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apw

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15 sujets de 31 à 45 (sur un total de 199)
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    Messages
  • en réponse à : La bataille de Diên Biên Phu (13 mars – 7 mai 1954) #35431
    apw

      Les Français bien accueillis dans le  » Diên Biên  » d’aujourd’hui Diên Bien Phu

      Marcher dans les rues d’une ville nommée Diên Biên Phu procure de bien étranges sensations. Pour des millions de gens, de par le monde, ce nom évoque l’une des grandes batailles du siècle passé, tant par son ampleur que par sa signification. Ici, Diên Biên apparaît comme une ville normale. Là où Français et Vietnamiens se sont si durement affrontés il y a un demi-siècle, la vie a repris tous ses droits. À l’image de tout le Vietnam, une activité intense y règne.
      On accède désormais à la ville par la route ou par avion. Une fois, au moins, dans sa vie, il faut prendre l’autocar Hanoi-Diên Biên Phu. Le voyage dure un peu moins d’une journée. Mais que de souvenirs ! Les paysages changent sans cesse, de la plaine à la moyenne, puis la haute région. Une occasion, également, de voir le Vietnam des campagnes qui, lui aussi, change. Des maisons neuves fleurissent tout le long de la route. On aura inévitablement une pensée pour les coolies qui, en 1954, empruntaient le même chemin, sous les bombes françaises, portant des centaines de kilos de vivres et de munitions pour les combattants. Un conseil : lorsque vous arrivez dans les faubourgs de la ville, oubliez les photos des journaux de 1954, oubliez les actualités d’époque. Mais ouvrez tout grands vos yeux pour admirer les paysagers environnants (les célèbres collines qui entourent la cuvette), pour observer la population, si diversifiée (21 ethnies différentes, dont les Tay, ethnie majoritaire dans la région, et les Kinh, originellement habitants des plaines). La vie grouille, ici. Diên Biên Phu a désormais acquis le rang de capitale régionale, forte de 440 000 habitants. Comme dans les autres villes du pays, les motocyclettes pétaradantes sillonnent les rues, les marchands proposent leurs étals. On peut y déguster, assis sur un petit banc, à même le trottoir, les délicieuses soupes vietnamiennes.
      Mais, évidemment, en cette année anniversaire, Diên Biên Phu a un visage particulier. Des milliers de Vietnamiens, depuis des mois déjà, viennent ici en pèlerinage. Il n’est pas rare de rencontrer un vétéran de la bataille, la poitrine couverte de médailles. D’autres, beaucoup d’autres, plus jeunes, viennent ici en souvenir d’un père ou d’un grand-père. La visite du cimetière vietnamien est évidemment un moment d’émotion. C’est là, au centre de ces milliers de tombes, que l’on comprend, ou que l’on essaie de comprendre, ce que fut la bataille. Un véritable carnage.
      Les morts français ne sont d’ailleurs pas oubliés. Un monument, à cent mètres de l’ex-PC du général de Castries, rappelle que les souffrances et les malheurs ont été partagés. De nombreux Français, dont des anciens combattants, viennent régulièrement s’y recueillir.
      Car là est le paradoxe. Les touristes étrangers les plus nombreux, en ce cinquantenaire, sont, de loin, les Français. Et ils sont fort bien accueillis. Les anciens combattants vietnamiens ont souvent un mot gentil lorsqu’ils apprennent qu’ils ont affaire à un  » Phap  » (Français). Cette génération était solidement anticolonialiste, mais francophile ! Partout, on entend les mêmes mots :  » Nous nous sommes déchirés durant la guerre, mais notre ennemi n’a jamais été le peuple français. Après cinquante ans, il faut oublier les déchirures du passé.  » Si les cérémonies officielles exaltent, c’est bien normal, l’héroïsme des soldats vietnamiens, il n’y a jamais la moindre trace de mépris ou de dérision à l’égard des combattants français.
      Les habitants veulent faire de leur province, de leur ville, une région prospère, en utilisant toutes les richesses. Le tourisme est le principal atout. En 2004, un élan sans précédent est donné. L’an prochain, l’office de tourisme table sur 50 000 visiteurs étrangers. Hôtels et maisons d’hôtes, modestes, mais corrects, sont prêts. On peut même facilement, depuis quelque temps, loger chez l’habitant, comme partout au Vietnam. Une formule conviviale et bon marché, qui a grand succès auprès des étrangers.
      Si, comme on vous le souhaite, vous visitez un jour le Vietnam, mettez d’office Diên Biên Phu sur la liste des destinations obligées. Vous ne le regretterez pas.

      Un écrit de Dominique Gonzalez

      Noël:icon40:

      en réponse à : General Vo Nguyen Giap #35384
      apw

        Deux points intéressants sur cet extraordinaire personnage qu’est le Général Vo Nguyen Giap:

        1/ Bien qu’il ne soit jamais venu à Paris faute d’y avoir été invité par les autorités françaises, Giap maîtrise parfaitement notre langue et peut vous citer abondamment de larges extraits d’Anatole France, Romain Rolland, ou Voltaire.:jap:

        2/ À Hanoi, dans sa villa entourée d’arbres, à proximité de la place Ba Dinh et de la citadelle, villa modestement meublée et sans climatisation, Giap, qui n’occupe plus de fonctions officielles depuis quinze ans, continue de recevoir des délégations venues de tout le pays. Très populaire, il est respecté et écouté. Fidèle compagnon de Hô Chi Minh, il le cite en permanence comme pour mieux faire passer ses messages politiques.
        Il dit :  » Sans la population tu ne peux rien faire, avec elle tout est possible.  » :bigsmile:

        Chào :icon40:

        Noël

        en réponse à : General Vo Nguyen Giap #35335
        apw
          abgech;24884 wrote:
          Il vit toujours. J’ai lu, il y a quelques jours, sur un site internet dont, malheureusement, je ne me souviens plus de l’adresse, le récit de l’entretien d’un journaliste avec le général Vo Nguyên Giap. Il a effectivement 95 ans, quoique diminué physiquement, il a toute sa lucidité et vivacité d’esprit.

          Cam on Abjgech :bigsmile:

          Je m’empresse d’en savoir plus sur cet extraodinaire personnage et ne manquerai pas de vous tenir informé si j’obtiens des nouveautés

          Chào :icon40:

          Noel

          en réponse à : General Vo Nguyen Giap #35040
          apw

            En cherchant un peu sur internet, j’ai trouvé les infos que je cherchai! :bigsmile:

            Je pense donc ne pas mettre trompé en voulant réaliser une oeuvre sur cet homme et mettre aussi en avant les femmes combattantes!

            Au plus simple et au plus court, le général Vo Nguyên Giap est entré dans l’histoire militaire et les études militaires et stratégiques de politologie de son vivant, admirés par ses amis et ennemis loyaux, dont le général français Raoul Salan et le général états-unien William Westmoreland. Même après la capitulation inconditionnelle de la garnison française de Ðiện Biên Phủ en mai 1954, les Français ont refusé longtemps de conférer le titre de « général » à Võ Nguyên Giáp, ce dernier n’ayant fait aucune académie militaire et encore moins l’École Militaire de Paris. Il a appris à faire la guerre en la faisant. Grand intellectuel, il a bloqué l’opération « Xénophon » de secours pour Ðiện Biên Phủ, sachant que Xénophon fut le général qui a commandé la « Retraite des Cinq Cents » de l’armée d’Alexandre après la tournée en Inde et Perse.

            Biographie

            190px-Tuonggiapvabathai.jpg magnify-clip.png
            Võ Nguyên Giáp et sa femme Dang Thị Quang Thái

            Né en 1911 à An Xá, dans la province du Quảng Bình, Võ Nguyên Giáp est un fils de mandarin. Dès l’âge de 14 ans, il commence à militer contre la présence française. Il reçoit l’éducation du lycée français et participe au mouvement communiste dès les années 1930. Il poursuit des études d’histoire, de droit et d’économie à Huế, puis à Hanoï. Dans cette ville, le poète réunionnais Raphaël Barquisseau est son professeur. En 1937, Giáp devient lui-même professeur d’histoire à l’école Thang-Long à Hanoï et adhère au parti communiste en 1939.
            L’année suivante, celui-ci fut déclaré illégal. Il s’enfuit en Chine, où il devient le protégé de Hồ Chí Minh, qui fera de lui un solide aide militaire. En 1944, il fonde l’Armée Populaire Vietnamienne (APV). Après le coup de force des Japonais du 9 mars 1945, il profite de la disparition de l’administration française pour intensifier le recrutement de membres du Viêt-minh.http://www.country-data.com/frd/cs/vietnam/vn05_02a.jpg
            Võ Nguyên Giáp devient ministre, chargé des forces de sécurité, du premier gouvernement Hồ Chí Minh, et à ce titre organise des « purges ». En 1946, il est nommé ministre de la Défense nationale de la république démocratique du Viêt Nam. C’est lui qui dirige les actions militaires contre les Français. Il est notamment le vainqueur de la bataille de Ðiện Biên Phủ (mai 1954), qui provoquera le départ français et qui lui vaudra une reconnaissance et une grande estime de son peuple et de son armée.
            En 1960, la guerre du Viêt Nam éclate contre les Vietnamiens et les États-Unis. Fin stratège, Giáp joue un rôle déterminant dans les luttes d’indépendance du Viêt Nam. Il dirige les opérations de guérilla nord-Vietnamiennes et force les Américains à quitter le Sud du pays. Il obtient la victoire lors de chute de Saïgon notamment grâce à la « campagne Hồ Chí Minh » de 1975 durant laquelle Giáp lance ses célèbres mots d’ordre aux soldats communistes : « rapidité, audace et victoire sûre ».
            En 1975, il participe à la réunification du Viêt Nam. Il démissionne du poste de ministre de la Défense en 1980. En 1982, il est exclu du bureau politique du parti communiste vietnamien (PCV), officiellement pour des raisons d’âge et de santé, mais on parle de divergences avec les deux hommes forts du Viêt Nam, le secrétaire général du PCV Lê Duẩn et le chef de la commission d’organisation du PCV, Lê Đức Thọ. Cependant, il reste vice-premier ministre jusqu’en 1991 et il est réhabilité lors du 6e congrès du PCV en 1986. Võ Nguyên Giáp vit aujourd’hui retiré à Hanoï, mais s’exprime régulièrement sur l’évolution politique de son pays.

            L’homme et son œuvre

            190px-Giap-Ho.jpg magnify-clip.png
            Giáp et Hồ Chí Minh

            Né en 1912 à An Xá (province de Quảng Bình), fils d’un mandarin de 2e classe francophobe, Võ Nguyên Giáp fait de solides études d’histoire, de droit et d’économie politique à Huế, puis à Hanoï. Entre-temps, arrêté en 1930 pour activités subversives, il est condamné à trois ans de prison mais libéré sur parole peu après. Il devient professeur d’histoire à l’école Thang-Long à Hanoï en 1937. En 1939, membre du parti communiste indochinois, il fuit en Chine à la déclaration de guerre qui voit l’interdiction du parti lié à l’Union Soviétique, elle-même alliée des nazis dans le pacte germano-soviétique. Marxiste convaincu, il porte une véritable haine au capitalisme qu’il rend en particulier responsable du décès de sa première épouse morte en prison en 1941 et sa belle-sœur guillotinée à Saïgon par l’Administration Coloniale française. Il prend part au Congrès de Tsin-Ti qui voit la création du Việt Minh, puis est chargé par Hồ Chí Minh de l’organisation de la guérilla contre les Japonais en Indochine. Après le coup de force des Japonais du 9 mars 1945, il profite de la disparition de l’administration française pour intensifier le recrutement de membres du Việt Minh (Ligue pour l’Indépendance du Viêt Nam).
            Nommé membre du comité de libération, il est ministre, chargé des forces de sécurité, du premier gouvernement Hồ Chí Minh. À ce titre il pratique des purges sanglantes dans les rangs nationalistes non communistes. Commissaire aux armées en mai 1946, Ministre aux armées, puis ministre de la Défense Nationale de la République Démocratique du Viêt Nam en novembre 1946, il est très vraisemblablement directement responsable du déclenchement du coup de force sanglant du 19 décembre 1946 sur Hanoï, sur le Tonkin et sur l’Annam qui se traduit par un échec.
            Par la suite, il dirige les actions militaires contre les Français pendant la Première Guerre d’Indochine. Il en est finalement vainqueur en mai 1954 à la Bataille de Ðiện Biên Phủ.
            Ministre de la Défense de la République Démocratique du Viêt Nam, il mène, en tant que Commandant en chef, la Deuxième Guerre d’Indochine ou Guerre du Viêt Nam contre les États-unis et leurs alliés de l’O.T.A.S.E (Organisation du Traité de l’Asie du Sud Est), jusqu’à la victoire finale de 1975 qui voit la réunification du Viêt Nam.
            Il démissionne du poste de ministre de la Défense en 1980, est exclu du bureau politique du parti communiste en 1982 tout en restant Vice-premier Ministre jusqu’en 1991. Il est l’auteur de  » Guerre du peuple – Armée du peuple  » publié en 1967 chez François Maspero.
            Le 8 mars 1946, le général Raoul Salan, commandant des forces françaises de l’Indochine du Nord, reçoit à sa demande, à Hanoï, Võ Nguyên Giáp qu’il ne connaît pas directement. Il vient discuter des conditions d’application, sous l’aspect militaire, de la convention franco-vietnamienne signée le 6 mars précédent. Ces discussions conduisent, le 3 avril, à la signature d’un accord entre Raoul Salan et Võ Nguyên Giáp. Raoul Salan revoit Võ Nguyên Giáp le 7 avril 1946 au matin, quand celui-ci vient à son domicile offrir un petit paravent laqué pour son épouse (leur fille Dominique est née trois semaines plus tôt), et, le soir, lors d’un dîner avec Hồ Chí Minh, dîner au cours duquel les différends relatifs à l’application des Accords de mars apparaissent au grand jour. Derrière les actes sanglants du chef de guerre, il y avait l’homme courtois et délicat.
            Au cours de la conférence préparatoire de Đà Lạt, du 17 avril au 11 mai 1946, Raoul Salan, chef de la mission militaire Française, a pour principal interlocuteur Võ Nguyên Giáp avec lequel il noue des relations personnelles au cours des soirées suivant les séances officielles. Giáp aurait été alors jusqu’à offrir à Raoul Salan le commandement des troupes de la République Démocratique du Viêt Nam. Beaucoup plus tard, le général US William Westmoreland lui a rendu hommage en un livre qu’il a écrit avec pour titre simplement « Võ Nguyên Giáp ».
            Il le revoit à Hanoï le 16 mai suivant, lors d’un dîner informel, avant d’accompagner Hồ Chí Minh par la voie des airs à la conférence de Fontainebleau avec Phạm Văn Đồng, le diplomate, resté à Paris en réserve.
            Quand Raoul Salan revient en Indochine le 19 mai 1947, la guerre est là et son adversaire implacable sera Võ Nguyên Giáp jusqu’au 28 mai 1953, date de son retour en métropole. En juillet 1984, au Val de Grâce, un diplomate vietnamien vient saluer la dépouille mortelle du général Salan au nom du général Võ Nguyên Giáp qui le tenait en grande estime, en adversaires loyaux.

            Concernant les femmes combattantes, j’ai aussi trouvé ce que je cherchai et cela m’a bouleversé. Imaginez les souffrances quelles ont endurées et endurent encore. Une génération sacrifiée pour la nouvelle:

            [FONT=Arial, Helvetica, sans-serif] fraternité : Une coopérative des anciennes jeunes volontaires [/FONT] [FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]

            Pendant la guerre, elles ont combattu côte à côte. Aujourd’hui, elles travaillent coude à coude. C’est ce que vivent ces 111 anciennes volontaires de Ninh Binh (Nord), qui n’ont pas oublié la camaraderie de cette époque.
            La province de Ninh Binh a actuellement 111 femmes « extraordinaires » : 60 invalides de guerre, 51 malades et victimes de l’agent orange. Toutes se sont engagées dans le bataillon 599 – Truong Son, durant la lutte armée contre les Américains.[/FONT]
            [FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]Il y a plus de trente ans, 600 jeunes filles de Ninh Binh ont assuré, sur un long tronçon de la cordillère de Truong Son, la circulation des véhicules chargés de ravitailler en armes et en forces vives les combattants révolutionnaires du Sud. Les bombardements américains continus destinés à fermer cet axe vital ont largement perturbé la circulation. Alors, ce sont les filles qui ont frayé la voie pour faciliter le déplacement des moyens de transport. Et la plupart d’entre elles sont mortes au champ d’honneur, sous les bombardements. En 1975, il n’en restait plus que 111 à avoir eu la chance de rentrer chez elles. Mais pas saines et sauves ! En effet, elles ont laissé leur jeunesse à Truong Son. Et nombreuses sont celles qui restent filles, vieilles filles plutôt, suite à leurs blessures ou maladies contractées durant la guerre.
            Doàn Thi Nang, 52 ans, n’est pas folle. Souffrant de problèmes neurologiques à cause de l’agent orange, tantôt elle est capable de maîtriser ses actes, tantôt elle ne se souvient plus de rien.
            [/FONT]
            [FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]« Toutefois, je n’oublie jamais les jours passés où nous étions ensemble durant la guerre, entre la vie et la mort », se rappelle-t-elle.[/FONT]

            en réponse à : Un viet bien tranquille #34376
            apw
              hoa lan;23824 wrote:
              Bonjour Jean Noël
              Je pense qu’il y a eu erreur d’interprétation…Vu l’estime que vous me portez depuis le début de nos échanges sur le forum et nos respects mutuels, je ne me serai point permise de porter atteinte à votre honorabilité ainsi que celle de votre épouse et de vos fils. Si mes propos n’ont pas été assez purement explicites, je vous prie de bien vouloir m’excuser de cette involontaire négligence. En parlant de votre générosité, je faisais référence à votre grand cœur d’aider ceux dans le besoin et d’avoir permis à plusieurs personnes, việtnamiennes ou non, d’avoir un travail (MP) d’où mes remerciements.
              Quant à moi, je préfère si possible d’être d’une quelconque utilité pour d’autres.
              Veuillez, je vous prie, transmettre mes plus sincères salutations à votre famille et en particulier à votre épouse.
              Hoa Lan:icon40: ( pseudo)

              Camen Hoa Lan
              Merci d’avoir préciser cela
              Il est clair que d’exprimer en écrit nos pensées n’est pas facile pour tous et surtout pour moi qui suis plus à l’aise en paroles ou par le dessin et n’est pas du tout la richesse d’esprit pour créer des phrases par les mots et le verbe comme certains foruméens qui sont doués pour cela:bigsmile:

              Créer du travail au Vietnam et en plus aux plus défavorisés.
              c’est clair qu’avec mon ami Viet Keu nous nous y attelons.

              Chào Hoa Lan , ainsi qu’à toute ta famille et bonne continuation :icon40:

              Noël

              en réponse à : Un viet bien tranquille #34283
              apw
                hoa lan;23649 wrote:
                « Maintenant, il est vrai qu’il manque « Tarzan » un homme déconnecté et délirant au coeur tendre qui dans ces affaires apprécierai de découvrir de nouvelles Fleurs d’Orchidées au pays du Dragon?:humour: »

                Bonjour Jean Noël

                Je vous remercie sincèrement de votre proposition mais je préfère laisser la place aux autres Fleurs qui apprécieront sûrement votre grande générosité..
                Bonne continuation à vous.
                Hoa Lan:icon40:

                Je ne t’ai fais aucune proposition!
                Je ne parlai pas de moi! mais du tarzan dont tu parles!
                je suis marié et ne recherche aucunes fleurs! cela ne m’intéresse pas! je suis déjà comblé!
                Désolé pour mon humour que je comprend mal interprété! 😳

                Chào Hoa Lan!:icon40:

                en réponse à : Un viet bien tranquille #34007
                apw
                  hoa lan;19170 wrote:
                  Bonjour Apw
                  Hoa = Fleur
                  Lan = Orchidée
                  Hoa Lan = Fleur d’Orchidée
                  Je crois qu’il manque un personnage capital  » Tarzan » mais il ne me semble pas visible …
                  Seul surgit  » Robin des bois »
                  :horse:

                  Hoa Lan

                  Robin des bois c’est cool! très cool! il est génial! il apporte les solutions et nous ne pouvons que l’en félicité! :bigsmile:

                  Maintenant, il est vrai qu’il manque « Tarzan » un homme déconnecté et délirant au coeur tendre qui dans ces affaires apprécierai de découvrir de nouvelles Fleurs d’Orchidées au pays du Dragon?:humour:

                  jnchevalnm5.jpg Chào Hoa Lan!;D
                  Hyaaoooooo! je repart à l’aventure!!!!!!!!!! Chàoooo!

                  en réponse à : Immeuble ou terrain en banlieue de Saigon? #34006
                  apw
                    loyd342;23389 wrote:
                    :bigsmile: jean-noel il est resté à l’heure divers, « perdre » une heure ça l’intéressais pas, trop occupé !! :bigsmile::bigsmile:

                    Bandes d’enfoirés! et cela vous fais marrer!!!!!!!!!!:bigsmile:
                    Vous ne m’avez pas loupé!
                    Pourtant j’étais persuadé d’un décallage horaire de 6h et non de 5 h!;D

                    en réponse à : Immeuble ou terrain en banlieue de Saigon? #33915
                    apw
                      namnam;23232 wrote:
                      Salut Apw,
                      Le terrain à Thao Dien coute de 700 euros/m2 à 1200 euros/m2.
                      (15minutes du centre ville.)
                      Le terrain à Thu Duc coute de 250euros/m2 à 650euros/m2.
                      Le terrain 100 euros/m2 dans le banlieu de Saigon …. est le terrain
                      sans livre rouge et.v..v..
                      Bon courage à toi!

                      Jean-Noël tombe sur le derrière!:oops:
                      Il a encore du mal à concevoir les prix exessifs de la vente des terrains par rapport aux salaires des Vietnamiens! :bigsmile:
                      Et pourtant c’est ainsi! Que faire?

                      Je viens à 7h ce matin en France été a nouveau en contact WebCam avec mon ami Viet Keu à Saigon « 13h pour lui là bas »!
                      Nous avons convenu d’au lieu acheter pour l’instant nous allons louer!
                      Il viens de trouver une partie d’immeuble très clin en location pour seulement 350€ par mois!
                      Cela comprend un RDC de 80m2 pour notre café avec billards! plus un appart pour lui et sa femme et un pour moi en étage! 😆
                      Il ne vas pas s’arrêter là! il continue à rechercher d’autres opportunités!
                      Et oui! nous avons préféré que pour nous lancer dans nos affaires il est plus judicieux de d’abord louer et voir ensuite à acheter! :friends:
                      Affaire à suivre!
                      En tous les cas! merci à vous tous pour vos infos! :icon40:

                      en réponse à : Immeuble ou terrain en banlieue de Saigon? #33672
                      apw
                        tdung848;23071 wrote:
                        à titre d’info : mon pére qui a acheté un terrain minuscule à Phu Nhuan, 48 m2, il a payé 60 000 € , j’en reviens pas, si je n’étais pas sur place pour le constater !!! c’est aussi cher, voire plus que les champs Elysées !!!!

                        Merci pour l’info tdung848!;D
                        Terrible les prix! il y a de quoi réfléchir avant d’acheter!
                        En tous les cas, j’attend la prospection de mon ami et vous donnerai
                        les infos avant d’acheter! :icon40:

                        en réponse à : Immeuble ou terrain en banlieue de Saigon? #33653
                        apw
                          DédéHeo;23060 wrote:
                          Namnam: J’ai un terrain à vendre dans la banlieue Thao dien de Saigon

                          apw, tu comptes en FR, faut te changer l’IC !
                          A Thao Dien 600€ le m2 soit 12 millions. C’est ou ca? combien de km du centre ? dans quel direction? Moi sur 640 m2, je construis 25 étages !
                          En ville, a Hanoi c’est 6000€ le m2 soit 120 millions (d’ou le 25 etages)
                          Sylvain: Thu-Duc,(je sais ou c’est) le m2 est à 4millions dong
                          Est ce que c’est comme a Hanoi ? Pour ce prix la, tu es dans les ruelles seulement accessible en moto.

                          Toi et Bob vous m’inquiétez!
                          Comment un Vietnamien peut-il acquérir un terrain à ces prix???
                          Il est vrai que je suis déconnnecté de la réalité n’y habitant pas encore! mais je vous avoue tomber sur le derrière! 😳
                          Je reprend contact demain avec mon ami qui est sur place pour voir les réels prix appliqués et vous tiendrais au courant!:icon40:
                          Camen pour les infos!:bigsmile:

                          en réponse à : Immeuble ou terrain en banlieue de Saigon? #33636
                          apw
                            sylvain05;23025 wrote:
                            – il semble que, à thu-duc, le m2 est à 4millions dong, c’est vraie !!

                            Je trouve plus correct 4 millions de Vietnamdong le m2! bien qu’il existe des terrains deus fois moins chers!:bigsmile:
                            100€ le M2 , soit environ 2.000.000 de VietnamDong!
                            D’où , 64.000€ pour un terrain de 640 M2!;D

                            en réponse à : Immeuble ou terrain en banlieue de Saigon? #33629
                            apw
                              namnam;22993 wrote:
                              Salut apw,
                              J’ai un terrain à vendre dans la banlieue Thao dien de Saigon
                              670m2.Le prix 400.000euros.Ca t’intéresse!
                              A bientôt!

                              Sur 640M2 de terrain, je peus batir 4 à 5 étages! c’est cool!:lol:

                              Mais 400.000€????????????Soit: 2.623.828Frs???????????
                              Tu n’aurais pas mis un zéro de trop?????????????:bigsmile:

                              Sinon cela peus nous intéresser! :icon40:

                              en réponse à : Ingénieur programmateur #33435
                              apw
                                hoa lan;22834 wrote:
                                Bonjour Jean Noël
                                Merci pour votre proposition d’aide pour une personne à la recherche d’un emploi. Une personne de ma connaissance serait peut être intéressée par votre proposition. Cependant, pouvez me dire où se trouve le lieu du travail car si c’est au Sud, aux environs d’Ho Chi Minh, ce sera possible.( Je ne connais personne à Hanoi)
                                Merci de votre réponse.
                                Hoa Lan:icon40:

                                Chào Hoa Lan!

                                Ce sera sur Ho Chi Minh! voir les environs! à étudier! logique! :bigsmile:
                                Pourquoi?
                                Mon ami Viet Keu est revenu sur Saigon depuis une semaine pour une année sabatique en vue de concrétiser nos affaires!
                                Suite à la création de notre société de sécurité, nous prévoyons d’acheter d’ici avant trois mois en banlieu de Saigon un petit immeuble qui nous servira de base « apparts pour nous en étages » et un café avec billards en RDC qui sera tenu par nos proches!:friends: avant notre autre projet de nous installer ensuite sur Mui Né en bordure de la mer de Chine!

                                Pour mon bof Chinois, il est intéressant de savoir que je vais tous les six mois au Vietnam et fusionne avec mon ami Viet Keu!
                                Bien que j’ai des affaires d’art sur Hanoï, nous avons décidé de nous basé sur Saigon! Une logique côté pratique!:bigsmile:

                                Aussi, comme pour d’autres Vietnamiens intéressés en tant que programmateur informatique vivant au Vietnam et souhaitant fusionner avec une entreprise Française basée sur Paris tel qu’est celle de mon bof d’origine Chinoise en vue de créer des offres de services au Vietnam et un suivi ……..!
                                Je le rappelle!!!!!!!!:
                                Adresser moi un CV et une lettre de motivation en Français si possible! à [email protected]
                                Trop de travail en ce moment dans nos affaires pour embêter mon frère Viet Keu à la traduction!;D
                                Je transmettrai votre courrier à mon bof!

                                Chào Hoa Lan :icon40:

                                en réponse à : Ingénieur programmateur #33411
                                apw
                                  B-Kool;22809 wrote:
                                  Merci…euh…en fait, quand je parlais de partenariat c’était pour monter en co-gérance une Société (associés) :bigsmile:… malheureusement, je ne programme pas…je suis plutôt dans le management.

                                  J’avais bien compris la co-gérance , mais je sais que mon bof ne sera pas intéressé, d’où je t’ai souligné les points important pour lui!:bigsmile:
                                  Tu pourrais faire comme moi et t’associer avec un ami Viet Keu qui s’installe là-bas et voir à monter se style d’affaire ou autre!;D

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