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Bienvenu a toi sur ce forum
mon père en a tellement mangé une fois qu’on a appelé le samu !!!
faut dire que ct ceux de mon arrière grande tante ^^
j’ai essayé mais ct cata sur cata donc ……………go mon traiteur pour acheter des barquettes
^^ la vendeuse hallucine toujours quand je les achetes. 9 barquettes + 1 pour le voyage ^^
^^ avec mon 1m98 pas de probleme moi
ha c’est toi tetine qui me dit toujours « hé je vois rien » quand je suis au ciné ?
bienvenu a toi sur ce fofo
bonjour et bienvenu
bienvenu à toi
calimero;37638 wrote:Au moins vous! Vous etes direct. :tdr1:
C’est vrai c’est plus chere en France Ici, les filles savent que vous etes un vietkieu ou plutot un Dollar a deux pattes. Moi aussi je suis un vietkieu et cela me derange parfois que l’on pense que je suis un Kador:bigsmile:
Vous savez Juan les Pins c’est plus pres que le Vietnam pour les boites et bars et si vous etes beau gosse c’est free pour pour passer du bon temps avec une femme et s’eclater jusqu’apres l’aube.Nous sommes tous passe par la, version blues parfois comme » Un Samedi soir sur terre » de Cabrel…
J’ai connu un viet kieu sur Nice, une gargouille, pas jeune ni vieux, qui en revenant de ses vacances au pays nous avait montrer « ses photos », 1 fille differente sur chaque photo:punish:, les copines Laos souriez jaune. Pourtant sur Nice, on avait l’impression qu’il avait des oursins quand c’etait a lui de payer sa tournee, :tdr1:Je connais très bien juan les pins by nigth ^^ ^^
mais de l’autre coté du mirroir
en va dire que j’etais plutot en patrouille en uniforme et souvent au whisky à gogo pour la sortie des boites vers 05h00 ^^
bienvenue à toi
voilà ça y est j’ai de nouveau faim !!!!
10 octobre 2007 à 14h05 en réponse à : Commémoration du 40e anniversaire de la mort de Che Guevara #46933je me permet de poster ici une superbe interview d’un auteur cubain
Attention je n’ai rien contre les idées mais je veux juste remettre les choses en place ^^
Dans son livre, «La Face cachée du Che», Jacobo Machover, un exilé cubain, brise l’image héroïque et humaniste du révolutionnaire argentin. Interview…
Dans votre livre, vous détruisez le mythe de Che Guevera, décrit comme un «bourreau implacable», qui fume le cigare en regardant les exécutions. D’où vient son statut d’icône?
C’est une construction post-mortem. Deux types de personnes y ont contribué. Castro lui-même, qui en a fait un héros presque surhumain, un grand penseur et un humaniste, et les intellectuels du monde entier, en particulier français, qui le considèrent, comme l’a affirmé Sartre, comme «l’homme le plus complet de notre temps».Il a été assassiné jeune. Cela y a-t-il aussi contribué?
Oui. Et c’était le moyen, pour Castro, de donner une image éternellement jeune à la révolution cubaine, alors que Castro vieillissait, et que la révolution elle-même devenait obsolète.Comment expliquer l’engouement des intellectuels français pour le Che à l’époque?
C’était comme un souvenir des premières années de l’internationale communiste. Le Che incarnait l’internationaliste mort au combat, avec des réminiscences de la guerre d’Espagne. Les intellectuels français avaient besoin de croire à un demi-dieu, et le Che convenait tout à fait pour trois raisons. Parce qu’il a fait des études de médecine -sans être médecin -, parce qu’il avait une certaine culture, et parce qu’il parlait un peu français – très mal, mais cela donnait d’illusion qu’il était polyglotte. Le tout donnait l’image d’un humaniste prenant les armes malgré lui, ce qui est faux. Sa légende est une entreprise de mystification collective.
Cette image a-t-elle évolué aujourd’hui dans ces milieux?
Quand j’ai parlé du projet de mon livre, certains intellectuels m’ont dit «il ne fait pas casser tous nos rêves». Regis Debray, qui a frayé avec lui, est revenu sur ses positions et a décrit le Che comme un fanatique extrémiste. Mais Régine Deforges, par exemple, vient d’écrire un article dans l’Humanité où elle parle du «poète de la Cabana», la prison où il participait aux exécutions des anti-révolutionnaires… Dans le registre politique, Olivier Besancenot se réclame de lui.Comment l’expliquez-vous?
J’hésite entre l’ignorance et la complicité. On a du mal à comprendre, surtout pour les familles des victimes. Mais je penche plutôt pour la complicité.
Que vous inspire le marketing autour de la figure du Che?
J’espère faire faire faillite à toutes les boîtes qui la reproduisent à la chaîne sur des posters, drapeaux, sacs, ou sur des maillot de bains, comme j’ai pu le voir dans un article du Sunday Times ce week-end.Vous dites au début du livre que vous étiez vous-même un «admirateur de Che Guevara». Quand et comment en êtes-vous revenu?
Mon père travaillait avec lui comme interprète. Puis on a dû s’exiler en 1963, et nous n’avons pas pu revenir. De mon côté, je me suis documenté, puis j’ai profité d’une période d’ouverture de Cuba pour m’y rendre, à la fin des années 1970, et là j’ai tout de suite compris. La surveillance constante, la délation… Sur place, j’ai vu la panique sur le visage d’une amie quand je lui ai dit que, comme tous les étrangers, j’étais surveillé. Parler à un étranger est un délit, même si bien sûr ce n’est écrit nulle part, mais on peut toujours vous accuser d’intelligence avec l’ennemi. Ce voyage coïncidait avec la fuite massive des Cubains. 125.000 d’entre eux ont fui en Floride à ce moment-là. On est bien obligé de se poser des questions: Pourquoi autant de monde fuit-il le «paradis socialiste»? A mon retour, j’ai commencé à écrire.Comment les Cubains le perçoivent-ils aujourd’hui?
Ils ont toujours eu de lui une image imposée. Les enfants sont élevés dans le culte du Che, dont l’image trône toujours à La Havane. Mais en même temps, les gens se souviennent de ce que le Che a fait, il y a la mémoire des exécutions, qui faisaient la Une des journaux, et des prisonniers. Il n’y a personne sur l’île qui n’ait été victime ou ne connaisse une victime du Che. Ces aspects sont occultés. Mais aujourd’hui, les langues se délient.Vous dites que Castro a instrumentalisé Guevara, qui s’est révélé lui-même assez naïf…
Oui, il était naïf de croire qu’il pouvait travailler en dehors du contrôle absolu de Fidel et de son frère Raul. Le Che n’avait pas l’intelligence de Fidel, qui l’a utilisé comme instrument au service de sa politique extérieure, et s’en est débarrassé en temps voulu. Le Che se croyait plus utile vivant que mort, ce qui n’était pas l’avis de Castro. Che Guevara a fini par déranger tout le monde pour trois raisons. D’abord parce qu’il a revendiqué, en 1964, les exécutions à la tribune de l’ONU alors que Castro n’en parlait plus à ce moment-là. Ensuite parce qu’il a rencontré le chinois Mao sans l’accord de Fidel. Enfin parce qu’il a critiqué l’Union soviétique dans son discours d’Alger. C’était insupportable pour l’URSS et Castro, qui l’a alors envoyé au Congo pour se faire tuer. Finalement, il sera assassiné des années plus tard en Bolivie. Le régime cubain aurait pu le faire exfiltrer, mais Raul, qui ne l’aimait pas, a dit: «qu’il aille se faire foutre, l’Argentin». Personnellement, c’est dans sa mort, à Santa Clara, que je le trouve le plus humain, quand il cesse d’être un «héros», un fanatique imperméable à tout sentiment.Qui seraient ses héritiers, aujourd’hui?
J’espère qu’il n’y en a pas! Sur le plan de «l’humanisme révolutionnaire» et des doctrines économiques, c’est le régime en place à Cuba. Si l’on prend en compte sa conception de la lutte armée, ce sont les mouvements fanatiques, comme les Farc en Colombie. Et si c’est sur le plan de la cruauté, ce sont les mouvements terroristes actuels.Et sur l’image du «héros romantique»?
Je ne vois pas où est son romantisme. Il prononce le mot «amour» mais dit en même temps qu’il «doit prendre des décisions douloureuses». Drôle d’amour… Il revendique celui pour l’humanité, mais à ses yeux quiconque qui n’est pas capable de cet amour là doit être éliminé…
Ce type de déclarations ou d’écrits du Che sont-elles la source de l’immense «malentendu» que vous décrivez dans le livre?
La plupart des gens ne l’ont pas lu. Et puis il y a des phrases inventées, qu’il n’a jamais prononcées, mais qui donnent l’illusion d’un guérillero au grand coeur. Quand la démocratie sera rétablie à Cuba, je souhaite que le premier geste soit de décrocher son effigie et de débaptiser la «place de la révolution» pour redevenir la «place civique», son nom d’avant. Car pour nous, une bonne partie des Cubains, Che Guevara est le symbole et la réalité de l’oppression à Cuba. J’espère une démocratie qui ne soit ni romantique, ni héroïque. Juste une démocratie banale, mais qui permette de rétablir la vérité sur les victimes du régime castriste et sur le Che.Comment pourrait-elle advenir?
Peut-être par un ras-le-bol de l’armée. Les révoltes populaires sont improbables, tout est si contrôlé… Il faut surtout une pression internationale, ne pas reconnaître la succession au sein de la tyrannie castriste, qui est une caricature de la révolution.*ed. Buchet Chastel, 14 euros.
Recueilli par Faustine Vincent
10 octobre 2007 à 13h56 en réponse à : Commémoration du 40e anniversaire de la mort de Che Guevara #46932oui mais tu as pas de poster de napoleon dans les chambres d’ados
il est vrai que ce battage médiatique publicitaire autour du che m’enerve au plus haut point :punish:
et sans faire de politique je rassure
c’est comme si on avait des poster de richelieu ou mazarin, même si ils ont ete de grand hommes et surtout de grand hommes d’état, certains de leurs gestes sont abominable.
Pire, imaginez des jeunes avec des posters ou des t shirt de petain avec comme excuse : il a sauvé la france en 14/18
en oubliant la periode 39/45 😳
ça tombe bien regarde ^^ la fleur a poussée pleasantry
c’est horrible
pourquoi suis-je allergique aux crevettes et au crabe
surtout que cela est arrivé d’un coup lors d’un repas famillial en avalant (oui oui ^^) des pinces de crabes farcis
depuis ce funeste jour, nem porc obligatoire et fini les crevettes
bienvenu à toi
c’est étrange hein ? Il suffit d’avoir du sang viet dans les veines (1/2 – 1/4 – 1/3 – 0.5 ^^) pour ressentir une attirance pour ce pays
Je sais de quoi je parleje suis comme toi
bienvenu à vous
10 octobre 2007 à 7h04 en réponse à : Les Typhons, les cyclones et les innondations au Vietnam #46862j’ai vu ça aux infos
parait il que les immeubles avec 1 étage, justement pour eviter les innondations, ont été innondés
10 octobre 2007 à 7h03 en réponse à : Commémoration du 40e anniversaire de la mort de Che Guevara #46861le che c’est un gros coup de pub de fidel
c’etait un bourreau narcisique à l’extreme, il s’amusait par exemple a se tenir sur le haut du mur où les fusillés etaient adosés pour bien voir la tete du pauvre gars et souvent lui donner le coup de grace.
Rappelez vous sa phrase au nations unies : on a fusillé on fusille et on fussillera encore !
il a loupé sa révolution au congo, a foiré celle de bolivie et castro qui avait besoin d’une icone de la révolution a vite monté ce coup marketing sur le che pour promouvoir la revolution cubaine.
quand je vois des jeunes avec un t shirt du che je me demande si ils apprennent leurs cours d’histoire
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