il est dispo sur dailymotion le reportage
Dailymotion - Dictature, paranoïa, famine: Corée du Nord [1/4] - une vidéo Voyages
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Je suis surpris que tout le monde semble découvrir le sort tragique qui agite la Corée du Nord depuis très longtemps. Personnellement je n'ai pas attendu M6 pour me soucier de se problème. J'ai vu de nombreux documentaire sur la Corée du Nord. Personnellement je souhaite que cette dictature communiste tombe le plus vite possible. Je plains les pauvres gens qui vivent dans ces conditions. Difficile d'imaginer que des pays comme celui ci existe encore et pourtant ce n'est pas le seul...la situation de la Birmanie est a peu près comparable a celle de la Corée du Nord...
Il est évident que la doctrine du Juche doit tomber.
il était déclaré comme fils de chauffeur et était chaperonné par l'ambassadeur de Korée du Nord en Suisse. (source wiki english)
On le sait bien : la K du Nord est tellement démocratique que les fils de routier vont en école privé internationale.
Kim Jong-un - Wikipedia, the free encyclopedia
It is reported that he attended the English-language International School of Berne, Switzerland until 1998 under a pseudonym,[10] although this is disputed.[11] Other possible establishments include the Gümlingen International School or Liebefeld public school. His pseudonym at Gümlingen was "Pak Chol" and he pretended to be the son of a driver. An older student chaperoned him all the time. In Liebefeld, he told his friend Joao Micaelo that he was the son of the heir to the North Korea leader. The ambassador of North Korea in Switzerland, Ri Tcheul, had a close relationship with him and acted as a mentor while there. Switzerland has always stayed neutral between the North and South Korea conflicts. The Kim clan is said to organise family meetings at the Lac Léman and Interlaken. [12]
He speaks his native Korean, and is fluent in English and knows some German, Bernese German,[13] and French. He enjoys skiing and basketball and is a fan of Michael Jordan and Jean-Claude Van Damme.[10][11]
For many years, only one confirmed photograph of him existed, apparently taken in the mid-1990s, when he was eleven.[14] Occasional other supposed images of him surfaced but were often disputed.[15][16][17][18] It was only in June 2010, shortly before he was given official posts and publicly introduced to the North Korean people, that more pictures were released of Kim, taken when he was attending school in Switzerland.[19][20] The first official image of him as an adult was a group photograph released on 30 September 2010 at the end of the party conference that effectively anointed him, in which he is seated in the front row, two places from his father.
Je me demande si sur cette foto que jai googlée je ne sais où est le bonhomme à 65 ans, 60 ans, 50 ans, 40 ans
Avec sa bouche de travers, il a peut etre eu dejà un AVC
Mais si abgech ! C'est un rigolo, un humoriste, je viens de lire son wiki en Glish
Il est très people ! regarde le destin de sa fille unique :In June 2010, in a rare session of the Supreme People's Assembly, Chang was promoted to the Vice-Chairmanship of the National Defence Commission. The NDC is North Korea's de facto supreme decision making body.
Traduc express :Chang was born in Kangwon-do. He graduated from the Kim Il-sung Senior High School before leaving for Moscow, where he studied abroad between 1968 and 1972. Upon his return, he married Kim Kyong-hui, the younger sister of Kim Jong-il.[1] The couple had a daughter, Chang Kum-song (1977–2006), who lived overseas in Paris as an international student; she refused an order to return to Pyongyang and then committed suicide in September 2006, reportedly due to Chang and his wife Kim's opposition to her relationship with her boyfriend.[5]
Google Traduction
"Chang est né à Kangwon-do . Il est diplômé de l'Kim Il-sung Senior High School avant de partir pour Moscou , où il a étudié à l'étranger entre 1968 et 1972.
À son retour, il épouse Kim Kyong-hui , la sœur cadette de Kim Jong-il . [1] Le couple avait une fille, Chang Kum-chant (1977-2006), qui a vécu à l'étranger à Paris comme une étudiante étranger , elle a refusé l'ordre de retourner à Pyongyang et s'est ensuite suicidé en Septembre 2006, aurait dû à l'opposition de Chang et son épouse Kim à sa relation avec son petit ami."
Dernière modification par DédéHeo ; 28/10/2010 à 15h36.
un autre reportage qui suit des nord-coréens qui tentent de fuir leur pays
Han, le prix de la liberté
MEGAVIDEO - I'm watching it
Dernière modification par oanhmatth ; 17/11/2010 à 09h59.
En fait, le drame nord-coréen est beaucoup plus complexe qu'on y croirait, car étant lié au contexte stratégique de la région. Or, je pense que, le Vietnam se trouvait également dans la même situation, mais sa reconquête du Sud qui sera suivi de l'éviction du régime polpotiste, considéré comme satellitaire de Pékin au coeur du Sud-Est asiatique, et aussi sa judicieuse décision d'adhérer à l'ASEAN lui a permit d'échapper belle, et sortant ainsi d'un probable engrenage à la coréenne. D'ailleurs, son adhésion à l'ASEAN est aussi bénéfique pour toute la région, car ayant entrainé avec lui celle du Cambodge, Laos et Myanmar, ce qui représente un apport à la fois démographique et religieux. A savoir que, avant l'entrée du Vietnam, le bouddhisme, représenté par la Thaïlande, était largement minoritaire, et le nombre des habitants de tous ses pays membres réunis était inférieure à celui d'une grande province chinoise.
Source : Corée du Nord «Partir ou mourir d?épuisement» - LibérationMONDE 27/11/2010 À 00H00
Corée du Nord «Partir ou mourir d’épuisement»
INTERVIEW
La journaliste américaine Barbara Demick a suivi des Nord-Coréens réfugiés au Sud. Au travers de vies ordinaires, se dessine l’effondrement d’un pays.
Réagir
Recueilli par ARNAUD VAULERIN
Vies ordinaires en Corée du Nord de
Barbara Demick
Traduit de l’américain par Guillaume Marlière, Albin Michel 329 pp., 23 €.
Pendant huit ans, Barbara Demick, journaliste américaine du Los Angeles Times, a suivi une dizaine de Nord-Coréens qui ont fui leur pays et leurs proches pour rejoindre la Corée du Sud (1). Tous sont originaires de Chongjin, la troisième ville du pays, sinistrée par la famine des années 90 qui a fauché près de 2 millions de personnes. Assommés par la propagande et la misère, ils ont vécu une tragédie et ont tenté leur chance chez leurs frères du Sud, qui les considèrent comme des étrangers. Par le destin de gens ordinaires, Barbara Demick dresse le portrait d’un pays qui s’effondre, au moment où Kim Jong-un, troisième leader de la dynastie communiste, est intronisé par son père et alors que les deux Corées viennent d’échanger des tirs d’obus meurtriers sur une île du Sud (lire page 8).
Quel est l’état d’esprit des transfuges quand ils se retrouvent plongés dans une société de consommation où règne la liberté d’expression ?
La première réaction est un état de grande euphorie : ils arrivent dans des lieux superbes, équipés, où les gens vivent librement, consomment, où l’autre aussi est coréen, parle quasiment la même langue. N’oublions pas qu’ils ont été un seul et même pays. Puis, très vite, ils déchantent, car les deux pays sont devenus très différents. Avant leur séparation, les deux Corées avaient un niveau de vie similaire, c’étaient deux pays pauvres. Aujourd’hui, les Sud-Coréens méprisent ceux du Nord, non pas d’avoir été communistes, mais d’être pauvres et arriérés. Ils représentent leur passé. Il y a une fierté sud-coréenne d’avoir un appartement, une voiture, une bonne éducation, la possibilité de parler anglais, etc. Evidemment, les Nord-Coréens sont très différents. Chroniquement mal nourris depuis des années, ils mesurent en moyenne 12 centimètres de moins à 18 ans, qu’un jeune du Sud du même âge. Pour les trentenaires et les quadras du Nord, il est très difficile de s’en sortir en Corée du Sud. Ils sont majoritairement sans emploi. Les plus anciens, qui ont connu un seul pays, avant la partition de 1953, s’en sortent mieux. Ils ont partagé les mêmes chansons, les mêmes histoires, le socle commun entre ceux du Nord et du Sud.
Dans votre livre, vous racontez l’histoire folle de madame Song, une ouvrière dévouée, convaincue du bien-fondé du régime et de ses actions. Pourtant, elle quitte la Corée du Nord, découvre le Sud, refait sa vie, et en profite…
Elle a toujours respecté les lois. Longtemps, elle a cru que les membres de son entourage mourraient par sa faute, et non par celle des autorités. Mais quand elle a découvert que respecter la loi signifiait la mort assurée, elle a totalement changé. Elle s’est rendu compte que si elle ne faisait rien, elle allait mourir de faim et d’épuisement, comme beaucoup de membres de sa famille. A Chongjin, les habitants vivaient dans une jungle de béton et ne pouvaient rien cultiver faute de place. Il n’y avait pas assez de rats et de pigeons à attraper. Certains ont essayé de pêcher. Mais dans cette région, la mer est profonde et surtout, c’est interdit par les autorités, comme d’entreprendre la moindre activité privée. Ils ont mangé de l’herbe, des racines, des feuilles. Les enfants, les personnes âgées ont été les plus atteints, des familles entières ont été décimées rapidement. Madame Song a assisté à tout cela et a décidé de survivre.
Certains ressentent de la honte et vivent très mal d’être des transfuges…
Oui, ils éprouvent un sentiment de culpabilité, ce qui est propre aux survivants. Ils ont abandonné leurs parents, certains leurs enfants, qui souvent sont punis, internés dans des camps de travail ou des prisons parce qu’eux-mêmes ont fui. Ils ont beaucoup de difficultés à en parler directement, comme Mi-ran, cette jeune femme qui a déserté en 1998. Ce n’est que plusieurs années après l’avoir rencontrée que j’ai su que ses deux sœurs avaient été internées dans un camp et avaient disparu.
Quelle est la part de vérité des Nord-Coréens, entre ce qu’ils disent publiquement, et ce qu’ils pensent réellement ?
J’ai rencontré un mineur de charbon de Chongjin qui a été très explicite : «On ne parle pas de ce que l’on pense. Car les gens savent bien ce que leurs voisins et/ou amis pensent. Nous ne sommes pas stupides, nous n’avons pas besoin de parler de ça.» En fait, il y a un étrange phénomène dans ce pays. J’ai le sentiment qu’un grand nombre de personnes ne croient effectivement pas à la propagande, aux balivernes du régime. Et en même temps, nombreux sont ceux qui n’admettront jamais qu’ils n’y croient pas, car cela rendrait la vie insupportable. Mais tout cela est fragile, incertain. C’est un pays de non-dits. Même en Union soviétique, la situation n’était pas comparable. Il n’y a pas de réelle résistance organisée à ce régime, tout simplement parce qu’il est impossible de s’organiser politiquement, d’être un dissident en Corée du Nord.
De terribles famines avaient eu lieu lors de la succession entre Kim Il-sung et Kim Jong-il, au milieu des années 90. Aujourd’hui, une nouvelle transition est en marche, et le pays fait face à des disettes. L’histoire se répète- t-elle en Corée du Nord ?
Il y a effectivement beaucoup de déjà-vu dans la situation actuelle. L’année dernière, les autorités ont dévalué le won, la monnaie nationale. En fait, ils ont rappelé les billets en circulation. C’était un piège pour fermer le marché et confisquer l’argent des classes moyennes. La dernière fois qu’ils ont procédé de cette façon, c’était juste avant la mort de Kim Il-sung, le 9 juillet 1994. Ils l’ont fait pour empêcher un effondrement de l’économie, car la situation s’est sérieusement dégradée. Les réserves de vivres sont très proches des niveaux des années 90. Le régime essaye à nouveau, comme à cette époque, d’effectuer une nouvelle transition. Beaucoup de gens disent que les Nord-Coréens sont imprévisibles, mais au final, ils ne font jamais rien de très original. Ils font émerger un nouveau leader qui est nommé à de hautes fonctions dans les instances militaires et politiques, puis la propagande se met en route.
Kim Il-sung, fondateur de la Corée du Nord, puis son fils Kim Jong-il. Et maintenant le petit-fils, Kim Jong-un… Que disent les Nord-Coréens de cette succession dynastique ?
Ils ont entendu parler de Kim Jong-un il y a plus d’un an. La propagande du Parti des travailleurs était déjà à l’œuvre. La légende urbaine racontait que Kim Jong-un avait intégré anonymement une unité militaire secrète et partageait les repas, les exercices et les souffrances des soldats, pour voir le système de l’intérieur, se rendre compte de la réalité quotidienne des Nord-Coréens. Lors de cours organisés par le Parti des travailleurs - en fait des leçons idéologiques obligatoires -, on a commencé à parler aux Nord- Coréens d’un nouveau et jeune général, très mystérieux, qui aurait de nouvelles idées, qui allait se servir des nouvelles technologies pour sauver le pays. Son nom n’était jamais cité, c’était une bonne manière de renforcer son charisme. Il y avait un aspect mythique. Ils avaient procédé de la même manière avec Kim Jong-il, avant de le mettre progressivement en scène, au milieu des années 90. Le nom de Kim Jong-un a été rendu public en septembre. Il suffit d’observer les photos de lui avec une Rolex au poignet, pour constater qu’il n’a jamais vécu le quotidien des Nord-Coréens. Mais c’est une part de la mythologie que le régime entend véhiculer sur le prochain leader.
Comment les réfugiés envisagent-ils l’avenir de leur pays ?
Quand les gens s’échappaient dans les années 90, ils pensaient que le pays allait s’effondrer en quelques années. Ceux que j’ai rencontrés récemment ne sont plus vraiment convaincus par ce scénario, bien que le régime semble très fragile. La Chine a clairement approuvé et soutenu la dernière succession, a participé au dernier grand défilé, pour le soixante-cinquième anniversaire de la création du Parti des travailleurs, début octobre, en envoyant un membre du politburo. Elle a également reçu Kim Jong-il à deux reprises ces derniers mois. Elle fera tout pour maintenir la Corée du Nord à flot. Et la coopération continue. La police secrète nord-coréenne est autorisée à franchir la frontière pour s’emparer des transfuges. De leur côté, les Chinois renvoient en Corée du Nord tous ceux qui tentent de fuir. Pékin ne les considère pas comme des réfugiés, mais comme des migrants économiques et cette distinction est très importante : selon les lois internationales, un réfugié peut bénéficier d’une protection, pas un migrant qui peut être renvoyé.
Quel est l’intérêt de la Chine à entretenir cette collaboration ?
Les Chinois ne souhaitent pas voir la Corée du Nord s’effondrer. Ils savent que cela déstabiliserait toute la région et ne résoudrait rien aux problèmes de la Corée du Nord. Pékin veut que Pyongyang réforme son économie car il redoute que l’influence américano-sud- coréenne s’installe à sa frontière en cas de réunification de la péninsule. En règle générale, très peu de pays souhaitent un effondrement du régime nord-coréen. C’est le cas des Etats-Unis, qui perdraient là toute excuse pour justifier la présence de plusieurs dizaines de milliers de GI sur la péninsule. De son côté, le Japon perdrait beaucoup d’influence dans la région. Et enfin, la Corée du Sud ne souhaite pas payer la note pour ces retrouvailles. Le statu quo satisfait tout le monde.
Dernière modification par Bao Nhân ; 28/11/2010 à 10h31.
Bảo Nhân : fascination, impression and passion
Source : ICIUn site de rencontres sud-coréen «marie» Kim Jong-un
Quatre femmes sud-coréennes inscrites sur un site de rencontres se sont vues récemment proposer comme profil d’homme compatible un drôle de choix: Kim Jong-un, fils de Kim Jong-il et futur leader de la Corée du nord. Couple.net a en effet choisi de créer un faux profil au nom du jeune homme en guise d’idée promotionnelle en vue du «White Day», une fête prévue le 14 mars où les hommes sud-coréens offrent des sucreries aux femmes qui leur ont, elles, donné des chocolats pour la Saint-Valentin.
Les quatre femmes ont été choisies par le site parmi 36 profils sélectionnés par un algorithme. Le New York Times les a retrouvées et les a interrogées, celle qui avait le plus fort taux de compatibilité refusant de répondre. Kim, une jeune femme de Séoul qui a passé son adolescence aux Etats-Unis, explique ainsi:
«Je me suis senti flattée d’avoir été sélectionnée. Je me suis dit: “Cool. Cela veut dire que tu fais partie de l’élite.” S’il était sud-coréen, il ferait partie des 1% d’hommes les plus convoités.»
Une autre jeune femme, qui enseigne les arts plastiques, explique:
«J’ai entendu que Kim Jong-il est vraiment intéressé par les arts et le théâtre, et en partant du principe que Kim Jong-un a hérité de cet intérêt, en tant que professeur d’arts plastiques je partagerais une passion avec lui. Néanmoins, j’ai vu que les médias le dépeignaient comme quelqu’un d’hostile et radical, et cet aspect-là ne m’attire pas.»
Beau parti
Pour arriver à «marier» les profils, grâce à ce qu’il appelle «l’indice âme soeur», Couple.net analyse les professions de ses clients, leur éducation, la fortune de leur famille, l’éducation de leurs parents... «A la fin, il a attribué un score de 89 points à M. Kim, ce qui le classerait dans les 2% de célibataires les plus désirables de Corée du Sud. En d’autres termes, le jeune général est un vrai beau parti», explique le New York Times.
Un beau parti, peut-être, mais en tout cas environné de mystère, au point que l’on ne sait pas si sa date de naissance est le 8 janvier 1982 ou 1983. En octobre dernier, nous relayions ainsi des interrogations du Spiegel sur une photo supposée de Kim Jong-un lors de sa cérémonie d’intronisation comme général quatre étoiles, en septembre:
«Le journal allemand a interviewé un expert en recherche faciale, le faisant comparer plusieurs photos censées représenter Kim Jong-un dans sa jeunesse, passée en partie dans une école suisse, et la dernière en date du jeune homme en uniforme. D'après l'expert, il y a "une forte probabilité que [ces photos ne montrent pas] la même personne. Soit Kim Jong-un n'est en fait pas le jeune homme parti étudier en Suisse et dont le portrait pris là-bas a été publié partout, soit l'homme joufflu qui vient d'être élevé au grade de général quatre étoiles de l'armée nord-coréenne n'est en fait pas Kim Jong-un".»
Fin décembre, nous nous interrogions également sur un mystérieux tableau de propagande d’une galerie de Rajin, censé selon certains représenter Kim Jong-un, ce qui est loin d’être sûr.
Photo: Kim Jong-un, le 11 octobre 2010 à Pyongyang. REUTERS/Kyodo.
Bảo Nhân : fascination, impression and passion
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