Toutes mes réponses sur les forums
-
AuteurMessages
-
Pierre, la musique sur cette vidéo c’est huong than ? (pas sure de l’orthographe du nom)
bonjour bruno,
je viens aux nouvelles car le sujet m’interresse également, qu’avez-vous choisi ?
toutes mes félicitations pour le futur papy
merci de m’avoir répondu :jap:
bonjour à tous et bonne année,
je n’ai pas lu tous les messages concernant l’exemption de visa, mais pouvez-vous me confirmer dans le cas de ma fille mineure, née au vn, a la nationalité française mais aura 2 passeports l’un vn et l’autre français, a t’elle l’exemption de visa ? que devons-nous présenter comme passeport ?
merci à vousd’ailleurs j’ai été surprise de découvrir que les Hoa faisaient parti des ethnies citées dans ce livre
Le bouquin du musée d’ethnographie parle des 54 ethnies, des grandes lignes ça peut aider dans un 1er temps
Musée d’Ethnographie du VietnamLu ce jour sur
http://lecourrier.vnagency.com.vn/default.asp?page=newsdetail&newsid=5832609/12/2009
«
Le chanteur français Francis Cabrel a donné des représentations
artistiques au Vietnam pour récupérer de l’argent à l’égard de l’Orphelinat
de Bac Kan (Nord). La cérémonie de remise de ce don a eu lieu le 8 décembre
à Hanoi.Les mélomanes vietnamiens ont eu l’occasion d’écouter la voix douce de
Francis Cabrel, chanteur célèbre français, lors des 2 concerts qu’il a
donnés à l’Opéra de Hanoi en octobre dernier.La totalité des recettes de ces 2 soirées sont allées à l’Orphelinat
de la province montagneuse de Bac Kan (Nord) où Francis Cabrel a décidé
d’adopter sa petite fille il y a quelques années. La cérémonie de remise de
cette somme a eu lieu le 8 décembre à l’ambassade de France à Hanoi en
présence de Hervé Bolot, ambassadeur de France au Vietnam et de Philippe
Bouler, responsable de production des programmes du chanteur français
Francis Cabrel.Au nom du chanteur français Francis Cabrel, l’ambassadeur de France au
Vietnam, Hervé Bolot, a remis à Nông Van Vinh, vice-président du Comité
populaire de la province de Bac Kan, plus de 386 millions de dôngs. Il
s’agit de la somme provenant de la vente des billets ainsi que de la
collection des participants lors de ces 2 concerts en octobre dernier. « La
province de Bac Kan est particulièrement émue devant le geste de Francis
Cabrel », a déclaré Nông Van Vinh.Bac Kan est une localité pauvre où les minorités ethniques
représentent jusqu’à 80% de la population. À ce jour, le taux de foyers
pauvres demeure élevé, 30% de la totalité des foyers de cette province.
Actuellement, les activités de soins des pauvres et des enfants se heurtent
à maintes difficultés. Cette province a, ces dernières années, reçu
plusieurs aides de la part d’organisations et de particuliers de plusieurs
pays du monde, et notamment de la France, pour cette dernière,
essentiellement dans des projets de développement de l’économie des foyers,
du secteur de la santé, de l’éducation, de l’adduction en eau potable, ainsi
que dans les soins des enfants. « Notre province apprécie vivement les aides
précieuses des organisations et particuliers français de ces derniers temps,
et, en réalité, elles s’avèrent utiles et indispensables pour Bac Kan », a
affirmé Nông Van Vinh.Depuis 1997, 470 orphelins de Bac Kan, dont plus de 300 ont été
adoptés par des familles françaises. Depuis 2003, les organisations et
particuliers français ont offert près de 1,3 milliard de dôngs aux soins des
orphelins de la province. À cette occasion, le vice-président du Comité
populaire de Bac Kan a révélé que la somme de plus de 386 millions de dôngs
sera consacrée aux soins des enfants de l’orphelinat de Bac Kan afin de leur
donner une vie plus heureuse. »Phuong Mai/CVN
(09/12/2009)merci beaucoup je vais y regarder de plus près
tu peux aussi mettre une petite annonce dans les supermarchés asiatiques, moi j’ai trouvé comme ça, un étudiant 10euros/heure.
il est interdit de « sortir » des antiquités, même les copies peuvent provoquer des ennuis, toujours demander une facture au cas où.
22 octobre 2009 à 16h48 en réponse à : Vietnam: procès de 16 personnes pour "abus de pouvoir" dans des adoptions #102048bonjour Marie H,
peux-tu nous en dire un peu plus, car je ne comprend pas très bien.quelle chance, il reste pas une tite place dans la valise pour moi ?
19 octobre 2009 à 12h29 en réponse à : [reportage : prostitution au Cambodge] Esprits sensibles s’abstenir #101896prostitution interdite :
http://www.la-croix.com/Au-Vietnam-la-prostitution-est-interdite-et-ne-cesse-d-augme/article/2397550/4077
13/10/2009
Dans une soci�t� de consommation qui se d�veloppe vite, des femmes et
des hommes vendent leur corps. Certains pour gagner beaucoup
d�argent ; d�autres, contraints par la mis�re, pour survivreSur une musique techno ravageuse, six ou sept jeunes filles musardent
autour du bar ovale du Gossip, une bo�te branch�e du centre-ville de
Ho Chi Minh-Ville. Du regard, elles cherchent un client fortun�,
�valuant l��paisseur de son portefeuille. Premier prix annonc�, 100
dollars. � Elles sont cens�es consommer des boissons pour travailler
ici, explique un habitu� du club. C�est un droit d�entr�e, un �change
de bons proc�d�s. � L�obligation semble s�arr�ter l�. � La plupart des
filles sont des ind�pendantes � Ho Chi Minh-Ville �, poursuit-il.Le Vietnam communiste interdit la prostitution. Officiellement, elle
n�existe pas. La police fait en sorte qu�elle reste discr�te.
R�guli�rement, elle ferme des discoth�ques o� le march� du sexe
devient trop visible. Elle envoie les prostitu�s en � centres de
r��ducation �. Dans ces conditions, il n�y a pas d�explosion du nombre
de bars comme le Gossip. La tendance est plut�t � l�embellissement des
lieux de plaisir dans le centre-ville, tendance qui va de pair avec le
d�veloppement �conomique rapide du Vietnam. De plus en plus,
prostitu�s et clients fr�quentent de beaux h�tels et des dancings en
vogue. Ils ou elles patrouillent � moto � la recherche du client
solitaire. Ils racolent par t�l�phone portable ou sur Internet.
� Elles se lancent sur un coup de t�te �D�apr�s une �tude men�e par l�Alliance Anti Trafic, 54 % des
prostitu�es de Ho Chi Minh-Ville exercent cette activit� pour gagner
beaucoup d�argent et s�offrir ce dont elles r�vent. � Ce sont des
filles qui veulent s�acheter l�iPhone, la moto, les fringues de
marque, estime Georges Blanchard, directeur de cette organisation au
Vietnam. Elles viennent d�une soci�t� qui porte l�empreinte des
restrictions li�es au communisme. Quand elles sortent de leur paillote
de la campagne, elles d�couvrent une avalanche de choses qu�elles
n�imaginaient pas. Elles se lancent sur un coup de t�te. Quand elles
ont connu cela, c�est extr�mement difficile de les ramener dans une
vie simple. �Peu de prostitu�s, en effet, parviennent � quitter leur activit�.
M�decins du monde (MDM) propose � certains d�entre eux un emploi
d��ducateur pour leurs pairs. � En g�n�ral, ils refusent, explique
Tan, coordinatrice pour cette ONG. Ils peuvent gagner, en une seule
journ�e, le salaire mensuel que nous leur proposons. Et ils ne veulent
pas qu�on leur impose des horaires et des r�gles de travail. �Lan, une Vietnamienne de 19 ans qui travaille dans un karaok� de Phnom
Penh, au Cambodge voisin, gagne jusqu�� 700 dollars par mois, un tr�s
gros salaire dans ce pays. � J�arr�terai quand j�aurai suffisamment
d�argent �, promet-elle. Probl�me, elle n��conomise pas. Elle envoie
une partie de son salaire � sa m�re. Elle s�offre r�guli�rement des
produits on�reux, DVD, maquillage et bijoux. Juge-t-elle son travail
p�nible ? � C�est surtout ennuyeux quand les clients ivres ne me
paient pas �, explique-t-elle. Elle ignore les moqueries de ses voisins.
40 � 60 % des prostitu�s victimes du sida� Ho Chi Minh-Ville, 40 � 60 % des prostitu�s sont infect�s par le
virus du sida. L�usage du pr�servatif est en hausse. L�ann�e 2008 a
�t� la premi�re o� le nombre de nouvelles infections a diminu� chez
les � travailleurs du sexe �. Mais la crise �conomique fait baisser le
nombre de clients et, du coup, les prostitu�s sont incit�s � accepter
des rapports non prot�g�s, car ils les facturent plus chers. Des
professionnels de la sant� craignent une recrudescence de l��pid�mie,
surtout dans les quartiers pauvres, o� les prostitu�s ne peuvent se
permettre de voir le nombre de leurs clients diminuer.Dans le district 6, par exemple, un des plus pauvres de la ville, on
voit des femmes recevoir leurs clients sur une natte �tendue sur le
trottoir, pour 60 000 d�ngs, soit 2,60 �. � Elles ne sont pas prises
dans des r�seaux, explique Vincent Trias, coordinateur pour MDM. Elles
sont en g�n�ral mari�es. Leurs enfants sont parfois sur le trottoir
pendant qu�elles travaillent. �Affranchies des r�seaux, mais pas libres pour autant. � Contrairement
aux prostitu�s du district 1 qui peuvent envisager un avenir meilleur,
elles ont les yeux vides �, r�pond-il. Elles n�ont gu�re
d�alternative. Ho Chi Minh-Ville accueille chaque ann�e environ 150
000 ruraux � la recherche d�un emploi. Malgr� une croissante forte, la
m�galopole de plus de sept millions d�habitants n�arrive pas �
absorber cette main-d��uvre, et la condamne ainsi souvent au pire.R�my FAVRE, � Ho Chi Minh-Ville
merci beaucoup
-
AuteurMessages