ces indochinois devenus riziculteurs en Camargue.

:jap: ti ngoc,

Merci pour cet article. C’est édifiant, je ne connaissais pas cette page de l’histoire.
Que dire? rien, car je vais encore m’emporter.

:Vietnam:

Con Trai.
à la librairie Sauramps à Montpellier;
Pierre Daum, a presenté son livre: Immigres de force, les travailleurs indochinois en France .(1939/1952. livre paru chez Actes Sud . Livre que l’on doit pouvoir se procurer , dans d’autres librairies de l’exagone. yen

merci pour l’article. Comme Con Trai je ne connaissait pas du tout cette histoire

Bonsoir, l’histoire de mon père est là, avec tous ses camarades vietnamiens. Sont père était également venu servir ce pays en 14-18. La France a fait de nous de sacrés héritiers avec leur mémoire et leur attachement aux origines. Merci à toi Ti de nous faire passer cet article.

merci ti ngoc pour cette page d’histoire que tu nous invite à lire..(Palais de la Porte Dorée (Paris) – Cité nationale de l’histoire de l’immigration : Les travailleurs indochinois en France pendant la Seconde Guerre mondiale)
voilà ce que d’aucun peut poursuivre comme lecture car j’ai tapé google pour chercher de quels films le cinéaste cité est l’auteur;où les trouveretc?.. peut être par le journal?

Bonsoir tout le monde,
Merci Ti Ngoc,pour ce post.
Le midi-libre a profité de l’impact médiatique de l’excellent film de Rachid Bouchareb « Indigène » diffusé sur le petit écran cette semaine pour faire paraître un article sur ces mêmes « indigènes » mais venus du Viêtnam. On ne peut que se réjouir d’une telle initiative.
Dans ce Forum je vous avais raconté l’histoire de Thin ( http://www.forumvietnam.fr/forum-vietnam/le-vietnam-son-passe-son-histoire-viet-nam-qua-khu-va-lich-su/4782-memoires-d-anciens.html#post67290), cette histoire qu’il a partagée sans le connaître probablement, avec Pham Van Nhân.
Thin était garçon boucher, illettré, du Centre Viêtnam. (Il a été réquisitionné).Comme la plupart il était d’un milieu paysan.
Nhân était lycéen, savait lire et écrire (sûrement parlait-il déjà français), il venait du Nord (Hanoï), il était volontaire pour être interprète.(il encadrait !)
Deux hommes, deux destins qui ont fusionné, l’espace d’une guerre en Europe, la Seconde guerre mondiale.
Pour compléter l’article, quelques liens:
A la mmoire des travailleurs indochinois en France
Bienvenue sur AMARES

Et un film documentaire de DZU Le-LIEU : Les hommes des 3 KY.

Et comme l’histoire n’est qu’un recommencement, un lien sur ceux qui en 14/18 avaient déjà commencé le « film »
ANAI – Site Officiel de l’Association Nationale des Anciens et Amis de l’Indochine et du Souvenir Indochinois

je signale une rencontre autour de ce livre à Montpellier le jeudi 11 juin à 18h30, conférence débat autour du livre dans le cadre des Rencontre Sauramps à l’auditorium du Musée Fabre, avec Gilles Manceron (historien) et Pham Van Nhân, ancien ONS de la Grande Motte. Contact: 04 67 06 78 78. Entrée gratuite.

Freddy, je suis le webmestre de A la mémoire des travailleurs indochinois en France

peux-tu me contacter par le site (lien en page d’acceuil) car je recherche les nom et matricule de tous ces hommes de la M.O.I.

cordialement

Bonjour Thuong19

.

salut Zaoky,
Merci pour l’info du 11 juin à Montpellier. Si je compte bien, Pham Van Nhan devrait être aussi âgé que Thin, c’est à dire plus de 90 ans.
Quant aux Viêtnamiens qui ont été riziculteurs, le domaine de Méjanes de Paul Ricard en avait « recrutés » de nombreux de la MOI lorsque durant la dernière guerre, il développait la riziculture en Camargue car le gouvernement de l’époque (Pétain) interdisait la production du Pastis.
Sur les photos de l’époque au Domaine dans la gare du petit train, figurent de nombreux viêtnamiens.:bye:

merci de l’info, il faudra que je vois ça un de ces jours

Zaoky, bonsoir,
je ne peux me détacher de mon transport le 11 Juin malheureusement, je prends toutes les coordonnées que je remémore pour mon père et te les envoie dès que possible. Merci pour ce travail de mémoire.

merci Freddy de ton concours à la mémoire de nos pères et grands-pères, je compte sur toi

@+ zaoky

Pierre Daum, auteur du livre « Immigrés de Force , les travailleurs indochinois en France (1939-1952) » qualifie de « rencontre de hasard » sa découverte du musée du riz dans le petit village du Sambuc en 2004.
Journaliste à Libération, il avait été envoyé à Arles pour couvrir la grève des « LU » qui refusaient la fermeture de leur usine.Cette usine conditionnait le riz de camargue.
C’est en allant à Salin-de Giraud que Pierre Daum découvre le petit musée privé de Mr Bon et qu’il prend connaissance de la vraie origine du riz consommable en Camargue en lisant un panneau explicatif où sont photographiés des travailleurs indochinois.
Avant cette date le riz de Camargue n’était pas consommable, il était utilisé comme plante dont l’utilité était de dessaler la terre afin qu’elle puisse être cultivée.
La suite , on la connaît, ce sera le livre consacré aux Travailleurs indochinois réquisitionnés durant la dernière guerre mondiale.Un chapitre est consacré a l’origine du riz en Camargue.
Pour l’anecdote, Mr Bon a modifié les explications du panneau à la suite de l’intervention de LE HUU THO (itinéraire d’un petit mandarin) , attribuant la paternité du Riz Consommable de Camargue aux travailleurs indochinois devenus pour un temps les riziculteurs de la « mère patrie » mais à 11000km de leur Que Huong.

le panneau:

Thuong, merci , pour ce compte rendu , riche en photos.
Merci , aussi , de partager , et repartager , ce qui constitue cette mémoire qui doit rester vivante .

Salut Thuong, :jap:

Je viens de l’acheter.

Pierre. :bye:

Coucou Pierre,

Moi aussi j’aimerai bien l’acheter… mais, il y a tant de livres sur le Vietnam que je ne connais pas !!! Il me faudrait la fortune de Crésus pour tous les acheter et… le temps pour les lire !!! :friends:

Je peux vous le prêter avec plaisir ..

Attention, je risque de vous prendre au mot ! :wink2::bye:

No problem.. mais je ferai pour vous comme pour ceux à qui j’ai déjà prêté des bouquins:

 » Signature d’un  » post-it » sur lequel vous indiquerez:

– le titre du bouquin emprunté
– la date de restitution déterminée par vous même.
– votre n° de téléphone

* Et je colle çà dans mon agenda/semainier

ps : si la date choisie par vous n’était pas respectée : fini, à la « liste rouge »

Cela me semble une bonne précaution et cela permet de ne pas perdre de vue ses livres prêtés… comme cela m’est arrivé ! :wink2: Vos conditions seront les miennes lors d’un emprunt !

Et merci d’avance ! :bye:

vraiment merci pour ces informations dont j’ignorais,
ça devait etre un sacré choc de culture en 1939 pour ces travailleurs !

voilà j’ai écris un mail au syndicat du riz de camargue [email protected]

htn55

**********************************************
Bonjour,

En parcourant votre site et son article sur l’histoire du développement du riz de Camargue, vous omettez de faire référence aux indochinois qui ont contribué au déssèchement, nivellement, culture…et qui ont accéléré le développement de la riziculture,

Je vous mets ici le lien avec un article du jounal Midi-Libre rappelant cette partie de l’Histoire,
[URL= »mhtml:{59F2FD31-3E2D-4183-A007-23458E59D86D}mid://00000010/!x-usc:http://www.forumvietnam.fr/forum-vietnam/la-culture-le-sport-au-vietnam-tong-quan-van-hoa-thao/6133-ces-indochinois-devenus-riziculteurs-en-camargue.html »%5Dhttp://www.forumvietnam.fr/forum-vietnam/la-culture-le-sport-au-vietnam-tong-quan-van-hoa-thao/6133-ces-indochinois-devenus-riziculteurs-en-camargue.html[/URL]

Cordialement,

NGUYEN Hoàng
***********************************************

Salut Ti Ngoc

alors à bientôt

Merci pour l’info Ti Ngoc, je pense que j’y serai pour représenter Thin (mémoires d’anciens).
Et merci pour le travail accompli par Zaoky.

Bonjour à vous,
Merci Thuong19 et Ti ngoc pour ces infos. Paix aux âmes errantes et tourmentées où qu’ils soient…
H.L
( Avec un peu de retard, mes condoléances aux familles des défunts)

Bonjour à vous,

Notez que la conférence-débat du mercredi soir et la cérémonie du jeudi seront immortalisés sur pellicule
Autres infos à venir sur A la mmoire des travailleurs indochinois en France

merci à toi aussi Thuong sans qui nous ne connaitrions pas Thin et Than

un article de LDH Toulon (Ligue de Droits de l’Homme):

Remerciements à Monsieur le Maire d’Arles et son Conseil Municipal pour cette première reconnaissance officielle en France à ces Travailleurs Indochinois Réquisitionnés en39/45.

Bonjour

Ne trouvez vous pas que c’est honteux de rendre hommage à nos ancêtres 70 ans après ????

Salut Van-Thanh,
Ce qui est honteux, c’est de ne pas l’avoir fait 70 ans avant !
Mais cela fait partie des pages sombres de l’histoire de la France et de ses ex colonies. Et ces pages, certains ont encore du mal à les tourner.:wink2:

Bonjour tout le monde,

On ne refait pas l’histoire malheureusement … Mais soyons tout de même positifs  » il vaut mieux tard que jamais « . Cela aurait pu passer aux oubliettes sans une once de reconnaissance vous ne croyez pas !!!

Kim Sang:jap:

Bonsoir

Ce que j’ai écrit n’engage que moi seulement. Ayant travaillé 30 ans pour l’administration française, j’ai pu faire un constat assez amer de l’attitude des français.
Enfin, comme dit Kimsang « il vaut mieux tard que jamais »…

A 90 ans, Le Ba Dang voudrait ne penser qu’à l’avenir. A ses prochains voyages, à ses futurs tableaux, et surtout à ce terrain qu’il s’apprête à transformer en une gigantesque oeuvre d’art près de Hué, au coeur du Vietnam, où un musée rend hommage à son travail de peintre et de sculpteur. Jeudi 10 décembre, pourtant, il consentira pour une fois à se replonger dans son passé. L’occasion ? La médaille que lui remettra Hervé Schiavetti, le maire (PCF) d’Arles (Bouches-du-Rhône), lors d’une cérémonie d’hommage aux Indochinois qui, comme lui, sont venus travailler en Camargue pendant la seconde guerre mondiale. « Une mauvaise période », dit ce vieil homme à la vitalité débordante, qui s’est tu pendant soixante ans. « C’était trop dur. Je voulais oublier. »

L’histoire de Le Ba Dang ressemble à des milliers d’autres. Fils de paysans annamites, il n’a pas 20 ans quand il apprend, fin 1939, que la métropole recrute des « indigènes » pour participer à l’effort de guerre. « Je ne savais pas ce que j’allais faire. Mais j’étais curieux. On entendait tellement parler de la France, vous savez… »

C’est en mars 1940, après cinq semaines éprouvantes passées dans les cales d’un paquebot, que le Ba Dang débarque à Marseille. De là, il part à Saint-Nazaire, où les chantiers navals manquent de bras. Mais c’est bientôt la défaite, et le jeune homme est fait prisonnier par les Allemands. Il s’évadera au bout de dix-huit mois, franchira la ligne de démarcation et regagnera Marseille. Avec une seule idée : trouver un bateau pour, dit-il, « rentrer à la maison ».

L’histoire, toutefois, en décidera autrement. Car le régime de Vichy, entre-temps, a renoncé à rapatrier les quelque 20 000 « ouvriers non spécialisés » (ONS) venus d’Indochine fin 1939-début 1940. Parqués dans des camps, ceux-ci dépendent dorénavant du ministère du travail, où un service est spécialement chargé de la « main-d’oeuvre indigène » (MOI). Aujourd’hui, Le Ba Dang ne sait plus précisément comment il est entré en contact avec les hommes de la MOI. Mais il se souvient très bien de ce commandant « très gentil » qui lui proposa un jour de partir en Camargue pour y planter du riz.

« C’était épuisant »

« On était une vingtaine de types, raconte Le Ba Dang. On nous a emmenés près d’Arles, dans une petite cabane misérable. Là, on a commencé par couper des arbres pour fabriquer des lits. Puis on a planté du riz. Au-dessus de nous, il y avait un Corse. Il n’était pas méchant, mais il ne faisait rien. Pendant ce temps-là, nous, on travaillait. Mais c’était épuisant. Je suis parti au bout de trois mois. » Après mille péripéties, le jeune homme finira par se poser à Toulouse, où il suivra des cours du soir à l’école des Beaux-Arts, de 1943 à 1948, avant de faire sa vie à Paris, où il possède aujourd’hui un bel atelier, à deux pas de Montparnasse.

Au total, environ 500 Indochinois ont travaillé dans les rizières camarguaises pendant la guerre. Leur contribution fut décisive pour relancer une culture qui avait été introduite pour la première fois de façon sérieuse au milieu du XIXe siècle, avant de péricliter. « Dans les années 1930, le riz en Camargue était cultivé pour dessaler des terres qui servaient à autre chose. D’ailleurs, à cette époque, on le donnait aux animaux, le riz que nous consommions venant d’Indochine ou de Madagascar. Avec la guerre, les importations ont baissé, et on a commencé à avoir faim. C’est comme ça qu’on a relancé la production à des fins purement alimentaires », explique Yves Schmitt, un riziculteur à la retraite dont le père était alors le régisseur du mas de Méjanes, l’un des grands domaines de la région.

Né en 1933, M. Schmitt se souvient bien des Indochinois, qu’il côtoya quand il était gamin. « C’était des gens très discrets, qui restaient entre eux pour faire leur tambouille. Comme ils ne parlaient pas français, on avait l’impression qu’ils venaient d’une autre planète. La rumeur disait qu’ils volaient la nuit dans les potagers. Mais ça n’a jamais été prouvé. »
Près de 1 000 autres Indochinois ont travaillé en Camargue pendant la guerre, avec pour tâche d’exploiter le sel. Ce fut le cas de Trong Nguyen Hoan. Né au sud d’ Hanoï en 1915 et arrivé à Marseille en mai 1940, cet homme, aujourd’hui un pétulant vieillard de 94 ans, a d’abord été affecté dans les poudreries de Saint-Chamas, près de l’étang de Berre, où l’armistice l’a vite mis au chômage technique. Après divers petits boulots – « on m’a même fait construire un terrain de tennis ! », lâche-t-il en éclatant de rire -, il est envoyé à Salin-de-Giraud, sur un site appartenant alors à l’entreprise Pechiney. « J’encadrais une compagnie d’environ 250 hommes. Comme je parlais un peu français, je servais d’intermédiaire entre eux et les contremaîtres. »

Trong Nguyen Hoan, qui vit aujourd’hui en banlieue parisienne, après une longue carrière d’ouvrier chez Citroën, garde un exécrable souvenir des « baraques sans eau et sans chauffage » où ses camarades et lui étaient entassés. Et surtout de leurs indemnités de misère – moins de 10 % du salaire d’un ouvrier français. Pour résumer sa vie de l’époque, le vieil homme n’a qu’une formule : « Nous étions comme des bêtes. »

Thomas Wieder
Lemonde.fr

Outre l’article du monde.fr, signalé par nono32 sur un autre topic
en voici un autre

– toujours sur le monde.fr, à ce lien :

« Je jette aux deux bras du Rhône rancoeurs et rancunes » – LeMonde.fr

– l’article suivant :

Je jette aux deux bras du Rhône rancoeurs et rancunes« 

LE MONDE | 08.12.09 | 13h49

ne dizaine d’anciens travailleurs indochinois sont attendus à la mairie d’Arles, jeudi 10 décembre, où ils recevront la médaille de la ville. « Comme les Espagnols ou les Italiens, les Indochinois ont participé activement au développement du riz et du sel de Camargue. Il est normal de le reconnaître », explique le maire (PCF), Hervé Schiavetti.
[IMG]http://pubs.lemonde.fr/5/LEMONDE-SOCIETE/index/sponsor/1575006360/Middle1/OasDefault/default/empty.gif/35366436316633373462316537346230[/IMG]Cette « reconnaissance » tardive, que devrait prolonger l’inauguration d’une rue ou d’une place, est une première. L’initiative est venue de Pierre Daum, un journaliste de 43 ans, qui a retracé l’histoire de ces 20 000 « indigènes », dont seul un millier s’est installé en métropole dans Immigrés de force. Les travailleurs indochinois en France, 1939-1952, chez Actes Sud (« Le Monde des livres » du 7 juillet).

« Aucun de ceux que j’ai rencontrés n’a l’once d’une aigreur vis-à-vis de la France, explique M. Daum. La seule fois où ils ont réclamé quelque chose, c’était dans les années 1980. Certains d’entre eux ont alors demandé que leurs années de travail soient prises en compte dans le calcul de leur retraite. Mais ils n’ont rien obtenu. »

M. Daum a une pensée particulière pour Le Huu Tho, l’un des 25 témoins interviewés pour son livre. « C’est lui qui, dès notre première rencontre en 2005, m’a convaincu que s’il fallait faire quelque chose, c’était d’abord à Arles en raison du caractère exceptionnel du riz de Camargue, qui reste un élément aujourd’hui encore fondamental dans la culture de cette région. »

Auteur d’un des rares livres de souvenirs sur le sujet (Itinéraire d’un petit mandarin, L’Harmattan, 1997), Le Huu Tho est mort le 8 septembre, à 89 ans. Il avait déjà rédigé le discours qu’il voulait prononcer le 10 décembre. Il avait notamment prévu de dire ceci : « Aujourd’hui (…), je jette aux deux bras du Rhône rancoeurs et rancunes (…), totalement heureux de voir réaliser enfin mon rêve au soir de ma vie. »

Thomas Wieder

Article paru dans l’édition du 09.12.09

Merci beaucoup

c’est sur ce lien internet du monde.fr

Les « indigènes » de Camargue – LeMonde.fr

Robin , Nono ,
Merci , beaucoup, pour ces articles , riches en détails durs tres durs , mais aussi , pour la beauté des paysages et la sérénité qui se dégagent des tableaux de Le Ba Dang . yen

merci Nono32 de donner l’info (du Viêtnam) et d’avoir ouvert ce topic.

Rappel :

mercredi 9 décembre, 18h
à la Chapelle du Méjan, Arles : conférence débat autour de l’ouvrage de Pierre Daum « Immigrés de Force », en présence de Gilles Manceron, historien et vice président de la Ligue des Droits de l’homme et d’anciens travailleurs indochinois vivant en France.

Jeudi 10 Décembre à 11h, salle d’Honneur de l’Hôtel de Ville d’Arles,
Hommage rendu aux anciens travailleurs indochinois,avec prise de paroles par Le Ba Dang , Pham Van Nhan, et les enfants de Le Huu Tuo et de Trinh Xuan Bo (ONS décédés).
Une couverture médiatique est prévue par FR3 Marseille, France Inter (« la Bas si j’y suis » émission de Daniel Mermet), la presse régionale, et le Cinéaste Lam Lê.
Ti Ngoc et moi-même ferons un compte rendu et des photos pour ForumViêtnam.
quelques liens :
REPORTAGE Quand la France recrutait de force des immigrés – Accueil / Actualité / France – Dimanche 06 Décembre 2009 – SUDOUEST.COM
http://www.mondesk.com/modules/fileLinker/dl.php?idl=3427&p=q6x9gEtTm75HlWlNaB5Qj48I2WgS0Iy39Rw6x8xSqDt0fNsB86
Arles Hommage inédit aux immigrés indochinois – A la une – Midi Libre
Arles: Hommage aux travailleurs d’Indochine – HISTOIRE – France 3 Méditerranée : actualités de la région Provence Alpes Côte d’Azur – France 3

Bonjour,
Merci à vous pour ce relais d’informations. Même si nous ne pouvons assister à l’hommage de ces travailleurs, nos pensées iront vers vous. Passez un très joyeux moment ensemble et paix dans le cœur de chacun.
H.L:bye:

bonjour,

un court reportage sur ces travailleurs indochinois a été diffusé hier au 19/20 du jeudi 10/11. vous pouvez encore le voir pendant quelques jours à l’adresse suivante:
Actualités – FRANCE 3 : info en direct, jt, politique, économie, société… – France 3 => INDOCHINOIS DE CAMARGUE

:bye:

Bonsoir tout le monde,

je viens de rentrer d’Arles,(je fais vite) ; l’émission de Daniel Mermet de Jeudi 10 , consacrée aux travailleurs indochinois de 1939/1945 disponible encore quelques heures ici :
Quand tu manges un fruit, n’oublie pas celui qui a planté l’arbre – http://www.la-bas.org

D’autres liens

http://videos.tf1.fr/jt-20h/l-hommage-de-la-france-aux-travailleurs-indochinois-5589834.html

Reportages-press.com > Reportage > Arles : Hommage aux travailleurs indochinois 101209

http://www.dna.fr/france/20091211_DNA002236.html

http://en.vietnamplus.vn/Home/French-city-honours-Vietnamese-for-rice-cultivation/200912/4899.vnplus

http://www.tv5.org/TV5Site/webtv/video-6913-La_France_rend_hommage_aux_travailleurs_indochinoi.htm

http://www.20minutes.fr/article/370310/Marseille-Arles-redecouvre-les-peres-du-riz-camarguais.php

Des détails ! des détails , Thuong , s ‘il te plait.
Merci yen

L’évènement étant devenu national (journaux télévisés de TF1, A2, FR3, radio France Inter « la bas si j’y suis », quotidiens nationaux Libé, L’humanité, le Monde, La Croix, ….), mais aussi international TV5Monde, VietnamPlus..(French city honours Vietnamese for rice cultivation — Vietnam+ (VietnamPlus))..
la suite sera ici :
http://www.forumvietnam.fr/forum-vietnam/etre-viet-kieu-toi-la-viet-kieu/7250-hommage-aux-anciens-travailleurs-indochinois-reqisitionnes-en-1939-1945-a.html

C’est important que cet évènement prend de l’ampleur … J’ai pu voir la diffusion au JT de 20h…

Il s’agit un peu de notre histoire à tous, en tant que Vietnamiens de France.
Il faut transmettre cela tout autour de nous, aux jeunes de notre entourage (pour éduquer leur conscience) et aux moins jeunes (pour leur culture historique). :jap:

Kim Sang

mais, vous avez oublié le formidable reportage radiophonique de La Bas si j y suis ?? eh HOP! le lien:
Quand tu manges un fruit, n’oublie pas celui qui a planté l’arbre

Bien à vous.

Freddy Dung

Picasa Albums Web – freddy – ADN-ARN

Bonsoir au forum et merci à tous dans cette précieuse aide. Qelques photos ont été déplacées, et vous retrouverez l’ensemble des recherches françaises depuis celles-ci. A bientôt, an ninh
http://picasaweb.google.fr/home