mekong

ho chi minh et ses contradictions , y séjourner pendant quelques jours , on a envie ensuite d’aller gouter au calme de la campagne et au bout de quelques jours on a envie de revenir sur ho chi minh. Cette ville pourtant immense est attirante et comme tu le dis noel , on y découvre toujours de nouveaux lieux sympas.

[QUOTE=mon avis , la chaine commerciale « pho »au Vn ne remplacera pas le gout des petites échopes familiales sur le trottoir, qui restera inimitable

deguster un Phở tái et regarder cette rue si trépidante qui vous charge le cerveau d’images et d’odeurs. Les soupes des marchandes sur les trottoirs, c’est comme les xôi, ou que l’on aille du nord au sud, c’est toujours délicieux. Recettes familiales cuisinées avec passion et contacts avec ces gens sont des moments privilégiés qu’ils ne faut pas négliger. Au retour on a toujours le souvenir de telle ou telle marchande sur telle ou telle rue qui est présente dès l’aube pour vous proposer ses plats. On reconnait la qualité aux files d’attente devant l’étal. Il faut se lever tot car en l’espace d’une ou deux heures, tout est vendu. :bye:

merci pour cette info agemon mais comment peux tu reommander ce libre alors qu il ne va paraitre qu en janvier ?

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je vous conseille l’excellent livre d’anna moi sur le bagne de poulo condor.

Lors d’un voyage récent dans sa ville d’origine, Saigon devenue Ho Chi Minh-Ville, Anna Moï retrouva l’une de ses anciennes camarades de lycée, perdue de vue depuis quelque trente ans. Cette dernière lui confia l’histoire incroyable qu’elle vécut alors : fille d’un résistant communiste, elle fut arrêtée avec sa sœur alors qu’elles avaient à peine quinze et seize ans, D’abord incarcérées à Saigon, elles furent ensuite internées pendant vingt-deux mois dans le tristement célèbre bagne de Poulo Condor, où les prisonniers politiques comme elles étaient détenus dans les sinistres  » cages à tigre « , étroits puits verticaux fermés où une grille tenait lieu de plafond.
C’est un monde dur, cruel, où les violences succèdent aux tortures, qui ressuscite dans ces pages. Un monde où le moindre signe d’humanité devient une raison d’espérer. C’est aussi l’histoire de la reconstruction d’une personnalité, qui aura su dépasser l’horreur en osant l’exprimer. C’est, enfin, tout un pan de l’histoire récente, trop vite oublié dans l’euphorie de la fin d’une guerre sans merci, qui nous est raconté de l’intérieur.

Sans rien censurer ni taire, Anna Moï raconte cet itinéraire hors du commun d’une écriture très minimale et allusive, qui donne encore plus d’impact à ce livre et à ce qu’il révèle.

@DédéHeo 95863 wrote:

Le livre
Le vietnamien sans peine
explique aussi la structure grammaticale qui est importante à comprendre par exemple l’usage de pronom qui et différent du français.
Les Cd sont très utiles mais on les trouve en mp3 aussi

ou peut on les trouver en mp3 ?