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la bande annonce sur youtube
https://www.youtube.com/watch?v=1aFbOKxrf2c&list=PL4AF7D2B118CA6A03&index= 31&feature=plpp_video12 novembre 2012 à 16h00 en réponse à : [ 14-18 ] Tirailleur tonkinois, peint par Eugène BURNAND, peintre Suisse #152898celles et ceux qui veulent en savoir plus, allez sur ce site : ISC – CFHM – IHCC, mais ce n’est que l’aspect militaire qui est considéré ; pas les conditions de recrutement au pays
@Abalone 151711 wrote:
…. Je ne me souviens plus de mon premier pseudo sur le forum, mais j’espère qu’un certain nombre d’entre vous saura se rappeler de moi.
Si ce n’est pas le cas, ce n’est pas grave, vous allez apprendre à me connaître, car j’ai l’intention de participer activement dorénavant.
Je vais commencer à m’habituer d’abord au site et j’espère qu’on peut insérer beaucoup de photos, car j’ai parcouru le VietNam de long en large, un peu partout, vous allez pouvoir vous régaler de la richesse et de la diversité du VietNam.
….il est temps que tu reviennes abalone, on attend avec impatience tes photos et tes interventions prometteuses:wink2:
12 novembre 2012 à 6h23 en réponse à : [ 14-18 ] Tirailleur tonkinois, peint par Eugène BURNAND, peintre Suisse #152868@HAN VIËT 151698 wrote:
On parle de respect . Voilà comment la France respectait les anciens tirailleurs
Extraits de Les Bataillons de Tirailleurs Indochinois (B.T.I)*
………..
@Yên et Thuong 19 : j’évite de discuter de personnes en particulier, j’essaie de ne pas m’impliquer personnellement et j’essaie d’apporter des arguments étayés si possiblesalut Han Viët,
le cas de mon père n’était pas un cas particulier. bon nombre de tirailleurs indochinois engagés pour venir en France étaient dans son état d’esprit ; la situation des tirailleurs indochinois qui étaient déjà engagés au pays dans des bataillons au pays étaient toute autre. ces derniers sont venus parce que leurs bataillons ont été envoyés en France.Quant à leur statut après la guerre, leur situation n’avait pas changé. ils sont demeurés « protégés » et n’ont pas eu la nationalité française.Q’ils fussent blessés,mutilés ou décorés. Seuls ont acquis la nationalité française les « libérés » restés en France qui avaient pu avoir un contrat de travail . ce fut le cas de mon père et bon nombre de ses compatriotes restés en France.
Mais pour noircir encore le tableau, la carte d’ancien combattant leur a été refusée, donc pas de pension. Et pour finir, la nationalité Française leur a été retirée à partir de 1956 pour ceux qui n’avaient pas opté pour la nationalité française dans le délai de 6mois après la signature de la convention de Genève de 1955 par application de l’article 4 de ladite convention.Mais comment pouvaient-ils être au courant qu’il fallait opter ? aucune info ne leur avait été adressée.
je comprends bien que tu mettes un point d’honneur à étayer tes arguments. mais nulle part tu ne trouveras un écrit sur les conséquences iniques de l’application des textes administratifs par des fonctionnaires zélés qu’ont subi nos compatriotes de l’époque.
Seule possibilité à l’époque, faire un recours au Conseil d’Etat. Mais nos parents en avaient-ils encore l’envie et la confiance en un Etat qui les avaient trompés ?
Le site que tu as donné fait référence à la vision éclairée du Colonel Rives qui n’expose que la généralité de la situation des Linh tap du point de vue militaire. conditions de recrutements ,utilisation des bataillons de linh tap, leur comportement , leur situation juridique après la guerre.La situation réelle de « l’après » ne peut être appréciée que par la connaissance des situations individuelles qui est la réalité de ce qu’ils ont vécu. Et ça, Maurice Rives n’en dit pas un mot et pour cause, ils ne sont plus dans l’armée.
je terminerai en t’informant que ces anciens Linh Tap restés en France ont formé la première association de travailleurs viêtnamiens en France qui a lutté dans l’hexagone pour l’indépendance du Viêtnam, soutenu et accueilli le président Ho Chi Minh en France. Cette association deviendra plus tard l’Union Générale des Viêtnamiens de France.11 novembre 2012 à 17h02 en réponse à : [ 14-18 ] Tirailleur tonkinois, peint par Eugène BURNAND, peintre Suisse #152856@HAN VIËT 151676 wrote:
Je trouve absolument incongru , pour ne pas dire plus , d’associer le 11 novembre 1918 au souvenir des tirailleurs indochinois . Ils n’étaient pas du tout volontaires pour aller se sacrifier pour la France qui n’était pas leur mère-patrie . …………….
salut Han Viët
certains n’étaient pas volontaires, mais d’autres oui.
j’en connais au moins un : mon père qui est venu en France défendre « la mère patrie » en 1915. il était tirailleur indochinois. il s’était engagé pas pour se sacrifier, non …. à 18 ans, on n’a pas envie de servir de chair à canon. Il s’est engagé parce qu’à cet âge, on a soif d’aventure. et qu’il avait trouvé un moyen pour aller voir ailleurs si le soleil brille davantage.
maintenant oui, des tirailleurs indochinois sont morts dans cette guerre. nous avions déjà évoqué ce sujet dans une discussion dans laquelle certains membres attestaient la présence de noms viêtnamiens sur des monuments au mort ( dans le nord et dans l’est de la France).
alors Han viët, tout n’est pas noir ni blanc.@robin des bois 151242 wrote:
Voilà j’ai commencé la lecture de ce bouquin/BD
– qui est sous-titré Saïgon 1961-63 (cqfd : sans doute une suite à prévoir)
– un peu cher je trouve , mais un » beau livre-objet » , et dejà plein de choses intéressantes .
…………….
salut RdB, je partage ton avis sur la chèreté du livre. je suis par contre très déçu par les dessins qui sont beaucoup moins attrayants que ceux de ses BD pour enfants.(la série de fleur d’eau qui se passe à Hoi An).
quant au récit, je suis comme toi, je n’étais pas témoin direct, mais j’essaye de faire appel à mes souvenirs pour faire des recoupements, conforter certaines de mes idées de l’époque ou les remettre en cause.
En tout cas le regroupement des « soldats vietminh au nord » est attesté par de nombreuses personnes dont Lady Borton dans son livre l’Après Chagrin. Cette écrivaine américaine quakers a partagé la vie des femmes restées seules avec leurs enfants dans les maquis du Sud Viêtnam et dont les maris avaient passé le 17ème parallèle pour attendre le vote pour la réunification ,prévu par les accords de Genève de 1954 qui n’aura jamais lieu.(refusé par Ngo Dinh Diem).Le nombre me parait sous-évalué . Lady Borton parle de plus de 200000 soldats viêtminh qui aurait émigré sans armes (elles étaient restées cachées au Sud) en attendant les élections de 1956.C’est la raison pour laquelle les premiers combattants qui ont repris le chemin de la piste Ho chi Minh étaient des Sud viêtnamiens qui voulaient revoir leur famille laissée seule 2 ans plus tôt.@philippebd 121954 wrote:
Bonsoir,
Le Figaro propose une sélection de 10 restaurants vn sur Paris ………….dont le Foyer du Vietnam etc…
Qu’en pensez-vous ???le restaurant du Foyer de la rue Monge n’existe plus. les gérants ont recréé un nouveau restaurant au 24 rue de la Montagne Sainte Geneviève, mais privé. l’UGVF ne subventionne plus de restaurant (pour étudiants et autre clientèle).Une page est tournée; le foyer que j’avais connu dans les années 60 et qui permettait à l’époque aux étudiants peu fortunés de manger « Viêt » au même prix que dans un resto U du CROUS en région parisenne, c’est fini. :cray:
explications :[h=2]Communiqué de l’UGVF sur l’affaire Foyer Monge[/h]
Depuis plusieurs mois, l’UGVF est mise en accusation par une personne qui s’est accaparée de manière personnelle les locaux du Foyer Monge dont l’utilisation a toujours été à caractère associatif, au service de la communauté. Voici en quelques lignes un retour sur le passé du foyer et sur la position de l’Union Générale des Vietnamiens de France.
BREF HISTORIQUE DU FOYER MONGE DE 1976 A 2009
En 1976, l’ambassade du Vietnam en France a mis les locaux du 80 rue Monge à la disposition de l’UGVF pour y organiser des activités culturelles et associatives. De 1976 à 2000, l’UGVF a exploité elle-même ces locaux. A partir d’octobre 2000, suite au départ à la retraite du gérant salarié, l’UGVF a confié la gestion à un nouvel exploitant en contrepartie du paiement des charges et de 10 000 Francs. Ce dernier a travaillé avec M. Vo Van Than à compter de janvier 2001. L’UGVF ne connaît pas le contenu des contrats et des conditions qui lient les deux parties et n’a pas été consultée quant à l’entrée de M. Vo Van Than dans la gestion du foyer.
A compter du mois de janvier 2001, M. Vo Van Than a encaissé directement la totalité des recettes et a reversé uniquement à l’UGVF, sur le compte dédié au Foyer, un montant couvrant les loyers, les frais fixes prélevés (eau, électricité, gaz, assurance) et une somme d’environ 1000 à 1500 euros par mois. Suite à des désaccords avec l’exploitant en mai 2009, M. Vo Van Than a informé l’UGVF qu’il reprenait seul l’exploitation directe du foyer. L’UGVF (son président M. Vo Si Dan) a pris note de cette information dans l’attente d’une réunion précisant les conditions d’utilisation du foyer.LE FOYER DE 2009 A 2012
En mai 2010, après le dernier congrès et l’arrivée d’une nouvelle équipe de direction à l’UGVF, l’association a souhaité reprendre contact avec M. Vo Van Than pour revoir les conditions d’utilisation en vue d’un usage plus associatif (usage premier du foyer). M. Vo Van Than n’a pas souhaité en discuter. Entre novembre 2010 et mars 2011, un comité de l’UGVF a été monté pour trouver un accord avec M. Vo Van Than sur l’usage du foyer. En mars 2011, devant l’échec des discussions et face à une privatisation totale du foyer par M. Vo Van Than, l’UGVF a décidé de restituer les locaux à l’Ambassade du Viet Nam (titulaire du bail portant sur le Foyer Monge).
[h=1]VO VAN THAN SEUL AUX COMMANDES[/h]A ce jour, M. Vo Van Than n’a jamais rendu de compte sur son exploitation directe, sur son chiffre d’affaires, sur ses marges et sur ses embauches directes. Il a toujours refusé un contrôle de son activité par l’UGVF et a exploité de manière indépendante le Foyer Monge, en dehors de tout contrat de prestation ou de tout titre lui permettant d’occuper les lieux. Après études et vérifications détaillées des comptes de l’UGVF et suite à un constat d’huissier sur plusieurs jours relevant la fréquentation minimum de la cantine, il s’avère que seuls 10 à 15% des recettes aient été déposées sur le compte de l’UGVF. Ces dépôts ont servi à payer uniquement les frais fixes et l’UGVF ne sait pas ce qu’il est advenu des 85% restants des recettes encaissées directement par M. Vo Van Than. Suite à une étude comparative de la profession validée par un expert-comptable, après paiement des employés, les marges nettes dégagées par cette exploitation directe de M. Vo Van Than pourraient être de l’ordre de 20 000 à 30 000 euros par mois durant ces dernières années, un revenu mensuel personnel très important… l’UGVF, de son côté, n’a jamais versé de salaire à M. Vo Van Than et n’a jamais été son employeur.
LA FERMETURE
Dans ce contexte et malgré les tentatives de l’Ambassade depuis mai 2011 pour reprendre ses droits sur les locaux (lettres recommandées, envoi d’huissiers…), M. Vo Van Than a refusé de quitter les lieux et a continué à exploiter illégalement la cantine jusqu’au 5 janvier 2012, date de fermeture imposée par la préfecture de Paris. Il s’est encore maintenu dans les lieux jusqu’à ce jour, alors que l’Ambassade payait les loyers depuis déjà un an, sans accès aux locaux, ce qui représente une somme d’environ 30 000 euros.
QUELLES SONT LES PROCEDURES EN COURS ?
1 / LE «REFERE» (MESURE D’URGENCE) A LA DEMANDE DE M. VO VAN THAN auprès du Conseil de Prud’hommes de PARIS en date du 23 mars 2012 et demandant à UGVF de payer des salaires à M. Vo Van Than depuis la fermeture du restaurant pour raison d’hygiène publique, soit deux mois, ainsi que de constater la rupture de son contrat de travail et donc, demandant des provisions sur indemnités.
Résultat à ce jour : cette procédure, déposée par M. Vo Van Than et repoussée trois fois par lui-même a été annulée le 6 juin 2012 par le juge car M. Vo Van Than n’a pas apporté de nouveaux éléments pouvant convaincre les instances prud’hommales.
2 / LE REFERE DEPOSE AU TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE PARIS A LA DEMANDE DE L’AMBASSADE et qui a été jugé le 20 mars 2012, contre M. Vo Van Than et Mme Ly Hong Ngoc, afin qu’ils rendent les locaux occupés illégalement, après que l’UGVF ait rendu les locaux à l’Ambassade en mai 2011.
Résultat à ce jour : le juge du TGI, après avoir écouté en audience les différentes parties puis étudié toutes les pièces et justificatifs pendant une semaine, a prononcé l’expulsion sous 30 jours de M. Vo Van Than et Mme Ly des locaux pour occupation illégale et «trouble manifestement illicite» et les a condamnés à payer les dépenses couvrant les frais de procédure. Au vu de l’importance du trouble, une astreinte de 1500 euros par jour de retard, à compter du mois suivant la signification de l’acte a été demandé à M. Vo Van Than. L’Ambassade a donc été considérée dans son droit de reprendre les locaux et ce, au vu des faits et de l’ensemble de la situation juridique. L’ordonnance rendue est OPPOSABLE à l’UGVF, ce qui implique que dans tous les cas, M. Vo Van Than et l’UGVF doivent respecter le jugement. M. Vo Van Than a fait appel de cette ordonnance. Dans l’attente de l’Appel, il a également demandé la suspension de l’exécution de cette ordonnance auprès du Juge d’Appel invoquant un vice de forme et une situation «alarmante» pour sa famille, dont le manque de ressources, la famille toucherait depuis longtemps le RMI. Le 23/05/2012, le juge n’a pas été dupe et a débouté M. Vo Van Than et Mme Ly Hong Ngoc de leurs demandes et a confirmé le bon droit de l’Ambassade et le caractère illicite de l’occupation des locaux.
3 / OUVERTURE D’UN PROCES CONTRE L’UGVF PAR M. VO VAN THAN ET MME LY, AU TGI, pour tenter de rendre nulle la décision de l’UGVF de rendre les locaux à l’Ambassade et de permettre ainsi à M. Vo Van Than et Mme Ly Hong de rester dans les locaux.
Résultat à ce jour : Procédure en cours. Cette procédure a été ouverte auparavant en vue d’influencer le référé ci-dessus mais ceci n’a plus lieu d’être au vu du jugement déjà rendu.
4 / PROCEDURE OUVERTE PAR M. VO VAN THAN DEVANT LES PRUD’HOMMES pour demander un statut de salarié (non réclamé en 10 ans) et pour demander le versement par l’UGVF de sommes très importantes (plus de 250 000 euros). Résultat à ce jour : Plaidoiries prévues en septembre 2012. L’UGVF n’accepte en aucun cas le détournement de la vérité, les abus constatés, l’UGVF se défendra et a pleinement confiance en la justice.
POURQUOI LE RESTAURANT EST IL FERMÉ AUJOURD’HUI ?
Le 2 janvier 2012, la Préfecture de Police de Paris a ordonné la fermeture administrative des lieux relevant notamment le caractère parfaitement insalubre des locaux et exigeant des travaux afin de protéger la santé publique. Cet arrêté, directement notifié à M. Vo Van Than, exploitant les lieux à cette période, ordonne la fermeture de l’intégralité des locaux sans faire de distinction du rez-de chaussée et du 1er étage.
POURQUOI LA JUSTICE A T-ELLE EXIGE QUE M. Vo Van Than Et Madame Ly quittent les locaux OCCUPÉS ILLEGALEMENT ? Rappel des faits: Suite au référé déposé au Tribunal de Grande Instance de Paris par l’Ambassade et qui a été jugé le 20 mars 2012, il a été considéré qu’il ne pouvait s’agir d’un local d’habitation et que de plus, il y avait des incohérences dans les déclarations de M. Vo Van Than entre la juridiction prud’hommale et le TGI (autres procédures en cours).
Il a été considéré également par le juge, sans que cela n’ait cependant la même valeur qu’un jugement sur le fond, que « à compter avec certitude de l’année 2006 et peut être déjà depuis 2001, M. Vo Van Than a exploité la cantine, encaissant la totalité des recettes».
COMMENT INVOQUER UN MANQUE DE RESSOURCES ET OUVRIR AU MEME MOMENT UN RESTAURANT DANS LE 5EME ARRONDISSEMENT DE PARIS ?
Lors de l’appel auprès du Juge d’appel, M. Vo Van Than a invoqué une situation alarmante pour sa famille en insistant sur son manque de ressources alors que le 16 mai 2012 il s’installe et dirige un restaurant à Paris 5è (infogreffe.fr) et ce, tout en continuant à cette date à occuper les locaux de la rue Monge de l’Ambassade.
Comment est-ce possible ? Le fonds de commerce acheté le 5 Mai 2012, pendant les procédures, est de 150 000 euros. D’où proviennent ces fonds ? M. Vo Van Than est-il vraiment en manque de ressources financières ? Si M. Vo Van Than a le droit de monter une affaire, ce qui nous importe peu, peut-il se faire passer pour victime ? Tenter de discréditer notre association et de plus continuer à vouloir encore tirer profit financier de l’UGVF ?
POURQUOI L’UGVF EST LA VICTIME ET NON PAS M. VO VAN THAN ? POURQUOI FAUT-IL DÉFENDRE L’UGVF ?- M. Vo Van Than veut faire croire qu’il est une «victime», que l’UGVF auparavant et aujourd’hui l’Ambassade veulent le chasser, lui et sa famille, alors que M. Vo Van Than est la première personne à réussir à s’accaparer un lieu collectif et associatif à destination de la communauté en le privatisant totalement tout en sachant que le bail des locaux appartient à l’Ambassade du Vietnam.
- M. Vo Van Than est la première personne à attaquer l’UGVF depuis sa création devant un tribunal, il veut faire croire qu’il est une «victime» en entrainant ses amis et des personnes de bonne foi en donnant de fausses informations et en laissant croire qu’il est sans ressources, que sa compagne ne touche seulement le RMI. Il demande plus de 250 000 euros à l’UGVF alors que depuis plusieurs années il récupère à son compte des bénéfices qui pourraient être de l’ordre de 20 000 à 30 000 euros par mois.
- M. Vo Van Than attaque l’UGVF en ayant jusqu’à 3 avocats même temps, cela peut paraître anodin, mais cela est révélateur de sa capacité financière, pour se défendre l’UGVF a dû prendre un avocat qui lui a coûté pour l’instant plus de 10 000 euros alors que cet argent aurait dû être utilisé pour les actions de l’association.
- Dernière information en date du 30 mai 2012, Mme Ly Hong est devenue à cette date gérante d’une entreprise de restauration avec un capital de 5 000 euros et a acheté un fonds de commerce (un restaurant) pour un montant de 150 000 euros. Encore une fois, comment une famille dans une situation «alarmante», avec un manque de ressources et au RMI est-elle capable d’une telle opération ?
Pour toutes ces raisons, pour que justice soit rendue, pour que l’image de l’UGVF ne soit pas ternie et pour que M. Vo Van Than arrête de discréditer notre association, nous vous demandons de soutenir l’UGVF en diffusant ces informations auprès de vos proches afin de démontrer que l’UGVF est dans son bon droit et que dans cette affaire au final ce n’est pas M. Vo Van Than la victime mais bien l’UGVF
UGVF – Paris le 8 juin 2012
11 novembre 2012 à 7h19 en réponse à : [Reportage TV] "Saigon l’intrépide" sur Thalassa (France 3) #152840@abgech 151671 wrote:
………… vendredi 16 novembre, à 20.45, sur FR3, l’émission Thalassa (que je suis assez régulièrement) est consacrée à Saïgon et au delta.
À cette occasion, il semble que l’on va parler de l’un des pionniers de FV (dont on a que trop rarement des nouvelles) qui vit et travaille à Cần Thơ.………..
salut le papy,
j’essaierai de ne pas manquer le rendez-vous. surtout si au menu ,il y a du nem chua.
bon séjour au pays à vous deux.
Thuong19@montsauche 151650 wrote:
…….
C’est aussi pouquoi je m’énerve parfois en lisant tel ou tel guide qui raconte n’importe quoi. Surtout en ce qui concerne les périples dans plusieurs pays de l’asie du sud est. (Impossible de repasser la frontière avec ta moto si tu est passé au Laos par exemple. Sauf si tu as le « carnet » du véhicule. Et bien sûr, tu ne l’as pas puisque les papiers ne sont pas à ton nom (c’est le serpent qui se mord la queue !!!!!!)……..salut montsauche,
je ne crois pas que ton affirmation concernant le Laos soit exacte.mon fils habite Hanoï, il est vietkieu, sa moto n’est donc pas à son nom. il fait régulièrement des périples à moto au Laos, et il est toujours parvenu à revenir avec sa Honda à Hanoï sans soucis .10 novembre 2012 à 5h56 en réponse à : Chocolat made in Vietnam : MAROU , un artisan chocolatier #152822du renfort pour la culture des cacaoyers. c’est Marou qui va être content. le prix de la matière première va baisser dans le delta.
http://www.forumvietnam.fr/forum-vietnam/discussion-libre-th-o-lu-n-t-do/12536-un-arbre-pour-demain-plantera-des-cacaoyers-au-vietnam-plerin.html#post151625@DédéHeo 151554 wrote:
Oui, c’est 2 là sont intéressantes car proches et dans l’Ouest.
Par contre le grand site « pagode des Parfums » JE NE CONNAIS PAS DE TOURISTE QUI L’AI VISITé
QUI A UN RETOUR ?salut DD, j’ai mis une vidéo sur youtube: https://www.youtube.com/watch?v=rVAw-3FIdBs&feature=plcp
Par contre le grand site « pagode des Parfums » JE NE CONNAIS PAS DE TOURISTE QUI L’AI VISITé
QUI A UN RETOUR ?« Enfin, la pagode des Parfums se donne à voir dans la commune de Huong Son, à 60 km de Hanoi. Pour y accéder, il faut tout d’abord se rendre à Van Dinh par la route, poursuivre jusqu’à l’embarcadère de Doc Tin, duquel on embarque sur un bateau pour 1h30 de croisière sur la rivière Yen. Là, chapelles, sanctuaires de même que des grottes et autres curiosités géologiques qui défileront devant vous. »
Pour le pèlerinage à la pagode des Parfums , c’est des grandes barques à 10 places
je posterai des photos à mon retour de Paris. (vacances de toussaint).je suis allé sur le site de la pagode des parfums, il faut que je vérifie sur mes cartes les villages traversés.@robin des bois 151545 wrote:
……..
( j’ai « Kampuchea » que je considère comme un aimable divertissement :
il faut reconnaitre que DEVILLE a une écriture très agréable à lire ,
mais sur le fonds du sujet traité, cela me semble aussi très léger !!!)Si c’est la même chose sur YERSIN , je ne mettrai pas 25 euros.. autour de 7 à la rigueur !!!
salut Robin ,
j’avais dejà emis un avis sur le bouquin, mais je n’ai pas retrouvé où.
J’ai lu les deux.j’ai préféré Kampuchea qui m’a plus appris que Yersin. mais pour être franc j’étais néophyte sur les 2 sujets.Je n’ai pas beaucoup aimé la façon dont Deville se joue de la chronologie pour écrire la vie mouvementée et plutôt aventureuse de Yersin. on s’y perd quand on connaît mal les dates repères des évènements historiques, ce qui est mon cas.
Alors j’aurai du attendre que tu l’aies acheté à 7 euros en poche, puis mis sur le marché de l’occasion à 3 euros pour me le procurer. mais si tu a l’occasion de passer à Uzerche, je te le prêterai, ça te ferai des économies pour ta biliothèque.5 novembre 2012 à 18h42 en réponse à : Chocolat made in Vietnam : MAROU , un artisan chocolatier #152736le chocolat made in vietnam, c’est une excellente nouvelle.surtout si la matière première est également produite au pays. il existera un « terroir » chocolat vina.les chocolatiers pourront utiliser la matière première vinamarou pour s’adonner à leur métier de chocolatier (transformation).si en plus l’exportation est en ligne de mire, c’est du vrai bonus. bravo les « marous »:Vietnam:
@xabina 151533 wrote:
Bonjour,
Nous partons en mars au vietnam et nous emmenons ma mère, née là-bas et ayant quitté le VT en 1955 sans jamais y retourner.
Nous aimerions y retrouver son village natal, dans la province de Son Tay. Son Village serait « Van Dinh »…
Malheureusement aucune autre indication de taille pour le retrouver (« près d’un lac et d’une rivière » mais dans cette région y’en a qq uns !)…
Que conseillez vous ?
……Merci de vos informations ou pistes de recherche !
salut xabina,et:bienv:,
donne nous quelques infos de plus, (des éléments figurant sur son passeport concernant son lieu de naissance par exemple, et je suis certain que des membres tde forumvietnam pourront t’aider à localiser son village natal.
personnellement je ne crois pas qu’une agence de voyage te soit d’un grand secours. -
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