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il transporte aussi bien des personnes que de la marchandise
19 mai 2009 à 22h18 en réponse à : Courts poèmes de la vie qui passe – Thơ Ngắn cho cuộc đời đang trôi #93283Dans cet univers qui tourne à l’envers,
Place à la folie, dans ce monde pervers,
La sagesse n’est plus, reste que la tristesse,
Et pour nos ainés, une grande détresse !!il est toujours là quand il faut
il connaît tous les itinéraires que vous demandez , ensuite il se renseigne :wink2:
il prend soin de ses passagers
il est toujours joyeux quand il nous a bien eu sur le tarif
il n’a pas d’horaire à respecter
il a toujours compris ou vous voulez aller (enfin c’est ce qu’il fait croire):wink2:bienvenue sur le forum :bye:
je vous conseille ce livre : superbe !!
mon avis : Le passage de l’adolescence à la femme dans les conditions horribles de l’enfermement et de la torture, raconté avec beaucoup de discrétion, beacoup de subtilité, les significations qui s’y cachent sont très puissante. C’est un ouvrage d’une grande intensité.On découvre un aspect du Vietnam assez méconnu.Ce livre ne laisse pas indifférent !!
LES EXTRAITS de « Riz noir » ANNA MOÏ
En 1968, la guerre du Vietnam bascule. La violence parvient à son paroxysme lors de l’offensive du Têt : Saigon est à feu et à sang. Au-delà de certains faits réels, j’ai tenté de donner à voir et à sentir le Vietnam de mon enfance. Ce roman m’a été en partie inspiré par l’histoire authentique de Tan, que j’ai connue au lycée, et de Tao, deux soeurs de quinze et seize ans arrêtées, torturées puis internées dans le bagne de Poulo Condor, au large de Saigon, à la fin des années 1960. A travers la mémoire des jeunes prisonnières, jusque dans les cages à tigres de Poulo Condor, les paysages du Vietnam restent vivants. Odeurs, rites et secrets, couleurs : noir de la soie laquée et des ténèbres de la prison, blanc du riz et de la chaux, jaune de la carambole et des robes de bonzes, rouge des papiers démonifuges ou du sang menstruel… Le livre est dédié à Tan et Tao, ainsi qu’à toutes les femmes vietnamiennes, filles de dragon selon la tradition, filles d’eau et de feu, fragiles et invincibles.
Anna Moïun très bon roman d’aventures que l’on dévore rapidement et dans lequel on trouve toutes les facettes de la politique de l’époque
Timo, magicien et grand amateur de poker, fils adultérin, doit hériter du quart de la fortune de son père. Mais il sera accusé du meurtre d’un joueur et devra s’exiler à Saïgon…
‘Sud lointain’, autrement dit Nam Viet, deux mots chinois qui désignaient, voici plus de vingt siècles, un Empire indompté situé au-delà des Cent Mille Monts, la frontière de la Chine méridionale. Nam Viet, une péninsule que les Français, ces ‘barbares préférés’ venus d’Occident, devaient nommer Indochine. En 1900, au début de ce roman, quatre jeunes gens venant de France découvrent Saigon. Ils espéraient trouver l’aventure, ils vont se prendre de passion pour cette terre et pour ses habitants, ils en feront leur seconde patrie au point de vouloir y vivre, fonder une famille, et d’accepter de mourir pour elle.
Au delà d’une saga familiale, c’est une fresque historique. C’est toute l’histoire du Vietnam pendant trois quarts de siècle qui défile sous nos yeux : les révoltes du tonkin , l’épopée des grandes plantations, la vie foisonnante des villes : Saïgon – Hué – Hanoi , la grande guerre , l’essor economique de la cochinchine , les intrigues du palais impérial, la montée du nationalisme, la seconde guerre mondiale, l’indépendance , la guerre américaine …Les trois volumes sont concentrés sous l’intitulé Sud Lointain ( Le courrier de Saigon – La Rivière des parfums – Le Maître de Bao Tan ) 1200 pages environ mais ça se lit très très bien
Adaptation en série tv en 1997 avec Veronique Jeannot et Xavier Deluc
ci dessous la série en VHS
a chaque voyage , le xoi est un de mes plaisirs , fait par les amis ou acheté dans la rue, j’en mange très souvent.
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