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Xuanvui

Toutes mes réponses sur les forums

15 sujets de 31 à 45 (sur un total de 64)
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    Messages
  • en réponse à : Dictionnaire insolite du Vietnam #139930

    Moi aussi j’avais oublié le topic ! Je viens de lire les derniers commentaires… En tout cas, merci beaucoup !
    Le livre ne plait pas à tout le monde (normal), mais espérons en tout cas que ce soit le premier livre d’une série….
    En attendant, bonne lecture !

    en réponse à : Vivre en France, oui mais quand ? #139703

    Merci beaucoup bac Thuong19 !
    Oui, je crois que vous avez complètement raison. Je vais en reparler avec mon mari, mais c’est vrai que le domaine de la restauration, c’est pas le plus clément…(si tant est qu’un métier puisse être « clément »).
    En tout cas, je suis preneuse des contacts à Sai Gon ! Comme je suis sur place en ce moment, ce sera d’autant plus pratique pour discuter !

    en réponse à : Vivre en France, oui mais quand ? #139683

    Merci Bac Thuong19 !
    Moi aussi je trouve ça révoltant ce gachis d’intelligence et ce profit sur le dos des médecins étrangers, sous prétexte que leur diplome vient de l’étranger et qu’ils ne sont alors pas à la hauteur de l’exigence française (mais biensûr….)
    Pour les contacts des médecins à Sai Gon, je ne sais pas si ce sont les mêmes, mais vous m’en avez déjà donné (de médecins vietnamiens qui exerçaient en France et avaient réussi à passer certaines « équivalences ») et je les déjà contacté de votre part ! (ils m’ont d’ailleurs répondu et ça nous a un peu aidé !). Si ce ne sont pas eux, je suis toujours et encore preneuse !
    Mon mari ne souhaite pas exercer son métier de médecin en France à tout prix (et il a raison)… Donc il laisse toujours une chance à la possibilité de continer dans la médecine si de bonnes opportunités se présente mais envisage aussi de refaire des études dans une autre branche (comme la cuisine par exemple.)
    La question qui reste aussi encore : quand venir en France ?
    En tout cas, merci pour tout !

    en réponse à : Urbaniste au Viet Nam #139663

    Avec plaisir anh Khi !!! Je rentre le 3 Septembre je crois, si tu es dans les environs de Paris à ce moment là…

    en réponse à : Vivre en France, oui mais quand ? #139662

    Merci Anh Truc !
    Mais je pense que cette situation n’est pas possible actuellement, sauf peut être dans des cas exceptionnel : maintenant, même pour passer infirmier, il faut repasser le diplome (même avec un diplome de médecin étranger). Sinon, on passe dans une forme d’illégalité et surtout, c’est une situation instable (CDD à répétition et compagnie). Et refaire ses études de médecines, c’est presque pire que le parcours du combattant….
    En attendant, on cherche plutôt du coté des BTS de cuisine… (quitte à changer, autant bien le faire !)

    en réponse à : Qui a testé les écoles de Viêtnamien à HCMC? #136678

    Je rejoins Tithus sur les prix. Au vu de mon budget étudiant, c’était quand même un gros investissement, cependant, au vue de la qualité des cours, je ne trouve pas ça non plus sur-évalué. C’est juste que c’est pas très adapté au budget d’un étudiant (et encore, ça peut quand même se faire!). C’est vrai qu’il faut aussi acheter les bouquins de cours mais ils ne sont pas hors de prix. Tout dépend aussi du nombre d’heure par jour. Pour ma part c’était 4h/jour et j’ai du payer qq chose comme 150 euros environ (je ne sais plus trop) par session (qui dure quand même plus d’un mois !).
    Prévoir donc un bon budget mais pas exorbitant non plus.

    Mais par contre, au contraire de Tithus, je ne partage pas du tout l’idée d’un professeur particulier plus efficace pour le même prix. Un professeur particulier, c’est bien en complément, mais selon moi, ça ne vaut pas du tout les cours de l’université. D’abord parce qu’en général, peu de professeurs particuliers connaissent bien leur langue maternelle et sont capables d’en expliquer les ressorts, les mécanismes autrement que par un « c’est comme ça » ou par intuition.
    En plus, rares sont ceux qui sont capables de comprendre exactement où sont les difficultés les plus importantes des étrangers (par manque d’expérience, par méconnaissance de nos origines, nos langues maternelles et leur caractéristiques etc…) et donc de voir là où il faut insister, pourquoi et comment. La prof que j’ai eu à l’université des sciences sociales de SG avait passé un certain nombres d’années en Russie et ailleurs (mais je ne sais pas où) et elle avait une sacrée pédagogie et une bonne connaissance des étrangers et qui plus est, de ce que ça fait que d’être étranger. Et ça, ça aide, dans l’apprentissage de la langue comme de la culture et des codes…
    Enfin, les professeurs particuliers n’ont pas vraiment de méthode particulière, ils s’adaptent et font un genre de « bricolage » méthodologique (ne pas voir de connotation péjorative dans ce mot, je veux juste exprimer le caractère improvisé de la méthode) qui n’est pas plus efficace que la méthode employée à la fac qui elle, mélange la compréhension orale, écrite, l’expression orale etc… Il y a des tests à la fin de chaque session, histoire aussi de nous booster à apprendre le vocabulaire vu en cours, les formes syntaxiques et grammaticales etc…
    Donc pour moi, un professeur particulier oui, mais en complément de la fac. Et pourquoi pas prendre un professeur français qui parle vietnamien, car au moins lui, il a une méthode déjà établie et vécue, une expérience de l’apprentissage de la langue, de la culture, il sait où se trouve les plus grandes difficultés parce que c’étaient les siennes, pour les avoirs rencontrées et dépassées. Seulement, il faut trouver un prof français au VN, qui parle couramment le vietnamien et sans accent (ou peu) si possible.

    J’étais amie avec un Mexicain qui était débutant en vietnamien et a intégré la fac de SG et il a rapidement fait des progrès ! En plus, ce qui est rigolo, c’est qu’on fait des sorties au resto avec les gens de la classe tout en se parlant en vietnamien ! J’ai sympathisé avec un américain et jamais on ne s’est parlé en anglais, à la fac comme ailleurs ! Donc oui, avec un niveau débutant, on peut largement faire quelque chose et c’est même très bien pour commencer sans prendre de mauvaises habitudes !

    en réponse à : Cours de vietnamien thu duc Hcm #135811

    Bnojour Brunop !
    Juste pour préciser que j’ai répondu en MP !
    Bon week end !

    en réponse à : Xin Chiao d’une française à Hanoi #135370

    Ok ! Ben si tu veux te trouver une « excuse » ou une occasion plutôt pour venir visiter le Sud, moi je t’accueille à bras ouvert ! Je peux pas te loger mais je peux te trouver un hotel et puis pour les journées, on peut facilement gérer ça toutes les deux ! Si tu veux aussi aller faire un tour dans le delta du Mékong, je connais une super de chez super adresse à la campagne (mais chez un français) car ca fait du bien de temps à autre de quitter la ville…Voilà, tiens moi au courant. Je t’envoies en MP mes coordonnées !

    en réponse à : Le rôle du fils dans sa famille #135369

    Pour ma part, je parlais vietnamien déjà avant de rencontrer mon mari. J’ai appris le vietnamien par amour des langues étrangères, par amour d’un Viet Nam où je n’avais à l’époque pas encore mis un pied et surtout, par un « sur-besoin » d’existence et de différenciation (ce qu’on peut appeler adolescence).
    Après, il faut beaucoup, beaucoup, beaucoup de temps pour arriver à se sentir bien au VIet Nam, trouver la frontière entre s’adapter et rester soi-même, se faire comprendre et comprendre et surtout, ce qui permet aussi de ne pas finir folle, c’est d’avoir de fortes amitiés, quelqu’un avec qui tu peux parler…Et en général, c’est plutôt quelqu’un qui vient de ton monde, parce qu’il comprend les chocs auxquels tu peux faire face…En tout cas, moi c’est comme ça que je vis les choses et que je les envisage.
    Bon courage pour tes expériences à venir et pour l’importance du fils dans sa famille, je ne veux pas te décourager mais une autre difficulté qui va aussi avec c’est la place des hommes dans la société et la vie privée et celle qui est réservée aux femmes…Et là encore, il faut vraiment s’accrocher parce que c’est pas toujours facile ! (Comme ça peut l’être en France aussi, sauf qu’au VN tu peux facilement être taxée d’occidentale au sens péjoratif du terme soit débauchée, pas serviable, trop libre … J’exagère un peu… mais un peu seulement…Souvent, en discutant avec des Vietnamiens, j’ai eu l’impression qu’une Occidentale, c’était mieux sur un lit quand dans une cuisine, autrement dit il vaut mieux que ce soit une amante qu’une épouse…Après, cela dépend aussi et surtout de la mentalité des gens que tu fréquentes, mais ça, c’est comme partout…)

    en réponse à : Le rôle du fils dans sa famille #135324

    Sache aussi que normalement, les belles-filles sont sensées aider leur belle mère à la cuisine etc, s’occuper de leur mari (plus que s’occuper : le chouchouter, le choyer mais tout le temps et comme si c’était « normal » d’être un genre de suivante….). Toi comme moi, on ne peut pas aider à la cuisine. Bien que je me débrouille en cuisine vietnamienne, sa mère (comme sa soeur) aurait toujours quelque chose à redire, comme en France aussi d’ailleurs, et en plus, chacun à des façons différentes de faire. Par ailleurs, ma belle mère s’imagine que je ne sais pas faire grand chose à ce niveau et ne me laisse pas non plus l’aider ou faire à ma manière. Le fait que je ne fonctionne pas comme une parfaite épouse vietnamienne l’a fait se poser beaucoup de questions (et ça continue je pense) mais je ne sais pas ce qui l’a fait changer d’avis, en tout cas maintenant elle a l’air de ne plus trop se faire du soucis concernant ma capacité à rendre son fils heureux.
    L’épouse est aussi sensée se plier à la belle-mère, et être à ses petits soins. Voilà une place beaucoup plus dure à assumer que pour nos conjoint en tant que gendre de nos familles….

    La place de la femme occidentale dans la société vietnamienne, en tant qu’épouse (ou conjointe) d’un Vietnamien… En tout cas, moi je l’ai vécu et le vis encore de manière très difficile (à l’extérieur de notre couple j’entends). J’ai mis du temps à comprendre et accepter beaucoup de chose et puis la vie là bas n’est pas facile quand on vit à la vietnamienne et qu’on en est pas une.

    en réponse à : Le rôle du fils dans sa famille #135323

    Je continue ma réponse : les avantages du fils dans une famille où il n’y a que des filles (je résume : mon mari est le seul fils mais il a 3 soeurs, 2 grandes et une petite). Eh ben, donc les avantages….euh….je ne sais pas si on peut parler d’avantages mais disons qu’il est très respecté dans sa famille, déjà parce qu’il est le seul fils mais aussi parce qu’il a fait en sorte d’avoir une ascension sociale vertigineuse. Du coup, ses parents l’adorent (mais comme ils aiment aussi leur filles). Je me rappelle que la première fois où mon mari à annoncé à ses parents qu’on allait leur rendre visite, ces derniers qui faisaient des travaux dans la maison, se sont empressé de refaire en premier le toit qui était au dessus de la chambre des enfants (quand ils sont de passage). Et nous avons dormi les deux dans la même chambre et le même lit alors qu’on était pas marié. Je sais pas si cela résulte d’une négociation, imposition de mon mari avec ses parents ou si ce sont eux qui nous ont spontanément laissée faire à notre convenance. Normalement, c’est pas très bien vu et donc pas très bien accepté.
    Et puis, un jour, mon mari a annoncé à sa mère qu’il voulait aller vivre en France pour vivre avec moi (un jour, quand on était utopistes) et sa mère s’est mise à pleurer régulièrement, à l’appeler en larme au téléphone et à maigrir… Autant dire que mon mari a revu sa volonté, sans l’abandonner pour autant….Voilà. Un fils « unique » : c’est précieux donc on veut le garder mais donc il est très respecté… Mais c’est aussi celui qui a la charge de beaucoup de chose (aider ses soeurs, principalement la dernière, être l’arbitre dans certains conflits familiaux…Et là, tout dépend de ton mari, de son caractère et de ce qu’il entend pouvoir/vouloir faire pour et dans sa famille).

    Je parle vietnamien couramment ou presque et mon mari parle un français respectable (niveau Delf B2). Cela dit, en parlant de trouver sa place dans la famille, oui je l’ai trouvée en tant que femme de leur fils. Mais personne ne sait d’où je viens, qui je suis (personne ne sait que ma famille, en France est une famille composée, recomposée et décomposée, personne ne sait et est loin d’imaginer ce que peux vivre la jeunesse en France, ce que peut être ses problèmes, ses réalités etc… donc ne peut vraiment s’intéresser à ce que je vis en France) ni ce que je peux vivre quand suis au VN…Du coup, que partager ? Je ne le sais pas, pas encore. C’est compliqué.
    Du coté de ma famille, seule ma mère connait vraiment mon mari (ils s’écrivent de temps en temps car mon mari adore ma mère) mais là encore, je pense que trouver sa place pour lui est plus facile que pour moi, vu qu’il peut parler beaucoup plus librement avec ma famille que moi avec sa famille et qu’on a un peu plus conscience de ce que signifie « être déraciné » ou être étranger (dans ma famille en tout cas). Voilà…Envoie moi un MP si tu veux qu’on discute de tout ça. Je serai à SG en Juillet et Aout, si tu y passes, je serai ravie de boire un café da avec toi !
    Courage !!!

    en réponse à : Le rôle du fils dans sa famille #135321

    Coucou Hélène !
    Je peux te parler de mon expérience, même si je ne vis pas chez les parents de mon mari.
    Je me souviens avoir fait un rêve, quelques mois après avoir emménagé avec mon mari : je rêvais que ses parents l’appellaient pour lui annoncer qu’ils débarquaient de leur petit village pour habiter chez nous, à Ho Chi Minh Ville. Et dans ce rêve, je ressentais un affolement et une angoisse digne de ce nom… Très révélateur.
    Personnellement, je ne peux pas dire que je me suis intégrée dans ma belle famille parce que je ne les vois pas assez. Cependant, après le coup du « j’aurais préféré que mon fils se marie avec une Vietnamienne », ma belle mère m’a acceptée et mon beau père m’a demandé de l’appeler « bo » (papa), comme il se doit au VN. Mes beaux parents demandent tout le temps de mes nouvelles, mes belles soeurs sont super sympas avec moi même si je n’ai pas eu l’occasion de nouer de véritables liens avec elles.
    Quand je suis au Viet Nam, je vis avec mon mari et sa plus jeune soeur (ils habitent ensemble) et même si ce n’est pas sa mère et qu’elle est tout ce qu’il y a de gentille et sympa, je peux t’assurer que cette situation qui commence à me taper sur les nerfs. A propos de ma relation avec ma belle famille, je l’appelle régulièrement, même de France. C’est culturel. Autant ça ne se fait pas trop en France sauf si des liens très particulier ont été noués, mais au VN, c’est autrement. J’appelle donc mes beaux parents et j’angoisse toujours à l’idée de dire une connerie (faute de syntaxe, de compréhension, malentendu)… Je me rappelle qu’une fois, en répondant à mon beau père, je lui ai dit « em chào bo » par habitude (je suis toujours « em » avec tout le monde parce que je suis toujours la plus jeune par rapport aux gens que je fréquente)…Ma belle mère plaisante avec son fils (mon mari) en disant qu’elle appréhende le fait de me parler (au téléphone) car il m’arrive de répondre à coté de la plaque à ses questions (je ne comprends pas toujours son accent local).
    Tout ça pour dire que, oui, les relations sont complexes mais pour qu’elles perdent de leur complexité, il faut au moins apprendre la langue…
    Tout dépend de comment aussi ton mari voit ses relations avec sa famille. Je sais que le mien reste très indépendant et sans rejeter ses parents, reste ferme sur ses décisions même si ses parents ne sont pas d’accord et font pression.

    en réponse à : trop de traduction tue la traduction ! #135182

    Merci à tous de m’avoir aidé !!! Je pense que je choisirais soit l’expression de Léa ( chẳng còn hay là làm hỏng )et celui de Dong Phong ! Ce que je voulais dire c’est bien ça : trop d’art tue l’art soit plus il y a de l’art, moins ça en est ou plus ça le rend mauvais …. Plus il y a de couleurs, moins on les remarque, moins elles sont appréciables…

    Et puis chu Dong Phong, je trouve que ton explication sur la mort comme une fin définitive en France contrairement à ce qu’elle signifie au Viet Nam est très pertinente et explique pas mal de chose au niveau vocabulaire… Comme a dit Yen, dommage que tu habites loin, parce que moi aussi j’aurais bien aimé que tu me donnes des cours !

    Pour info, frère singe, le Viet Nam n’a pas un ratio homme/femme très déséquilibré…La sélection fille/garçon avant la naissance existe mais beaucoup forte qu’en Chine… Si tu regardes dans un des postes de Ti Ngoc sur le féminisme au VN, tu verras que c’est une composante culturelle d’origine chinoise que les Vietnamiens n’ont pas trop gardée…

    Merci à tous !

    en réponse à : Comment on dit en vietnamien ? #135078

    Merci dokuan nhieu pour la réponse et l’article !!!

    en réponse à : Comment on dit en vietnamien ? #135066

    Bonjour,

    Petit question parce que je n’arrive pas à trouver une traduction dans les dictionnaires (trop traditionnels) : comment dit-on « macho » en vietnamien ?

    Merci de vos réponses !

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