Ça me rappelle une histoire très drôle que j’avais lue il y a quelque temps. Une japonaise racontait ses premiers pas en France, et son étonnement devant les échanges de bises : une, deux, trois, parfois quatre. Bises sonores ou pas… bref de quoi s’interroger. Elle avait fini par conclure que plus les bises étaient nombreuses et sonores, plus le respect était grand.
Un peu plus tard, cette dame va inscrire sa fille à l’école, une fois la chose faite, elle se précipite sur la directrice, qu’elle gratifie de quatre bises bien sonores puis rentre tranquillement chez elle, laissant la directrice interloquée !