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roman SOUPE TONKINOISE

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    • #119873
      jan;113327 wrote:
      Je me permets de vous présenter mon dernier roman qui peut
      intéresser ceux que l’histoire pas si lointaine ont encore
      en mémoire. Il s’agit du début du XXième siècle et de l’époque
      coloniale au Tonkin et à Hanoi plus précisément.

      Dans chaque famille il y a un livre qu’il vaut mieux ne pas lire à
      haute voix (proverbe vietnamien)

      mon dernier ouvrage, SOUPE TONKINOISE, édition TME, est disponible en
      librairie (le commander au libraire s’il n’y est pas)

      Hanoi, Indochine coloniale en 1910 : la dure réalité d’une époque, le
      choc des cultures. Un polar historique qui rappelle les bienfaits et
      méfaits de la France en Extrême-Orient.
      La ville de Hanoi, Vietnam, fête en 2010 son millénaire. SOUPE
      TONKINOISE déroule un récit d’aventures et de passion, de vengeance et
      de folie dans cette ville magnifique il y a tout juste 100 ans.

      Soupe Tonkinoise
      Jan Thirion
      Editeur : Editions TME
      Collection : Collection noire d’histoire
      Date de parution : 28/04/2010
      Ean : 9782915188172
      Description : 22 x 12 cm / 344 p
      19 euros

      4° de couverture :

      Hanoi, août 1910, au nord de l’Indochine. De jeunes femmes annamites
      sont découvertes mortes au matin, la tête coupée et subtilisée. Dans
      le même temps, des officiers français disparaissent ou se font
      assassiner. Chargé officieusement de retrouver un lieutenant
      volatilisé, le maréchal des logis lorrain, Héli Auguste Thirion, va
      plonger au coeur de la folie des hommes, dans cette province française
      lointaine, considérée comme la perle de l’Asie. C’est un récit âpre,
      dur, cruel, mais qui sait aussi faire la part belle à la comédie, à
      l’image d’un lieu et d’une époque où le rire et la beauté côtoyaient
      les pires horreurs.

      « … Mouettes, multitude de bateaux sur le Fleuve Rouge, jonques,
      sampans, croiseurs de la marine, le D’Entrecasteaux, le Bugeaud, la
      Décidée, les tourelles des canons tournées vers le nord. Tout se
      présente en même temps, en plus de l’odeur peu ragoûtante des eaux. On
      s’habitue rapidement. Beaucoup de monde sur le quai. Coolies,
      marsouins, militaires, civils, Annamites, Chinois, Européens. Des
      groupes qui ne se mélangent pas. Héli cherche à repérer le navire sur
      lequel embarquent les orphelins. Une carriole passe près de lui. On
      devine ce que cache la bâche. Une main traîne presque à ras des pavés.
      Un cadavre de plus sorti du ghetto flottant… »

      Bonjour Jan,
      Bravo !
      Je suis toujours heureux de saluer un collègue écrivain, et je souhaite beaucoup de lecteurs à votre nouvel ouvrage.
      Bien amicalement.
      Dông Phong

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