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romanhuong1970

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15 sujets de 1 à 15 (sur un total de 16)
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  • en réponse à : Mon adoption #117814

    NoiVongTayLon,

    Je crois savoir à qui tu fait allusion lorsque tu précises, je cite « Hélas, l’adoption dans le monde à ce jour devient comme tu dis une loterie à numéro mais pour certains, ils peuvent choisir les bons numéros en payant des sommes non négligeables aux associations et aux autorités qui s’occupent des enfants sur place… ».

    Si tu aimes lires, je te suggère la potentielle future lecture de mon tout premier roman. Il sera téléchargeable gratuitement via mon site Internet d’ici la fin du mois de septembre, début octobre 2010. Tu verras, c’es très intéressant. Mon préambule est visible sur mon blog actuel. A présent, je revisite l’ensemble des chapitres déjà rédigés et me consacre à son épilogue. C’est fastidieux mais j’adore ça.

    Salutations des plus cordiales à vous tous.
    Vincent

    en réponse à : Mon adoption #117812

    Je suis arrivé en Suisse par l’intermédiaire de Terre des Hommes (Suisse). En 1970, les organismes nationaux capables de concrétiser et de finaliser une adoption le faisaient dans une conscience professionnelle et humaine qui était celle de leur époque. Le profit, la notoriété et cette maudite plaie que nous appelons aujourd’hui « statistique » étaient quasiment inexistantes. Des cas dramatiques dans les années septante ? Oui, il y en a eu. Certains firent l’objet d’une correction, d’autres se terminèrent dans un halo d’incompréhension, de mutisme et de haine à travers l’évolution de l’enfant. A présent, seule la rentabilité prédomine sur l’ensemble des facteurs économiques. L’adoption n’y fait pas abstraction, elle subit ce cortège d’imbécilité qui inconsciemment relègue l’espèce humaine à son plus bas niveau depuis l’avènement des premiers philosophes.

    Ayant une expérience professionnelle qui me permette de le rédiger ici, ce sombre aspect de « la profession » du couple requérant est à mon avis inévitable mais ce n’est pas pour autant que je lui attribue l’honneur de le la première place dans la liste des priorités. Faut-il dissocier ici la « nature du travail » et des « moyens salariaux » qui en découlent logiquement. D’autres organismes humanitaires pousseront la chansonnette encore plus loin en sollicitant le « statut social » des potentiels futurs parents. Sous entendu « le degré de connaissances ». Monsieur X et Madame X sont-ils peu, moyennement ou grandement cultivés ? Où ont-il étudié etc… Mon objectif ici n’est pas de remplacer le travail du sociologue dans son travail d’analyse mais de préciser que sans argent, sans savoir (encore une fois), impossible d’envisager une adoption.

    Certaines personnes en Suisse se considèrent comme 100% suisse. En sachant que ce petit pays que j’aime fut édifié par des siècles de pages d’histoire et de surcroît d’un métissage qu’il a hérité d’une occupation longue ou éphémère d’allemands, d’italiens et de français, croire à de telles sornettes d’appartenance à un « groupe ethnique authentique » n’est que futilité. Je crois qu’il serait bon que certains et certaines s’attardent à étudier l’histoire du continent européen et de les mettre devant la réalité des faits. En ce qui me concerne, je trouve également ce genre de réactions humaines au Vietnam lorsque je me rends dans la province de Dong Thap. Il n’est pas rare que l’on me décrive, sans que je provoque ce type de discussion, comme un moitié de chinois mélangé avec du cambodgien ou inversement. Et alors ? Certains vietnamiens (et fiers de l’être) se complaisent à dire qu’ils sont 100% vietnamiens alors qu’il est plus que probable qu’il soit le fruit d’un mélange ethnique, héritage de l’histoire chargée de leur coin de terre. Aujourd’hui plus que jamais, l’apparence prédomine sur le verbe, c’est navrant mais c’est comme ça.

    en réponse à : Premier message sur le site #117149

    Bonjour Pivoine,

    Sur ce présent lien, tu pourras te faire une idée de ce qui t’attend pour la mi-septembre 2010 : Huong, roman exotique sur le Vietnam d’aujourd’hui – Tup-Tup. A noter que la publication de mon roman ne sera pas accessible sur ce présent blog mais sur le site qu’un professionnel parisien est en train de me construire. On n’y parlera que de littérature francophone.

    Il ne s’agit ici que du préambule ! Plus de 1 semaine complète pour pouvoir l’écrire, le réécrire et le corriger (la dernière correction date de hier soir). Et ça, ce n’est rien par rapport à ce qui t’attend pour la mi septembre 2010. Le premier chapitre de mon roman s’annonce explosif, innovateur et quelque peu dérangeant pour certains et certaines qui sont habitués au politiquement correct dans les histoires vietnamo-vietnamiennes à l’eau de rose. Personnellement, je m’attends à de vives réactions mais je suis entièrement prêt à les assumer. Je te demanderais une seule chose, me donner ton avis « sincère » quant à ce préambule dès que tu auras deux minutes.

    Au plaisir de te relire très prochainement, j’espère
    Vincent

    Il me semblait qu’i manquait quelque chose. Merci pour cet ajout Robin des Bois.

    Lorsque j’aurai terminé mon bouquin, c’est-à-dire, pas avant la fin du mois d’août 2010, il est probable que je m’attarde sur mon propre parcours de vie « inachevé » ou sur quelque chose qui y ressemble mais de manière romancée. A découvrir sur mon futur site lorsque ce dernier sera accessible à tous. Pour le moment, je m’attarde sur la correction du premier chapitre des écrits en cours, cela ne s’avère pas mince affaire…

    J’ai visualisé cette courte vidéo. Mon avis, tout simplement magnifique. Merci beaucoup

    Monsieur,

    Non ! Ici, le verbe « apprivoiser » revête un caractère d’amour et de compréhension mutuelle et perpétuelle. C’est du moins le message qu’a voulu faire passer une gentille intervenante la semaine passée. J’ai cru bon reprendre ce mot car faisant partie intégrante du « package » que tout adoptant se devrait de mettre en pratique lorsqu’il envisage de « déraciner » quelqu’un au fin fond de ses origines terriennes. N’ayons pas peu d’employer les mots « appropriés » même si ceux-ci peuvent choquer par leur rareté de publication. J’apprécie que vous vous soyez manifesté si spontanément, c’est de cette manière que l’on ouvre un débat et qu’on le développe avec intelligence. La référence à Saint-Exupéry et à sont Petit Prince m’a fait revenir des années en arrière, à l’époque où mon instituteur de papa m’avait acheté le 33 tours. Oeuvre audio tiré du livre qui était récité par François Perrier.

    Pour la DB, j’irais faire un tour sur le moteur de recherche Google afin de trouver les références exactes. Comme je m’envole très prochainement pour « Thuan Gio » (banlieue ouvrière de Saïgon), je l’emmènerai avec moi dans mes valises. Pour les deux petits éthiopiens, je méconnais l’heure dramatique histoire. Merci de m’informer de vos références svp.

    Présentement, je planche sur la « CORRECTION » en profondeur des 45 pages de mon tout premier roman et de la continuité rédactionnelle des pages qui devront achever cette histoire. Comme vous avez pu vous rendre compte par vous-même, j’ai cessé toute activité littéraire sur mon blog. Quant au texte, il était imparfait, incohérent par moment. Au début septembre 2010, je prévois de publier l’oeuvre intégrale sur mon propre site Internet « littéraire ». Samedi passé, j’ai sollicité l’aide d’un professionnel pour me pondre quelque chose de pertinent. Je viens d’acquérir mon propre nom de domaine ce qui me laisse à penser que je serai plus solvable que sur un blog.

    Un excellent lundi de Pentecôte si vous avez congé ! En Suisse, tout est fermé. Au plaisir de vous relire. Vincent, Lausanne

    La détresse humaine à travers le monde amène indubitablement certains couples qui ne peuvent pas avoir d’enfant d’en adopter un. Bien que l’acte soit entièrement louable, faut-il, et ça c’est très important de le souligner ici, en avoir les capacités financières, culturelles et intellectuelles (par ordre d’importance). Cette classification quelque peu dérangeante pourra en surprendre plus d’un pour qui prendre inconsciemment l’enfant d’un parent nucléaire à l’autre bout du monde passe en premier lieu par l’amour qu’on peut lui donner quotidiennement et non par l’argent, le CV ou le test Q.I que le couple « candidat » à l’adoption pourrait présenter à son organisation humanitaire en guise de garantie.

    Certains parents qui ne possèdent ni l’un ni l’autre profiteront de la faille de certaines lois de leur pays pour s’approprier le garçonnet ou la fillette désirée avec les conséquences catastrophiques que cela peut impliquer lorsque l’enfant grandit dans sa nouvelle sphère de vie (sociale, culturelle, scolaire et religieuse). Exemple tout bête teinté d’un réalisme éclatant, lorsque un couple de non intellectuel voit leur enfant les dépasser de cinq longueurs dans le « savoir » et dans la « logique » lorsque leur « progéniture » accède à un enseignement scolaire plus étoffé. Oui, je sais, il y a des exceptions mais dans la majore partie des cas dont j’ai connaissance, l’aventure de cette amour réciproque qui avait si bien commencée se termine sur les chapeaux de roue. Le contraire peut également se produire lorsque l’enfant s’avère n’être au final point le puis de science que Papa et Maman désiraient, eux qui avaient anticipé l’édification de la structure sociale de leur bébé pour en faire leur copie conforme.

    Le bébé est une personne et indépendamment de son origine ethnique, le petit être possède les gènes de ses parents. Si le modelage social, culturelle, scolaire et religieux est réalisable, il est impossible de changer le caractère de l’être humain. Certains s’y sont attardés avec le lot de misères qu’ils ont du subir avec les années. Le but ici n’est pas de produire des théories spéculatives sur ce qui est bien ou non mais de décrire succinctement la complexité qui résulte d’un choix, celui d’adopter. Une personne s’est récemment manifestée dans l’une de mes interventions, elle parlait « d’apprivoiser » son enfant. J’ai trouvé cela si joli que j’ai jugé utile de le mentionner ici.

    Vincent, enfant vietnamien adopté en 1970

    en réponse à : Premier message sur le site #116176

    Le roman que j’écris progressivement n’a strictement rien d’autobiographique. C’est une fiction des temps modernes que je rédige depuis le mois de janvier 2010. L’idée d’une telle fastidieuse aventure littéraire germait dans ma tête depuis quelques années déjà mais j’estimais que je n’était pas suffisamment mature pour m’y consacrer pleinement. La rédaction d’un roman peut paraître simple mais lorsqu’on s’y attarde pour la toute première fois en qualité d’écrivain « amateur », c’est le casse-tête chinois. Avant de se consacrer à la lecture de ce roman, je vous suggère à tous de cliquer sur l’onglet : à propos de moi. Chaque semaine, je tente d’y ajouter un nouveau chapitre. Merci d’être conciliant sur lenteur de chaque publication.

    D’où m’est venu l’idée de concevoir un tel ouvrage ? Quel élément clé m’a t-il fait prendre conscience qu’il était de mon devoir de commencer à ce moment là ce devoir d’écriture ? Sans aucun doute à Vung Tau ! Un soir, lorsque je rentrais de discothèque, j’ai surpris deux fillettes au coin d’une rue. L’une dormait à côté d’un poteau électrique, l’autre fouillait les poubelles à la recherche d’un reste de nourriture. Arrivé à l’hôtel, j’ai structuré une trame et me suis mis à l’ouvrage.

    Voici l’adresse de mon blog : Huong, roman exotique sur le Vietnam d’aujourd’hui – Tup-Tup
    Les commentaires sont évidemment les bienvenus.

    Excellente lecture
    Vincent

    en réponse à : Premier message sur le site #116076

    Bonjour à vous deux qui m’avez écrit,

    Ce poème exprime l’antidote et seul son concepteur peut en comprendre le réel sens. Il en est de même pour l’individu qui est confronté à une double culture, depuis l’enfance ou depuis peu. Je vais imprimer et conserver ce texte dans un coin de mes archives, il mérite que j’y attache une importance à part… Sadec, Sadec, n’est-ce pas le village où se trouvait la maison de fonction de la mère de M. Donnadieu alias Marguerite Duras ? Je crois que oui. Nous avons très certainement quelques points en commun Le Thi. Pour des raisons d’ordre technique, il m’est impossible de vous communiquer l’adresse de mon blog à ce jour car je dois avoir déposer 10 messages pour pouvoir insérer cela. Comme il me reste 1 message a envoyer, je ferai cela ce soir lors de mon retour à la maison. Excellente journée à tous les deux.

    en réponse à : Mon premier roman #116025

    Bonsoir Robin des Bois,

    Vous avez totalement raison, le pseudo est inapproprié ! Bien que l’informatique ne soit pas mon fort, j’ai tenté de trouver l’endroit où le modifier, en vain hélas. Au plaisir de vous relire.

    en réponse à : Mon premier roman #116013

    Le roman n’est pas terminé. J’ai seulement inséré le préambule, le 1er, 2ème, 3ème et 4ème chapitre. Une fois terminé, merci de me faire parvenir tes premières impressions. Salutations cordiales, Vincent, Suisse

    en réponse à : Mon premier roman #116000

    Bonjour Thi, il me faut 10 messages pour arriver à te contacter en privé (MP). De ce fait, je serai contraint de te répondre en « public ». Le site de mon blog est Huong, roman exotique sur le Vietnam d’aujourd’hui – Tup-Tup. Malheureusement, je suis incapable de te dire comment il faut faire pour y accéder d’une différente manière. Des lecteurs québécois, suisses et belges m’ont également précisé ce genre de problème. Si tu as des questions, utilise mon adresse : [email protected]. Merci de m’informer de l’évolution de ta connexion svp.

    en réponse à : Mon premier roman #115955

    @Risk 108926 wrote:

    Salutations suisses:wink2:

    Haaa, un concitoyen ! Salutations cordiales également.
    Vincent, Renens

    en réponse à : Mon premier roman #115953

    @thuong19 108922 wrote:

    Salut maikagirl82 et :bienv:,
    Je viens de parcourir ton blog et de commencer la lecture de ton « premier roman ». j’essaierai de suivre les aventures de Huong sans trop m’avancer (manque de temps actuellement)
    Mais je pense que lorsqu’il sera terminé tu transformeras les pages électroniques en pages de livre papier.
    Bonne continuation.:bye:

    Bonjour,

    Je pense à concevoir un site littéraire web d’ici mes prochaines vacances. Il faut que je trouve un concepteur, le reste n’est que détail. Ce que la plupart des gens me reprochent (vietnamiens expatriés francophones et suisses), c’est non pas mon texte, au contraire, mais le fait qu’il soit contraint de le lire sur leur écran d’ordinateur. De plus, la dernière page insérée et celle qui apparaît sur l’écran, le préambule se trouvant loin derrière. Je n’y peux hélas rien, c’est le blog qui est fait de cette manière. N’hésite surtout pas à intervenir par courrier électronique ou sur le blog lui-même. Les appréciations m’aident beaucoup dans la conception de mon roman (qui ne sera pas le dernier). Salutations des plus cordiales et bonne lecture. Vincent – Suisse

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