Votre ville préferée au Việt Nam

Allez, je m’ y colle…

Ma préférée : Dalat.
Il y a un climat idéal (« La ville de l’ éternel printemps ») qui est très agréable (pas trop chaud, pas trop froid). Ce climat permet de donner des fruits et légumes magnifiques et très bons. De splendides fleurs aussi. La ville est entourée de pinèdes et il y a des paysages sympas. J’ aime bien la taille de la ville et l’ ancienne « ambiance » française par les nombreuses maisons de l’ époque est plutôt plaisante.

Celle que j’ aime le moins (je ne la déteste pas non plus) : Saigon.
A cause de : la chaleur étouffante, la circulation, la pollution, le peu d’ espace vert.

la ville que j’aime le moins dalat:on est en haute savoie..c’est là que qu’un guide viet francophone m’a fait visiter le village d’une minorité déplacée en rentrant sans frapper dans les maisons pour que que je fasse des images (je ne les ai pas faites)Je lui ai raconté que les viets aussi en france avaient été exposés comme des des animaux étranges dans les expositions coloniales et que son comporteent risquaitde choquer les touristes occidentaux
Saigon pollluée etc tout ce qu’on voudra mais le peuple de saigon…le sud quoi ouvert et frondeur

J’aurai un petit penchant pour Hoi An:
Quand il y a moins d’eau:

Mer, rivière et campagne sans oubliier la vieille ville classée UNESCO
Dommage un peu trop d’animation à certaines périodes de l’année mais on ne peut pas tout avoir.
J’oublie, temple de la gastronomie avec ses spécialités uniques…

Bonjour à tous

Pour moi, ma préférée, c’est Hà Nôi car on peut y trouver un peu tout, mais la ville que je déteste? pour l’instance aucune idée, alors il faut attendre la rentrée de mon prochain voyage.

PS : Nhà Tràng, merci pour les photos.

J’ai habité 5 ans dans le Nord et en bonne partie à Hà Nội, que j’adorais.
Quand j’y suis arrivé, il n’y avait que des vélos et peu de mobylettes, et puis de voitures que quelques Volga russes et des Watt, et puis ca a été un peu plus encombré, pour en arriver à aujourd’hui, qui s’arrête dans un embouteillage quasi-permanent.
J’en suis parti à l’autmone 97. Les rues étaient belles, le soleil d’Octobre et la fraicheur baignaient le petit lac, et je prenais tous mes petits déjeuners à un café sur la berge, pendant trop de temps, avant de rejoindre le boulot. Je roulais sur une Jawa 65, une belle mécanique souple que j’appelais Grand-mère. On circulait le soir au calme pour prendre un peu de frais avec le vent de la course –comme tout le monde.
J’étais trop triste de quitter Hà Nội, qui se faisait belle pour accueillir en Novembre le sommet international de la francophobnie.

Mais c’était pour arriver à Cần Thơ, que j’aimais aussi beaucoup. Autant j’avais travaillé à Saigon, d’un hôtel, sans jamais m’y sentir chez moi –je rejoins Rosco: pas de haine, mais pas d’amour– autant Cần Thơ, que je connaissais d’assez longue date, me paraissait un bon point de chute. Tout de suite dans le travail, et pendant 2 ans j’ai très peu profité de la ville. Mais une fois le projet en place et sur des rails, j’ai pris plus de temps pour connaitre l’endroit. Les gens y sont accueillants, surs qu’ils sont de toujours manger demain (pas étonnant avec le delta autour), et ils négocient peu: pas ou peu d’arnaques, il y a des **** comme partout, mais auxquels on peut tourner le dos et ils ne vous rattrappent pas. Pour le reste une ville de bonne humeur.
J’y ai des amis, des vrais, et parmi toutes les tranches de la société, d’un colonel déchu de la 9ème armée à un chef d’entreprise d’état humain, à un moine franciscain de passage une fois par mois, au plus sympa des mécaniciens au monde, et j’y ai trouvé le gout à monter des équipes qui tiennent ensemble parce que leurs membres tiennent les uns aux autres. Je n’avais jamais pu trouver avant au Vietnam de vraie amitié au sens ou je la cherchais, avec connivence. Ici, ca marche.

Mes villes honnies, hors Nha Trang dont le mirage a couté la vie à mon ami Nicolas, sont sans doute Vũng Tàu, monde corrompu par la manne pétrolière, foyer, brasier de drogue et de prostitution –mais ca, c’est difficile d’y échapper où que ce soit– mais aussi un pôle d’inégalités notoire; et bien sur Việt Trì, ou, pardon Anh Minh, je ne suis passé qu’une fois, mais ou l’ambiance de putréfaction sociale m’a pris à la gorge. Immenses avenues soviétiques bordées de HLM en décrépitude, des gens qui vivent évidemment mal une société sans avenir (c’était en 96)…

Un ami proche qui vient d’une de ces villes moyennes du Nord, à 30 ans, est –tenez vous bien– le seul survivant du groupe d’élèves de sa classe de 5ème: tous sont morts d’overdose, de Sida ou dans la violence. Tous. Il boit une bière avc moi l’autre soir, en regardant ailleurs, et il me dit qu’il a conscience que c’est injuste. Pourquoi lui? Il a su partir faire ses 3 ans d’armée quand ca a commencé à déraper, puis venir au Sud. C’est sur, les Tuyên Quang, les Bắc Giang, les Cẩm Phả, ce n’étaient pas des villes d’avenir.

Oui, on peut détester une ville.

Nem Chua, ton récit m’émeut litéralement. Tu as beaucoup de chance d’avoir connu Hà Nôi du début des années 90. J’ai eu l’occasion de faire connaissance de certains mecs qui faisaient partie des premiers touristes occidentaux arrivant à Hà Nôi dans la même époque, ils m’ont raconté avec émotion et nostalgie les même scènes que tu viens d’écrire.

Je suis allé au Vietnam la première fois en 2003, j’ai passé 10 jours à Hà Nội qui est déjà devenu un grand marché à ciel ouvert et ce qui m’énerve le plus c’était l’embouteillage, la polution et aussi les bateaux restos sur le Hồ Tây, je crois qu’ils ne doivent pas compter sur moi pour que je vienne manger chez-eux un jour.

A+

Ma ville preferee sans aucun doute est et restera toujours Sapa. Ici les gens sont sympas et il n’y a jamais d’embrouille contrairement a Hanoi.
Le climat est egalement bien plus agreable pour le vosgien que je suis

Chao cac ban ! euhhhh faites pas gaffe auc fautes hein !…. sinon :girlbad: oui effectivement sympa Sapa :humour: non serieusement manque de temps je n’ai pas pu visiter sapa et ses environs , mais c’est prévu lors de mon prochain voyage . Alors parmis les villes que j’ai visité et bien contrairement à certains sur le forum je crois que j’ai préferé Nha Trang …et oui , peut etre parceque j’aime la mer :scratch: non :tcon: bha je ne sais pas j’aime bien sa plage , sa campagne , ses iles …il faut dire que quand j’y etais il faisait pas loin des 35° mais a vrai dire j’ai du mal à expliquer le pouvoir d’attraction qu’a eu Nha Trang sur moi …peut etre aussi le fait que je sois un latin …. Je compte bien y tenter quelque chose un jour et la concurrence ne me fait pas peur … au contraire ça va me motiver héhéhé ! Sinon j’ai bien aimé aussi Dalat , Hué , les villes du Mékong ….mais aussi toutes les autres .. pfff trop dur comme choix !

La ville que j’aime le moins ?! Je crois qu’aucune ville ne m’a déçu … bha non … j’ai beau chercher , chaque ville a son charme …ses spécialités , et chaque quartier …son âme ! mais bon …je dois avouer que j’ai voyagé dans de tres tres bonnes conditions et que je n’ai rencontré aucuns pépins quel qu’il soit ! Je sais c’est un peu bateau comme réponse mais bon …..that’s life ! Et oui j’ :love: le Vietnam dans son integralité … enfin je me permet de dire ça parceque je n’y vis pas encore …et que je n’y suis allé qu’une seule fois , remarquez que je précise bien « pas encore » apres …. mon point de vue sera certainement different et j’aurais une préference pour l’une ou pour l’autre …mais pour l’instant j’ai aimé tout les endroits par lesquels je suis passé . sur ce…. ciaociao et…. hen gap lai ! :icon40:

Une rue des étrangers au cœur de la ville

Il y a 100 ans, le célèbre docteur français A.Yersin a choisi Nha Trang pour y vivre et y mourir. Actuellement, une rue des étrangers se forme au cœur de cette ville balnéaire.

Si vous voulez une pizza, allez à La Bella Napoli, de la viande d’agneau fumée, au Good Morning Vietnam, des plats occidentaux, au Coq Français, au Turkish Restaurant, au Rainbow Bar ou au Sailing Club… Tous ces restaurants sont installés dans une rue d’un kilomètre de long environ, qui relie la rue Lê Thanh Tôn, en traversant Trân Phu, Hùng Vuong, Nguyên Thiên Thuât, aux rues Biêt Thu et Trân Quang Khai. Les habitant locaux l’appelle « phô Tây » (Rue des étrangers). Ils ont raison ! Les visiteurs de ce quartier sont pour la plupart des étrangers à qui manquent les plats occidentaux dans cette ville orientale.

De plus, les panneaux et affiches dans cette rue sont écrits soit en anglais, soit en français, sinon en italien, en espagnol et en sud-coréen. La cafétéria Mecca situé au carrefour Hùng Vuong-Trân Quang Khai en est un exemple. Tout y est expliqué en vietnamien et en anglais, du nom du restaurant jusqu’à son menu. Même la décoration intérieure ressemble à la terre sainte de Mecca.

Aux dires de Hai Bich, une habitante de la rue Biêt Thu, il y a une quinzaine d’années, ce quartier ne disposait que de quelques auberges. Puis, les « routards » se sont donné les uns les autres ces adresses et le nombre de touristes étrangers venant dans ce quartier s’est accru, entraînant l’apparition d’hôtels, de restaurants, de cybercafé, de boutiques de souvenirs et d’agences de voyages. Tout est offert au service des clients étrangers.

Actuellement, cette rue est devenue une destination connue des étrangers visitant la ville. « La vie dans cette rue commence à s’animer à partir de 19h00 », raconte une habitante du quartier. « La nuit, la rue demeure plus animée, mais pas bruyante, comme le caractère des occidentaux », a confié un Suisse qui fréquente ce quartier où il peut trouver de « vraies saveurs occidentales ». Pour les étrangers aimant la vie nocturne, le Sailing Club est une adresse très connue. Établissement autorisé à rester ouvert jusqu’à 03h00 du matin, on y peut goûter tant des plats asiatiques qu’européens, et même indiens, ou boire toutes sortes d’alcools et danser à volonté.

Terre accueillante pour les commerçants

Les étrangers vivant et travaillant à Nha Trang résident essentiellement dans le quartier Lôc Tho où se trouve la Rue des étrangers. La plupart d’entre eux se lancent dans le commerce et l’investissement, en respectant la loi vietnamienne et en remplissant leurs devoirs fiscaux. Le patron du Sailing Club est un Australien résidant dans cette ville depuis les années 1990. Son restaurant rapporte chaque année un chiffre d’affaires de 20 milliards de dôngs, contribue au budget d’État pour 3 milliards de dôngs et emploie quelque 90 travailleurs.

Presque tous les établissements commerciaux à participation étrangère dans ce quartier dispose de leur propre site web. En mettant les clients au centre de leurs intérêts, les patrons étrangers ont laissé de bons souvenirs à leurs clients qui, par la suite, donneront ces adresses à leurs amis. C’est la publicité la plus efficace et la plus rapide, selon les investisseurs étrangers à Nha Trang.. La rue des étrangers à Nha Trang a contribué à créer une physionomie typique dans cette ville balnéaire. Au point de vue commercial, la présence de commerçants étrangers incitera leurs homologues locaux à développer leur commerce et à s’intégrer davantage à l’économie mondiale.

Par Lê Hanh – Le Courrier du Vietnam – 23 Avril 2006

Quelle tristesse ! Aller au Vietnam pour y manger une pizza ! :tcon:

Ah oui, mais quand on y est, un bon Calzone juteux avec des champignons des bois! :je_sors:

(pour la petite histoire, à côté des plats vietnamiens qui forment bien sur la quasi-totalité de notre production, nous faisons aussi des plats occidentaux pour les expat’, ou pour les touristes en fin de voyage qui ont maigri par manque de gôut pour la –pourtant succulente– cuisine vietnamienne)

Can tho sans hésiter Faut dire que Nha trang c’est aussi une magnifique ville et qu’a Dalat il fait trés froid pour les vietnamiens

Avant qu’elle ne se développe trop.
Pourquoi ? Ben c’est là qu’il y a peu de touristes, qu’il y a plein de projets humanitaires à visiter, plein de maisons d’accueil d’enfants dans les papattes avec qui jouer, de l’espace, de l’air qui circule dans les rues et son penchant côtier avec ses belles plages pas encore trop bétonnées par les complexes touristiques et sa proximité avec les montagnes de marbre et Hôi An.

Et si la plus belle ville était celle qu’on n’a pas encore visitée? Laissons un peu de place à l’imagination…
Sinon on va se retrouver a regarder « les 100 plus belles villes du vietnam » un soir sur TF1…