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Lorsque les nems craquent à la cuisson c’est qu’il restait de l’air principalement entre la farce et la galette : le nem doit être roulé serré, la galette doit être bien tendu sur la farce et donc pas être fripée. Le nem doit être bien fermé de partout. Une autre astuce, commencez par frire le côté fermeture du rouleau pour souder celle-ci.
J’utilise les galettes triangulaires (1/4 d’une grande galette) et ce n’est pas plus compliqué qu’avec les autres et ça permet d’avoir des rouleaux avec un minimum de galette autour de la farce. Pour rouler, mettez la base arrondie vers vous, disposez la poignée de farce à environ 2 cm de la base, rabattez alternativement les pointes des côtés, puis commencez à rouler par la base. Pour bien réussir, il ne faut pas mettre trop de farce, exercer une légère traction en sens inverse du roulage et veiller à ne pas laisser d’espace entre la galette et la farce (notamment sur les côtés au début de l’opération).
Pour la friture, on peut aussi la surchargé même à la poêle (j’utilise aussi la poêle)! Quand la température est bonne, lorsque l’on met un nem dans la friture, une myriade de petites bulles doit apparaître autour du rouleau. Si ce n’est pas le cas, la température de l’huile est trop basse.
:bye:Pour éviter le problème de nem mou, il faut lors de la fabrication « essorer » délicatement chaque portion de farce avant de la rouler pour supprimer l’excédent d’humidité.
De plus, comme il a était déjà dit, la température de l’huile de friture est importante : elle doit être suffisamment chaude et si on met trop de nems à la fois, la température descend en dessous de celle nécessaire.
Bien sur, il faut les laissé cuire suffisamment : les nems doivent être bien dorés mais pas brun. Il faut faire cuire les nems juste après de les avoir tous roulés pour éviter que les galettes de riz ne sèchent.
Pour éviter l’éclatement des nems, il ne faut pas laisser d’air dans les rouleaux. On doit serrer la farce (« essorer »), rouler serré au maximum sans les percer et ils doivent être bien fermés.Bonne friture ! :bye:Mille merci Anh Truc,Merci pour la recette et sa traduction.
Elle est simple, ce qui est une qualité, mais surtout, elle est bien faite car il est facile de faire de petite ou de grande quantité.
Par contre, je me demande si la « baking power » ne correspond pas plutôt à la levure de boulanger plutôt qu’à de la levure Alsa ?!
D’après mon expérience culinaire, la levure Alsa (levure chimique) ne nécessite pas de temps de levage, contrairement à la levure de boulanger…Bonne cuisine à tousP.S. : Est-ce que la farine de tapioca = la farine de manioc ???Oh rage, oh désespoir !Je ne sais ni lire, ni écrire et encore moins parler le vietnamien !
Il ne reste plus qu’à savourer le souvenir de cette douceur, en attendant un généreux traducteur…Mais merci Anh Truc pour l’info.
Merci pour vos réponsesMerci Alexandre pour ta recette, j’adore cuisiner comme ça moi aussi. Dès que je mets la main sur une chayotte, j’essais ta recette.
Merci ngjm95 pour ta réponse. J’avais aussi repéré cet article et je l’avais lu avec une grande attention avant d’écrire. Malheureusement,il ne répondait pas à mes questions.
En attendant, j’ai fouiné sur le net. Il en ressort que :
-On ne mange pas la peau des chouchous. Mais on peut manger l’amande (noyau).
-Mais il semble que l’on peut manger le reste de la plante (racine,feuille,…)
-On peut manger les chouchous crus râpés
-Pour l’épluchage,
soit on coupe les chouchous en deux, on les cuit à l’eau et on recupère la chair comme celle d’un avocat,
soit on les épluche crus. Je supose qu’il faut faire comme avec les autres cucurbitacés (le chouchou en est un !): un couteau, des biscotos et attention les doigts!
Si vous avez d’autres recettes de chouchou à partager, elles sont les bien venues.Bambidouille :bye:J’ai deux bons petits bouquins avec photos :
La cuisine vietnamienne de Paulette Do Van aux éditions KÖNEMANN
Il est très bien fait, mais, malheureusement, il n’est plus diponible. Si vous le trouvez d’occassion, c’est une bonne affaire.
La cuisine chinoise et vietnamienne de Marie-France Chauvirey aux éditions SUD OUEST
Il est toujours diponible. La recette du bouillon du Pho est déliceuse.
Les recettes vietnamiennes occuppent la première moitié du livre. Les recettes sont bien faites et utilisent un maximum d’ingrédients faciles à trouver. Petit bémol, il n’y a pas de recettes de dessert.
Les deux livres font un peu moins de 130 pages.Bonne lecture,:bye:Bambidouille -
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