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mekong

Toutes mes réponses sur les forums

15 sujets de 211 à 225 (sur un total de 763)
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    Messages
  • en réponse à : Le jeu : La chaine des mots #113968

    quả cam : fruit d’oranger; orange

    en réponse à : Merci l’Islande! Adios Vietnam… #113511

    et dans l’autre sens , combien de veinards sont heureux de rester quelques jours de plus au vietnam.:wink2:

    ok je sors :bye:

    en réponse à : Merci l’Islande! Adios Vietnam… #113474

    Maintenant avant de préparer son voyage , faut demander les horaires d’éruption. :wink2:
    ok je sors :bye:

    Bon courage

    en réponse à : Les vidéos que j’aime…. #112953

    superbes images :wink2: merci pierre

    en réponse à : Ta vê ta tam ao Ta . #112674

    @tuongquan 105141 wrote:

    Bonsoir Mekong,
    Pour ma part je n’ai pas volé ma retraite,beaucoup de sacrifice,de sueurs,des larmes,,,,,,pour en arriver là.
    Mais je pense que : si on a une retraite c’est qu’on a cotisé non ?
    Comme partout il y a toujours des profiteurs.

    je n’ai jamais dit cela , loin de ma pensée , ce qui m’exaspère ce sont les gens qui ont été accueillis en france , profitent pendant des années des avantages du système et qui dénigrent dès qu’ils ont l’occasion de repartir ailleurs. :wink2

    Au passage bon anniversaire agemon :bye:

    en réponse à : Un « Koh-Lanta » au Viêt Nam #112575

    @Laurent1974 104668 wrote:

    Je vote pour la participation de Dédé au Koh-Lanta Vietnam :MdrDevil:

    A l’épreuve du conseil , j’élimine dédéhéo ( trop dangereux comme candidat ) :wink2:

    en réponse à : singapour airline #112573

    j’ai pris une fois singapour airlines, le top du top !! le seul inconvénient à transformer en avantage : le délai de transit à singapour . Mais cela permet de visiter la ville ( offert par la compagnie )

    en réponse à : Ta vê ta tam ao Ta . #112572

    je suis toujours surpris des personnes qui ont trouvé refuge en france pour travailler ou y vivre et après au moment de la quitter se font un plaisir de la dénigrer, de ne trouver que des côtés négatifs …. C’est quand même grâce à cette vie française que bon nombre vont pouvoir se retirer au vietnam avec une retraite pour assurer les vieux jours :wink2:

    en réponse à : partir au vietnam #112569

    Salut

    avant de te donner des conseils, prends un peu de temps à parcourir le forum , en utilisant la fonction rechercher par exemple :wink2: et tu trouveras déjà une mine d’informations.

    :bye:

    en réponse à : passeurs de boat people #112092

    Depuis deux ans, des migrants venus du Vietnam passent par la ville de Téteghem, dans le Nord, avant de tenter leur chance dans le tunnel sous la Manche

    La pluie traverse à grosses gouttes la bâche trouée, transformée en toile de tente. Au-dessous, trois jeunes migrants vietnamiens se réchauffent autour d’un tas de braises. Dans ce campement improvisé, ils sont sept, installés au bord d’un lac dans le bois de Téteghem (Nord). Cette commune de 7 500 habitants est coupée en deux par l’A16. Un bruit monotone, au loin, laisse deviner la présence de cette autoroute qui mène à Calais, au tunnel sous la Manche. Le dernier obstacle avant l’Angleterre.

    Les migrants ont choisi de s’installer près du lac, car il jouxte la voie rapide. Du campement, on aperçoit une aire de repos. Là-bas, la nuit, ils attendent les passeurs. Le reste de la journée, ils patientent sous les tentes. Établi près de la berge, le camp est sommaire. Une brosse à dents et un peigne traînent dans les herbes hautes. Des vêtements sèchent sur des branches. Un rétroviseur accroché à un tronc fait office de miroir. À l’intérieur des tentes, des couvertures sont posées sur des palettes, pour éviter la boue.

    Arrivés à Téteghem en 2008, les Vietnamiens avaient été précédés, deux ans plus tôt, par des migrants afghans et irakiens. Les habitants les ont découverts quand ils sont venus frapper à leurs fenêtres pour demander de l’eau. À distance les uns des autres, les migrants ne se mélangent pas, même s’ils sont tous là pour la même raison : l’autoroute. Leur ligne d’horizon. « Nous avons proposé à une famille de loger dans une maison. Dehors, il faisait un temps glacial, mais ils ont refusé. Ils ne voulaient pas rater la venue des passeurs », explique Franck Dhersin, le maire de Téteghem. Sa commune n’est pas la seule du Nord-Pas-de-Calais à accueillir des migrants vietnamiens. Dans les villes d’Angres (Pas-de-Calais) et de Grande-Synthe (Nord), d’autres camps se sont constitués. Le nombre d’occupants change constamment. « Il suffit de revenir après quelques semaines pour réaliser que ce ne sont plus les mêmes migrants », confirme le maire.
    Sujet tabou

    L’itinéraire emprunté pour atteindre la France reste un sujet tabou. Les questions butent sur un mutisme poli, d’autant que ces migrants ne parlent ni français ni anglais. Tao, un des jeunes assis autour du feu, explique qu’il a « 17 ans ». Il dessine les chiffres sur le banc, avec son doigt. Il semble plus âgé, mais impossible de savoir s’il ment. Passer pour mineur peut lui réserver un traitement de faveur en cas d’ennuis avec la police. Quand la question concerne leur arrivée en France, son voisin répond par un simple mot : « Boeing. » Il prétend être venu en avion, avant que, quelques secondes plus tard, sa version ne change : finalement, c’est en camion qu’il serait arrivé, via la Pologne. Regard réprobateur de Tao. D’un coup, son voisin ne sait plus. La seule chose qu’il sait, c’est qu’il en a déjà trop dit.

    Heureux hasard, le prêtre de Téteghem, Dominique Pham, est d’origine vietnamienne. Ses compatriotes se confient plus facilement à lui. « Il y a différents réseaux, explique-t-il. Certains migrants passent par la Chine et la Russie, d’autres viennent directement avec un visa de tourisme. La filière la plus importante est installée dans les pays de l’Est, surtout en Hongrie et en République tchèque. Beaucoup de Vietnamiens y sont allés pour chercher du travail, mais ont perdu leur emploi avec la crise économique. » À l’évocation de l’Angleterre, leur regard s’embrase. « London good ! » s’exclament-ils en levant le pouce. C’est leur eldorado. Ils espèrent y trouver du travail, ou au moins rejoindre des parents déjà passés de l’autre côté de la Manche. Considérée comme une étape, la France ne les intéresse pas.

    La plupart d’entre eux sont originaires, d’après Dominique Pham, « du centre du Vietnam », une région délaissée par le tourisme et les activités économiques. Plus encore que le régime communiste, c’est surtout la pauvreté qu’ils fuient. « Ils partent avec de nombreuses dettes, en hypothéquant leur maison », confie le prêtre. Difficile dans ces conditions de rentrer au pays sans avoir réussi.
    Améliorer le quotidien

    En attendant, les bénévoles de la paroisse, l’association d’aide aux migrants Salam et Médecins du monde essaient d’améliorer leur quotidien. Repas, vêtements, et même la possibilité de prendre des douches, à la salle de sport. Mais les Vietnamiens délaissent l’aide extérieure. Ils préfèrent par exemple cuisiner eux-mêmes. Lors de la distribution de nourriture, un seul d’entre eux s’est déplacé, et mange debout, à l’écart. Devant lui, des adolescents afghans chahutent et font mine de s’enfuir les bras chargés de provisions.

    Francine Chateau, une des bénévoles, les surveille du coin de l’œil. Les migrants l’appellent « Mama ». Elle est toujours la bienvenue, même dans les moments les plus graves. En mai 2009, Mac, un jeune migrant de 26 ans, est décédé. Accident ou règlement de comptes, le doute plane encore sur l’incident. C’est Philippe, le mari de Francine, qui a ramené les cendres à la famille, au Vietnam. Le P. Dominique Pham s’est occupé des démarches administratives.
    Plus de trente ans après les « boat people »

    Le parcours de ces migrants fait écho à celui du prêtre, contraint lui aussi de fuir le Vietnam. À la fin des années 1970, une barque l’emmène, avec 40 personnes à son bord. Des « boat people ». Ils veulent atteindre Singapour mais sont arrêtés au large de la Malaisie. Retenu sur une île transformée en camp de réfugiés, Dominique Pham reprend ses activités de séminariste. « J’y ai passé dix-sept mois », raconte-t-il. Il parvient à rejoindre son frère à Paris le 29 février 1984. Une date qu’il connaît par cœur.

    À l’intérieur de la tente de fortune, le feu reprend de plus belle sous la marmite en fonte. Des pâtes et quelques morceaux de viande frémissent dans un mélange d’huile et d’eau. Les migrants savent leur sursis de courte durée. La trêve négociée pour l’hiver entre la mairie et la préfecture a pris fin ce jeudi 1er avril. À partir de maintenant, le camp risque d’être détruit. Eux espèrent être déjà loin.
    Guillaume PAJOT, à Téteghem (Nord)

    en réponse à : Kim Thuy #111868

    MONTRÉAL – Une cascade de rires a répondu à l’appel destiné à dépeindre ce que ressentait l’auteure montréalaise Kim Thuy, fraîchement couronnée grande lauréate du prix RTL-Lire du Salon du livre de Paris.

    Le titre du roman, « Ru », signifie « berceuse » en vietnamien. Le mot peut aussi être traduit par l’expression « petit ruisseau ». Cette deuxième définition colle bien au récit, en partie autobiographique, d’une Vietnamienne qui a quitté son pays après sa réunification en 1975.

    « Je ne l’ai pas fait comme une thérapie. Ma réconciliation a eu lieu depuis longtemps déjà. En fait, c’était plutôt une grande joie que de pouvoir écrire et ‘Ru’ n’est pas seulement mon histoire à moi, mais aussi celle de tous les Vietnamiens qui ont quitté à cette époque », assure l’auteure.

    Kim Thuy est née à Saigon, en pleine guerre du Vietnam. Enfant, elle a fui, avec les « boat people ». Elle est arrivée au Québec en 1979 et se souvient d’avoir été reçue, dans ce qui est devenue sa nouvelle terre.

    « L’accueil qu’on a reçu, moi et ma famille, a fait en sorte que nous avons pu refaire confiance à la vie, aux possibilités qui existent et que nous n’avons plus peur de rien », a indiqué l’écrivaine, âgée de 41 ans.

    Celle qui a immigré au Canada à l’âge de 10 ans s’avoue quelque peu dépassée par l’intérêt débordant à l’égard de ce premier livre. Elle confie toutefois que ce succès lui permet de surmonter la culpabilité ressentie au moment de l’écriture.

    Ce sentiment, nourri par les longues heures passées devant l’ordinateur à simplement écrire, « sans travailler », lui avait laissé croire non pas qu’elle perdait son temps mais qu’elle ne contribuait pas à l’effort familial. Elle a réservé d’ailleurs quelques bons mots pour son conjoint qui lui a permis de réaliser le rêve d’écrire.

    Son roman, à la fois touchant, intime et poétique jette des ponts entre les différentes époques de sa propre histoire. Au départ toutefois, elle se donnait pour simple objectif de nourrir son amour des mots et poursuivre un effort qui plairait sans doute à sa famille et ses amis.

    « Mon fils m’a demandé un jour pourquoi mes parents étaient venus au Québec. Je lui ai raconté plusieurs fois, mais je me suis dit qu’avec le temps, ces histoires-là seront oubliées alors pour conserver la mémoire, j’ai décidé d’en faire un livre », explique Kim Thuy.

    Au terme de l’exercice par contre, plusieurs autres Vietnamiens se sont reconnus dans une oeuvre qui a touché encore plus de lecteurs.

    « Il s’agit du plus beau compliment que je reçois lorsque des gens me disent qu’ils s’y reconnaissent. Certains sont même venus me trouver en m’indiquant que j’avais raconté leur histoire », mentionne-t-elle émue.

    Le prix RTL-Lire est attribué chaque année, lors du Salon du livre de Paris. Kim Thuy y participe d’ailleurs jusqu’au 31 mars.

    Par Lise Millette – La Presse Canadienne – 25 mars 2010

    en réponse à : Les étonnantes prédictions de Vanga #111866

    + 10 0000 pierre
    Entièrement d’accord avec toi

    en réponse à : Vovinam ou pratiquer ? #111865

    Bon choix et bon entrainement :wink2:

    en réponse à : Les étonnantes prédictions de Vanga #111850

    infointox.jpg

    en réponse à : Les compétitions arts martiaux vietnamiens 2010 #111847

    Pour les amateurs :bye:

    vovinamffkdaavril2010.jpg

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