L’émigré quitte jamais son pays par plaisir ou conviction. Au mieux par nécessité ou encore obligation, au pire le feu aux fesses.
Partant de là, il est bien forcément nulle part.
Génération sacrifiée avec l’espoir que la descendance s’y sente mieux, qui d’ailleurs se posera des questions si jamais, de même ça se met à sentir la scoumoune.
En fait, il parait que le viet s’adapte facilement partout ! Vrai ?