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AF447 Paris -Rio_Nouvelles mises en examen en vue.

Divers Discussion Libre AF447 Paris -Rio_Nouvelles mises en examen en vue.

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    • #155523

      UN nouvel article qui me conforte dans mon opinion : LES SONDES PITOT, C’EST DU PIPEAU

      En archive (verrouillé):

      09/01/2012, 20h14 #35
      DédéHeo
      http://www.forumvietnam.fr/forum-vietnam/lactualite-generale-du-vietnam-archives/10985-diplome-de-pilote-de-ligne-vietnam-airlines-4.html

      Personne ne s’est gargarisé avec la catastrophe du vol AF RIO /PARIS mais contrairement à ce que certains syndicats essayent de nous faire avaler, c’est 95 % d’erreur humaines ; une suite d’ erreurs assez grossières et 5 % de problèmes techniques (le givrage des sondes pitot)
      De plus, il y a eu 2 ou 3 accidents chez air France qui ont fait baisser les statistiques de sécurité et tous ces accident, incident avaient pour source une erreur humaine.
      Il semble qu’Air France en ait pris conscience et essaye de corriger le problème

      Le Point.fr – Publié le 15/03/2013 à 08:56

      EXCLUSIF. Le Point.fr a pu consulter le rapport d’enquête judiciaire. Il apporte un nouvel éclairage sur l’accident qui avait fait 228 victimes en juin 2009.

      [IMG]http://www.lepoint.fr/images/2013/03/15/rio-crash-af447-1185992-jpg_1057305.JPG[/IMG]
      Une partie de l’avion du vol Rio-Paris, qui s’est abîmé en mer le 1er juin 2009, faisant 228 morts. Une partie de l’avion du vol Rio-Paris, qui s’est abîmé en mer le 1er juin 2009, faisant 228 morts. © AFP

      Par Thierry Vigoureux

      Commentaires (8)

      Les pilotes aux commandes de l’Airbus A330 manquaient-ils de sommeil le 1er juin 2009 pour aborder sereinement la nuit de veille entre Rio de Janeiro et Paris ? Cela serait une explication face au comportement totalement hors norme de l’équipage du vol AF447. On sait que celui-ci n’a pas apporté la réponse attendue à une panne d’indicateur de vitesse liée à la défaillance des sondes Pitot. L’équipage de conduite s’est trouvé complètement déstabilisé. En schématisant, certaines actions sur les commandes étaient à l’inverse de celles prescrites et apprises dans une telle situation.

      Remis par les experts judiciaires l’été dernier aux juges d’instruction Zimmerman et Daurelle du tribunal de grande instance de Paris, le rapport judiciaire n’avait pas été communiqué intégralement aux familles des victimes. Faute de traductions, il avait seulement été consulté par leurs avocats. Le Point a pu se procurer ce document. L’analyse de l’accident ne diffère pas fondamentalement de celle contenue dans le rapport technique du BEA également publié l’an dernier. Sauf sur un point, la fatigue.

      Seulement une heure de sommeil avant le vol

      Les experts judiciaires, chargés d’éclairer les magistrats sur les responsabilités des prévenus, ont ajouté cet aspect que les enquêteurs du BEA avaient occulté, considérant qu’il s’agissait de la vie privée. En conséquence, il n’y avait pas eu d’enquête sur l’activité et le repos pris par les pilotes, accompagnés par leurs épouses ou compagnes, lors de l’escale de Rio. Le milieu aéronautique s’en était étonné et même le Syndicat national des pilotes de ligne attire, ces derniers temps par des communications ou des journées d’action, l’attention des autorités sur la fatigue des navigants.

      « Cette nuit, j’ai pas assez dormi. Une heure, c’était pas assez tout à l’heure« , grommelle le commandant de bord du vol AF447 à 1 h 4 mn 19 cette nuit du 1er juin. Cette transcription de l’enregistreur de vol dédié aux voix et aux bruits (CVR) est reproduite mot à mot dans le document des experts judiciaires. Les rapporteurs y ajoutent d’ailleurs des commentaires et soulignent que « pendant les 23 premières minutes d’enregistrement, le silence domine au sein de l’équipage avec les communications radio du contrôle de Recife en arrière-plan, l’attention est relâchée au point d’écouter de la musique ». Puis « alors que la charge de travail est faible et que la fatigue se fait sentir, l’équipage remplit les obligations de la préparation de la traversée de la zone ETOPS sans dynamisme » quand il faut analyser l’état des aérodromes de déroutement en cas de panne. On se souvient que le commandant de bord, parti se reposer, avait mis plus d’une minute trente pour regagner le cockpit depuis l’espace de repos adjacent, quand l’alarme de décrochage avait retenti.

      Tout rapport judiciaire doit répondre aux questions du juge sur les causes de l’accident et l’éclairer. Les experts judiciaires ont donc ajouté, aux autres éléments déjà donnés par le BEA, l’item « 4.3. Fatigue maximale dans phase basse du cycle circadien ». Expertises et contre-expertises de la défense et des parties civiles ne manqueront pas d’infirmer ou de confirmer ce premier rapport judiciaire qui réveille l’enquête sur le crash de l’AF447. »

      un commentaire :

      OLI2002 le 15/03/2013 à 10:54
      La fatigue ?

      La fatigue de l’équipage au commandes de L’A330 AF447 est au mieux un facteur contributif mais certainement pas la cause de cet accident.
      Alors que l’avion volait en croisière sous pilote automatique la perte des infos de vitesse anemometrique est une panne mineure. Se retrouvant pilotage manuel, avion stable en palier, le pilote en fonction a perdu le contrôle de la trajectoire en 5 secondes, cabrant l’appareil jusqu’au décrochage 1mn apres la 1ere alarme sans que ni lui ni le deuxième co pilote n’est conscience de la trajectoire de l’avion. La vraie question c’est comment de soit disant pilotes qualifiés sur A330 peuvent a se point être incompétents ? Commandant de bord inclus, ils ont été incapable de fournir la moindre analyse, le moindre travail en équipage, ni le moindre pilotage de base qui est de maintenir l’avion sur sa trajectoire rectiligne et horizontale. La formation est sans doute insuffisante tout comme la sélection des candidats pilotes a des lacunes évidentes, sélection par le fric pour qui peut se payer les licences (ATPL) et qualifications de type (QT). C’est le nivellement par le bas.
      Ce genre de pilote de ligne avec une culture aéronautique épaisse comme du papier a cigarette peuple aujourd’hui la majorité de cockpit et il faut s’attendre a d’autres accident de ce genre, des pertes de contrôle en vol sur des appareil qui fonctionnent parfaitement ou souffrent d’une panne mineur. Les statistiques de la sécurité des vols sont claires, depuis 2000 Il y a eu 7 avions modernes détruits lors de perte de ctl en vol qui ont fait 975 victimes, AF447 inclus.
      Bon vol…

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