Toutes mes réponses sur les forums
-
AuteurMessages
-
@Dông Phong 152762 wrote:
Aucune idée ? Mais vous avez trouvé la réponse !
Et bravo pour sa rapidité.
Voici l’explication :
姑 (cô) = 女 (nữ, femme) + 古 (cổ, ancien, autrefois)
姑 (cô) : terme désignant une belle-mère (mère du mari ou de la femme), ou pour s’adresser entre sœurs ; désigne aussi une femme pas encore mariée.
Cordialement.
Dông Phong
C’est vrai? J’ai juste posé mon doigt au hasard sur une page prise au pif dans mon dico!
@dannyboy 152766 wrote:
Il nous montre un article qui est tout à fait correct et c’est ça qui nous intéresse. Quant au site, certain peut le trouver « réact » d’autre pas. On est tous des adultes capables d’écarter par nous même des informations nuisibles dans un site et n’en garder que ce qui est intéressant.
C’est pas un jugement personnel. Le site est peut-être très intéressant (j’ai pas eu le temps de le visiter en détail) mais il est bloqué par mon FAI, j’ai contourné pour voir de quoi il s’agissait, et c’est effectivement un site dont on peut comprendre les raisons du blocage.
Maintenant le soucis c’est qu’au Vietnam quand on se rend sur ce genre de sites (même quand c’est bloqué), on attire l’attention. Surtout quand on est étranger, ou qu’on loge chez des cathos (ce qui est provisoirement le cas en ce qui me concerne).
Voilà, c’est tout. Il y a des sites que j’évite d’ouvrir sans passer par un VPN, et je ne pense pas faire dans la paranoia, ni que ma remarque soit déplacée.:jap:
@DédéHeo 145065 wrote:
C’est du carton recyclé ?
Bà bán báo ở phố Bolsa: Sống làm từ thiện, chết trong cô ộc – Cộng ồng – – Ng°ời Việt OnlineMerci de prévenir quand tu poste un lien vers un site phản động
@Dông Phong 152753 wrote:
Bonjour TLM,
Une petite devinette pour le week-end :
Bà già hay bà trẻ
Cô đơn cũng gọi thếQu’elle soit vieille ou jeune
Même esseulée on l’appelle ainsi
Votre réponse (1 caractère), s’il vous plaît?
Cordialement.
Dông PhongAucune idée… 姑?
@Dông Phong 152611 wrote:
A l’attention de Mike et des gentils MODOS,
Apparemment, FV ne permet que des polices d’origine chinoise, assez anciennes, pour les caractères chinois.
Pouvez-vous, SVP, permettre l’utilisation des polices plus modernes et plus universelles d’UNICODE telles que Arial Unicode MS ?
Merci d’avance.
Dông Phong
Voici comment votre message s’affiche chez moi. C’est pas bon?
8 décembre 2012 à 7h34 en réponse à : Pourquoi une limitation du nombre de messages privés ? #153784@AlexPhap 152754 wrote:
Je me permets de relancer le sujet car je vois que ça a pas beaucoup avancé.
Est-ce que Mike, s’il souhaite vraiment conserver une limite, ne pourrait pas monter de 30 à 100 messages stockés ?
Car 30 c’est vraiment trop peu, ça oblige sans cesse à supprimer des messages, et à la fin on perd des discussions qu’on aimerait garder.Merci d’avance
Même une limite à 100 ne se justifie pas, si l’on prend les précautions nécessaires pour éviter les spams.
Il faut simplement faire sauter la limite.
7 décembre 2012 à 11h46 en réponse à : [doc] À la recherche de l’origine de la langue vietnamienne #153755@dannyboy 152723 wrote:
Je parlais d’un texte quôc ngu (écrit en quôc ngu à l’origine par son auteur) alors que toi tu parles d’un texte Nôm transcrit en quôc ngu par la suite.
Pour moi un texte quôc ngu est par exemple le texte « catéchiste en 8 jours » écrit directement en quôc ngu par Alex de Rhodes au 17e siècle. Ce texte nous donne une idée précise des sons utilisés par les viets de l’époque mais est plus difficile à comprendre qu’un texte Nôm de la même époque.
Dans les poèmes de « Quốc âm thi tập » écrits par Nguyên Trai, on voit déjà les mots thuần nôm qui n’existaient pas dans le répertoire chinois je crois. Ex: les mots « mơn mởn » qui étaient déjà utilisés par Hàn Thuyên au 13e siècle.
Au temps pour moi dannyboy, j’avais mal compris ton propos. Je suis d’accord avec toi alors.
Il est tout à fait normal que Nguyễn Trãi utilise des caractères thuần nôm : il ne s’agit pas de mots mais de caractères spécialement créés pour écrire les mots thuần việt, par opposition aux caractères nôm qui sont empruntés à l’écriture chinoise, pour écrire d’autres mots thuần việt, comme le chiffre một que j’ai donné en exemple précédemment. En effet Nguyễn Trãi est du 15ème siècle, or le nôm s’est développé depuis au moins le 10ème… de l’eau avait donc coulé sous les ponts avant que Nguyễn Trãi apporte ses pierres à l’édifice, et le nôm comprenait déjà plein de caractères thuần nôm.
Je ne vois pas trop ce qu’il y a de flippant dans tout ça. Des jeunes athlètes il y en a dans tous les pays, et c’est toujours dur d’être un athlète de haut niveau. La première photo du topic fait froid dans le dos, c’est vrai, mais s’en servir pour caractériser l’athlétisme chinois est nécessairement réducteur. On montre toujours ce qu’on veut des champions. Là c’est la Chine communiste, tout çaaaaa. Quand on veut embellir on les montre joyeux, victorieux et équilibrés, quand on cherche le contraire on les montre fatigués, blessés, harcelés par un entrainement de spartiate. Cependant je suppose que ces 2 réalités font partie du quotidien de beaucoup de sportifs de haut niveau qui aspire à devenir champions. C’est essentiellement une affaire de com’.
Il faut ajouter à ça qu’il y a d’un côté une culture du sport, et de l’autre une culture du kungfu (à comprendre au sens large). On ne peut pas nier que l’apprentissage (de quoi que ce soit) en Chine soit beaucoup plus axé sur la laborieuse répétition jusqu’à la maitrise parfaite de la discipline. C’est justement le propre du kungfu. Ca leur a très bien réussi jusqu’ici. Nous ça nous semble dur et impitoyable, pour eux ça semble normal : pour réussir, on en bave. On ne leur ment pas, il le savent déjà avant de commencer.
7 décembre 2012 à 6h39 en réponse à : [doc] À la recherche de l’origine de la langue vietnamienne #153743@DédéHeo 152706 wrote:
Alors, comme je comprend très bien l’excellente prose de mademoiselle Dora (contrairement à mon cher dannyboy) ainsi que les 2 textes ci dessus, je peux affirmer que cette « Văn tế cá sấu » a été remaniée 10 fois 😆
C’est pas compliqué, il suffit de se référer à l’original écrit en nôm, pour peu qu’il n’ait pas été détruit.
@Syusuke 152696 wrote:
Car Alex a dit que mon histoire etait un sketch tellement ca paraissait invraisemble en plus de mettre en avant ma tenue pour ne montrer aucun signe exterieur de situation sociale. (…)
@Alex Je n’interdis pas les Non Vietnamiens de venir sur le topic.Ta belle famille n’est pas une référence de situation de vie au Vietnam. (…)
Ce n’est pas en s’habillant en viet-cong qu’un viet-kieu passera pour plus pauvre qu’il n’est. Surtout si à côté de cette judicieuse précaution il « dépense sans compter ».
Pour le reste, je suis étonné de voir que quelqu’un qui estime connaitre si bien les réalités de la vie au Vietnam prenne la peine de poser des questions sur son mariage, sur un forum dont la plupart des membres sont aussi des viet-kieu et des pas-viet-du-tout.
7 décembre 2012 à 5h10 en réponse à : [doc] À la recherche de l’origine de la langue vietnamienne #153734@dannyboy 152691 wrote:
(…)L’écriture quôc ngu par contre, est « orienté prononciation ». Elle donne une idée très claire comment les mots étaient prononcés par nos ancêtres. Le revers de la médaille est que parfois on n’arrive pas à comprendre ce que signifient ces mots. (…)
Et bien non, justement. Le quoc ngu ne reflète pas la prononciation du vietnamien telle qu’elle était à l’époque, la transcription quoc ngu des textes en nôm ne fait que donner pour chaque caractères la prononciation d’aujourd’hui. Le problème ne se limite pas au nôm car lorsqu’un Chinois lis à voix haute un texte de Confucius, ce qu’il prononcera sera probablement assez éloigné de ce qu’aurait prononcé un contemporain de Confucius lisant le même texte à voix haute.
Par exemple le caractère han-viet 學 que les Vietnamiens d’aujourd’hui transcrivent « học » et prononcent exactement de la même façon que le verbe học du vietnamien contemporain, n’était certainement pas prononcé de cette manière par Nguyễn Trãi. Sa prononciation actuelle en mandarin, notée [xué] en pinyin (écrit à la viet ça donnerait quelque chose comme xuế) n’a plus grand chose à voir avec la prononciation vietnamienne d’aujourd’hui, alors qu’il fut probablement un temps où les Vietnamiens prononçaient ce mot à peu près comme les Chinois, les Coréens et les Japonais. Aujourd’hui en japonais c’est « gaku » et en coréen « hak ». La parenté avec học est bien plus visible qu’avec [xué], ce qui permet de supposer que la prononciation des Chinois est celle qui a le plus évolué pour ce caractère (notamment, perte de la consonne finale).
Autre exemple, le caractère nôm 沒 emprunt phonétique au chinois [méi] (un mot grammatical n’ayant pas d’usage en viet, ce qui rend donc son sinogramme empruntable) pour écrire le mot một (le chiffre « un ») que les Vietnamiens d’aujourd’hui transcrivent « một » et prononcent de la même façon que le mot một du vietnamien contemporain, était lui aussi probablement prononcé sensiblement différemment par Nguyễn Trãi.
@HAN VIËT 152698 wrote:
(…)La plupart du vocabulaire est nôm ( ou mon Khmer ) mais il y a quelques mots Han -Viêt
_ il faut arrêter de dire que ce genre d’oeuvre est écrit en caractères ou en langage nôm ; plus précisément , il est écrit en quôc âm : du VN qui n’est pas du Han littéraire , est composé de mots Han-viêt et de mots nôm et qui s’écrit comme on le parle ( et non dans un style compliqué ) Dans l’ancien temps , le Han littéraire était très choyé dans le milieu des lettrés et de l’administration mais à la maison , entre eux , les lettrés ne s’interdisaient pas de versifier en quôc âm . Chacun d’entre eux avait inventé sa version de caractères nôm et c’est pour cela que les caractères Nôm n’étaient pas uniformisés
_ il faut arrêter de répéter que les rois Quang trung et Hô quy Ly avaient promu l’utilisation des caractères nôm dans l’administration ;
ils prônaient le quôc âm ; dans quel but , c’était de faciliter l’émergence d’une nouvelle classe de lettrés qui appuierait leur pouvoir .
[ ça m’étonne qu’un érudit comme Ng thê’ Anh répète lui aussi l’erreur ]
Comme parallèle , les co-cas avaient prôné l’utilisation de l’écriture latine et la suppression des concours littéraires , c’était pour briser l’influence des lettrés comme nouveaux cadres ; ils allaient promouvoir leurs interprètes ( Pham Quynh , Ng v. Vinh , etc … ) , leurs secrétaires , quelquefois leurs boys . Les » instruits » revenant de France se voyaient refuser l’accès à des fonctions correspondant à leur niveau .Remarque amusante de la part de celui qui à chaque post persiste à parler du nôm comme s’il s’agissait d’une langue.
Dire qu’on promeut l’utilisation des caractères nôm ou du Quốc âm ça revient à peu près au même.
Apparemment, le concept de Quốc âm est antérieur à celui de nôm, et l’usage du premier est parfois confondu avec le second. Sur google le terme « Quốc âm » ne donne que très peu de résultats. On le trouve essentiellement dans les expressions
- Quốc âm thi tập
- Đại Nam Quốc Âm Tự Vị
- quốc âm Hán tự (國音漢字)
A propos de la dernière, Wikipedia anglais traduit par « »Han characters with national pronunciations«
Et e constate avec surprise que la page française sur les chứ Nôm semble très informée que la question, sans donner aucune référence… dommage.Ce que j’en comprends a priori (je dois vérifier) c’est que Quoc am désignait – avant que je soit adopté le terme « nôm » – l’écriture de la langue vietnamienne en puisant uniquement dans le répertoire des caractères chinois existants, les choisissant soit pour leur sens, soit pour leur prononciation. L’innovation du nôm étant d’utiliser en plus des caractères spécialement conçus pour contenir à la fois les informations sémantiques ET les informations phonétiques des mots thuần việt.
6 décembre 2012 à 15h29 en réponse à : [doc] À la recherche de l’origine de la langue vietnamienne #153723@dannyboy 152674 wrote:
Voici un exemple d’un texte “Nôm » [j’aurais dit « (écrit) en nôm »] daté de 1282, c’est-à-dire un texte, quand on le lit, est compris par les paysans viet vivant en 1282.
Ti
C’est déjà la version transcrite phonétiquement en quôc ngu. Je n’ai pas pu trouver la version en idéogrammeNgặc ngư kia hỡi! mày có hay ?
Biển Đông rộng rãi là nơi này
Phú Lương đây thuộc về thánh vực
Lạc lối đâu mà lại đến đây.
Há chẳng nhớ rằng nước Việt xưa
Dân quen chài lưới chẳng tay vừa
Đời Hùng vẽ mình vua từng dạy
Xuống nước giao long cũng phải chừa
Thánh thần nối dõi bản triều nay
Dấy từ Hải Ấp ngôi trời thay.
Võ công lừng lẫy bốn phương tịnh
Biển lặng sông trong mới có rày
Hùm thiêng xa dấu dân cày cấy
Nhân vật đều yên đâu ở đấy
Ta vâng đế mạng bảo cho mày
Hãy vào biển Đông mà vùng vẫy.Notons que ce texte a été écrit par un letté, il ne parle pas le vietnamien exactement de la même manière qu’un homme du peuple. Ce qui est étonnant est qu’on ne voit aucune différence avec les textes viet d’aujourd’hui
Tout à fait, il ne parle pas de la même manière qu’un homme du peuple, d’autant plus qu’il s’agit là d’un poème, et l’homme du peuple s’exprime rarement en vers de façon spontanée
Par contre, si on ne voit « aucune » (je dirais plutôt « peu ») différence avec les textes d’aujourd’hui, c’est parce que la transcription n’est pas fidèle au parler de l’époque. Si l’on pouvait faire un voyage dans le temps pour écouter quelqu’un réciter le poème, et qu’on essayait de retranscrire ce qu’il récite à l’aide du quoc ngu de notre époque, on aurait probablement des différences bien visibles avec le vietnamien actuel. Il y aurait peut-être même des syllabes impossible à transcrire à l’aide du quoc ngu.
On constate cependant qu’en quoc ngu le poème rime toujours très bien, preuve que les finales des derniers mots de chaque vers n’ont pas du beaucoup changer, ou bien qu’elles ont toutes changé dans le même sens.
Une chose qui me semble évidente, c’est que l’apparition de l’écriture a pour effet de fixer une langue. Dès lors qu’on a commencé à écrire le vietnamien, même en nôm qui ne donne que des indications approximatives de prononciation, le vietnamien a probablement commencé à ralentir dans son évolution et sa diversité phonétique. Et le quoc ngu romanisé a sans doute fixé la langue beaucoup plus efficacement. Malgré tout la prononciation continue d’évoluer, mais plutôt dans le sens de la normalisation, grâce à l’augmentation très importante des échanges entre habitants des différentes régions, qui autrefois étaient très isolés.
6 décembre 2012 à 11h05 en réponse à : [doc] À la recherche de l’origine de la langue vietnamienne #153704@DédéHeo 152657 wrote:
J’ai fait une faute de frappe dans ma question :
L’écriture nôm, retourne t’elle l’ordre de la phrase comme en chinois?
(…)
Ma question est plus exactement : L’écriture nôm introduit des mots d’origine mon-khmer de la langue viêt qui n’existent pas en chinois. Mais la syntaxe, est-elle celle du chinois[/Quote]
T’es à côté de la plaque
D, ‘abord il faudrait que tu épluches des écrits en nôm (et pas que des romans poétiques) afin de vérifier qu’ il y a tant d’inversions que ça.
Le nôm a été spécialement conçu pour écrire en langue nationale, c’est à dire tel que les Vietnamiens s’exprimaient à cette époque. Il n’introduit pas de mot khmer (qui de toute façon ne sont pas des mots khmer, stop) , il permet juste de les mettre à l’écrit, à côté des mots sino-viet pour lesquels on a pas besoin de se creuser puisque les caractères existent déjà. Et s’il s’avère que dans les textes en nôm on trouve beaucoup plus d’inversions syntaxiques (à la chinoise) qu’aujourd’hui, ça peut être soit :
1. Parce que les Viets s’exprimaient comme ça à l’époque (c’est une hypothèse)
2. Parce qu’il y avait un registre de langue écrit tout comme on en a un en français, obéissant à des règles sensiblement différentes, produisant in résultat jugé plus élégant, moins naturel mais néanmoins compréhensible même par des gens qui ne parlent qu’un langage courant ou familier.Il est évident que même à l’oral les lettrés devaient s’exprimer dans un vietnamien plus riche et classieux que le petit peuple. Mais le nôm servait à écrire viet, avec une syntaxe viet évidemment. Si quelques siècles plus tôt le viet oral contenait bien plus d’expressions en syntaxe chinoise, ça n’aurait rien d’étonnant. Il y a à peine 30 ans, il y en avait encore pas mal, y compris des néologismes que tu as toi-même cités, tels que « Việt Nam Dân chủ Cộng hoà »
6 décembre 2012 à 7h40 en réponse à : [doc] À la recherche de l’origine de la langue vietnamienne #153688@Bao Nhân 152643 wrote:
Enfin, d’après toi, est-ce la langue existe avant la grammaire ou à l’inverse ? Et est-ce la langue existe avant l’écriture ou à l’inverse ?
C’est la poule, évidemment!
Difficile pour une écriture d’exister avant la langue, puisque c’est l’écriture de la langue. La genèse du système et son usage doivent nécessairement être antérieurs à sa représentation graphique. Sinon il ne s’agit pas d’écriture mais de graffitis aléatoires.
@DédéHeo 150342 wrote:
Au Nord, c’est définitivement 6 ! Au Sud, 8 ou dix…
Voici par exemple le 1er plateau que google me rapporte en 1/2 seconde :
Mâm c? cúng ngày Táo quân – Tin t?c – Gia ?ình tôi, Nuôi D?y Con, V? & Ch?ng, S?c Kh?e, Làm ??p, Tâm S?, ??i S?ng, Gi?i Trí, Mua S?m, ?n Ngon
c po 1 mariage, c’est la fête du géni des cuisine :
Mâm cỗ cúng trong ngày Táo quânAlors, on est au Nord ou au Sud ? Vous en comptez combien ?
– 12 ! répond Robin des Bois qui a encore abusé du Côte de Bourg
Je vois qu’on n’est pas à Saigon, mais c’est parce qu’il y a des légumes et des cà muối…
Bon j’arrive un peu tard, et je sors….
-
AuteurMessages