Toutes mes réponses sur les forums
-
AuteurMessages
-
Bonjour Pierre,
Je vais essayer de t’envoyer ce diaporama. Essayer, car je n’ai pas l’habitude.
Lorsque je l’ai reçu, j’ai eu un premier recul, mais après une courte réflexion, et surtout en ayant en mémoire un livre que je venais de terminer sur l’après Révolution de Paris, années 1805 et quelque, je me suis dit que les Parisiens, dans cette période de famine, n’avaient sûrement pas eu la chance de cet accommodement. Tout est relatif.
Cependant je dois avouer que les toutes dernières images demandent une longue habitude pour paraître appétissantes…– Rien à faire. Je suis trop nouvelle, je n’ai pas le droit de t’adresser un message, et ton adresse de courriel n’apparaît pas.
???
Bonjour à toutes et à tous,
On ne pouvait attendre que le succès pour ce sujet sur l’AO DAI !
Quelques questions posées sont restées sans réponse, voici mon témoignage de cliente satisfaite :
Pas la peine de prendre l’avion.
Je me suis fait faire des AO DAI sur mesure, en commandant sur Internet. Le site est vietnamien, en anglais ou en vietnamien, mais surtout en images. Vous choisissez parmi tous les modèles du vaste catalogue. De l’ao dai de base, tailles standards ou sur mesures, aux ensembles de cérémonie, classés par thème ou par couleur. Vous communiquez vos mesures à l’aide d’une page que vous pouvez imprimer et qui vous montre en images comment prendre chacune d’elles, soit exactement 22 dimensions, plus votre poids. C’est sérieux. Ao Dai Vinh: Cach do ao dai, ao cuoi L’exécution est réalisée au détail près – vous pouvez demander une petite modification personnelle si nécessaire – ce sera exécuté au centimètre près. Pas de mauvaise surprise, paiement sécurisé, délai raisonnable, une à deux semaines selon les modèles, qui dépend plus de l’acheminement jusqu’à chez vous que de la maison de couture.
Anecdote : J’ai juste été inquiète en recevant le colis qui était bien petit, craignant une erreur. Mais non. La soie (qui est de bonne qualité) tient très peu de place.
Aucune mauvaise surprise, donc. Finitions impeccables. Prix ? Comparé à celui d’une robe ou d’un ensemble équivalent européen : imbattable ! (Et d’ailleurs pas comparable, non ?)
Petit truc : un pantalon uni pouvant se porter ou s’interchanger avec plusieurs tuniques, dans ce cas : économie.Bonjour,
Je suis arrivée ce jour même sur ce site Internet. J’ai fait un tour ici et là, je viens de prendre connaissance de ce sujet. Je suis choquée, ulcérée par certains posts ci-dessus. Prôner la corruption, et d’une façon aussi légère ! Quelle image donnée du Vietnam ! Et sur un site international consacré à ce pays ! Quelle honte ! Certes il y a des malhonnêtes et des profiteurs partout, tout comme partout des malheureux, mais un peu de pudeur, SVP ! Certains de vos propos sont insultants pour ceux, nombreux, sur place, qui ne se livrent pas aux petites et grandes « combines ».
Frère Singe, je vous ai lu. Merci.
:Vietnam: <--- Cela ne signifie rien par vous ? Pour moi, si.Bonjour,
J’ai une excellente recette de cuisine (concernant le sujet de ce post) expliquée en diaporama. Mais je ne sais comment vous l’adresser ici, car c’est en .pps
Si cela vous intéresse…
et si quelqu’un peut me dire comment faire…:icon_cool: Merci de votre accueil, Claudio, Noel, Chantal, et ? Pardon… je ne sais plus.
Voici la première petite info divertissante que je vous ai préparée, il s’agit d’une pratique originale que j’ai découverte ici.
Souvent est évoquée la fierté des Andalous, ces gens du sud au caractère aussi chaud que leur soleil. Si bien que j’ai supposé que ce je vais vous décrire s’appuyait sur une éventuelle honte insupportable.Ici, comme ailleurs, il y a des mauvais payeurs, vous n’en douterez pas !
Lorsque la somme est importante, en dehors du « trou dans la caisse » que cela représente, il y a l’agacement, l’irritation de « se faire avoir », moquer, « mener en bateau » par qui vous doit, mais néglige, se moque. On rumine, on s’irrite, on peste, on brûle de colère contre le débiteur malhonnête, surtout lorsqu’il s’agit de quelqu’un qui fait publiquement bonne figure, et dont on sait qu’il n’est pas « économiquement faible ».
Alors ? Excédé, le lésé jure vouloir « lui garder un chien de sa chienne », expression qui, à mon avis, est bien injuste envers les meilleurs amis de l’homme, car elle sous-entendrait que le chiot sera une calamité. (Et c’est faux, je l’affirme.)
Alors, alors ? Devant une telle impudence qu’il juge trop discrète, le lésé voudrait crier, faire savoir au monde entier la forfaiture de son débiteur ? Eh bien figurez-vous, qu’ici, il peut le faire ! Mais ce sera silencieux, malin, élégant, oui, oui, élégant !
Il existe des entreprises qui s’en chargent. Quoi, vous connaissez ? Oh, non, détrompez-vous! Pas l’huissier au regard implacable, qui, son dossier sur le bras, va, dès la porte ouverte, marmonner les chiffres en question ! Pas non plus l’organisme qui inonde de courriers menaçants, non.
Alors quoi ?
Ces entreprises possèdent un parc de jolies petites voitures non moins joliment et très abondamment illustrées sur leur carrosserie de leur raison sociale. Nul ne peut ne pas les remarquer et… tout le monde connaît la nature de leur fonction. Quelle est-elle ?
Chacune de ces petites voitures est conduite par un chauffeur vêtu… d’un impeccable habit noir de cérémonie ! Et que fait-il ?
Eh bien, du jour du contrat – passé par celui dont la patience est à bout, au point de ne pas lésiner sur les moyens, pour arriver à ses fins tout autant que pour sa satisfaction personnelle – au volant de son remarquable véhicule, ce « maître de cérémonie » va guetter le mauvais payeur, l’attendre devant sa porte, et ne plus le lâcher. Il « lui colle aux fesses », littéralement. Colle sa voiture dans tous ses déplacements, s’arrête à chaque endroit où il s’arrête, et l’attend, le temps qu’il faut ; stationne devant chez lui, de jour comme de nuit.
Naturellement, avec la circulation, ce n’est pas commode, et… ça l’arrange ! Car le but est de se faire remarquer ! S’il s’arrête en double file, il sort du véhicule, bien visible dans son habit irréprochable pingouineste ; ou bien, aux sorties de garages, s’il a gêné un utilisateur, il va s’excuser très poliment. Et généralement l’interlocuteur ne peut empêcher un sourire, car dès qu’il le voit, il sait ce qui se passe. Et, bientôt, les voisins, les passants, le quartier, tout le monde VA SAVOIR. Car l’on va deviner, reconnaître, et même chercher l’identité de celui ou de celle qui fait l’objet de cette « élégante » poursuite, muette et silencieuse.
Le poursuivi se fâche ? Interpelle son suiveur ? L’agresse ? Verbalement ou même physiquement ? L’homme en habit, généralement taillé pour résister stoïquement aux assauts, reste de marbre. Il est payé pour venir à bout de la patience et de la honte du mauvais payeur.
Et, ça marche !
Je doute que les lois françaises, qui condamnent le harcèlement, permettent cette pratique. Et, question de mentalité, contrairement aux fiers Andalous, beaucoup de mauvais payeurs français s’en moqueraient comme de leur première couche-culotte.
Ayant de très mauvais souvenirs comme victime de malhonnêtes en France, si j’avais pu, ça m’aurait bien plu ! -
AuteurMessages