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merci à tous de votre accueil,
à propos de la langue mon problème est inverse, lire et écrire m’est plus simple que de parler.Une bête histoire d’inscription, ils étaient complet en chinois et japonais. Je reconnais que ça fait un peu léger comme motivation de départ. J’avais même l’intention de bifurquer l’année suivante sur du chinois, c’est l’usage des caractères qui m’intéressait. Et puis au bout d’une année, c’est une vague histoire d’impression et d’ambiance, de ressenti entre ce que j’avais vécu à Hong Kong, où j’avais trouvé le contact avec les chinois assez difficile à établir. J’ai trouvé les viêtnamiens moins froids, je me suis dit que c’était la bonne influence du sud, et puis le travail sur la langue a commencé à franchement m’intéresser, c’est encore ce qui me passionne aujourd’hui d’ailleurs, quand j’ai le temps de m’y mettre.
Pour le choix du viêtnamien après le chinois plutôt qu’une autre langue, ç’a aussi été un choix délibéré à l’époque, un choix d’étude. Je sortais de 2 années de droit, un peu saoulé et avec une grosse envie de rupture, mais pas trop… Je me doutais que je n’irais pas forcément vivre à l’étranger comme avait fait mon cousin en Chine, et j’ai donc pensé que si je prenais une langue comme le tibétain ou le mongol ce serait encore plus difficile de trouver du travail ici, le viêtnamien me semblait un bon compromis. En fin de compte, peu importe comment ça c’est fait, je suis maintenant lié au Viêtnam même si c’est un peu en sous-marin.Bonjour, officielleusement je suis traducteur, viêtnamien-français. C’est en tout cas ce que je dis à mes enfants de mettre dans la case « profession du papa » à l’école. Officiellement en auto-entreprise, et en recherche active d’emploi.
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