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Ou bien tu mets les bouteilles dans un grand seau d’eau, tu me le grand seau d’eau à l’ombre et tu change l’eau de temps en temps….
A condition que tes bouchons ne soient pas en liège comme l’a fait remarquer Robin des bois !Moi je dirais tout dépend du vin.
Le vin blanc ou le rosé peuvent se garder au froid plus « longtemps », par contre (en général), le rouge perd de sa saveur quand il reste trop longtemps au vrai froid. Tout dépend aussi de la durée…Tu entends combien de temps par « quelques mois » ? Et tout dépend aussi du degré de froideur du frigo (à ne pas mettre au maximum, vers 1 ou 2 maximum). Je dirais garde le vin rouge au placard et met le au froid avant de le consommer, histoire qu’il soit « frais » juste comme il faut et pour le vin blanc (comme le vin d’Alsace par exemple) tu peux le garder au frigo un mois.
De manière général, 1 mois au frigo ou au placard (à l’obscurité c’est mieux, oui) ça va. Sinon : à l’obscurité et l’endroit le plus frais possible et quelques heures au frigo avant de le déguster.
Si jamais tu veux faire ça de manière régulière et pour des plus longues durées, il reste les caves à vin (genre de frigo) qu’on peut acheter. Mais c’est un investissement.
Peut être que tu peux essayer la technique du linge mouillé, mais je suis pas sure que ce soit très efficace et puis il faut s’en occuper souvent : tu entoure tes bouteilles d’un grand linge (type vieux drap) sombre tu le mouille avec de l’eau froide et tu l’humidifie régulièrement. Par contre, je te garantie rien : j’ai encore jamais essayé à SG !Coucou Helène !
Je viens de lire ta présentation, et c’est marrant, on a le même âge, et une situation qui présente des similitudes flagrantes (aux vues des discussions que l’on a partagé sur la place du fils dans la famille, la vie d’une occidentale au VN…).
Seras-tu encore au VN cet été ? Si oui, est ce que tu « rentreras » (comme on dit en vietnamien) au Sud ou tu as prévu de rester tout le temps sur HN ?
Je suis aussi étudiante et je vis « le cul entre 2 chaises » si je puis me permettre cette expression, puisque je passe 1/4 à 1/3 de l’année chez mon mari (vietnamien) à Sai Gon. Donc j’y serai cet été… Et ça me ferait plaisir de te rencontrer, pour discuter, échanger des impressions etc…si ça te dit aussi, bien entendu…Voici mon blog, au cas ou ça t’intéresse : vietn-ame.over-blog.com (ça parle de ma vie au VN en tant qu’occidental perdue chez les Vietnamiens…) et si ça peut t’aider dans d’éventuelles tourmentes et chocs culturels…
Bonne découverte du VN !!!
Coucou Galoo !
Est ce que tu nous donnera à lire ton mémoire ensuite ? Parce que ça à l’air très interessant.
PS : tu fais quelles études et ou ? Managment interculturel à l’ISIT ou …. ? (je te demande ça parce que je suis dans une phase « orientation » pour mes études…En tout cas, merci de ta réponse !Merci beaucoup ! Cependant, à part des cours à l’université je n’ai pas trouvé s’il proposait des cours pour amateurs…Est ce vrai où est ce que je n’ai pas fait assez attention ?
Merci thuong19 pour ta réponse qui donne des éléments de réponses et un peu plus de dynamisme et de persévérance !
Dans l’absolu, je voudrais m’orienter vers une formation du genre « responsable de projet culturels ou de coopération » à l’international mais vu que je n’ai pu obtenir un stage dans ce domaine, je ne sais pas concrètement ce que sont les réalités des différents métiers que recouvrent cette appellation. Sinon, pourquoi pas urbanisme ? Mais là, pareil, aucune idée concrète du métier… Parce qu’aucun organisme ne m’ouvre ses portes, même sans rémunératios et pour une courte durée….
Par curiosité, dans quels domaines travaillent les expats que tu connais et qui sont diplomés de sciences humaines ? (pour voir quelle genre de porte ça peut quand même ouvrir…)@thuong19 130462 wrote:
salut Xuânvui,
Ton mari peut dans un premier temps venir en tant que FFI en France. Les hopitaux français manquent et vont manquer d’anesthésistes.
Si votre projet est de vivre en France, rien ne l’empêche de repasser son doctorat en France (si cela t’intéresse je te donnerai plus de précisions et te mettrai en rapport avec 2 médecins viêtnamiens qui ont suivi cette filière pour vivre leur métier en France).Mon mari a déjà fait 1 an de stage en tant que FFI il y a 3 ans. Il postule cette année pour essayer d’obtenir un second stage, mais c’est pas gagné malheureusement (on aura la réponse la semaine qui vient). Et on ne sait pas par quel canal passer pour qu’il puisse venir et bosser comme FFI sans que cela rentre dans le cadre de la coopération. Quant à repasser son doctorat….Il n’a pas de doctorat au VN (si on traduit, il a juste un master…Mais ca fait 11 ans d’études quand même !) mais est partant pour en faire un en France si ça peut lui permettre d’exercer correctement son métier. Du coup, je suis preneuse de tout renseignement et contact qui puissent nous aider ! Et merci beaucoup de ta suggestion ! Donc si tu es toujours d’accord, je veux bien que tu me mettes en rapport avec ces 2 médecins vietnamiens dont tu parles…
Encore merci beaucoup !
Le concubinage entre Vietnamiens/nes existe et se « généralise » de plus en plus, on appelle ça sống thử. Cependant, ça reste un fait encore marginal pratiqué par les jeunes générations (on s’en doutait !).
Sinon, pour avoir des relations plus qu’amicales hors cadre du mariage, il y a biensûr les « traditionnelles » relations extra-conjugales, pratiquées le plus souvent dans les nha nghi (genre d’auberge, au statut inférieur à celui d’hotel) où l’on peut payer à l’heure (tarif pour une heure, 2 heure ou la nuit) et c’est généralement là que se retrouvent les amant(e)s et les jeunes couples qui n’ont pas encore officiellement droit à l’intimité. Ces nhà nghi, à la différence des hotels -khac san- à peu près dignes de ce nom ou tout du moins présentés tels quels, ne requièrent pas que le couple soit marié pour pouvoir y venir dormir (c’est souvent écrit dans le règlement des hotels…)Par contre être hébergée chez l’habitant n’est pas interdit, comme l’a bien dit Frère Singe. Je le fait à chaque fois que je suis au Viet Nam sans jamais aucun problème.
@calimero 130439 wrote:
tout dépend de la femme vietnamienne…
CaliméroIl est vrai que les degrés de « difficulté » (au sens de khô) varient d’une femme à l’autre, d’un milieu à un autre et d’un mari à un autre mais n’empêche, elles subissent globalement une sacrée pression sociale et familiale.
@calimero 130439 wrote:
Ce n’est que mon avis mais j’ai l’impression que les femmes viets assurent et assument plus que les hommes, pour le reste ce n’est que du folklore, l’ainé mâle ce n’est que pour prolonger le nom de la famille:jap:
CaliméroTout à fait d’accord…
Coucou Hélène !
Moi je vis un peu ta situation dans la mesure où je suis mariée à un Vietnamien, on vit ensemble au Viet Nam (en tout cas quand on se voit vu que lui travaille là bas, moi je finis mes études en France) et je dois te dire qu’on a apparemment toutes les deux de la chance parce que les familles de nos compagnons sont ouverts, néanmoins ça n’a pas empêché la mère de mon mari de me dire la veille de notre mariage qu’elle aurait préféré que son fils se marie avec une vietnamienne.
De surcroit, rien que la perspective qu’il parte vivre en France la terrifie et l’angoisse au plus au point parce que, « son fils a des obligations envers sa famille » (ce sont ses mots) alors que jusqu’à maintenant, le fils en question vit à 1000 km de ses parents qui eux, vivent à 100m d’une de leur fille. C’est aussi que l’on appelle quand il y a un pb dans la famille (autre enfants en couple qui veulent divorcer : on appel le fils pour qu’il fasse pression pour que sa soeur/son frère ne divorce pas., pour que la mère cède une volonté du père etc…)
Mon mari est le seul fils, il a 3 soeurs. Autant te dire que même si dans la réalité, le fils veut s’émanciper de ses « devoirs filiaux », ce n’est pas si simple… Le prestige d’un fils, de surcroit d’un fils unique est un peu dur à porter, je trouve…Même s’il y a aussi des avantages aussi.Bon courage, la place de la femme au Viet Nam n’est déjà pas facile, et celle de la place de la femme occidental en couple avec un vietnamien au Viet Nam ne l’est pas plus.
Si tu veux en discuter, envoie-moi un MP. Je suis devenue une « spécialiste » du sujet, si je peux dire…Coucou !
Moi j’ai passé deux mois avec 4h de cours par jour à l’université des sciences humaines (Truong Dai Hoc khoa hoc xa hoi nhan van) à HCM Ville et c’était génial. Les profs sont très très bien et très très compétents, les méthodes très adaptées, les cours variés..Bref. J’étais en niveau avancée mais je sais par d’autres étudiants que même les niveaux débutants sont aussi satisfaisant.
Personnellement, je trouve ces cours encore plus satisfaisant qu’à l’INALCO (Langues’O) où je suis aussi étudiante.
En plus, tu te retrouves avec plein de gens (coréens pour la plupart, japonais, mexicain, philippins, américains…) et c’est très enrichissant et rafraichissant comme expérience.
Il existe aussi, sur la rue Vo Thi Sau un genre d' »institut » (pas encore digne de ce nom) qui propose des cours pour les étrangers, mais personnellement, j’ai trouvé mon compte à SG et pas la peine d’aller voire des cours privés. Enfin, tu peux chercher sur Vinalor, entreprise basée à SG dont je connais l’un des fondateurs et qui me semble aussi de bonne qualité (mais je n’ai pas testé…).
Chuc ban may man (bonne chance !)je me permets d’ajouter que ce que t’as dit cette femme sur ce qui semble être certains traits de la culture féminine vietnamienne ne sont 1-pas généraux et 2-absolument contestable.
Pour avoir été et être toujours la confidente de plusieurs vietnamiennes, je peux assurer que l’âge d’un homme ainsi que son argent n’est en rien un critère « sans importance »… cf les nombreux mariages entre femmes vietnamiens et coréens dont la plupart sont des actes désespérées de femmes vietnamiennes pour essayer d’échapper à leur condition de femmes au Viet Nam. (ce qui est un leurre total – cf articles dans la presse vn et occidentales)
Ensuite, pour être mariée à un vietnamien et vivant au VN, je suis très au courant des différences culturelles dans un couple, et particulièrement au sein d’un couple franco-vietnamien et je dois dire que les chocs culturels dû aux codes/repères différents, à la langue, à la condition de vie etc… C’est une chose… qu’il ne faut pas non plus confondre avec la personnalité et le caractère de la personne. La question de la frontière entre ce qui est du ressort de la personnalité et ce qui est du ressort de la différence culturelle n’est jamais facile à trouver, mais attention à ne pas tout excuser par « différence culturelle ».Et si je peux me permettre, aimer à tout prix ne rend jamais service.
21 mars 2011 à 16h42 en réponse à : Associations humanitaires à Saigon intéressées par bénévoles occasionnels? #133388Sinon, il y a toujours la maison « may man » (maison chance) montée par une Suisse à Saigon et qui « recrute » des volontaires, à conditions d’avoir vraiment la tête sur les épaules en ce qui concerne 1 : le travail demandé et 2 : le concept d’humanitaire (partir pour les autres et non pas pour soi-même.)
On trouve les cordonnées et + en tapant nhà may man ou maison change Ho Chi Minh ville sur Google.Ah oui, et il s’agit d’un orphelinat et de rééducation pour des personnes physiquement handicapées (voire mentalement aussi, si je me souviens bien…)
Personnellement, moi je suis partie 2 mois toute seule, à 18 ans, (et j’ai réitéré à 20) et je n’ai absolument rien eu et je n’ai pas du tout voyagé avec des occidentaux (d’ailleurs, je n’en n’ai rencontré aucun sur mon parcours, sans que je fasse du trek… Juste voyager avec et chez la population)
Et je peux certifier que c’est le meilleur moyen pour vraiment voyager.
Il ne faut évidemment pas se mettre en danger, mais au Vietnam, et c’est malheureux, la vie d’un étranger à parfois plus de valeur que la vie d’un Vietnamien (à cause de la peur des représailles notamment).
Donc franchement, pour 2 filles qui ne voyagent pas en groupe et seulement pour 7 à 10 jours….Vous ne craignez pas grand chose…Est ce que quelqu’un d’autre l’a lu et peux me dire ce qu’il pense sur ce livre ?
Et est ce qu’il y a parmi vous des gens qui sont déjà parti au VN en possession de ce livre et qui seraient en mesure de me renseigner sur l’utilité, la pertinence et la justesse de ce bouquin ?
10 euros c’est pas grand chose, mais c’est juste histoire de savoir quel(s) livre(s) choisir….Merci !
Voilà, les procédures sont passées et nous nous sommes mariés !!!
Juste une petite information concernant le certificat de santé mentale :
il faut que sa traduction elle aussi soit faite au moins 22 jours avant le mariage.
Et effectivement, pas besoin de l’acte de naissance !
Donc si on résume, on a , en ce qui concerne ce que demande les autorités vietnamiennes de :
– la copie certifiée conforme des deux premières pages du passeport et leur traduction
– le certificat de santé mentale – daté de plus de 22 jours- et sa traduction – datée elle aussi de plus de 22 jours avant le mariage
– le ceritificat de capacité à mariage et sa traduction en vietnamien
– le certificat de célibat ( je me rappelle plus le nom exacte là tout de suite !)
et sa traduction en vietnamien.Et c’est « tout » !!!
Bonne chance pour les prétendant(e)s suivant !
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