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Le vietnam sur France O ce soir

Discussions générales sur le Vietnam La Culture au Vietnam Le vietnam sur France O ce soir

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    • #10909

      Un documentaire « sur la piste d’Ho chi minh » ce soir sur france O ! 20h45

    • #151860

      @jejesudfrance 150490 wrote:

      Un documentaire « sur la piste d’Ho chi minh » ce soir sur france O ! 20h45

      Bonjour à vous

      – en fait une série de 4 épisodes, appelée aussi « Sur la piste rouge »
      – déjà diffusée sur France Ô en 2011 : d’un intérêt assez inégal « selon ma pomme »

      cf ce lien :

      http://www.grandbivouac.com/bivouac-cafe/actualite-bivouac-cafe/nos-coups-de-coeur/2538-indochine-sur-la-piste-rouge-diffusion-sur-france-o-a-partir-du-mardi-8-novembre-2011

    • #151955

      Documentaire où on apprend que les vietnamiens se sont « retrouvés » en 76.
      Donc si demain la Corée du nord annexe la Corée du sud il faudra dire que les coréens se sont « retrouvés »…..

    • #151956

      il y avait les 2 1er épisodes que je viens de regarder sur
      ExplÔ – pluzz.fr – voir ou revoir les programmes de france télévisions – France Télévisions

      et mardi prochain, il y a les 2 autres :

      Episode 3 : Emission du mardi 16 octobre à 20h35 – Le sentier impossible

      Episode 4 : Emission du mardi 16 octobre à 21h10 – La route des oubliés

      Le seul intérêt est qu’on visite vraiment chez des gens. Nos jeunes touristes randonneurs mélangent un peu tout. Mais pas grave.

      Cécile Clocheret et François Picard sont les premiers Occidentaux à reconstituer à pied la piste Ho Chi Minh. Cet axe, qui serpente à travers le Vietnam, le Laos et le Cambodge, permit à des hommes en sandales de vaincre les plus grandes armées du monde. Des années 50 à 1975, les Nord-vietnamiens y acheminent, dans des conditions extrêmes, armes, provisions, essence, médicaments, véhicules… Au grand dam de l’armée française, puis américaine.

      Que reste-t-il de ce réseau de routes et de chemins ? A travers la jungle, le long du Mékong, dans les plaines irriguées, Cécile Clocheret et François Picard se plongent pendant 4 mois sur cette route mythique. Sur 2000 kilomètres, ils rencontrent trois pays, trois histoires et bien des surprises, bonnes ou mauvaises.

      Diffusions sur France Ô dans le cadre de l’émission Explô, animée par Laurent Bignolas :

      Episode 1 : Emission du mardi 8 novembre à 20h35 – Le chemin des âmes errantes

      Episode 2 : Emission du mardi 15 novembre à 20h35 – La piste aux obus

      Episode 3 : Emission du mardi 22 novembre à 20h35 – Le sentier impossible

      Episode 4 : Emission du mardi 29 novembre à 20h35 – La route des oubliés

    • #151957

      @yann23 150615 wrote:

      Documentaire où on apprend que les vietnamiens se sont « retrouvés » en 76.
      Donc si demain la Corée du nord annexe la Corée du sud il faudra dire que les coréens se sont « retrouvés »…..

      Pourquoi tu utilise le verbe  » annexer « . En effet si deux frères issus d’un même père et mère se sont perdu de vue pdt de longues années se retrouvent, n’est ce pas naturel, et je dirais sans l’ombre d’une hésitation qu’il se sont réunis de nouveau et le terme de réunification est le plus approprié.

      Christo

    • #151963

      @DédéHeo 150616 wrote:

      Le seul intérêt est qu’on visite vraiment chez des gens.
      Nos jeunes touristes randonneurs mélangent un peu tout. Mais pas grave.

      Heu justement « c’est là où le bât blesse »… comme dirait mon âne

      parce que François PICARD n’est ni un touriste ni un jeune randonneur

      Voyez plutôt son CV : c’est un professionnel du documentaire d’aventure, style « Connaissances du monde »

      Franois Picard, fondateur de Culture-Aventure

      or donc léger, très très léger compte tenu de sa spécialisation professionnelle … quel intérêt SVP ?

      ps : heu si, si, au fait :

      sur « la partie Cambodgienne de la piste rouge », on apprend par exemple que les Vietnamiens sont très présents … et … »très commerçants » (bois, hévéas …..)
      Important à savoir, non ?

    • #151964

      @christo 150617 wrote:

      Pourquoi tu utilise le verbe  » annexer « . En effet si deux frères issus d’un même père et mère se sont perdu de vue pdt de longues années se retrouvent, n’est ce pas naturel, et je dirais sans l’ombre d’une hésitation qu’il se sont réunis de nouveau et le terme de réunification est le plus approprié.Christo

      En effet , Yann semble appliquer la grille de lecture communistes / anticommunistes sur la division /réunification de la Corée et il semble être anticommuniste . Pour éclairer le débat , que dirait-il du résultat de la guerre de Sécession ? Le VN a été divisé en deux pays qui se sont fait la guerre (civile) pendant 100 ans au 16 è siècle puis réunifiés , comment appliquer la grille de lecture coco / anticoco là dessus ? Dans le cas d’espèce , la Corée du sud semble avoir plus de chances de prendre l’ascendant sur le nord et de réunifier le pays , en ce cas comment Yann le prendrait : les Coréens se sont retrouvés et le sud avait le droit d’annexer le nord , n’est ce pas ?
      Les Américains cherchent à ériger la Corée du nord en menace planétaire avec la 5è ou 6è armée du monde alors que les Nord Coréens
      dans la réalité n’ont même pas assez d’essence pour alimenter leurs camions . Il faut éviter d’avaler tout cru la diabolisation américaine contre les Nord Coréens , c’est pour justifier leur mainmise sur la Corée du Sud et le Japon . De base , ils n’ont aucun droit de rester en Asie du Nord est plus de 60 ans après la défaite du Japon . Ils bloquent la réunification du pays ; les Coréens les haïssent à cause de cela . Ils occupent encore Okinawa et pourrissent la vie des Okinawans qui les haïssent aussi

    • #151961

      @jejesudfrance 150490 wrote:

      Un documentaire « sur la piste d’Ho chi minh » ce soir sur france O ! 20h45

      Merci beaucoup du renseignement – bonne soirée – Tac Kè

    • #151966

      L’art du documentaire consiste à camoufler soigneusement la date ; ici été, automne 2009, pour prolonger la « vie » du film et de multiplier les rediffusions.

      CAMBODGE/PORTRAIT – Deux globe-(très) trotteurs sur la piste Ho Chi Minh

      Petites misères et grands frissons
      Armé de matériel vidéo, d’une boussole et d’une solide paire de chaussures, ils ont déjà parcouru plus de 1.300 km. Et ont déjà des souvenirs plein la tête. « La plupart du temps, c’est formidable. Nous traversons des forêts, des champs, plus rarement de vraies routes et le soir, nous dormons chez l’habitant. Souvent, ils se demandent ce que font là ces deux blancs. Mais les chefs de tribus sont souvent ravis et fiers de nous accueillir. Ce n’est pas facile de se faire comprendre mais nous improvisons ! » Improviser semble en effet le maître-mot lorsque la piste s’efface ou que les rivières sont en crue… « Nous nous sommes perdus deux fois, la première fois au Vietnam, dans la jungle », se souvient François. « Nous avons eu très peur parce que nous n’avions plus rien à manger et très peu d’eau. Nous avons passé la nuit près d’une rivière et, par chance, nous sommes tombés le matin sur deux pêcheurs qui nous ont indiqué la route à suivre. Nous les avons suivis et nous sommes rendus compte que nous étions en fait revenus à notre point de départ… La deuxième fois c’était dans le Mondolkiri, et là nous avons entendu des tronçonneuses au loin, nous nous sommes dirigés vers le bruit et avons retrouvé le chemin. Peu après, nous devions traversé une route à zébu qui s’était transformée, avec la saison des pluies, en véritable rivière ! Nous avons dû nous accrocher à des troncs d’arbres pour parvenir de l’autre côté mais nos avons eu très peur pour notre matériel. »

      Un fil conducteur : la liberté
      S’ils rencontrent des difficultés, les deux aventuriers retiennent surtout les rencontres incroyables qu’ils font « En plus des villageois ou des personnes qui croisent notre chemin, nous tournons des scènes pour faire un film qui traitera de la liberté. Nous recherchons ainsi des personnes qui ont envie de témoigner sur ce sujet : au Vietnam, nous avons rencontré l’évêque d’Hanoï, au Laos, un Suisse qui travaille au déminage et ici, le directeur du DC-cam, le centre des archives du Cambodge… » De passage à Phnom Penh, où ils ont passé six nuits bien que la capitale ne se trouvait pas sur leur itinéraire, ils sont repartis, en bus cette fois, à Kratie, où ils avaient laissé la piste et d’où ils repartiront à pied pour rejoindre Stung Treng. Si tout va bien, leur périple prendra fin mi-octobre. « Nous devons être à Paris le 18 car une semaine après, nous allons au Canada pour assister à la présentation de mon film sur la Chine », explique François. « On risque d’être un peu décalés… »

      on en avait parlé lors de la 1ere diffusion :
      http://www.forumvietnam.fr/forum-vietnam/le-vietnam-son-passe-son-histoire-vi-t-nam-qua-kh-va-l-ch-s/11019-la-piste-ho-chi-minh.html

    • #151967

      Ah ! Rantanplan a mangé mon message ; il contenait 2 liens :
      Sur l’article de lepetitjournal.com lors de la réalisation en 2009
      CAMBODGE/PORTRAIT – Deux globe-(très) trotteurs sur la piste Ho Chi Minh

      Puis sur la discussion FV de 2011 lors de la 1ère diffusion par France ô

      Notre couple de touristes réalisateurs ont cherché « La piste HCM » officielle ou principale.
      Bien sûr, ce n’était pas une voie unique, mais plutôt un réseau de routes et de chemins par lequel s’écoulait le flot continu de renforts et dematériel destinés à la guérilla communiste au Sud Viêt-nam.
      Les Vietnamiens du wiki donne comme date d’ouverture 1959, soit après quelques victoires de communistes au Laos car l’astuce était d’éviter le territoire de la République du VN (Sud).

      Pour les Vietnamiens, elle n’a eu qu’un rôle mineure où nulle dans la 1ère guerre contre les Français.
      http://vi.wikipedia.org/wiki/%C4%90%C6%B0%E1%BB%9Dng_Tr%C6%B0%E1%BB%9Dng_S%C6%A1n

      DuongTruongSon59-64.jpg
      La piste HCM, Đường Trường Sơn, à ses débuts, 1959-1964

    • #151969
      thuong19
      Participant

        @DédéHeo 150624 wrote:

        L’art du documentaire consiste à camoufler soigneusement la date ; ici été, automne 2009, pour prolonger la « vie » du film et de multiplier les rediffusions.
        ………….

        j’enfonce le clou. …..d’autant plus que ce reportage est ininteressant. on apprend rien sinon qu’on essaye de ne pas pleurer lorsque nos deux randonneurs sont obligés de faire une pause pour soigner leur ripattons.aucune info sur les villages arrosés à la dioxine . pas un mot sur les souffrances endurées par les autochtones. que ce soit au viêtnam ou dans les 2 pays voisins traversés Laos Cambodge. alors quand on lit le but recherché par nos 2 globetrotters dans le média dont DD heo a donné le lien : http://www.lepetitjournal.com/:…. « En plus des villageois ou des personnes qui croisent notre chemin, nous tournons des scènes pour faire un film qui traitera de la liberté » …., on devine qu’une fois de plus nos deux jeunes trotteurs sont bien formatés pour perpétuer la nostalgie de la perte des colonies du Sud Est Asiatique de la France.

      • #151970

        Si, il en parle mais il confond le napalm et la dioxine.
        Et puis on visite le Suisse au Laos qui travaille pour un programme de déminage.
        Ils ont quand même réussi a coucher chez des habitants qui sont parfois très pauvres et faire du camping sauvage ce qui est dangereux et illégal.

        Ils ne comprennent pas que les coupes de bois faites au Laos sont généralement illégales. Le camion de bois vietnamien qu’ils rencontrent est probablement de la contrebande ; il y a très peu de coupes légales.

        ils ne comprennent pas que selon les lois anciennes, il faut déclarer les visiteurs à la police.

        Mais c’est la loi du genre : Eux n’ont rien truqué et se filment eux même. Et ce n’est pas si facile de faire un film et de le vendre.

        Sinon, il y a le genre « classieux » et gros budget comme le « Rendez-vous en terre inconnue » où Frédéric Lopez emmène Sylvie Testud au Tchad, chez les Goranes, nomades éleveurs de dromadaires en plein désert du Tibesti. L’art étant de les montrer tous seuls mais il y faut une excellente préparation, des interprètes, des caméramans, une logistique avec hélicoptère etc.
        Et on évacue les problèmes politiques.

        Ils sont plus dans le style « J’irais dormir chez vous » d’Antoine de Maximy ; ces truc sont tellement rigolo qu’on les repasse même si la situation politico-sociale du pays a complétement changée.

        Parfois aussi, le globe trotteur comme ce jeune Français en Inde disparait corps et biens.

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