’hébergement d’un détenu en respectant à la lettre tous ses droits. C’est le même coût que l’hébergement dans un hôtel 3 étoiles.

      Un pays comme la Belgique n’a plus les moyens pour maintenir ces prisons dans un état acceptable. Alors qu’est ce qu’il fait ? Il relâche les prisonniers ayant des peines de moins de 6 mois.

      Le VN n’a pas les moyens pour payer ce coût non plus, alors ils font travailler les détenus pour amortir. C’est un choix comme un autre.

      Bien sûr, c’est pas bien de détenir les gens sans un jugement équitable. C’est pas bien de les torturer non plus, mais quand ils refusent de travailler pour payer leur logement, qu’est ce qu’il faut faire ? Les relâcher comme font les Belges ?

      Ben oui. En ce qui concerne les prostituée, c’est déjà fait. Alors si j’ai bien compris, tu fais l’amalgame entre les détenus belges qui ont eu un procès, un avocat et des gens envoyé directement, du jour au goulag par la police. C’est vrai en plus le fonctionnement de la justice coute cher : Faut les payer ces juges et ces avocats commis d’office !

      J’ai ouvert ce fil pour informer les gens que Assemblée Nationale avait voté une loi pour supprimer ces camps dans le cas des prostituées et que les décrets d’application venaient de sortir.

      L’internement abusif est remplacé par une amende de 10 euro la 1ere fois puis 200 euro en cas de récidive.

      Alors tu peux écrire au Gouvernement du Vietnam pour demander le rétablissement du goulag. C’est lamentable d’écouter les militants des droits de l’homme et l’Assemblée Nationale est corrompue par le révisionnisme bourgeois.

    • #152321

      @DédéHeo 151038 wrote:

      Alors si j’ai bien compris, tu fais l’amalgame entre les détenus belges qui ont eu un procès, un avocat et des gens envoyé directement, du jour au goulag par la police. .

      Non je fais pas l’amalgame. J’ai clairement dit que « c’est pas bien de détenir les gens sans un jugement équitable. C’est pas bien de les torturer non plus ». ;-)

      En Belgique, les gens peuvent aussi se retrouver du jour au lendemain emprisonnés et torturés sans aucun procès. Mais ça arrive plus rarement et ça concerne surtout les Arabes barbus.

      Je voulais surtout dire que faire travailler (dans de bonnes conditions) les détenus pour pouvoir payer leur hébergement n’est pas une si mauvaise idée. En plus, comme a souligné Bao Nhân, ça peut avoir un but éducatif.

      Et aussi pour moi les prostitués ne sont pas des délinquants (en tout cas pas plus que leurs clients)

    • #152351

      Quand Amnesty International avoue à demi_mots qu’il existe des biais dans le choix des pays dénoncés !

      Candidement sa sécrétaire générale Irène Khan , en réponse aux accusations , disait qu’elle utilise le levier de la collaboration avec les Etats-Unis pour obtenir des résultats. Chantage politique, économique ? Effectivement ça peut être utile de montrer l’efficacité de l’organisation lors de la collecte des fonds. Ce qui motive Amnesty l’est aussi pour Human Rights Watch. Vietnam cible de choix ?
      Business quand tu nous tiens. :petard:

      Coverage of violations in the media

      Studies have found that the New York Times coverage of worldwide human rights violations is seriously biased, predominantly focusing on the human rights violations in nations where there is clear U.S. involvement, while having relatively little coverage of the human rights violations in other nations.[213][214] Amnesty International‘s Secretary General Irene Khan explains, « If we focus on the U.S. it’s because we believe that the U.S. is a country whose enormous influence and power has to be used constructively … When countries like the U.S. are seen to undermine or ignore human rights, it sends a very powerful message to others. »[215]

      Human rights in the United States – Wikipedia, the free encyclopedia

    • #152360

      @ngjm95 151083 wrote:

      « If we focus on the U.S. it’s because we believe that the U.S. is a country whose enormous influence and power has to be used constructively … When countries like the U.S. are seen to undermine or ignore human rights, it sends a very powerful message to others. »

      Je lis que c’est plutôt le contraire que ce que tu dénonces: ils se focalisent justement sur les USA et dénoncent plus aux USA et dans les pays où les USA interviennent, que dans les autres pays (dont à priori le Vietnam où au dernières nouvelles les USA n’interviennent plus tellement ;))

      Par exemple dans ce doc qui est une référence de l’article de Wikipédia: (Page 1 of 17) – American Print Media Coverage of Human Rights Violations authored by Caliendo, Stephen. and Gibney, Mark.

      on voit qu’il y a eu en 2005 2 fois plus d’articles sur les droits de l’homme dans le New York Times pour l’Europe que pour l’Asie. Et que dans les pays sur lesquels porte l’étude, l’Irak où les USA étaient en pleine intervention est très loin devant la Chine (3 fois plus d’articles !)

    • #152371

      @Nca78 151096 wrote:

      Je lis que c’est plutôt le contraire que ce que tu dénonces: ils se focalisent justement sur les USA et dénoncent plus aux USA et dans les pays où les USA interviennent, que dans les autres pays (dont à priori le Vietnam où au dernières nouvelles les USA n’interviennent plus tellement ;))

      Coverage of violations in the media
      Studies have found that the New York Times coverage of worldwide human rights violations is seriously biased, predominantly focusing on the human rights violations in nations where there is clear U.S. involvement, while having relatively little coverage of the human rights violations in other nations.[213][214]Amnesty International‘s Secretary General Irene Khan explains, « If we focus on the U.S. it’s because we believe that the U.S. is a country whose enormous influence and power has to be used constructively … When countries like the U.S. are seen to undermine or ignore human rights, it sends a very powerful message to others. »[215]

      Des études avaient trouvé que le New York Times dénonçait bien plus les pays où les Etats _Unis étaient impliqués
      .
      Peut_être que NCA78 a_t_il une autre traduction ?

      L’exemple du Vietnam ?: Juin 2012 . A la demande de PANETTA d’autoriser l’escale de navires militaires à Cam Ranh, le Vietnam veut qu’en échange que l’embargo de matériel militaire soit levé.
      Quelque temps plus tard la réponse Américaine par l’intermédiaire de deux sénateurs était que les Etats Unis exigent plus de libertés au Vietnam avant la levée de l’embargo.
      Illustration concrète de la réponse de la dame Irène Khan sur l’avantage de s’appuyer sur les Etats_Unis
      « If we focus on the U.S. it’s because we believe that the U.S. is a country whose enormous influence and power has to be used constructively .. »

      Avec les yeux du monde braqués sur eux, les Etats _Unis ne pouvaient pas ignorer les atteintes aux droits de l’homme et continuer à aider ces pays
      « . When countries like the U.S. are seen to undermine or ignore human rights, it sends a very powerful message to others. »[215]

      Je lis que c’est plutôt le contraire que ce que tu dénonces: ils se focalisent justement sur les USA et dénoncent plus aux USA et dans les pays où les USA interviennent, que dans les autres pays (dont à priori le Vietnam où au dernières nouvelles les USA n’interviennent plus tellement ;))

      on voit qu’il y a eu en 2005 2 fois plus d’articles sur les droits de l’homme dans le New York Times pour l’Europe que pour l’Asie. Et que dans les pays sur lesquels porte l’étude, l’Irak où les USA étaient en pleine intervention est très loin devant la Chine (3 fois plus d’articles !)

      Donc les ONG ne se focalisent pas sur ce qui se passe aux Etats _Unis mais sur les pays où ils (les ONG) peuvent utiliser à leur avantage(plus de libertés) l’effet de levier que constitue l’aide américaine.
      L’Irak en 2005 n’est pas un choix des plus judicieux selon les critères choisis pour déterminer un abus des droits de l’homme . Ces critères tiennent pour violations de liberté des faits de guerre qui sont plus rapportés par des journalistes « autorisés »(embedded). ce serait d’ailleurs étonnant de trouver des ONG sur place. L’armée américaine a appris la leçon médiatique de la guerre du Vietnam

    • #152454

      Voilà une dénonciation des violences dans les prisons américaines sur le site de HWR. Elle date de 2004. Mais les choses ne font qu’empirer jusqu’à maintenant .

      Prisoner Abuse: How Different are U.S. Prisons?

      May 14, 2004

      The sadistic abuse and sexual humiliation by American soldiers at Abu Ghraib prison has shocked most Americans—but not those of us familiar with U.S. jails and prisons. In American prisons today, wanton staff brutality and degrading treatment of inmates occur across the country with distressing frequency.

      The Pentagon has said it wants to send more people to Iraq who have U.S. prison experience. But before it does, it should look closely at the human rights records of their prisons.
      Des violences qui ne datent pas d’hier et ont causé mort d’homme.
      A federal judge in 1999 concluded that Texas prisons were pervaded by a “culture of sadistic and malicious violence.” In 1995, a federal judge found a stunning pattern of staff assaults, abusive use of electronic stun devices guns, beatings, and brutality at Pelican Bay Prison in California, and
      concluded the violence “appears to be open, acknowledged, tolerated and sometimes expressly approved” by high ranking corrections officials.

      In recent years, U.S. prison inmates have been beaten with fists and batons, stomped on, kicked, shot, stunned with electronic devices, doused with chemical sprays, choked, and slammed face first onto concrete floors by the officers whose job it is to guard them. Inmates have ended up with broken jaws, smashed ribs, perforated eardrums, missing teeth, burn scars—not to mention psychological scars and emotional pain. Some have died.

      Both men and women prisoners—but especially women—face staff rape and sexual abuse. Correctional officers will bribe, coerce, or violently force inmates into granting sexual favors, including oral sex or intercourse. Prison staff have laughed at and ignored the pleas of male prisoners seeking protection from rape by other inmates.

      Most of the men and women who work in U.S. prisons are decent professionals who have never physically abused or intentionally degraded an inmate. But just as in Iraq, the absence of leadership, oversight, and external scrutiny can create a climate in which abuses will occur.
      The Department of Justice’s Inspector General recently reported on the abuse Muslim men picked up after September 11 endured while detained at the federal Metropolitan Detention Center in Brooklyn. For example, officers slammed unresisting, shackled inmates into walls and mocked them during body-cavity searches. A lawsuit by one of the detainees alleges that one of the officers maliciously pushed a pencil into his anus.
      Just this January, a videotape at a California facility captured two officers beating and kicking two inmates. One officer struck an inmate approximately twenty times in the face; another officer is shown kicking a handcuffed inmate in the head.
      When Florida inmate Frank Valdez died in 1999, every rib in his body was broken, his corpse bore the imprint of boot marks, and his testicles were badly swollen; guards admitted having struggled with him, but denied they had used excessive force. They claimed most of his injuries had been “self-inflicted.”
      In Maricopa County, Arizona, a sheriff who dresses male jail inmates in pink underwear introduced live “jail cam” broadcasts on the internet in 2000. Three cameras covered the holding and searching cells of the jail, including shots of strip searches, inmates bound in “restraint chairs,” and even, for a while, unobstructed views of women using the toilet. The broadcasts ended up being copied onto web porn sites.
      Even detained children and youth are not immune from staff brutality and abuse. They too are kicked, beaten, punched, choked, and sexually preyed upon by adult staff. The Maryland State Police recently filed criminal assault charges against staff at a youth facility in Maryland because of an incident in which one guard restrained a youth while the three others kicked him and punched him in the face.

      Violences sexuelles sur des mineurs au quotidien

      In January 2004, the U.S. Department of Justice reported on terrible conditions at Arizona’s juvenile detentions centers, including sexual abuse of the children by staff members (and fellow inmates) that occurs “with disturbing frequency” and a level of physical abuse that is ”equally disturbing.”

      When the news about Abu Ghraib broke, the Bush administration tried to suggest it was the work of a few rogue officers. But in over two decades of monitoring prisons in the United States and around the world, Human Rights Watch has learned that abusive officers do not operate in a vacuum. More typically, a culture of brutality has developed in which correctional officers know they can get away with excessive, unnecessary, or even purely malicious violence. In such prisons, senior officials have failed to communicate unequivocally—through training, staff supervision, investigations, and discipline—that abuse will not be tolerated.
      The failures of senior prison officials in the United States are compounded, as in Abu Ghraib, by the absence of external scrutiny. Prisons are closed institutions from which the press, human rights groups, and members of the public are typically excluded. Independent expert inspections yielding public findings are rare, and usually occur only after the situation has become so bad that inmates have filed a lawsuit.
      Perhaps if photos or videotapes of abuse in U.S. prisons were to circulate publicly, Americans would be galvanized to protest such treatment as they have the treatment of Iraqi prisoners. Absent such graphic and unavoidable evidence, it is all too likely that abuse will continue to be a part of many prison sentences.

      Tous ces violences subsistent en 2012 , elles ne font pas malheureusement d’enjeu électoral pour les présidentielles !
      lPar contre le droit de vote des pauvres ,des gens de couleurs ( plus susceptibles de voter Obama ) est sérieusement remis en cause dans les bureaux d’enregistrement des états républicains pouvant jusqu’à empêcher 6 millions Américains de voter.

      Comment ne pas évoquer l’état de suspicion dans lequel vivent les Etats_Unis sous les différentes lois anti_terroristes qui justifient d’autres violations aux droits de l’homme.

      PS: Bien sûr que le travail forcé des détenus existe aussi . On croit fermement à la rédemption par le travail.

    • #152457

      Les violences dans les prisons, c’est une chose.

      Le nombre de prisonniers par rapport à la population totale en est une autre !

      Selon PopulationData.net : 21 janvier 2009 – Nombre de prisonniers dans le monde, par pays :

      Il y avait aux USA, en 2005*, 737,6 prisonniers pour 100.000 habitants.
      À titre de comparaison, en 2005* également, au Vietnam, il y avait 105,0 prisonniers pour 100.000 habitant, et en France, en 2006*, 87,9 prisonniers pour 100.000.

      C’est donc une escroquerie intellectuelle que de parler des USA comme du pays de la liberté. Il y a aux USA, proportionnellement, 7 fois plus de prisonniers qu’au Vietnam et presque 8 fois et demi de plus qu’en France !

      Tous ces prisonniers sont-ils des droits communs ? Si c’est le cas, que dire d’une société qui génère autant de criminalité ?

      Prisonniers économiques ? Sans doute pour passablement d’entre eux. Les prisons privatisées sont d’un excellent rendement et cartonnent à Wall Street. Travail obligatoire très faiblement rémunéré, la rémunération compense tout juste ce que le prisonnier doit payer pour sa pension. En d’autres temps, on parlait d’esclavage. Un noir qui, malencontreusement, pisse contre un arbre dans un parc public peut se retrouver enfermé pour plusieurs années. Il y a quelques temps, un scandale a éclaté, un juge était en cheville avec la prison privée locale, pour chaque « délinquant » envoyé, il recevait sa petite enveloppe. Inutile de dire qu’il trouvait passablement de délinquants. Ce juge s’est fait coincé parce qu’il avait notoirement exagéré, mais combien d’autres passent entre les gouttes ?

      Prisonniers politiques ? Là, je n’ai pas vraiment de réponse. Mais j’imagine qu’il y en a néanmoins un certain nombre, sous le couvert de délinquance de droit commun (dégradation d’affiches, etc).

      * Les statistiques ne sont pas toutes à la même date pour chaque pays, mais, grosso-modo, on peut considérer que les choses évoluent peu, au niveau d’un ou deux dixième de pour-mille.

    • #152949

      OUF ! Les Etats_Unis sont élus à la tête du Conseil des Droits de ‘l’Homme à l’ONU.

      Le vote n’était pas évident et le résultat soulage nombre défenseurs des droits de l’homme . Mais d’aucuns se demandent si les Etats _Unis l’avaient mérité .
      Voilà la réponse de Peggy Hicks de Human Rights Watch:

      « It is not just about one’s human rights record it’s also about their ability to make an effective contribution to advancing the Human Rights Council, » said Peggy Hicks, an expert at Human Rights Watch. « In that sense, the U.S. carries far more political weight. »

      On n’a pas voté seulement pour le bilan d’un pays mais aussi pour sa capacité de faire avancer le Conseil des Droits de l’Homme. Pour cela ,il n’y a que les Etats_Unis avec leur poids politique.

      Voilà la messe est dite. Plus vous êtes influent , plus vous êtes utile et moins on sera regardant sur vos « petits » travers!

      Pour le texte en entier dans Foreign Policy: Does the U.S. deserve its new seat on the Human Rights Council? | Turtle Bay

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