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DédéHeo;121944 wrote:
bôn* (rare) fuir
o Bôn qua cánh_đồng : fuir à travers champsJe voudrais bien voir « les 3 buffles » en chinois
Est-ce le mot que vous cherchez : 奔 ? ou plutôt celui-là : 犇 ?
(s’agit-il de deux orthographes du même mot ?)
Puisque Kim Sang parle de Hoang Thi Tho, voici une de ses chansons que j’ai beaucoup appréciée :
YouTube – BÓNG H?NG VI?T NAM ( M? HUY?N).DAT
Jeune fille vietnamienne (traduction approximative)J’aime, j’aime la jeune fille aux cheveux d’ébène,
Aux petits creux dans les joues, au grain de beauté charmant,
Es-tu quelqu’une de la terre ou une fée venue de l’éden ?J’aime ta voix légère et coquine,
Comme elle est douce et tendre !
Serait-ce la muse qui chuchote dans le vent,
Ou la voix d’un rossignol ou d’une serine
Dont plusieurs gazouillent sur des branches d’arbre ?De qui est cette tunique flottant au soleil couchant,
Qui fait croire que ce soir des papillons s’envolent en douceur !
Tant de filles en vêtements de soie marchent gracieusement,
A croire que le ciel et la terre sont tissés uniquement de fleurs !Ton chapeau conique d’une séduisante blancheur
Incite mon cœur à rêver discrètement de toi.
Tes petits doigts glissent sur ton sourire,
Un sourire mignon et brillant à la fois !J’aime, j’aime la jeune fille aux joues de pêche,
Aux regards expressifs, aux yeux envoûtants,
Es-tu quelqu’une de la terre ou une fée venue de l’éden ?J’aime ton chapeau conique,
Ô jeune fille, comme tu es magnifique !
Serais-tu une fée descendue du ciel bleu
Pour être aussi splendide qu’une fleur
Et aussi gracieuse qu’un saule pleureur au bord d’un lac ?J’aime ton chapeau conique,
Ô jeune fille, comme tu es magnifique !
Serais-tu une fée descendue du ciel bleu
Pour être aussi splendide qu’une fleur
Et aussi gracieuse qu’un papillon en un soir romantique ?2 novembre 2010 à 4h17 en réponse à : Au Vietnam, comment doit on s’adresser à autrui en respectant la politesse ? #126316au-co;120578 wrote:dì et cậu ont des enfants, ils sont donc mes neveux et nièces cháu gái và cháu trai, moi je suis qui vis à vis d’eux? cậu ou bác?Une petite erreur Au-co : dì et cậu ont des enfants, ils sont vos cousins et cousines em họ. Donc vous êtes anh vis-à-vis d’eux.
12 octobre 2010 à 12h28 en réponse à : [Recherche livre] A tou(te)s les ami(e)s de ce forum qui est au VN #124871Bonjour à tous,
J’ai téléphoné à Phu Nhuan (08)38462702 mais le livre n’est plus en vente là-bas.
Je continue à me renseigner et je vous tiendrais au courant :jap:Veuillez recevoir toutes mes plus sincères condoléances, Jackgd.
Vous trouverez sur ces liens deux versions françaises de cette chanson, la première de Dong Phong, et la seconde de moi-même :
Lòng m? / C?ur de mère – TERRE LOINTAINE
Sons des bambous C?ur de mèreEn espérant que ça aide…
18 septembre 2010 à 8h52 en réponse à : Vos Dictons, Expressions et autres proverbes préférés. #123449Pour Buu Hoa : « Il n’y a pas de situations désespérées; il n’y a que des hommes qui désespèrent des situations. » => Chẳng có hoàn cảnh nào tuyệt vọng, chỉ có con người tuyệt vọng trước hoàn cảnh mà thôi.
Je suis moi aussi intéressée par le sujet, d’autant plus que j’ai beau chercher le Dictionnaire des locutions et proverbes vietnamiens-français de Nguyễn Lân, mais je n’arrive pas à trouver. Donc merci à vous Dong Phong.
@Buu Hoa: une autre suggestion pour le proverbe « Ce n’est pas au milieu du gué qu’on descend de cheval », enfin si vous tenez à le traduire en français : « Giữa dòng không phải là lúc để xuống ngựa » ou bien « Không ai xuống ngựa giữa dòng ».
Et moi, je dirais : mau đến nghỉ hè nào, mau đến ngày về hưu nào.
Bonjour Dong Phong,
Le Hameau des Roseaux (Han Mac Tu, traduit par Hélène Péras et Vũ Thị Bích)
Editions Arfuyen23 août 2010 à 3h52 en réponse à : Vietnam : les étrangers autorisés à acheter des appartements à partir de 2009 #122324Un Viêt kiêu peut désormais acquérir plusieurs logements – 22/08/2010
[IMG]http://lecourrier.vnagency.com.vn/news/Image/2010/08/Vietnam/Diaspora/Diaspora/5098.201as.JPG[/IMG]
Selon l’arrêté gouvernemental N°71, en vigueur depuis le 8 août 2010, un Vietnamien d’outre-mer (Viêt kiêu) ayant conservé sa nationalité d’origine peut désormais acheter un nombre de logements illimité au Vietnam, suivant le même régime que les Vietnamiens vivant dans le pays, au lieu d’un seul auparavant.
[*] >> Contributions : la diaspora vietnamienne et ses enjeux
[*] >> Le nouvel arrêté gouvernemental N°71 influence-t-il le marché immobilier ?
Cette disposition de portée générale concerne également les personnes d’origine vietnamienne résidant à l’étranger qui investissent directement dans le pays, celles ayant eu des contributions au pays, les scientifiques, les chercheurs en culture, et les hommes de talent possédant un savoir-faire particulier dont le pays a besoin et qui travaillent actuellement au Vietnam, outre le conjoint d’un citoyen vietnamien vivant dans le pays.En outre, les autres personnes d’origine vietnamienne titulaires d’une exemption de visa et d’un permis de résidence au Vietnam de plus de 3 mois délivrés par les services compétents auront également le droit d’acquérir une maison ou un appartement au Vietnam.
En effet, le Premier ministre Nguyên Tân Dung a promulgué le 23 juin 2010 l’arrêté N°71 qui consiste en une nouvelle réglementation détaillée et les dispositions interprétatives pour l’application de la Loi sur le logement de 2005 et celle N°34 de 2009 de l’Assemblée nationale (12e législature) relative au droit à la propriété foncière au Vietnam des Vietnamiens résidant à l’étranger. Il s’agit d’une avancée significative dans le traitement des problèmes que les Viêt kiêu ont rencontré en la matière ces dernières années, et qui répond aux souhaits de nombreux Vietnamiens d’outre-mer désireux de retourner dans leur pays d’origine pour contribuer à son développement.
Cet arrêté a éclairci plusieurs points s’y rapportant, en définissant précisément certaines notions telles celles de « papiers d’identité en règle », mais aussi en détaillant les formalités et procédures, les administrations compétentes… Ces mesures ont été prises en considération des chercheurs en culture et des scientifiques d’origine vietnamienne en particulier, lesquels ont rencontré des difficultés au niveau des justificatifs à présenter afin de pouvoir devenir propriétaire. Ainsi, désormais, il leur suffit de présenter une invitation d’un doyen d’université ou d’une académie, du directeur d’un institut de recherche du Vietnam, au lieu d’un ministre ou du président du Comité populaire d’une province.
Selon le ministère de la Construction, cet arrêté est beaucoup plus ouvert que son prédécesseur de 2001, les Vietnamiens résidant à l’étranger ayant quasiment de mêmes droits que leurs compatriotes du pays (inclus location, mandat de gestion, héritage du transfert de propriété foncière faisant partie du projet de développement des logements à des fins commerciales dans les zones où le sol peut se vendre), à l’exclusion de la possibilité de donner le bien en garantie et de l’apport en société ou autre personne morale.
Autre raison ayant présidé à ce nouvel arrêté, 9 ans après la promulgation de celui N°81, seuls un peu plus de 140 Viêt kiêu ont pu acquérir un logement au Vietnam.
Selon le ministère de la Construction, environ 70% des plus de 3 millions de Vietnamiens résidant à l’étranger ont conservé leur nationalité d’origine.
Hoàng Minh/CVN
(21/08/2010)Léa;115642 wrote:Perso, je perçois une nuance plutôt péjorative dans « một cô gái bất hủ » (qui a eu des comportements ou qui a fait des choses négativement remarquables). Mais ce n’est que mon impression.Peut-être à cause de son son proche de « bất hảo » ?
A ma connaissance, « bất hủ » (不朽) est un mot sino-vietnamien qui signifie indestructible, immortel. Il semble être mélioratif dans son sens étymologique, mais péjoratif dans son sens par extension.
Perso, je perçois une nuance plutôt péjorative dans « một cô gái bất hủ » (qui a eu des comportements ou qui a fait des choses négativement remarquables). Mais ce n’est que mon impression.Oui, Kim Sang, je vais t’en dire plus.
Quand j’étais petite fille (ça fait une trentaine d’années déjà), faire brûler des chapelets de noyaux de pamplemousse constituait une des activités d’enfant très appréciées lors de la soirée de la mi-automne.
La préparation se faisait des semaines avant la fête : après avoir mangé des pamlemousses, on garda leurs noyaux ; puis on enleva leur écorce pour obtenir des « boutons » blancs ; avec des fils en cuivre on en fit des chapelets (chacun d’un mètre de longueur) qu’on laissa sécher par le soleil pendant des jours.
La soirée de la fête, on faisait brûler ces chapelets sous le ciel de pleine lune, le bruit du feu était très agréable aux oreilles, avec des scintillements en plus. A l’époque, la campagne était souvent dépourvue d’électricité…Pour toi Durian : Courrier du Vietnam
A propos, je viens de te donner en mp mon email. -
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