Giac mo la cong nhan (Rêves d’ouvrières)

Chaque matin, ces filles de la campagne venues chercher fortune à Hanoï sont des milliers à quitter la banlieue pour se rendre à pied, au milieu des voitures et des motos, à leur travail ou à la recherche d’un emploi au pays de Cocagne, la florissante zone industrielle japonaise.
Kien

Kien a été chassé des Beaux-Arts de Hanoi parce qu’il était séropositif. La peinture est devenue son refuge. Ses amis essaient de lui témoigner leur compassion, mais la douleur ne se partage pas. « Si nous pleurons dans un même verre, les larmes ne se mélangent pas ». Le film est comme ces amis, il aimerait témoigner, il est convaincu que si les gens connaissaient l’histoire de Kien, ils cesseraient de le rejeter, le regard sur sa séropositivité changerait, et que si sa souffrance était mieux connue, elle s’en trouverait d’autant atténuée.
Source : [FONT="]cinereel.org/[/FONT][FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]
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