En plus je lui avais fait comprendre, mine de rien, que cela n’est que justice, puisque, le mot «pho», étymologiquement (breveté SGDG), venait du français « pot-au-feu » . Les Vietnamiens avec leur génie de faire toujours plus simple, avaient commencé par ne garder du pot-au-feu que le mot « feu » et ensuite que le meilleur. C’est-à-dire seulement un bon bouillon avec de la bonne viande. Ils avaient écarté les carottes, les navets, les choux et compagnie, trop éloignés à leur goût de leur goût, et les avaient remplacés par des herbes du pays, des pousses de soja. Ils avaient adapté aussi … un peu de nuoc mam, du piment pour qui en veut, des pâtes de riz de différents calibres et pour parachever le tout, un grand choix de viandes et de leur cuisson.