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brimaz

Toutes mes réponses sur les forums

15 sujets de 91 à 105 (sur un total de 576)
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    Messages
  • en réponse à : Les anniversaires des membres #120351

    joyeux anniversaire chère Kim Sang ! bises !

    :BonAnnif01::BonAnnif01::drinks::friends:

    en réponse à : Village Muong #120302

    Merci Buuhoa pour les photos. Miss LOLO est magnifique !

    bonne journée:friends:

    en réponse à : bonne et mauvaise nouvel #120293
    carlos phan;113798 wrote:
    eiqwxl_th.jpgv la seul photot de ma petite fille desoler pas terible on j’ attend de la voir bisous a tous carlosphan

    Elle est mignonne ta petite fille carlosphan, ne te fais pas de soucis.:give_heart2:
    Bon voyage et bisous à toute ta famille.:bye:

    en réponse à : bonne et mauvaise nouvel #120145

    Félicitations carlosphan, comment s’appelle votre fille ?
    Tous mes voeux de prompt rétablissement pour ta femme.
    De tout coeur avec vous:friends:

    en réponse à : Mon voyage au Vietnam acte 3 #119995

    Je te souhaite un très bon séjour au Vietnam Noel Dông.:Vietnam:
    Donne-nous de tes nouvelles quand tu pourras, cela nous fera très plaisir.:bye:

    en réponse à : Manif à Belleville contre l’insécurité #119881
    nono32;113332 wrote:
    Article interessant sur la communaute chinoise en France.
    «Chinois de France» ne veut rien dire | slate

    Des milliers de Chinois ont manifesté à Belleville dimanche 20 juin pour réclamer leur «droit à la sécurité» alors qu’ils disent être victimes d’agressions et de vols violents perpétrés, selon eux, par des groupes de jeunes vivant à Belleville ou dans d’autres quartiers de l’est parisien. Ils étaient 8.500, près de 20.000 selon les organisateurs. Du jamais vu pour cette communauté d’ordinaire discrète. Un tel rassemblement a pu donner l’impression d’une communauté homogène et soudée. Il n’en est rien. Le simple fait de parler des «Chinois» ne veut pas dire grand-chose, tant il existe au sein de la communauté, formée de migrants venus à différentes époques et pour des raisons diverses, de différences, culturelles et autres.
    En France, comme dans la capitale, on distingue trois principales communautés chinoises: les Chaozhou (aussi appelés Teochiu), les Wenzhou et les Dongbei. Les Wenzhou, qui avaient appelé à la mobilisation de dimanche, formaient l’immense majorité du cortège parisien. Quelques centaines de Dongbei étaient présents, parmi lesquelles figuraient la plupart, voire la totalité, des prostituées chinoises de Belleville particulièrement victimes de ces violences. Presque aucun Chaozhou ne s’était joint à eux. Qui sont les Chinois de France, d’où viennent-ils et comment s’intègrent-ils?

    Combien sont les «Chinois de France»?

    La France est le pays d’Europe qui compte le plus de personnes originaires de Chine. On estime la communauté à 600.000 ou 700.000 personnes, d’après Pierre Picquart, spécialiste du monde chinois. Il faut s’en tenir à ces estimations, le recensement français ne tenant pas compte compte de l’origine ethnique.
    Les sources nationales françaises (OMI, OFPRA, ministère de l’Intérieur) permettent d’analyser les flux migratoires et de fournir une typologie des migrants chinois en fonction de leur catégorie administrative. Les chiffres obtenus sont toutefois très éloignés de la réalité: par exemple entre 1990 et 1999, l’OMI et l’OFPRA ont enregistré 43.481 Chinois entrés en France. Ils sont sans doute beaucoup plus.
    Ce décalage s’explique aussi bien par le nombre de sans-papiers que par toutes les personnes «d’origine chinoise» qui sont naturalisées ou nées en France.
    De plus, les migrants des années 1970, d’origine chinoise, mais provenant directement du Laos, du Cambodge ou du Vietnam obtenaient le statut de réfugié politique grâce aux passeports de ces pays en guerre. Ils n’ont donc jamais été officiellement considérés en France comme «Chinois». Les Frères Tang, à l’origine de la chaîne de supermarchés qui porte leur nom, en sont un très bon exemple. Originaires du Laos, ils ont acquis la nationalité française à leur arrivée en France, mais se considèrent bien comme des Chinois –Tang est un nom chinois.

    Où sont-ils?

    Plus de la moitié des Chinois de France vivraient dans la région francilienne (jusqu’à 60%). Les non-Franciliens habitent Marseille, Lille, Toulouse, Lyon, etc. Parmi les Franciliens, 40% vivraient à Paris intra-muros. De nombreuses mégalopoles ont leur «Chinatown» mais Paris compte plusieurs quartiers chinois. Le XIIIe arrondissement (Triangle de Choisy) est le plus connu, mais c’est aussi le moins chinois aujourd’hui (seuls 14% Chinois résident dans ce quartier selon une enquête). Arts et Métiers est le plus ancien encore existant (le premier, l’îlot Chalon, a été rasé), Belleville le plus chinois. Il y a aussi le Faubourg-Saint-Martin, la Chapelle, Crimée. La banlieue compte aussi une importante communauté chinoise, surtout dans le nord-est et l’est parisien: Pantin, Stains, Bobigny, Ivry, Villejuif, Kremlin-Bicêtre, Gennevilliers, etc…De nombreux Chinois du XIIIe ont quitté le quartier dans les années 1970-80 pour Marne-la Vallée où les incitations à l’achat étaient fortes à l’époque.

    Trois origines principales

    Sur cette large communauté de 600 à 700.000 personnes, «on pense qu’il y a 150.000 Chaozhou aujourd’hui, et plus de la moitié de Wenzhou, soit 350.000 au moins, explique Donation Schramm, spécialiste de la communauté chinoise en France. Il doit y avoir au moins 10 à 15.000 Dongbei, presque tous dans la région francilienne, plusieurs milliers d’étudiants de toute la Chine et plusieurs milliers de Chinois d’autres origines, regroupés en communautés de 2,3, 4 ou 5.000 personnes». Malgré leur nature hypothétique, ces chiffres rendent compte de l’ampleur de la communauté Wenzhou, la plus grande communauté chinoise de tous les pays d’Europe.

    Wenzhou: une immigration économique très soudée

    Les Wenzhou, principale communauté chinoise de France, sont nés en Chine. Ils tiennent leur nom de la région de Wenzhou au sud de la Chine, dont ils sont originaires. Celle-ci comptant Qingtian et Wenzhou, «petit» port de 8 millions d’habitants, à 400 km en dessous de Shanghai, on peut également les appeler Wenzhou-Qingtian.
    Les Wenzhou sont arrivés en France les premiers, il y a plus d’un siècle. Le premier émigré chinois dont on connaît l’histoire est arrivé en 1888 de Qingtian. C’était un colporteur qui vendait de la pierre stéatite, répondant ainsi au goût français pour les «chinoiseries» comme quelques centaines d’autres colporteurs après lui. L’immigration s’intensifie lors de la Première Guerre mondiale, pendant laquelle l’armée française recruta plus de 100.000 travailleurs chinois afin de participer à la Grande Guerre. Au lendemain du conflit, environ 3.000 d’entre eux –pour la plupart originaires de Wenzhou– choisirent de rester à Paris, et s’installèrent dans un quartier de la gare de Lyon, l’îlot Chalon, qui fut pendant 50 ans le premier quartier chinois de Paris, avant d’être rasé dans les années 1970. Ils se sont ensuite installés dans le quartier des Arts et Métiers (rue du Temple, rue du Maire) où ils se sont spécialisés dans la maroquinerie et la confection, puis à Belleville, où ils représentent 85%, voire 90% de la communauté chinoise.
    La communauté Wenzhou est très soudée par une véritable chaîne migratoire ancienne, organisée, et constamment renouvellée, les «nouveaux» rejoignant des familles ou des proches souvent mariés avec des enfants et déjà «établis» économiquement en France. Ils viennent d’une région très pauvre, rurale, ont un niveau d’études assez bas: c’est pour gagner de l’argent et offrir un avenir à leurs enfants qu’ils sont venus en France. Un objectif atteint pour une grande majorité d’entre eux grâce à ce réseau familial et cette solidarité particulièrement forte. Suffisamment nombreux pour vivre en cercle fermé, ils ont évolué avec succès dans le cadre d’une économie «ethnique». Si le secteur d’activité de la première génération tourne autour du commerce, des services, de l’artisanat, de la confection, restauration, maroquinerie) leurs enfants travaillent aujourd’hui dans tous les secteurs d’activités français.

    Chaozhou: réfugiés politiques des années 1970

    Les Chaozhou –du nom d’une ville côtière du Sud-Est de la Chine– connus aussi sous le nom de Teochiu ou Teochew, sont des Chinois de la diaspora. Ils ont quitté leur pays d’origine il y a plus de quatre siècles pour s’établir dans toute l’Asie du Sud-Est. Notamment dans trois pays de l’ex-Indochine (Vietnam, Laos, Cambodge). Dans les années 1970, ils se réfugient en France et obtiennent le statut de réfugiés et souvent la nationalité française. Les premiers Chaozhou arrivent en France en 1970, les derniers en 1985-1987. Certains d’entre eux sont des «boat people», même si aucun Chinois ne s’appellera ainsi. Notamment parce que cela les renvoie à une histoire très dure, que souvent «les parents n’ont jamais évoqué à leurs enfants».
    Avant d’immigrer en France, les Chaozhou étaient urbains, lettrés, d’un certain niveau social et culturel, et comme habitants des colonies françaises, souvent francophones et plutôt francisés. Leur intégration en France est alors très rapide. Leurs diplômes n’étant pas reconnus, ils se tournent vers le commerce, notamment dans le [URL= »http://ce%20d%c3%a9calage%20s%e2%80%99explique%20aussi%20bien%20par%20le%20nombre%20de%20sans-papiers%20que%20par%20tous%20ceux%20qui%20sont%20naturalis%c3%a9s%20fran%c3%a7ais,%20car%20de%202e,%203e%20ou%204e%20g%c3%a9n%c3%a9ration./ »]triangle de Choisy[/URL] formé par l’avenue de Choisy, l’avenue d’Ivry et le boulevard Masséna.
    C’est au moment de l’installation des Chaozhou dans le XIIIe arrondissement que les Parisiens prennent vraiment conscience de leur présence. Comme le XIIIe devient peu à peu trop petit pour les accueillir, ils s’installent progressivement à Belleville à partir de la fin des années 1970. Aujourd’hui, si leur présence reste visible dans le XIIIe arrondissement à cause des commerces, peu de Chaozhou y habitent encore. Ils ont également quitté Belleville. Beaucoup résident en banlieue, notamment à Marne-la-Vallée. Très intégrés à la société française, ils travaillent dans tous les secteurs de la société. Leurs habitudes culturelles, alimentaires sont très distinctes des autres communautés, leur attachement à la France et aux lois plus fort.

    Dongbei: une immigration isolée et précaire

    Depuis un peu plus d’une dizaine d’année, la France voit arriver une nouvelle population d’immigrés en provenance de plusieurs provinces du nord et nord-est de la Chine, collectivement appelés Dongbei. C’est par origine géographique que l’on rassemble les Dongbei, il ne s’agit pas d’une communauté au sens propre du terme. Il n’existe aucune solidarité spécifique entre eux.
    Contrairement à leurs compatriotes Wenzhou, les Dongbei sont urbains, mieux éduqués, en majorité des femmes (70%), d’âge mûr (la quarantaine), anciens petits cadres appartenant à une classe moyenne en Chine. Face aux Wenzhou dont le niveau moyen de scolarité tourne autour du primaire ou secondaire, beaucoup de Dongbei affichent un niveau d’études supérieur à la moyenne nationale avec des diplômes de lycée ou d’université. Dans les années 1990, les grandes entreprises d’état (textile, sidérurgie, métallurgie…) ont fermé ou licencié massivement.
    Provenant de régions sans tradition migratoire vers l’Europe, les Dongbei, migrants pionniers, sont venus «à l’aventure» sans connaître quiconque en France. Inspirés par la réussite des Wenzhou, aspirant à une meilleure réussite car urbains et plus lettrés, ils se retrouvent en position de faiblesse face à la solide chaîne migratoire des Wenzhou. Une grande majorité vit dans la précarité. Ce n’est que très récemment que certains Dongbei ont pu ouvrir des magasins.
    Ces femmes isolées, souvent divorcées en Chine, ont quitté leur pays et tout laissé derrière elles, parfois y compris leur enfant. Sont alors véhiculés tous les clichés courants de mauvaise vie et de petite moralité des femmes seules ou divorcées. Une grande majorité des prostitués chinoises sont des Dongbei. Les Wenzhou jugent d’un très mauvais œil leurs compatriotes.

    Différents… et divisés

    Les différences culturelles ont créé une vraie rupture entre les communautés, chacune ayant son propre dialecte, sa propre histoire. Il n’existe pas entre elles de réelle solidarité; les Chaozhou, Wenzhou et Dongbei se mélangent peu. Les mariages «mixtes» demeurent l’exception, infirmant totalement l’idée d’une communauté chinoise homogène et soudée.
    Les Chaozhou, surtout, vivent coupés des Chinois de Chine, qu’ils méprisent, les considérant parfois comme des «campagnards». En témoigne par exemple l’existence à Belleville de deux associations de commercants, l’une pour les Chaozhou, et l’autre pour les Chinois de Chine. L’absence des premiers à la manifestation organisée par les seconds le montre aussi.
    Cet isolement des Chaozhou s’explique également par leur intégration à la société française, en décalage avec celle plus lente des Wenzhou et Dongbei, qui ne parlaient pas français quand ils sont arrivés il y a 10, 20, 30 ans. La première génération ne le parle pas beaucoup plus aujourd’hui. La France, qui était un refuge choisi et définitif pour les Chaozhou est une destination plus provisoire pour les Wenzhou et Dongbei qui arrivent aujourd’hui, tout franchissement de la frontière vers un pays voisin étant envisageable.
    Cela dit, si l’appartenance communautaire des nouvelles générations reste fort, leurs modes de vie et les secteurs d’activité ont bien sûr beaucoup évolué, les enfants Wenzhou et Dongbei nés en France –qui portent des prénoms français– servant d’intermédiaires à leur aînés grâce au français qu’ils apprennent à l’école, et s’intégrant plus tard dans des quartiers et des secteurs économiques «hors de la communauté».

    Annabelle Laurent

    Merci Nono pour cet article très instructif et qui nous éclaire un peu sur « les chinois de Belleville ». Je rajoute ci-dessous une précision qui se trouve sous la signature d’Annabelle Laurent et qui a son importance à mon avis :

    « L’explication remercie Donatien Schramm, Président de l’Association Chinois de France-Français de Chine et spécialiste de la communauté chinoise de Belleville, et Pierre Picquart, docteur en géopolitique auteur d’une thèse sur les Chinois de Paris. »
    :bye:

    en réponse à : bon voyage van #119769

    Bon voyage vanvanvan, passe de belles vacances au pays :Vietnam:et embrasse Kimsang de ma part si tu la vois.:bye:

    en réponse à : Bonjour à tous ! ^^ #119768

    :welco:poussedebambou et bravo pour ta belle présentation.
    Bonne chance pour l’étude du vietnamien:Vietnam:

    Au plaisir de te lire:bye:

    en réponse à : Les vidéos que j’aime…. #119550
    pierrehuyen;112918 wrote:
    Bonjour TLM,:jap:

    Ce matin :

    [youtube]EO_N6b03E_U&feature[/youtube]

    Pierre.:bye:

    C’est très beau, merci Pierre
    bonne journée :bye:

    en réponse à : [Viet Kieu] Boat people,la vague du retour. #119481
    ngjm95;112870 wrote:
    Bonjour TLM,

    Cela n’a pas été simple mais j’ai réussi à poster l’article de Florence Beaugé sur le retour au Vietnam des Boat People paru dans le Monde du 30 juin 2010. Je vous souhaite bonne lecture.

    Yfrog Image : yfrog.com/1nboatpeopleleretour1j

    Yfrog Image : yfrog.com/joimg003foj

    PS : Pour agrandir le texte ,cliquez sur la loupe en bas à droite de l’image.

    [IMG]http://yfrog.com/1nboatpeopleleretour1j[/IMG][IMG]http://yfrog.com/1nboatpeopleleretour1j[/IMG][IMG]http://yfrog.com/1nboatpeopleleretour1j[/IMG][IMG]http://yfrog.com/1nboatpeopleleretour1j[/IMG]

    Merci ngjm95 pour cet article que j’attendais.
    Au Vietnam, l’image des viet kieu a donc bien changé depuis 1995 et l’on ne peut que s’en réjouir.

    Les quelques témoignages de réussite professionnelle font plaisir à lire.:Vietnam:

    en réponse à : La naissance de Dalat #119470

    Merci Dông Phong, l’article doit être intéressant mais je ne peux y accéder par le lien que vous donnez.
    Je vais essayer de nouveau plus tard
    Bon dimanche:bye:

    en réponse à : Recueil en bilingue de poèmes de Xuân Quỳnh #119469
    Dông Phong;112854 wrote:
    Bonjour Thuong19,
    Merci pour l’info !
    Mais tu es bien discret sur les traducteurs, nos amis Nguyễn Minh Phương et Đặng Trần Thường, que nous connaissons tous ici sous leurs pseudos ! :friends:
    En tout cas, bravo à eux !
    Bien amicalement.
    Dông Phong

    :sorclo: Dông Phong, on les connait : Bravo à eux ! en attendant le plaisir de lire les poèmes de Xuân Quynh grâce à leurs traductions.:bye:

    en réponse à : Le Ba Dang artiste vietnamien #119429
    Ti Ngoc;112804 wrote:

    @Brimaz
    ,
    Je pense que tu veux parler de Anh Truc pour les portraits des femmes des ethnies

    C’est çà, ANH TRUC et ses beaux portraits ! Merci Ti Ngoc

    en réponse à : Le Ba Dang artiste vietnamien #119424

    Le Ba Dang :une histoire très dure, des œuvres magnifiques, un visage juvénile !

    Merci DD, Ti Ngoc et Dông Phong, j’aime vraiment ce genre de peinture.:give_heart2:

    PS : Il y a eu un autre peintre sur FV, il a peint des femmes vietnamiennes de différentes ethnies, qui peut me rappeler son pseudo svp ?

    en réponse à : 11ème congrès du PC vietnamien #119289

    Article instructif Bao nhân, quoique assez négatif dans l’ensemble, à mon avis.

    Je ne suis pas ex-boat people puisque j’ai quitté le pays en 1955, mais lors de mon retour au Vietnam en Avril 2010, je ne me suis jamais sentie étrangère ; différente oui certes, et c’est bien normal.
    J’ai eu des contacts très chaleureux, que ce soit en anglais, en français ou dans mon vietnamien « assimil. »
    Il est vrai que je ne suis pas femme d’affaire et que je n’avais pas de Samsonnite !:maiscnulca:

    Pauvre monsieur Pham ! Je lui souhaite sincèrement un bon accueil et de meilleurs expériences lors de ses prochains retours au Vietnam.:friends:

    Pour relativiser les choses, il serait intéressant d’ avoir d’autres témoignages de Viet Kieu concernant leur retour au pays.
    Et nous en saurons plus dimanche par ngjm95…:bye:

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