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@BOURRE MICHEL 134955 wrote:
Bonjour,
Je me permets une petite information, pour celles et ceux qui vivent au Vietnam, qui l’ignorent, et que ça pourrait interesser: Il est toujours beaucoup plus économique et interessant de faire faire un virement bancaire, de sa banque Française, dans une banque au Vietnam: En envoyant la somme en Euros, et en demandant (Nous avons le choix!) à ce que les frais de transaction soient pris en compte par la banque vietnamienne; non par la banque Française.
… L’opération pour un virement permanent de la sorts coute environ… Royalement: 8€!!!
… Vivant actuellement au Vietnam: C’est la solution que j’ai adoptée; elle évite tous les frais de retraits aux ATM… Peut-etre l’adoptez-vous déjà ou l’adopterez-vous?
Cordialement,
GGIntéressant.
Mais comment se fait-il que la banque en France accepte de ne recevoir aucun défraiement pour la transaction? Ou alors ça veut dire que la banque accepte de n’être payée que 4 euros, soit la moitié des 8 euros que lui versera la banque vietnamienne? C’est un sacré manque à gagner pour les vampires…
Je sais pas pour vous, mais ma banque (la Banque Populaire du Sud) m’a facturé 20 euros le virement international vers le VN, et la HSBC au Vietnam en prenait autant de son côté, ce qui m’est revenu à 40 euros le virement! Gloups… on ne m’y reprendra plus.
@Bemap 134878 wrote:
bonjour,
en fait, nous les asiatiques, on n’a pas du tout l’habitude de s’épiler, j’avoue que je commence à m’épiler seulement depuis que je suis en France, après quelques années travailler avec des collegues françaises. je ne connaissais pas du tout ce que c’est épilation, car chez nous , on ne s’épile pas, tout reste naturel ( lol, désolée…)
a vrai dire, je pense que ça évoulue, doucement, mais ça évolue. des femmes modernes, qui travaillent la plupart avec des boites étrangères, et donc avoir 1 vision plus claire pour s’occuper de soi ..( c’est mon cas ). Je sais que la majorité de mes copines ne s’épilent pas du tout, et quand je leur en parle, elles ne savent pas comment faire, et souvent elles disent que ça ne les genent pas, mais une fois compris les techniques d’épilation, elles sont contentes de pouvoir le faire.C’est marrant quand-même, d’être contente de passer d’une situation où on n’éprouve aucune gêne à une situation où on culpabilise à mort d’avoir le moindre poil, et où on est obligé de perdre du temps et de l’argent chaque semaine à se raser ou s’épiler.
Donc le progrès = culpabilité + perte de temps et d’argent
C’est la joie
Même les hommes commencent à s’y mettre, d’après ce que je constate en ce moment même sur la pelouse de la Cité Universitaire Internationale à Paris… et bien comptez pas sur moi!
Au fait la première phrase devait normalement être « tu confonds peut-être avec rằng … »
Apparemment tu as bien compris.
Hu hu hu… bon, ça a le mérite d’être clair
Ce sera peut-être réglé dans la prochaine version, hein?
@kilian 134798 wrote:
(anh đi mô rứa?, răng – mais plutôt à la place de là je crois). C’est vrai que ce sont aussi des expressions qui caractérisent particulièrement le parlé du centre.
Tu confonds pas avec « rằng » (dấu huyền) qui peut parfois être interchangeable avec « là », mais c’est pas un phénomène régional.
En tout cas il me semble qu’à Vinh răng se substitue complètement à « sao », que quasiment personne n’utilise.J’oubliais chi qui remplace gì, très caractéristique.
@kilian 134798 wrote:
Je trouve aussi qu’à Hué le « r » est assez bien distingué du « d », mais qui lui est prononcé comme le « gi ». Merci aussi pour tes explications sur les différences phonétiques nord/centre même si c’est un peu dur à se représenter ces différences sans entendre parler je pense. Faudra que je jette un oeil à cet ouvrage de Laurence C. Thompson…
Pour ceux que ça peut intéresser, je signale qu’au début de la méthode assimil les différences entre les principaux accents sont bien expliqués (standard/nord/sud) et les dernières leçons permettent de se faire à l’accent du sud.
Une petite réserve quant à l’ouvrage de Thompson, il date un peu. Assimil un peu moins mais c’est beaucoup moins détaillé. Surtout il faut garder à l’esprit que les accents sont parmi les phénomènes linguistiques qui évoluent le plus vite, surtout de nos jours où les populations ont tendance à se mélanger. Donc il ne faut pas prendre les indications de ces ouvrages (ni d’aucun autre) pour argent comptant.
Bonjour Yen,
Voilà le sujet en question : http://www.forumvietnam.fr/forum-vietnam/discussion-libre-thao-luan-tu-do/9819-dictionnaire-insolite-du-vietnam.html
Merci beaucoup pour ce documentaire!
Est-ce qu’il pourrait y avoir un lien entre « một thằng phải gió » et « một thằng dở hơi » ? (ils ne manquent pas d’air, hơ hơ hơ…)
@Ti Ngoc 134775 wrote:
« Je ne sais pas si nous parlons de la même pratique de cạo gió (littéralement : gratter le vent).
Si je me rappelle bien, il s’agissait de faire des petites scarifications sur la peau du dos et y déposer ensuite des ventouses chauffées. Le sang noir qui en sortait signifiait que le mauvais « vent » était extirpé. Et la pratique n’était pas suivie de massage.Je croyais que ce qu’on appelait « cạo gió » c’était plutôt un massage, souvent dans le dos, qui produit au final des marques rouges (irritations), et qu’on pratique avec un objet chauffé, comme une pièce de monnaie (đồng xu). Si c’est ce que je crois, alors le terme « scarifier » n’est pas adapté, ce serait plutôt « irriter » ou « chauffer ». Le mot « scarifier » suppose qu’on pratique des incisions dans la peau, moi ne n’ai jamais vu ça (mais bon j’ai jamais cherché non plus…). Et le truc avec les ventouses, j’ai entendu appeler ça « giác ».
Et quand on voit les Vietnamiens avec une marque rouge sur l’arcade entre les yeux, voire sur le milieu du front, c’est un massage qu’on peut pratiquer soi-même, pour le mal de tête ou les vertiges je crois, et j’ai entendu appeler ça « bắt gió »…
EDIT : désolé mon intervention est mal placée, Anh Truc avait déjà répondu sur http://www.forumvietnam.fr/forum-vietnam/le-voyage-au-vietnam-du-lich-viet-nam/10366-salons-de-beaute-3.html#post134790 …
@kilian 134751 wrote:
Sinon, si quelqu’un peut expliquer ce qui caractérise le parlé du centre, ça m’intéresse car je ne vois pas trop la différence avec le parlé du sud? (j’entends au niveau de l’accent et non des mots en eux-mêmes)
Bon, je préviens que je vais peut-être dire plein de bêtises, pour l’essentiel c’est ce que j’ai appris sur le terrain, et ça n’engage que moi.
Je ne sais pas s’il y a « le » parler du Centre, je pense qu’il y a plutôt les parlers du Centre, de même qu’au Nord il n’a des parlers très distincts, et je suppose que c’est pareil au Sud.
Pour ma part j’ai un peu fréquenté le parler de la province Nghe An, qui a pas mal de ressemblances avec le parler de Hue (mais quand-même bien différent, hein…). A mon avis, ce qui est difficile au premier abord dans les parlers du Centre, c’est que le vocabulaire régional concerne certains mots grammaticaux très courant, et non pas juste des mots désignant des objets comme on fait souvent remarquer entre le Nord et le Sud (trái/quả, thơm/dưa, muỗng/thìa, etc.). En plus de ces différences, au centre on a par exemple
thế > rứa
đâu > mô
không > nỏ (sauf en fin de phrase)
kia > tê
làm > mần
sao > răng
này > ni
mày > mi
chúng ta / người ta > choa
nhìn thấy > chộvoilà pour les plus fréquents. Exemple souvent cité pour caractériser le parler de Nghe An : mi đi mô rứa? = mày đi đâu thế/vậy ?
Donc les mots régionaux pullulent dans le langage, ce qui est bien plus déroutant que lorsqu’il n’y a que du vocabulaire d’usage occasionnel.
Ensuite, au niveau de l’accent, je trouve que le parler de Nghe An est bien discriminant sur les consonnes (càd qu’il y a peu de syllabes homophones, on distingue généralement assez bien « r », « d », un peu moins le « gi », on distingue « tr » et « ch », etc). Par contre, au niveau des tons, ça demande un gros effort d’adaptation, puisque presque tout sonne différent. Pour moi qui suis plutôt habitué aux accents du Nord, je trouve que le ngã de Vinh ressemble au nặng de Hanoi, le ngang de Vinh ressemble au huyền de Hanoi (et vice versa, d’ailleurs) et le nặng de Vinh est assez haut, surtout lorsqu’il est en 2ème syllabe d’un mot, et peut s’entendre comme un sắc de Hanoi. Inversement, le sắc de Vinh part de très bas et ne remonte que discrètement sur la fin, ce qui le fait ressembler à un nặng de Hanoi. S’ajoute à ça une difficulté supplémentaire : la prosodie fait presque systématiquement monter le ton sur les fins de phrases, quelque soit le ton. Enfin… c’est ce que moi j’entends. Et il y a plein d’autres subtilités, mais je n’ai pas encore passé assez de temps dans le coin.
Pour plus de détails : R? phong trào h?c Ngh? Ng? trên m?ng – Vo thuat, võ thu?t, di?n ?àn võ thu?t VietNamFight – ngôi nhà chung cho anh em võ thu?t
Et sinon il y a l’ouvrage A Vietnamese Reference Grammar de Laurence C. Thompson qui a tout un chapitre sur la phonologie, où il aborde les différences entre certains parlers, notamment du Centre.
Je ne suis allé à Hue que quelques fois, globalement je trouve l’accent plus lourd que celui de Vinh (un peu comme l’accent de Marseille est plus lourd que celui de Montpellier). On retrouve pas mal de mots régionaux en commun entre les deux villes.
@kimsang 134732 wrote:
Bonjour tout le monde,
Personnellement, je ne veux pas vous dire que pour apprendre le vietnamien, les methodes avec l’accent du nord sont mieux ou les methodes avec l’accent du sud sont mieux … J’avoue que je n’ai aucune idee. Je n’ai pas eu a l’apprendre etant tombee au milieu depuis ma naissance. :wink2:
Par contre, lorsque je suis arrivee ici a HCM pour m’y installer, pour me creer un cercle d’amis, j’avais commence les 6 premiers mois a donner des cours prives a domicile de francais et/ou de vietnamien. Les personnes qui m’avaient contacte (tous francais) attachaient beaucoup d’importance a savoir si je parlais le vietnam du sud ou du nord. Et ils avaient tous une preference pour l’accent du sud.
Encore un autre exemple, j’ai eu le privilege de rencontrer l’ancien Consul de France d’HCM (qui est parti maintenant a la retraite) pour un poste d’interprete au Consulat… Nous avons sympathise et un moment, il m’a demande si j’etais interessee de donner en plus des cours de vietnamien a des amis a lui car les amis en question cherchaient « un prof » de vietnamien avec un accent du sud et non du nord.
Des exemples juste pour vous dire que ce n’est pas l’accent du nord qui prime ou bien celui du sud ou du centre… car je pense que c’est la meme langue pour tous mais comme dans chaque region, il y a des termes bien specifiques et une prononciation bien specifique. Et c’est a priori plus facile pour quelqu’un qui debute dans la langue vietnamienne de l’apprendre avec l’accent du sud ou du centre (question de prononciation).
Comme je suis entre les deux car etant ni du nord et ni du sud … je dirais que l’accent et la prononciation du Centre est le mieux :yahoo:OK :je_sors:
Kim Sang
Salut Kimsang!
Il est assez normal que les gens qui vivent à HCMVille préfèrent apprendre le vietnamien avec l’accent du Sud. Et je suppose que les gens qui vivent à Hanoi préfèrent apprendre avec l’accent du Nord.
Pour ma part c’est un ami de Nha Trang qui m’a donné mes premiers cours, et il s’appliquait à m’apprendre la prononciation « standard » : c’est à dire pas l’accent de Hanoi, mais plutôt un accent assez neutre qui cherche avant tout à discriminer toutes les syllabes, donc faire la différence entre « r », « gi » et « d », entre « tr et « ch », entre « s » et « x », entre le « ưu » et le « iêu », etc… C’est aussi l’accent qu’enseignent les profs au primaire, à tous les enfants du Vietnam (ce qui n’empêche pas ces derniers, une fois dans la rue, de parler avec leur accent régional).
Selon les gens, le sens du mot « standard » varie pas mal. Pour certains (et même pas que les Hanoiens), le vietnamien « standard » est celui de Hanoi. C’est objectivement faux. C’était peut-être vrai à une certaine époque, mais en tout cas pas aujourd’hui. Il m’arrive parfois d’entendre des personnes âgées parler un vietnamien qui se rapproche de l’idée que je me fait du vietnamien « standard ». Mais bon… ce n’est que l’idée que je m’en fais, rien de plus.
Marrant, en faisant abstraction des moins de 18 ans qui sont sous-représentés, ce sondage nous fait une pyramide des âges de pays en voie de développement
@yen 134693 wrote:
Frere Singe, rebonsoir,
Peut etre ,avant de feuilleter ce livre, suis je partie en mémoire , sur la guerre du Vietnam. Premier cliché en couverture du livre: une petite fille au front légérement éclairé, en fond, un soldat casqué et armé.
Un silence d’ enfant ,plus pénétrant que le bruit des armes.
Les premieres photos ,photos, qui décrivent des combats , combats qui pourraient se dérouler dans n’ importe quelle partie du monde: des hommes qui souffrent , des hommes qui meurent , couchés dans la boue.
J’ ai cherché en vain , les combattants vietnamiens qui souffraient qui mouraient , le napalm , le Vietnam défiguré, broyé;
Et puis des photos » éblouissantes », rares, d’ enfants, de famille, p64 p115, p83,p68, p69. Je pense même que les photos p68,69 ne sont qu’ une même photo, mais quel réalisme , quelle intensité dans le regard de la Mére , et il est vrai que je suis restée en attente, mais peut etre que je n’ ai pas su mesurer , le » travail » d’ un correspondant de guerre, passant par le regard d’ un éditeur.
Il doit etre aussi tres difficile de faire un choix , concernant l ‘ illustration d’ un livre
ce livre me donne envie de connaitre Henri Huet , peut etre un jour aurons nous une version écrite par ses enfants Sandrine et Joêl ; car dans la derniere page,il est écrit: » Nous souhaitons que, où qu’ ils soient les enfants d’ Henri Huet ,Sandrine et Joêl,puissent, peut être grâce à ce livre, avoir envie de se manifester ».
Salut l’ Artiste !
Bonne soirée yenMerci pour vos impressions, que je comprends mieux maintenant. Comme quoi un même ouvrage peut produire des effets très différents. Je vous rejoins sur le choix des photos qui suscite aussi des interrogations chez moi. La plupart des photos de l’expo y étaient, et pourtant je n’avais pas le sentiment de rester sur ma faim, alors que dans le livre oui, comme vous peut-être. J’essaierai de voir si d’autres livres montres d’autres clichés de Huet, pour me faire une idée.
@yen 134689 wrote:
Par contre je suis assez déçu par la mise en page, avec la plupart des plus belles photos imprimées sur 2 pages.
Je conseille le bouquin à ceux qui s’intéressent à Huet.
Frere Singe, bonjour,
Mon impression rejoint un peu la votre. Les textes qui concernent Huet, mettent bien dans l’ ambiance, je crois que tout est dit.
Par contre , je suis restée sur ma faim , pour une grande partie des clichés, sensation indéfinissable.. je n’ ai pas pu me projeter de l’ autre côté du miroir.
Bonne journée yenBonjour Yen
Je ne sais pas si vous avez vu, mais j’ai édité mon message. Désolé de ne pas avoir pu le finir avant votre réponse.
Le texte, je ne l’ai pas encore lu, et j’en attends beaucoup, en espérant qu’il peut compenser en partie la déception de la PAO.
Pour ce qui est de votre sensation, ça m’intéresserait que vous en disiez davantage un peu plus tard si les mots vous viennent. Moi j’en suis surtout resté à la sensation que j’ai eu pendant l’expo, que le bouquin ne fait que ranimer (en moins pimenté, malheureusement).
L’expo m’a fait rêver de devenir grand reporter, le bouquin m’a fait rêver de virer quelques maquettistes…
Moi aussi je l’ai reçu, hier matin.
Je n’ai fait que le parcourir pour ne pas l’abimer. Il a l’air bien riche en commentaires, c’est une bonne chose. Par contre je suis déçu par la mise en page- La plupart des plus belles photos sont imprimées sur 2 pages. C’est absurde car le pli empêche d’observer correctement la photo. Ca m’énerve! Les imprimer sur une seule page aurait été bien plus judicieux, quitte à réduire le nombre de page, et agrandir légèrement le format. Par exemple, voir l’atterrissage de l’hélico page 127 coupé en deux, c’est un massacre. Quel dommage!
- Pas mal de photos ne sont pas très nettes, certaines sont carrément floues, alors que quasiment toutes celles que j’ai vu à l’expo étaient parfaitement nettes.
Exemples : page 32, 44, 47, 61, 70, 92, 106, 153 et j’en passe!
On voit que c’est un problème de traitement et non pas à cause de la photo originale, car sur les photos floues le grain est invisible, et en plus le même flou concerne tous les niveaux de profondeur de champ. C’est très visible, parfois même sur des photos en double page! (ex : page 120). Sur d’autres photos, même quand elles dont floues, la définitions est excellente et le grain très apparent, preuve que masquer le grain n’était pas le but de l’imprimeur (ça aurait été absurde de toute façon)
Exemples : page 42, 166, 181 - Certaines photos souffrent d’une exagération des contrastes, faisant apparaitre des contours noirs et blancs autour des silhouettes. Encore une fois ça vient d’un TRES mauvais traitement en post-prod car ce phénomène est impossible sur un film argentique.
Exemples : page 68, 107, 111, 152, 153, 171 - D’autres photos sont carrément pixellisées, résultat d’un vulgaire zoom sur une image de trop faible définition.
Exemples : page 69, 101,
Summum du ridicule à la page 79, une impression pleine page d’une ancienne couverture du LIFE, à partir d’une vulgaire vignette en JPEG ultra-compressée, probablement trouvée sur Google, d’une définition misérable. La honte!
Edition à la noix! Pour un bouquin censé coûter 45 euros, un tel amateurisme est inadmissible. Et quand en plus on considère qu’un bouquin sur un photographe reporter s’adresse notamment aux photographes (amateurs et pros), c’est du grand foutage de gueule.
Heureusement il y a quand-même quelques clichés très bien imprimés (à vue de nez, je dirais environ 1/5 seulement) qui à eux-seuls valent le détour. Pour 15 euros, ça va, mais certainement pas 45 euros!
Je conseille le bouquin à ceux qui s’intéressent à Huet, je le déconseille à ceux qui aiment la photo.
EDIT : désolé, mon PC a planté au moment où je rééditais mon message, si bien que j’ai du le réécrire en partie.
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