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DédéHeo;66736 wrote:Brrr ! Tout pour faire peur cette histoire !
Combien de temps le fétus peut-il survivre si le coeur de la mère ne bat plus ? Le fétus « respire » grâce au sang oxygéné envoyé par la mèreEt si la mère n’était pas morte quand on l’a enterré et qu’elle a accouché dans la tombe? Brrrr
namnam;66690 wrote:C’est affreux ce que tu dis!:wink2:Pourquoi affreux.
Tu es peut être ‘nhe bong via’.
Sensible quoi.:bye:chantalngoc;66685 wrote:Pour ceux et celles qui, comme moi, aiment les contes et les histoires de fantômes:L’enfant de la morte:
Une jeune paysanne fut emportée par la maladie alors qu’elle allait être mère le mois suivant.
Quelques moments avant sa mort, elle regarda longuement son mari, contrairement à sa pudeur ordinaire. L’homme n’hésita pas non plus à se pencher sur sa femme devant tout le monde, et il l’entendit murmurer: » L’enfant… notre enfant… »
Puis elle s’éteignit.
Le jeune paysan poussa un cri affreux, s’agita désespérément, hurla et sanglota, au grand étonnement de son entourage, qui ne le savait pas capable de manifester une douleur si violente: dans nos campagnes, on est habitué aux malheurs, en particulier quand on n’est pas riche.
Il faut surtout travailler dur, on n’a pas le temps de se plaindre et, le lendemain de l’enterrement de sa femme, notre paysan était déjà derrière son buffle et sa charrue.
Quelques jours plus tard, la vieille femme presque aveugle qui vendait des infusions, du bétel et quelques menues denrées près d’un ponceau en plein champ, vit venir une femme dont la silhouette ne lui paraissait pas étrangère: elle acheta du miel, pour quelques sapèques.
Après son départ, la petite fille de la marchande lui dit en tremblant qu’elle avait reconnu la jeune morte.
Le lendemain, la femme revint, et elle demanda encore du miel. A une question de la marchande, elle répondit:
– c’est pour mon bébé, car je n’ai pas de lait.Sur un signe de sa grand-mère, la petite fille la suivit des yeux et l’aperçut qui s’éloignait dans la direction du tombeau.
La marchande fit prévenir le mari. Le lendemain, en allant chercher de l’eau, ce dernier s’arrêta à la paillote et attendit.
Vers le soir, voyant arriver sa femme, il se précipita au devant d’elle et lui adressa la parole. Mais elle ne l’écouta pas, et, baissant la tête s’enfuit. Il se lança à sa poursuite, elle disparut soudain.
Tout en pleurs, il courut comme un fou jusqu’à la tombe et se jeta contre elle avec des hurlements de désespoirs. Puis il demeura immobile, prostré, tandis que les larmes continuaient à couler.
Tout à coup, il crut entendre des cris d’enfant qui sortaient de la tombe. Il y appliqua son oreille et les perçut distinctement.
Il courut chez lui, rapporta une bêche, et se mit à creuser jusqu’au cercueil. Quand il l’ouvrit, il vit un garçon qui remuait faiblement, couché sur le ventre de sa mère: il portait, au coin de la bouche, des traces de miel. Le corps de la femme était froid, mais intact, et il sembla au jeune paysan que son visage calme, apaisé, souriait presque, au lieu d’être douloureusement, contracté comme au jour de sa mort.
Il ramena l’enfant chez lui; on l’aida à refermer le cercueil et la tombe.
Il chercha dans le village une femme qui voulût bien allaiter son fils, mais les gens avaient peur et se dérobèrent. Il fut réduit à le nourrir avec de la bouillie de riz pendant quelques jours, puis la compassion l’emporta sur la crainte.
L’enfant grandit normalement et sa vie ne présenta rien de particulier par la suite.
Quant à sa mère, personne ne la revit. Son mari avait beau revenir sur sa tombe et autour de la paillote de la vieille femme, elle ne lui apparut point; pas même en songe; vainement il alla prier au temple, y passa la nuit. On aurait dit que toute l’énergie de la pauvre femme n’avait réussi qu’à prolonger sa destinée jusqu’au moment où elle avait donné naissance à son fils, puis l’avait sauvé; elle aurait épuisé, dans ces efforts, jusqu’à ce reste de vie qui d’ordinaire permet aux morts de visiter pendant quelques temps le sommeil des vivants.:jap:
Brrrrrrrrrr
Joli histoire. J’ai encore des frissons dans le dos.:bye:namnam;66683 wrote:Ui cha ui! C’est vrai que t’as une fiancée la bas alors! hi hi hi!
Đoán đại …trúng đâu thì trúng ….thui mờ! Chớ có 5 ….ou 6 ème sens gì đâu!:blush:Pourquoi est ce que j’ai l’impression de me faire avoir? 🙁
D’un autre côté, si c’est le 6ème sens ça expliquerait ta peur des fantômes.:wink2:namnam;66679 wrote:Tự nhiên Namnam có cảm giác như dzậy thui mờ!Tu n’auras pas par hasard un 6ème sens trés développé?
:wink2:namnam;66654 wrote:Merci pour ton message Co Buu Hoa.Tu sais que des Vietnamiens du Sud comme Cà Mau, Dong Thap….vv..mangent aussi des rats de champs! Je n’arrive pas à croire mais ils font plusieurs recettes avec ces rats!
Je poste une photo » Rats grillés au feuilles de citron »!Certaines personnes disent » poulet de champs » au lieu de
» rats de champs »!Nanam,
J’ai pu gouter le rat des champs vers Can Tho et c’est pas mauvais du tout.
Si tu sais pas, tu devineras même pas que c’est du rat. Il a un gout poulet. Un peu écoeurant pour ceux qui sont trop gras. :bye:chantalngoc;66663 wrote:si! si l’homme est intelligent, beau, jeune, en bonne santé et riche, no problem
s’il est vieux et riche et malade aussi!:humour::je_sors: moi aussiPour l’homme
Si la femme est jeune et belle = signe extérieur de richesse
Si la femme est jeune et riche = placement à long terme
Si la femme est vieille et riche = placement à court terme.:humour::maiscnulca:
namnam;66658 wrote:Tu vas épouser une VN toi? hi..hi..hi..T’as une copine qui reste la bas ou quoi!Hợp tan..tan hợp
Thu về lá lại lìa cànhĐêm nay em tiễn anh ra phi trường
Ngậm ngùi ánh mắt vấn vương
Hợp tan,tan hợp thêm thương đậm lòng
Người đi,người ở nhớ mong
Chia ly ta nguyện một lòng bên nhau
Hẹn Xuân lộc nẩy chồi cao
Anh về thoả những khát khao đợi chờ
Vượt trùng chắp cánh ước mơ
Sắt son giữ vẹn vần thơ ngọt ngào
( Sưu tầm)Super ton poème Namnam.
Qu’est ce qui te fais dire que je vais épouser une vn ou que j’ai une copine au vn?:bye:namnam;66651 wrote:C’est vrai nct,Tu connais ces 2 phares ( ca dao):
Thương chồng phải lụy cùng chồng
Đắng cay phải chịu, mặn nồng phải camOh oui Namnam, mais c’est seulement possible quand les sentiments sont là. Au début pour son mari ou femme et après pour les enfants. Quand on aime, on peut se sacrifier.:bye:
DédéHeo;66586 wrote:Bien sûr que c’est le contraire :
a Halong il y a 3, 4 ans, je passe chez un voisin et il y avait là tout les livret de famille du village (il les avait porté à la mairie pour une mise à jour)
au Vietnam, il y a encore la notion de « chef de famille » ; je crois que ca a été suprimé paar Simone Veil il y a 30 ans en France.
je feuillete les livrets et je constate que dans la plus part des cas, c’est madame le « chef de famille »Rappelle-toi que nous voulons demander au cinéaste Viet Kieu Trần Anh Hùng d’être le président de notre association de défense des hommes car sa femme Tran Nu Yên Khê
– a joué exclusivement dans les 4 films de son mari
– en plus, il lui fait faire des truc comme éplucher les légumes papaye verte, danser avec des menottes, porter des seau d’eau de 60 kilo, faire pipi debout dans une bassine devant un pépère perversC’est drôle ce que tu dis là Dédé.
Ce que j’ai pu voir autour de moi, même si elles ne sont pas officiellement chef de famille, elle n’en sont pas moins le chef car elles tiennent les cordons de la bourse. Qui a les finances dicte sa loi, mais en public donnent toujours l’air d’être soumise à son mari. Elles sont finaudes n’est ce pas Dédé.:bye:salfyt;66579 wrote:Bonjour à tous,J’ai déjà la traduction, grâce à Thorgal, du mot badmington qui se dit en vietnamien « câu lông ».
Pourriez-vous me donner aussi la traduction de « tennis de table » ?
merci
Bonjour Salfyt,
Tennis de table se traduit BÓNG BÀN en vietnamien.
BÓNG = balle
BÀN = Tablebóng bàn
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namnam;66573 wrote:Ce n’est pas juste tout ça. Nos grandes mères et nos arrières grandes mères
vivaient leurs vies assez très dure autres fois.
Je trouve les femmes Vietnamiennes aujourd’hui ont beaucoup de la chance!
N’est ce pas?Oui, Namnam, nos mères et grand mères vivaient trés dur car il y a le poids de la tradition. A leur époque, la femme doit être soumise à leur mari et aux beaux parents. D’autant plus que leur role sont confinés aux tâches ménagères, élevés les enfants et aidés aux champs. Maintenant, les femmes sont plus libres, quand elles ont les moyens financières pour le faire. C’est pour cela que les Viet Kieuses sont plus libres que les vietnamiennes des grandes villes qui sont à leur tour plus libre que les vietnamiennes de la campagne profonde.:wink2:
namnam;66569 wrote:Oui, peut être mais elles sont moins connues que des asiatiques quand même! Non?C’est vrai. Peut être parce ‘soumise’ va de pair avec asiatique?.
On a toujours entendu parler des femmes asiatiques soumises mais jamais de femmes africaines, bolivienne, pays de l’est …:bye:namnam;66566 wrote:Non, je sais tu parles pour faire rire à KimSang!
Mais il existe encore beaucoup des asiatiques soumise pour l’argent!
Et j’ai mis quelques phrases pour dire la vérité sur la vie actuellement!
Je n’ai aucune attention de te reprocher!:wink2:Namnam,
Je ne penses pas ça ne concerne que les asiatiques mais bien tout les pays pauvres. :bye:
kimsang;66513 wrote:Eh Nct, tu vas faire peur à chi Namnam… La dernière fois qu’on s’est parlé au téléphone, elle a réussi à me faire peur sur l’histoire des fantômes … j’en ai eu la chair de poule…Kim Sang
Kimsang,
Elle n’est pas la seule, 95% des viets sont comme elle.
Moi avec, bien que j’en ai jamais renconté. :wink2:
Les histoires de fantômes, ce sont les gens qui ont le plus peur qui racontent le mieux.:rofl::bye: -
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