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@vanvanvan 110238 wrote:
http://i49.tinypic.com/2vn017a.jpg
J’ai 2 couettes aussi mais j’ai moins de cheveux que toi. C’est quoi comme coupe là.
Très joli:wink2:
27 mai 2010 à 20h36 en réponse à : Le président Ho Chi Minh, héros national ou objet de marketing #117159@Alexandre 110225 wrote:
Je lance ce sujet dans le but d’évoquer ma vision de » l’expoitation de l’image » de Monsieur le président Ho Chi Minh, que je respecte biensûr.
Lors de mes voyage au Viet Nam et notamment du dernier en 2007, j’ai été étonné de voir le portrait de Monsieur le président Ho Chi Minh accommodé « a toutes les sauces ».
Je l’ai même vu portant des altères pour une salle de sport.D’ou mon étonnement.
Alors Monsieur le président Ho Chi Minh héros national ou objet de marketing.
Pour moi en tout bon normand que je suis je dirais que c’est héros national devenu malgré lui objet marketing.
Pour moi c’est évident HCM est un icone national du Viet Nam. Qu’il soit un objet marketing ne va pas dans l’idéal communiste mais comme dit plus haut, l’aurait on fait du vivant de HCM? Sans doute pas. Mais si au moins ce « commerce » peut faire connaitre a tous la bonne parole que HO a répandu alors c’est très bien!
@Alexandre 110223 wrote:
Je connais les fameuses « bia » hanoi saigon…
Entre parenthèses c’est l’un des premiers mots que j’ai appris à dire en vietnamien, c’est plus facile à dire que eau minérale.
le temps que je dise » je veux un verre d’eau je serai mort de désydratation.
Bia c’est rapide et je bois…:wink2:et j’aime l’alcool de riz celui fait par les habitants des montagnes de Son La.
C’est super bon même si ça déchire.
J’en ai fait l’amère expérience. no comment:wink2:La bas au village il le coupe avec du miel c’est encore meilleur et encore plus traite.
et pour finir je chanterai la chanson que je chantais aux villageois.
» ami ami alexandre leve ton verre et surtout ne le renverse pas.
et porte le au frontibus, au nezibus au sexibus.
il est des notres il a bu son verre comme les autres
c’est un ivrogne ça ne se voit rien qu’a sa trogne.. »:wink2:Je vous laisse imaginer l’effet sur les hôtes.
estomaquer…
Merci pour ta réponse! J’espère pouvoir gouter ces alcools…
@oanhmatth 110140 wrote:
en quoi est ce un problème ou est-ce moins bien de pouvoir se séparer quand on le souhaite sans soucis du qu’en dira t’on ?
Tu as raison mais les non occidentaux nous reprochent souvent de se marier et se divorcer trop facilement. Se divorcer une fois ca peut aller mais se divorcer plein de fois c’est trop. A mon avis le mariage et le divorce en sont pas des jeux mais en occident on oublie très vite l’importance de ces 2 mots.
personne ne sait ou bien c’est la ligue des abstinents ici??
@kimsang 110090 wrote:
Bonjour,
Je trouve cela tout de même regrettable de rester avec une personne juste pour la façade !!! Tout cela est du au poids de la tradition et dans la majorité des cas, ce sont les femmes qui portent le poids de cette tradition pour sa famille, son honneur et celui des siens… Pendant ce temps là, je vous laisse deviner ce que font les hommes …………
En France, le divorce est autorisé, est libre alors qu’au Vietnam c’est encore tabou même si aujourd’hui la mentalité a évolué. Combien de couples au Vietnam restent ensemble pour la façade ?? Beaucoup … c’est de l’hypocrisie déguisée. Tout ça parce que la femme ne peux pas subvenir à elle seule aux besoins de la famille , pour les enfants …. Pensez vous qu’une vie mérite tant de souffrances morales, physiques et amoureuses ??
Un tel sujet demande avant toute chose de revoir les conditions de la femme aussi bien au Vietnam que dans les autres pays d’Asie.
Kim Sang
Je suis d’accord avec toi mais peut être que cela peut faire réfléchir parce qu’en europe on se marie et se divorce a tour de bras…
@vanvanvan 110084 wrote:
Bah oui mais pas plus qu’en France je pense. Parce qu’en France, quand on ne s’aime plus, on se divorce généralement, mais au Vietnam, les parents se sacrifient beaucoup pour les enfants, pour l’honneur, pour l’effort de reconstruire la famille, pour l’amour qu’ils ont eu au départ etc. Je ne dis pas que c’est mieux, ça dépend vraiment des cas.
Je pense que nous avons beaucoup a apprendre du Viet Nam…
@vanvanvan 110080 wrote:
Bonjour cat-cham,
Félicitation à ton fils et à la famille d’avoir trouvé une fille bien.
Au Vietnam, la tradition est de se marier avant de vivre ensemble. Cette tradition est plus stricte à la campagne qu’en ville.
Maintenant les jeunes s’aperçoivent de plus en plus qu’un mariage « de forme » sans vraiment bien se connaitre avant (y compris vivre ensemble) est assez risqué. C’est une des raisons qu’il y a beaucoup de couple qui vivent ensemble sans mariage de suite, surtout dans une grande ville comme Hanoï (les parents peuvent être au courant ou non). Du côté des parents, il y en a qui acceptent, il y en a qui acceptent moins.
Je comprends parfaitement ta réaction.
Si je suis ton fils, je persuaderai la fille et sa famille de prendre un temps de se connaitre mieux, si vous trouver que c’est nécessaire (moi personnellement je trouve que 2 mois c’est court mais je ne suis pas non plus dans vos situations).
Il ne faut surtout pas laisser penser à sa famille que ton fils n’est pas sérieux avec elle. Il peut leur parler souvent du mariage comme un projet par exemple. Ils peuvent très bien être fiancés et attendre un peu (si ton fils ne veux pas se marier de suite bien sûr).
:bye:.J’en profite de cette question pour intervenir… si au viet nam la tradition est de se marier avant de vivre ensemble alors y’a il beaucoup de divorce au Viet Nam?
@DédéHeo 109896 wrote:
Le contraire serait plutôt un Belge ou un Suisse qui se marierait avec une dame Vina Immobilier (le genre qui se fait envoyer une Rolls-Royce par avion) pour son argent
Elle a l’air sympa
Ceci est étonnant je n’aurais pas pensé à l’inverse! Maintenant reste il a savoir si ce genre de choses arrivent souvent…
@kybao 109917 wrote:
je trouve cette question un peu triviale, biensur que ca existe mais pas seulement au vietnam !ca existe aussi en France.partout…
Triviale? Peut être mais ma question n’était pas fermée! Si cela existe alors comment lutte le Viet Nam contre cette pratique?
@kybao 109816 wrote:
C’est quoi un abus de mariage?
Je vais préciser. J’entends pas abus de mariage par exemple une vietnamienne qui se marie a un français seulement pour son argent.
@Dông Phong 109665 wrote:
Bonsoir Risk,
Le culte des ancêtres doit être considéré comme la « religion » la plus pratiquée par les Vietnamiens, qu’ils soient bouddhistes, chrétiens ou… athées (tout comme chez les Chinois d’ailleurs).
Ce culte a des origines très anciennes, où le confucianisme (piété filiale), le taoïsme et le bouddhisme se sont mélangés aux croyances animistes locales.
D’ailleurs, le terme plus approprié est le « culte des défunts » car on honore non seulement les ascendants défunts, mais aussi les enfants décédés.
Pour ce culte, on a dans la maison du « fils aîné » un « autel des ancêtres », avec leurs photos (ou simplement un bài vị, c’est-à-dire une plaque sur laquelle sont inscrits le nom du défunt, sa biographie, etc…). L’autel comporte en plus au minimum un pot pour baguettes d’encens et des lampes ou des bougies (l’héritage se dit en vietnamien hương hỏa ou encens et feu), des tasses de thé, un pot de fleurs, etc…
Ce culte commence par les rituels qui accompagnent le décès, les obsèques du mort, et les règles contraignantes du deuil.
Puis, on honore les défunts à leur anniversaire de décès chaque année, lors des fêtes importantes comme le Nouvel An, et lors des mariages, etc…, en leur offrant un repas fait des meilleurs plats (selon la capacité financière de chaque famille), accompagné de salutations (révérences et/ou prosternations) et d’invocations par les membres de la famille présents (plus exactement la « grande famille » ou clan). On peut aussi offrir des objets factices en papier ou mã (vêtements, voiture, meubles, billets de banque, lingots d’or, etc…) qu’on brûle après la cérémonie (la fumée est censée d’apporter ces objets aux morts pour pourvoir à leurs besoins dans l’au-delà). Après que la cérémonie est terminée (souvent à la fin de la combustion des baguettes d’encens), le repas est partagé par les membres de la famille présents.
Ce culte est le grand facteur de la cohésion familale (et sociale) des Vietnamiens, qu’ils soient au pays ou d’outre-mer.Bien que le P. Alexandre de Rhodes, s.j., ait écrit dans son Histoire du Royaume de Tunquin (1651) : « Il n’est peut-être point de nation en toute la terre habitable qui ait rendu plus de devoirs, et plus respectueusement, aux âmes et aux corps des Trépassés que les peuples du Royaume d’Annam » (p. 80), et « …il y a deux mois [lunaires] dans l’année, le septième et le dernier, qui sont destinés pour tous ceux du peuple à célébrer la mémoire de leurs parents défunts, à quoi personne ne manque. Ce qui devrait faire honte aux Chrétiens, qui sont moins soigneux de rendre ces devoirs de piété, et de charité, aux âmes des Trépassés, à qui leur suffrages peuvent beaucoup servir, que ne sont les Païens… » (pp. 88-89), ce culte des ancêtres a été un des éléments importants qui ont déclencé la « querelle des rites » dans l’Eglise Catholique aux XVIIè et XVIIIè siècles. Il a fallu attendre le Concile de Vatican II (1962-1965) pour que ce culte soit autorisé aux catholiques vietnamiens.
A ce sujet, voici un article assez intéressant sur le site Regard sur les catholiques vietnamiens : Scènes du Vietnam.
Bien amicalement.
Dông PhongMerci beaucoup pour ces précisions très intéressantes! Est ce que le culte des ancêtres (ou des défunts) est une celébration triste ou joyeuse? Est ce que le jour de l’anniversaire de la mort du défunt les gens sont tristes ou heureux de honorer le défunt? Parce que il me semble que selon cette logique, la mort d’un être n’est pas forcément triste parce que l’être est toujours présent d’une certaine façon, même dans la mort.
Je ne l’avais pas dis mais j’aime aussi beaucoup la cuisine vietnamienne:wink2:
Quels sont vos plats préférés? Pouvez vous me conseiller de bons plats a essayer?
@robin des bois 108939 wrote:
J’ai simplement une petite idée sur le parcours de ce monsieur et je ne le connais pas vraiment.
Mais j’ai de lui au moins un bouquin très intéressant qui date de 1971 (écrit en collaboration avec J.CLaude POMONTI du Monde).« Des courtisans aux partisans, essai sur la crise cambodgienne »
le contenu de ce livre introuvable est assez passionnant..
Vous avez raison! Serge Thion est devenu négationniste a partir de 1978, donc votre livre ne doit pas comporter de problèmes.
@Phúc_44 108988 wrote:
Si vous voulez être crédible, commencez par ouvrir un bouquin. Certains se sont sans doute montrés très tolérant à votre égard mais je n’ai pas leur patience. Vous ne connaissez rien des sujets que vous abordez.
Wikipédia n’a jamais été et ne sera jamais rien de plus qu’un amalgame d’articles créés par des internautes lambdas. Si vous saviez le nombre d’âneries que j’y trouve dans les articles qui concernent mon domaine professionnel (le domaine médical). La proportion de bêtises doit donc être la même pour les autres disciplines. Ce qui est sûr, c’est que lorsqu’on y connait rien, comme vous, c’est difficile d’y déceler les erreurs.Amusez-vous bien dans votre monde imaginaire. :bye:
Monde imaginaire? Je parlerais plutot du votre! Je vais vous donner d’autres site sur votre ami Thion. Des sites faits par des spécialistes!
Regardez bien ce site:
Serge Thion: le ngationniste habite au CNRS – par Didier Daeninckx – Amnistia news
Je vous copie l’article de ce site:
Le négationniste habite au CNRS
Serge Thion, la taupe antisémitepar Didier Daeninckx
Jeudi 13 avril 2000
Le 17 juin 1999, le syndicat Force Ouvrière des chercheurs du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) demande aux électeurs de ne pas voter pour la liste qu’il présente à la commission paritaire! On vient de s’apercevoir qu’un des candidats, Serge Thion, est un des plus actifs militants négationnistes français. Si la démarche du syndicat est louable, on peut s’étonner du retard mis à prendre conscience de l’activité principale de Serge Thion depuis vingt ans et cela au coeur même de la recherche: la propagande négationniste, la réhabilitation de l’antisémitisme.
Né en 1942, Serge Thion est d’abord connu pour ses travaux de sociologie et d’analyse politique sur l’Afrique (Le pouvoir pâle ou le racisme sud-africain, Le Seuil 1969) le sud-est asiatique (Des courtisans aux partisans, Gallimard 1971).
Dès qu’éclate l’affaire Faurisson, avec la parution d’un article dans Le Monde en décembre 1979, il fait partie de cette frange de l’ultra-gauche déjantée qui, autour de La Vieille Taupe, décide de soutenir le professeur de littérature lyonnais. Dans les mois qui suivent, il publie un livre « Vérité historique, vérité politique » et se porte en justice aux côtés de Faurisson en mettant en avant sa qualité de chercheur au CNRS. Dans la foulée, les éditions Edern Hallier lui offrent une tribune, « Khmers Rouges », un ouvrage dans lequel il nie, au temps présent cette fois, le génocide commis par les troupes de Pol Pot. Ergotant sur les chiffres, malmenant la démographie, il conclut concernant le génocide:
« Le mythe est lancé, rien sans doute ne l’arrêtera. on en connaît d’autres exemples qui ont aussi la vie dure. Si les mots ont un sens, il n’y a certainement pas eu de génocide au Cambodge ».
En 1980, il parvient à faire passer un article dans Les Temps Modernes (n°404), s’attirant cette pique de Jean-Paul Sartre:« Nous avons appris que Thion défendait les thèses du sinistre Faurisson qui nie, on le sait, la réalité de l’extermination et l’existence des chambres à gaz. Ceci nous amène évidemment à demander à nos lecteurs d’accueillir avec réserves les informations communiquées par Thion sur l’Indochine ».
C’est Serge Thion qui négocie avec Noam Chomsky, autre négateur du génocide khmer rouge, une préface du linguiste américain au « Mémoire en défense contre ceux qui m’accusent de falsifier l’histoire » de Robert Faurisson publié par la Vieille Taupe. Il se déplace aux États-Unis pour interwiever Chomsky, en compagnie de Pierre Guillaume. Le voyage à Boston, en juin 1981, de ceux qui se présentent encore comme d’intransigeants révolutionnaires sera financé par le patron du Figaro-Magazine, Louis Pauwels, qui accueille à cette époque tous les seconds couteaux de la Nouvelle Droite dans les colonnes de son hebdomadaire.En 1985, Serge Thion, de retour d’un autre voyage, en Éthiopie, travaille avec le néo-nazi pédophile Michel Caignet (voir l’enquête « Négation des camps et promotion de la pédophilie ») à la mise au point de la traduction d’un classique du négationnisme, « Le Mythe d’Auschwitz » de Wilhelm Stäglich pour le compte de la Vieille Taupe. Il ne se passe plus un an sans que Thion ne relance les thèses des négateurs. Articles dans « Les Annales d’histoire révisionniste », création d’une revue, « Maintenant le communisme » où Serge Thion figure en compagnie d’un militant bordelais d’extrême-droite, Jean-Christophe Alexandridis, responsable d’une revue néo-nazie Le Tonnerre et de Perspectives euro-arabes qui soutient Saddam Hussein. Serge Thion publie ensuite la « Gazette du Golfe et des banlieues » au moment du conflit avec l’Irak. La guerre contre Saddam Hussein le verra créer un comité de soutien à un vieil ami de Normandie, Gilles Perrault, qui vient d’appeler les soldats français à la « désertion » et « au sabotage de la machine de guerre ».
Dès les débuts d’Internet, Serge Thion utilise le réseau mondial pour diffuser la propagande négationniste. Tout d’abord à l’aide d’un bulletin photocopié « Global Patelin », rédigé en piochant dans les sites américains. Cette lettre est directement liée au CNRS puisque l’adresse pour la correspondance est celle attribuée à Serge Thion: « [email protected] » (voir aussi l’article « L’internationale négationniste sur le Net »).
Aucune réaction de l’institution, alors qu’on ne compte déjà plus, à ce moment, le nombre de salariés sanctionnés par leur employeur pour avoir utilisé le matériel informatique de l’entreprise à des fins privées. En 1996, probablement encouragé par cette impunité, le chercheur passe à une phase supérieure: la fourniture de nombreux textes au site Aaargh, un cri de bande dessinée dont les initiales, là, signifient « Association des anciens amateurs de récits de guerre et d’holocauste ». Le site est hébergé par le fondamentaliste marocain Ahmed Rami, de Radio Islam, et pour tenter d’échapper aux lois françaises, ils émettent depuis un serveur américain d’Atlanta (Georgie). Cette base de données véritablement nazie propose pêle-mêle « Les Protocoles des Sages de Sion », les archives Thion, celles de Faurisson, de Pierre Guillaume, de Roger Garaudy, les textes interdits de Céline, ainsi que de véritables appels au meurtre comme celui qui visait le secrétaire national du Mrap, Mouloud Aounit, traité de « marionnette juive » à laquelle on promettait le sort des moutons, à l’Aïd!
Le 17 septembre 1998, les membres de la commission des droits de l’Homme et Questions Éthiques du laboratoire de Physique se réunissaient pour protester contre la diffusion, à l’adresse personnelle de 39 chercheurs de l’Académie des Sciences, de tracts figurant par la suite sur le site Aaargh de Serge Thion. Ils attiraient l’attention du Comité d’Éthique du Cnrs sur l’activisme négationniste de ce chercheur en sociologie et soulignaient l’utilisation des moyens de l’institution pour diffuser ses thèses.
Dix-huit mois plus tard, le 27 février 2000, Serge Thion se félicitait en ces termes de voir le premier ministre, Lionel Jospin, agressé par des jets de pierres lors de son voyage au Moyen-Orient:
« L’irrépressible besoin des socialistes de se mettre à plat ventre devant tout ce qui pourrait avoir l’air juif… » et parlait ainsi du premier ministre israélien Ehud Barak: « Il (Jospin) s’enflamme pour de si parfaites répliques de l’élite nazie ».
Cela fait donc vingt longues années que ceux qui ont en charge la recherche française tolèrent l’expression du racisme le plus violent, la publicité insistante des assassins de la mémoire, qu’ils acceptent, par leur silence, que les moyens mis à disposition par la République soient détournés de leur usage, que les titres de « chercheur au Cnrs » servent à impressionner les juges lors des procès, les lecteurs qui font confiance à ce sigle quand ils le voient au bas d’un article, d’une pétition.Les protections dont bénéficie Serge Thion n’ont que trop duré!
L’assassin de la mémoire doit quitter le Cnrs.
Je suis gentil j’ai payer pour que vous puissiez voir l’article en entier!
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