› Discussions générales sur le Vietnam › Le Vietnam, son passé, son histoire › La fille de Danang – Người con gái từ Đà Nẵng
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5 mai 2011 à 21h39 #9034Daughter_from_Danang – Người con gái từ Đà Nẵng
Les textes du documentaire sont tous en anglais. Je vous donne ici le lien sur wikipedia si vous voulez voir ce que c’est :
Daughter from Danang – Wikipedia, the free encyclopediaJ’espère que ces videos fonctionnent because je ne les pas regarder. J’ai vu le documentaire sur la TV, il y déja quelques années & cela me daille la tête de le revoir.
Mon avis ? J’étais contrarié. Afin d’éviter les malentendus, il fallait bien préparer les enfants adoptés avant qu’ils retournent au Vn. La mentalité vietnamienne est à l’opposée de l’Amérique, nous n’avons pas la même façon de voir la famille – je veux dire par la, l’esprit de famille. Nos us & coutumes ne sont pas du tout les mêmes. Moi personnellement, j’ai toujours considéré les US comme des mutants. Ils ne pensent absolument pas comme les autres de notre planète. Je les ai côtoyés pendant des années en Allemagne pour raison pro mais ceci est une autre histoire !!!!!
Pour comprendre ce je veux dire, il faut voir d’abord le documentaire.Người con gái từ Đà Nẵng
1- YouTube – Film: Daughter from Danang 1/6 – Ng??i con gái t? ?à N?ng 1/6
2- YouTube – Film: Daughter from Danang ?2/6 – Ng??i con gái t? ?à N?ng 2/6
3- YouTube – Film: Daughter from Danang 3/6 – Ng??i con gái t? ?à N?ng 3/6
4- YouTube – Film: Daughter from Danang ?4/6 – Ng??i con gái t? ?à N?ng 4/6
5- YouTube – Film: Daughter from Danang ?5/6 – Ng??i con gái t? ?à N?ng 5/6
6- YouTube – Film: Daughter from Danang 6/6 – Ng??i con gái t? ?à N?ng 6/6Je ne suis pas sûr que le film est complet ici.
Ou bien ici sur MSN en 79 mn -
6 mai 2011 à 0h08 #135138
En fait, ce reportage, je l’ai déjà posté sur forumvietnam 2007. Mais je ne suis pas sûr que ce soit la version intégrale.
ICI ->Daughter From Danang
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6 mai 2011 à 4h31 #135141
Daughter from Đà Nẵng is a 2002 documentary film about an Amerasian, Heidi Bub (a.k.a. Mai Thi Hiep), born on December 10, 1968, in Danang in southern Vietnam, one of the children brought to the United States from Vietnam in 1975 during « Operation Babylift » at the end of the Vietnam War.
Heidi’s father was an American serviceman, and her mother, Mai Thi Kim, already had three children but was working at an American military base where she met him, after her husband, Do Huu Vinh, had left her to fight with the Viet Cong. When the North Vietnamese army came closer to Danang, Heidi’s mother feared for her safety due to rumors of threats against mixed-race children. At the age of six, Heidi was sent to United States and placed at an orphanage run by the Holt Adoption Agency.
Heidi was ultimately adopted by Ann Neville, a single American woman; she spent a year in Columbia, South Carolina before finally settling in Pulaski, Tennessee, where Heidi spent her life.[1]
At the start of the documentary, Heidi has been estranged from her mother for several years, after Ann punished her for being ten minutes late for curfew one night by kicking her out of the house and disowning her. Although Heidi has since married and had children of her own, the estrangement between she and her mother has had a lasting emotional effect, and Heidi hopes that finding her biological mother will help her to achieve some kind of closure. Heidi contacts the Holt Adoption agency, and learns that her biological mother, Mai Thi Kim, sent them a letter in 1991 asking about Heidi’s well-being. [1] Heidi decides to return to Vietnam, assisted by journalist Tran Tuong Nhu.
In Vietnam, both Heidi and her family experience culture shock, as Heidi has no knowledge of Vietnamese customs and her family–who lives in abject poverty– has no knowledge of American culture. Mai Thi expects to spend every moment of the day with Heidi– and even sleep with her at night– which Heidi perceives as « suffocating » and an invasion of her personal space. She ultimately breaks down when her family informs her that they expect her to provide them with financial support, leading one of her relatives to disparage her for crying. Although it is explained to Heidi that most Vietnamese nationals who move to America provide money for family back home, Heidi feels that her own family is exploiting and using her. She finally decides to return to America ahead of schedule, feeling that rather than reconnecting with a family she never knew, she instead feels even more emotional conflict and emptiness than before she left.
At the end of the film, Heidi explains that she has begun receiving letters from her family in Vietnam since her visit, but that all of them turn into requests for money, and she doesn’t feel ready to respond to them.[1][2]
The film won the Grand Jury Prize for Documentary at the Sundance Film Festival and was nominated for an Academy Award for Best Documentary Feature.[3]Source : Wikipedia
Je vais essayer de le traduire.
Daughter from Đà Nẵng est film documentaire sorti en 2002 qui raconte la vie de Heidi Bub (alias Mai Thi Hiep), né le 10 décembre 1968, à Danang, Sud Vietnam, étant une des enfants amenés aux États—Unis en 1975 dans le cadre de L’opération connue sous le nom de « Babylift » qui a commencé vers la fin de la guerre du Vietnam.
Le père de Heidi est un appelé américain, et sa mère, Mai Thi Kim qui a déjà eu trois enfants avant de venir travailler dans une base militaire américaine où elle l’a rencontré après que son mari, Do Huu Vinh, avait rejoint le viet cong. Lorsque l’armée nord-vietnamienne sont arrivée près de Danang, s’inquiétant pour la sécurité de sa fille suite de la rumeur concernant les menaces vis à vis des enfants métisses, Heidi est donc envoyée aux Etats-Unis et placée dans un orphelinat par Holt Adoption Agency quand elle avait six ans.
Ensuite, Heidi a été adoptée par Ann Neville, une célibataire américaine qui a passé une année en Colombie, Sud-Carolina avant de s’installer à Pulaski, Tennessee où Heidi a passé sa vie.
Au début du document, Heidi s’est brouillée avec sa mère durant des années après que Ann l’a punie pour être rentrée un soir tard de dix minutes en la foutant à la porte et l’a reniée. Pendant ce temps-là, Heidi s’est mariée et a eu des enfants. La séparation entre elle et sa mère lui a fait sentir le manque affectif. Espérant que retrouver sa mère biologique l’aiderait à fermer ce chapitre. Elle contacte Holt Adoption agency et apprend que en 1991, sa mère, Mai Thi Kim, leur a envoyé une lettre pour demander de ses nouvelles. Heidi décide alors de retourner au Vietnam, et elle sera accompagnée par la journaliste Tran Tuong Nhu.
Sur place, entre Heidi et sa famille c’est un choque de la culture, puisque Heidi n’a aucune connaissance sur les coutumes, et sa famille qui vit dans pauvreté abjecte, sans aucune connaissance sur la culture américaine. Mai Thi veut passer tout au long de la journée avec Heidi et dormir à côté d’elle. Quant à Heidi, elle ressent ça à la fois comme une suffocation et invasion de son espace intime. Elle s’effondre lorsque sa famille lui a demandé l’aide financière, renvoyant loin un de ses proches pour pleurer un coup. Bien que cela fait comprendre à Heidi que beaucoup de Vietnamiens qui s’expatrient aux Etats-Unis afin de pouvoir subvenir aux besoins de leurs familles restant au pays, mais elle sent tout de même que sa propre famille veuille l’exploiter et profiter d’elle. Finalement, elle décide de retourner en Amérique.Au début du film : plutôt être touchée par la retrouvaille avec sa famille qu’elle n’a jamais connue, cependant, elle se sent encore plus en conflit et seule qu’avant.
Vers la fin du film, Heidi explique que depuis sa visite, elle a commencé à recevoir des lettres de sa famille visite, mais toutes ces lettres ne sont que des requêtes de l’argent, Or, elle ne se sent pas encore prête à leur répondre.
Le film a reçu le prix du jury au festival Sundance Film et été nommé à Academy Award en tant que meilleur film documentaire.
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6 mai 2011 à 5h02 #135143
À mon avis, le fait que des membres de sa famille continuent de lui envoyer des lettre pour réclamer de l’argent ce serait peut-être parce qu’ils ont appris que ce film a connu le succès et son producteur a déjà encaissé des parquets, donc il est normal que maintenant, il doive leur payer pour le cachet.
PHT
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6 mai 2011 à 13h37 #135162
@Bao Nhân 130660 wrote:
En fait, ce reportage, je l’ai déjà posté sur forumvietnam 2007. Mais je ne suis pas sûr que ce soit la version intégrale.
ICI ->Daughter From Danang
Je le sais. Nous avions discuté sur ce sujet mais il y a bien longtemps. Je profite que mon camarade du delta ( Miền Tây) venait de mettre sur youtube pour faire ou refaire profiter ceux qui n’ont pas vu le documentaire ou aimeraient le revoir.
Les anciens n’ont qu’à boucher les oreilles ou fermer les yeux …. Lol ! – Je plaisante ….Ch’est d’min coin
Tout le monde n’est pas traumatisé.
Un peu de tout pour changer les idées.
Peut-être hors sujet mais la petite est tellement mignonne que je voudrais vous la faire connaître ……. Désolé !
Mới 11 tuổi, cô bé người Mỹ gốc Việt Virginia Nguyễn đã thu hút hàng trăm nghìn lượt người xem trên Youtube khi độc diễn guitar đầy tự tin những khúc tình ca bất hủ của thế giới cũng như Việt Nam. Virginia Nguyễn chủ yếu chơi thể loại fingerstyle (Một kiểu tổ hợp các kỹ thuật mới để chơi guitar như búng dây, gõ vào thùng đàn). Được biết, cô bé mới bắt đầu học đàn cách đây khoảng 1 năm. Trong clip trên, Virginia Nguyễn thể hiện bản nhạc Chi Mai.
YouTube – _clip_2011_05_03_16_20110503165753_teen1- vietbao
**************ADORABLE …… Sans commentaire !!!!
Clip cô bé hát ‘Chú ếch con’ bằng tiếng Ý gây sốt
Ma va là – Chú ếch con phiên bản tiếng Ý
YouTube – [46° Zecchino d'oro 2003] – Ma va là – Chú ?ch con phiên b?n ti?ng Ý
LIEN en viet
Vietnam Le Nguyen Huong Tra -
7 mai 2011 à 12h27 #135220
@Bao Nhân 130666 wrote:
À mon avis, le fait que des membres de sa famille continuent de lui envoyer des lettre pour réclamer de l’argent ce serait peut-être parce qu’ils ont appris que ce film a connu le succès et son producteur a déjà encaissé des parquets, donc il est normal que maintenant, il doive leur payer pour le cachet.
PHT
Si elle a touché un cachet pour ce reportage, il serait normal d’en partager avec la famille restée au VN qui par sa participation a rendu possible le scénario.
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7 mai 2011 à 16h39 #135232
Agemon,
Je n’ai pas regardé daughter from Danang mais j’ai parcouru un forum anglophone sur les cas des Amérisiens qui débattaient le film.Ils se sentent frustrés,trahis par leurs mères qui les ont abandonnés.Heidi est retournée dans son village natale pensant que sa mère allait la recevoir à bras grands ouverts,et essayer de rattrapper le temps perdu,et lui redonner tout cet amour qu’elle n’avait pu lui donner durant cette absence.Hélas,ce qu’elle a retrouvé,ca été une étrangère.
C’est très triste.je suis un peu dans ce cas.Bien que je ne sois pas amérisienne.Ma mère m’avait abandonné faute de moyen financier et je suis partie en France avec papa(qui était remarié).10 après le départ,je suis revenue au Vietnam en retrouvant une femme(ma mère)qui était une étrangère pour moi.Aucune affection,ou l’argent est primordial(j’en passe sur ce détail qui me paraît mesquin).Depuis,j’ai eu beaucoup de mal à me renouer avec elle.Et je suis déchirée entre la culture francaise ou mes amis m’ont demandé de laisser tomber.Puis les amis vietnamiens qui eux,me disent,quoiqu’il en soit,ca reste toujours ma mère,et l’abandonner est un pécher selon la culture vietnamienne.j’en souffre énormément.j’y suis retournée depuis 2 nouvelles fois,et à chaque rencontre,j’ai toujours l’impression d’avoir une étrangère devant moi.
je crois que ceux qui ont toujours été aimés par leurs mères ne pourront jamais se mettre à la place de Heidi ou le mien.Est ce que la croyance vietnamienne qui forcent ces enfants non aimés et abandonnées à continuer à s’occuper de leur mère biologique est juste???Comment peut on forcer un enfant abandonné à s’occuper de sa mère?Jusqu’ou va cette conception confucianiste du culte des parents?Et pourquoi culpabiliser ces enfants et les menacer d’être punis par dieu?Quant est il pour la mère irresponsable?Que dit la culture vietnamienne dessus?rien,rien. -
7 mai 2011 à 19h24 #135235
Bonjour maman94100,
Effectivement c’est très délicat les discussions sur ce sujet. Le principe c’est qu’il ne faut jamais se mettre à la place de quelqu’un d’autre pour donner un jugement ou avis.
C’était la raison pour laquelle je disais que j’étais contrarié après avoir vu le documentaire, il y a quelques années mais pas révolté. Je comprends les 2 côtés.
J’ai connu la mentalité vietnamienne dans les années avant 50 puis celle de 1998, l’année de mon premier retour. La mentalité avait bien changé. Je n’avais plus reconnu mon Viêt Nam d’antan. Je voudrais ici donner une petite précision. Je parle ici que du Sud Viêt Nam car cela change suivant où les provinces ou régions. Le Nord, le Centre & le Sud ont vécu différemment dans les années avant 75. Les gens quoi qu’on pense, n’ont pas la même mentalité. Je suis de nature très bavard et je discute longuement avec les gens du pays que je rencontre. C’est peut-être bizarre mais je peux prendre l’accent du Nord comme du Sud. Un jour à Hoi An, un couple allemand me demandait même pourquoi avec une tête asiatique et que je parle l’allemand sans accent. Peut-être que j’étais un perroquet dans ma vie antérieure ? En pédagogie, on appelle cela la méthode de » répétition ». Rien de sorcier !
Enfin bref, c’est pour dire que je connais bien la situation & comment cela devait tourner dans la tête de Heidi. Elle n’était pas préparée du tout à recevoir un tel choc comme atterrir sur une autre planète.
Comme je n’étais pas un enfant abandonné, ni adopté, je ne suis pas qualifié pour donner un jugement. Je pourrais peut-être dire que j’étais qu’à moitié abandonné. Pour avoir une bouche de moins à nourrir, quelques années après le décès de mon père à l’âge de 12 ans 1/2, on m’a mis à l’école des enfants de troupe & depuis j’ai vécu toujours seul. Je n’ai jamais eu un câlin, jamais d’argent de poche, jamais recevoir un sou de quelqu’un …. jusqu’à l’âge de 19 ans ma première paie en Algérie. A l’école, on se faisait tabasser par les grands ainsi que par les gradés pour des petites bêtises. On avait toujours faim, on nous donnait jamais assez à manger, on allait voler au magasin des vivres, on fouillait les poubelles du mess des cadres.
La vie est faite ainsi, c’est notre karma, comment pourrait-on faire autrement. Je n’en veux à personne.
Quant à ma mère je l’adore & je l’adorerais jq la fin de mes jours. Je ne pourrais jamais donner un jugement sur ma mère. Elle n’avait fait que pour le mieux. Si je suis arrivé maintenant où je suis, je pourrai dire aussi que c’était grâce à tout cela.
Les enfants comme Heidi ont eu des parents adoptifs, ils ont eu peut-être un peu d’amour, moi je n’ai eu personne, je me suis fait tout par moi-même, c’est à dire construire de bout en bout ma vie.
D’après moi, une mère vietnamienne n’abandonne jamais son enfant, elle le confie seulement à une Institution afin que l’enfant puisse avoir une vie meilleure plus tard. Ceci n’est que mon avis perso & personne ne me fera changer ma façon de penser. Je suis trop vieux, les idées ancrées dans ma tête sont indélébiles. Je comprends que les autres puissent aussi penser autrement…
J’aime trop mon pays pour porter un jugement quelconque sur le passé ou le futur.
Un avis de ma part sur les 2 cultures: Quand on parle avoir les 2 cultures, il faut avoir vécu les 2 cultures.
Beaucoup de personnes disent qu’elles ont 2 cultures. Alors souvent je leur pose une question sur la culture vietnamienne pour vérifier leurs connaissances et souvent je suis déçu car elles sont souvent incapable de me répondre correctement.
Les métis prétendent souvent d’avoir deux cultures. Ce n’est pas parce qu’on a 2 parents de pays différents qu’on a 2 cultures.
Exemple pourquoi dans la culture vietnamienne le premier enfant est nommé 2 ème ?
Pourquoi on ne doit jamais toucher la tête d’un enfant ? Et ne jamais dire qu’il est beau ?
etc….
Et le culte des ancêtres , c’est quoi ?Enfin tout ceci est un autre sujet mais qui n’est pas très éloigné du sujet initial puisque la cause est l’incompréhension, c’est la différence de cultures. Parfois les cultures des différents pays sont incompatibles.
O AMOR DE DEUS -
7 mai 2011 à 19h59 #135236
Agemon,
Ta réponse a été très délicate,et merci de m’avoir confié un bout de ta vie.J’imagine ce que ca pouvait être d’avoir été confié à une école d’enfant de troupe et depuis,tu as dû faire chemin faisant en ne comptant que sur toi-même.En réfléchissant à ta réponse,en effet,j’ai quand même recu un amour de ma mère adoptive lorsque je suis arrivée en France.Enfin,c’est un grand mot,je suis partie de mon plein gré vivre chez une connaissance francaise que j’ai toujours considérée comme ma seconde mère.Et j’ai eu des souvenirs merveilleux de ma grand mère maternelle vietnamienne,malgré les restrictions épouvantables des années après 75.Peut être quelque part,j’ai eu cette chance.Heidi,a eu cette chance d’avoir été aimée par ses parents adoptifs à leur manière.
Je lis beaucoup la littérature vietnamienne ou l’on suscite l’amour maternelle,et l’on fait louange à l’amour maternelle et je n’ai jamais compris pourquoi ma mère a pu m’abandonner même si c’était pour que j’avais une meilleure vie.je crois que Heidi ne l’a pas compris non plus et quelque part elle en voulait à sa maman.
J’ai lu un livre vietnamien ou l’on décrit la vie de 2 jeunes frères qui ont été envoyés en ville,pour une meilleure vie,car leur maman n’est plus en mesure de s’en occuper.Les 2 frères ne le prennent pas pour un abandon.Je n’arrive d’ailleurs pas à comprendre cela.Peut être que dans la culture francaise ou je suis imprégnée,abandonner ses enfants ne se fait pas.Et au Vietnam,ca se faisait.Comment la misère peut emmener une mère(ou un père) à agir ainsi?Ma mère le prenait comme un sacrifice de sa part. -
7 mai 2011 à 21h07 #135238
@ngjm95 130750 wrote:
Si elle a touché un cachet pour ce reportage, il serait normal d’en partager avec la famille restée au VN qui par sa participation a rendu possible le scénario.
On ne sait pas si elle a touché un cachet ou non. Mais vu le niveau technique de ce reportage, il serait difficile d’imaginer que c’est un travail d’amateurs. Et puis, je ne pense pas non plus que la journaliste qui accompagnait Heidi le faisait à titre bénévole.
Naturellement, je n’aime pas trop juger les gens, mais il ne faut quand-même pas non plus être tellement naïf jusqu’à croire que toutes ces personnes soient assez généreux et disponibles pour pouvoir accepter qu’une équipe de techniciens les suivre et filmer afin de montrer ensuite au monde entier leurs intimités.PHT
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