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bonjour à tous,
En voici le nouveau lien de Kim Van Kieu- par Ng v-Vinh.
https://www.mediafire.com/?mi528j396pb8idzBonne lecture,
bonjour à tous,
Spécial Indochine éditée par le magazine GeoHistoire « avril-mai 2014 » à feuilleter.bonjour à tous,
Un KIM-VAN-KIEU traduit en FR par René CRAYSSAC, repaginé, revu, vérifié entièrement que vous pouvez trouver ici:Kim-Van-Kieu en FR_b
bonne lecture,18 février 2014 à 20h28 en réponse à : Kim-Vân-Kiêu Fr-Vietnamien de Ng Van-Vinh-pdf repaginé #159228bonjour à tous,
Le même Kim-Van-Kiêu de Nguyên van Vinh en 1943, complet, revu et vérifié minutieusement toutes les pages pour qu’il soit identique à l’original en format pdf, est disponible avec ce nouveau lien.
Kim-Van-Kiêu 1 Ng-van-Vinh 1943cKim-Van-Kieu_1 Ng-v-Vinh 1943_c
bonne lecture,
Musique de la danse de la Licorne, tambour, pétard…. à ne pas manquer pendant la fête.
https://www.mediafire.com/?ztf6kl53px1qwnr
attention: Bể lỗ tai , casse les oreilles ! lũng màng nhĩ: crève les tympans !
17 décembre 2013 à 19h15 en réponse à : Indochine française de Henry MARC et _P. CONY (repaginé) #158584@zaoky 159091 wrote:
Bonsoir sgn3vlg, je l’ai quelque part, faut juste que je le retrouve, si vous êtes patient je vous envoie cela dans la semaine prochaine. Me communiquer une adresse mail sur messagerie privée ou [email protected]
bonjour M. Zaoky,
Grâce à vous,le livre est complet,désormais vous pouvez le trouver ici :https://www.mediafire.com/?oqga90otvoba36o
Merci de votre collaboration active,3 décembre 2013 à 20h46 en réponse à : Origine de la conquête du Tonkin_Jules Gros_repagine en pdf #158455bonjour M. Dannyboy,
merci à de vos précis commentaires du 30/11, en suivant les indices, vous m’avez aidé à mieux voir et comprendre tous les noms d’une ville qui n’ont cessé de changé à chaque dynastie. Heureusement l’aspirine existe. Merci encore.30 novembre 2013 à 13h32 en réponse à : Origine de la conquête du Tonkin_Jules Gros_repagine en pdf #158429bonjour à tous,
Je viens de découvrir ce livre « Histoire et Relation_Chine du XVI à XIXe » G. DEVERIA qui relate l’origine du nom Tong-king.….Ce que nous appelons aujourd’hui le Tong-king ou Đông-kinh; le plus ancien nom qui l’ait désigné est celui de Giao-chỉ ; sous l’empereur Yu, 2255 av. J.-C, ce pays était appelé Nam-giao par les Chinois; le fondateur de la dynastie Tc’in, 255 à 206 av. J.-C, en fit la province de l’Éléphant ou Siang-kiun ; au commencement de la dynastie des Han, 206 à 140 av. J.-C, le Tong-king fut appelé Nam-viêt ou Nan-yue; en 140 av. J.C., l’empereur Ou-ti le divisa en trois gouvernements ou Kiun : 1. celui de Giao-chi; 2. celui de Cửu-chơn (d’où semble dériver le mot de Cochin), qui occupait les provinces actuelles de Thanh-hoa et Ninh-Bình; 3. celui de Nhât-nam qui occupait les provinces de Nghệ-an et Hà-tỉnh. Sous la dynastie chinoise des Ou, 222 À 277, ces trois gouvernements furent appelés Cuu-duc, Vo-Bình et Tân-xương ; sous la dynastie des Song, 420 à 477, ces trois noms furent changés en ceux de Tông-binh, Tây-tri. Long-biên ; enfin sous la dynastie des Leang, 502 à 556, le Tong-king fut appelé Annam. (Extrait du Ngan-nan-t’ou-chouô, publié à la fin de la dynastie des Ming, en 1579).
Ainsi qu’on le verra par la suite, le Tong-king continua de s’appeler Annam jusqu’en 1803, époque à laquelle le roi Gia-long, fondateur de la dynastie régnant aujourd’hui à Hué, ayant réuni l’Annam à la basse Cochinchine (Đồng-nai) et à la Cochinchine centrale (Quang-nam), obtint de la Chine la permission d’appeler ce nouvel État Yue-nan ou Viêt-Nam, nom sous lequel la Cochinchine actuelle est encore désirée et se désigne encore, dans les documents officiels échangés avec la Chine. Il semble que ce n’est qu’à dater de 1802 et seulement dans ses relations avec les puissances occidentales que le roi Tu-duc, par une sorte de fantaisie toute orientale, donne à son état le titre pompeux de Đại-nam-quốc «Grand Empire Méridional». Peut-être veut-il ainsi relever, aux yeux des puissances étrangères et de ses propres sujets, le rang de son royaume. Les puissances contractantes l’ont accepté sans protestations et l’ont, par ce fait, consacré….
Je me trouve vraiment dans un épais brouillard !Voir fichier joint pour avoir plus de détail les noms traduits en chinois.
28 novembre 2013 à 9h22 en réponse à : Histoire moderne du pays d’Annam 1590-1820 Ch. MAYBON_repaginé #158407@sgn3vlg 158792 wrote:
Bonjour à tous,
Un livre : Histoire moderne du pays d’Annam 1590-1820 de Ch. MAYBON_(repaginé)« ÉTUDE SUR LES PREMIERS RAPPORTS DES EUROPÉENS ET DES ANNAMITES
ET SUR L’ÉTABLISSEMENT DE LA DYNASTIE ANNAMITE DES NGUYỄN «
(refait à la main !!) avec ses 466 p. et 1.000 notes de page (du jamais vu) pour les passionnés de l’histoire.
Bonne lecture,Des remarques et commentaires très intéressants par BEFEO (L. Aurousseau) sur son ouvrage.
27 novembre 2013 à 20h44 en réponse à : Le pays d’Annam-Indo-Fr contemp 3e part. Liv 1_ Pagodes chinoises- vietnamiennes ( repaginés) #158403bonjour à tous,
Une erreur sur le nom d’auteur,
Il faut lire A. Bouinais et A. Paulus à la place Paul Vial,
vous pouvez vous procurez ce nouveau lien:
IndochineFRcontemp 3e part.Livre 1 A.Bouinais_A.PaulusMes excuses,
26 novembre 2013 à 22h50 en réponse à : Origine de la conquête du Tonkin_Jules Gros_repagine en pdf #158391@Dông Phong 158791 wrote:
Non, Mr Dannyboy, ce n’étaient pas les Français qui ont donné ces noms Tonkin, Annam et Cochinchine dans leur dessein de diviser notre pays en trois pays distincts à la fin du 19ème siècle !
En effet, quand les premiers Européens arivaient au VN (des Portugais surtout) au début du 17ème siècle, le royaume du Đại Việt (que les Chinois continuaient à appeler An Nam) était divisé en trois seigneuries rivales :
– Cao Bằng, fief des Mạc ;
– Đàng Ngoài, fief des Trịnh, que les étrangers appelaient Tonkin,
– Đàng Trong (grosso modo le Centre VN actuel), fief des Nguyễn, que les étrangers appelaient Cochinchine, à la suite des marchands et navigateurs arabes.
Les étrangers qui y trafiquaient les considéraient, injustement, comme des « royaumes » indépendants, alors que le mandat céleste des vua Lê continuait à être reconnu et respecté dans ces trois régions.
Dông PhongUne version de ce livre :
Extrait p.236 L’Indochine française contemporaine Cochinchine 1885 de A. Bouinais et A. Paulus.
IndochineFRcontemp 3e part.Livre 1 P.Vial
LIVRE SECOND
GÉOGRAPHIE PHYSIQUE
CHAPITRE PREMIER
SITUATION ET BORNES — CÔTESLes indigènes ne connaissent pas le nom de Tonkin, appliqué à leur pays, et cependant, dans les annales chinoises, aucune contrée n’est peut-être plus riche en appellations : Annam, Dai–Cô–Viêt, Dai-Ngu, Dai-Viet, Giao-Chi, Nam-Binh, Ngan-Nan, Tran-Nam, Viet-Nam, Viet-Truong, etc. Le mot Tonkin est une corruption de Dông-Kinh (cour royale de l’Orient), donné d’abord à la capitale, Kécho ou Hanoi, et étendu ensuite à toutes les provinces, par opposition à Tay-King (capitale ou cour royale de l’Occident), citadelle fondée, vers l’an 1400 de notre ère, dans la province de Thanh-Hoa, par le grand mandarin Hô-Qui-Ly, et dont les ruines subsistent encore à Tay-Gia. Depuis sa réunion à l’Annam, sous Gia-Long, le Tonkin est officiellement appelé , par les Annamites , Bac-Ky (région du nord) et Dàng-Ngoài (route extérieure), tandis que les dépendances de Hué portent les noms de Nam-Ky (région du sud) et de Dàng-Trong (route intérieure).
Le Tonkin est situé entre le 17°30’ et le 23°20’ de latitude nord, entré le 101′ et le 105°40’ de longitude orientale du méridien de Paris. Il est borné par la Chine, le Laos et l’Annam.24 novembre 2013 à 12h57 en réponse à : Histoire moderne du pays d’Annam 1590-1820 Ch. MAYBON_repaginé #158367Pour une recherche sur Google d’un article posté sur Forum vietnam, 24h plus tard FV est placé le premier dans le classement. !:dance3:[IMG]http://www.webpagescreenshot.info/i3/5291f5cd5683a1-49556083[/IMG]
23 novembre 2013 à 16h36 en réponse à : Histoire moderne du pays d’Annam 1590-1820 Ch. MAYBON_repaginé #158356NOTE : les erratum du livre original sont aussi corrigés et rectifiés pour être à jour.
p.84- En 1679,Les chinois demandèrent au Vietnam l’asile politique ! Peut -on dire considérer comme refugié politique ??
En cette même année 1679 deux officiers chinois, Yang Yen-ti et Tch’en Cheng-ts’ai, partisans de la dynastie Ming que les Mandchous venaient de renverser, arrivèrent à Tourane avec 3000 hommes et 50 jonques. Ils firent connaître à Hien Vuong que, fidèles sujets de la dynastie vaincue, ils refusaient de se soumettre aux Ts’ing contre lesquels ils avaient combattu et préféraient vivre sous l’autorité annamite. Hien Vuong hésita sur la manière dont il convenait d’accueillir ces discours : il doutait de la bonne foi des Chinois, mais il pouvait difficilement les repousser puisqu’ils venaient se donner à lui. Il trouva expédient de les envoyer s’établir dans le Sud
p.236 note 46- Ce nom de Viêt-Nam fut formé du nom de l’ancien apanage des Nguyên depuis 1558 (Viêt-Thuong) et du nom de l’Annam, domaine des Trinh, Seigneurs du Tonkin. Cadière, Mur de Dông-hoi, loc. cit., p. 253. Cf. aussi Devéria (op. cit., p. 51) qui traduit le Répertoire administratif chinois « Nguyên Anh pria l’Empereur de daigner donner un nom aux États qu’il venait de réunir ; l’Empereur fit alors paraître un décret changeant le nom d’Annam en celui de Viêt-Nam.23 novembre 2013 à 15h55 en réponse à : Histoire moderne du pays d’Annam 1590-1820 Ch. MAYBON_repaginé #158354Peut-on considérer ça comme asile politique ! (dans le livre p.84)
En cette même année 1679 [1], deux officiers chinois, Yang Yen-ti et Tch’en Cheng-ts’ai, partisans de la dynastie Ming que les Mandchous venaient de renverser [2], arrivèrent à Tourane avec 3000 hommes et 50 jonques. Ils firent connaître à Hien Vuong que, fidèles sujets de la dynastie vaincue, ils refusaient de se soumettre aux Ts’ing contre lesquels ils avaient combattu et préféraient vivre sous l’autorité annamite. Hien Vuong hésita sur la manière dont il convenait d’accueillir ces discours : il doutait de la bonne foi des Chinois, mais il pouvait difficilement les repousser puisqu’ils venaient se donner à lui. Il trouva expédient de les envoyer s’établir dans le Sud et écrivit à Ang Non de les bien recevoir, qu’il n’avait rien à redouter de leur part. Il réussissait ainsi à se débarrasser d’hôtes peu sûrs et, en même temps, à faire occuper une partie du territoire cambodgien sans sacrifices d’aucune sorte.
Les Chinois remirent à la voile et, parvenus à la baie de Ganh-rai, se divisèrent les uns, sous les ordres de Tch’en, remontèrent le Donnai jusqu’à la hauteur de Biên-hoà où ils s’établirent; les autres, commandés par Yang, s’engagèrent dans la branche orientale du Mékong et se fixèrent à Mi-tho. La colonie de Biên-hoà forma un centre agricole et commercial où vinrent trafiquer des Européens, des Chinois, des Malais et des Japonais,
[HR][/HR]Le général Wou San-kouei, qui avait opposé aux Mandchous une résistance acharnée dans les provinces du Sud, était mort en 1678, après avoir perdu le Fou-kien et le Kiang-si ; son fils s’était retiré avec les débris de son armée dans le Yun-nan où il se suicida en 1681 les Mand- chous, de succès en succès, continuaient à soumettre les régions qui s’étaient jusqu’à ce moment soustraites à leur autorité. On peut supposer que les Chinois qui vinrent demander la protection du Seigneur de Coehinchine, avaient fait partie des troupes de Wou San-kouei, et peut-étre de celles du dernier souverain Ming vaincues plusieurs années auparavant.bonjour à tous,
Un KIM-VAN-KIEU traduit en FR par René CRAYSSAC, repaginé, lisible, clair, facilite la lecture et recherche avec table de matières ou signets sous format pdf.; pour les passionnés. -
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