[livre] Saïgon la rouge

Robin , bonsoir.
Avez vous lu ce livre? si oui, pouvez vous nous en dire , un peu plus!
bonne soirée. yen

Merci Robin,

Je profite ce poste pour signaler aussi que dans le dernier numéro de GEO, il y a aussi un dossier sur Hanoi sous le titre de Happy Birthday Hanoi, et comme d’habitude, l’auteur n’a pas manqué de glisser quelques remarques peu reluisantes vis à vis du régime.

Article de : Bertille Charoy | Mercredi 5 janvier 2011
GEO n°383 – Janvier 2011

Bonjour RdB et Bao Nhan,

Merci pour les infos.

Je me joins à Yen pour demander à RdB s’il a lu le livre et si oui, de nous en parler. Mon conseiller nantais manie si bien le verbe que c’est toujours un plaisir de le lire ! :jap:

Je vais aller m’acheter Géo, c’est une revue très intéressante que j’achète de temps en temps… d’autant plus quand il y a un sujet qui m’intéresse, le Vietnam ! :wink2:

Bonne journée à TLM ! :bye:

Merci pour les infos.
Je vais essayer de le commander, Buhu , tu le liras cet été à Sigean!
Tres bonne journée yen

Présentation de l’éditeur

« Dans l’aube encore blanche, elle scrutait cette terre humide qui allait l’engloutir. Blottie derrière ses paupières qui formaient deux minces meurtrières, elle ignorait les rumeurs des voix, les bruits des pas cadencés, et les ordres lancés comme des aboiements. »

Saigon en 1940, c’est la France. Or, la France, depuis la débâcle, c’est aussi la collaboration…

Au coeur de la ville, un commissaire de police ne se résigne pas à pactiser avec les Japonais, comme l’a recommandé Pétain depuis la métropole. Gaulliste, il prend le masque de l’obéissance pour préserver sa femme, Clara. À ses supérieurs, il cache aussi qu’il a résolu de protéger Phung, une jeune nationaliste trotskiste, et le père de celle-ci. Le 9 mars 1945, le commissaire est arrêté par les Japonais devenus les maîtres du pays. Séquestration, humiliations, tortures physiques et morales lui font presque perdre le sens de l’humanité.

Saigon la Rouge retrace l’histoire d’un homme qui se découvre et se révèle dans la tourmente de la guerre. Acteur désabusé de la fin d’un monde, celui de la « belle colonie », il devient le témoin lucide de la naissance d’une nation.

Jacques de Miribel est né au Vietnam, comme ses parents. Sa grand-mère paternelle était vietnamienne et il a vécu à Saigon jusqu’à l’âge de seize ans. Agrégé de lettres modernes, il a consacré une grande partie de sa carrière d’enseignant à l’acquisition de la langue par les enfants. Saigon la Rouge est son premier roman.

Merci Dedeho, pour ce complement d’informations .
bonne soirée yen

Saigon La Rouge,
Je viens de lire ce livre de J de Miribel;
Une lecture facile d’ un roman à larges connotations historiques, qui laissent entrevoir ce qu’a pu etre les pratiques de la Sureté à Saigon , et la main mise des japonnais, et leurs méthodes de vainqueurs, en 1945. L ‘ histoire , en elle-même , une histoire de tous les jours,en temps d’ occupation, avec les portraits de deux femmes : Phung et Clara qui donnent tout le piquant à un monde qui s’ écroule et une nation naissante.
bone lecture yen