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30 juillet 2011 à 7h23 en réponse à : Le Vietnam organisera le 2e Championnat du monde de Vovinam #139876
Les 2es Championnats du monde de vovinam ont démarré jeudi au gymnase Pho Tho, à Ho Chi Minh-Ville. Plus de 300 combattants de 22 délégations sportives nationales dont la France, l’Allemagne, l’Italie, le Danemark, la Suisse, la Roumanie, l’Espagne, le Laos, le Cambodge, l’Indonésie et bien sûr le Vietnam, qui accueille la compétition, y participent. Pour la journée inaugurale, les sportifs et sportives se sont mesurés dans cinq catégories de kata (enchaînement de mouvements) et six catégories de combat. Rebelote aujourd’hui. Et demain, les participants tenteront de briller dans les sept catégories de kata au programme.
Les athlètes sont très heureux de participer à un tel événement au Vietnam. Le Viet kieu d’Allemagne Tran Dinh Du, médaillé de bronze lors des premiers championnats du monde, confie : « Bien que je sois né en Allemagne, j’ai choisi le vovinam comme art martical, tout simplement parce que je suis Vietnamien. Je me réjoui déjà de pouvoir côtoyer des amis venus du monde entier et ferai de mon mieux pour aller le plus loin possible dans la compétition ». Fait intéressant: parmi les combattants de la sélection allemande, cinq sont Viet kieu.
Depuis longtemps, la sportive roumaine Mioara pense et vit vovinam, ayant fait du Vietnam un pays très proche dans son coeur. « Je préfère appeler cet art martical vovinam plutôt que Viet Vo Dao comme c’est couramment le cas. Les arts martiaux vietnamiens intéressent les pratiquants non seulement par la diversité des techniques qu’ils proposent mais encore par la fluidité des mouvements de démonstration ».
Pratiquant le vovinam depuis six mois seulement, le taekwondoka Sadavanh Khoenviseth, médaillé d’argent aux 22es et 23es SEA Games, souligne que les techniques de combat et de démonstration l’ont conquis. Il confie qu’après ce tournoi, il pourrait participer à la formation des jeunes sportifs en vovinam pour les futurs tournois internationaux.
Selon le maître Sudorruslan, venu de France, le vovinam a commencé à se développer en banlieue parisienne à partir de 1977. La France compte aujourd’hui plus de 3.000 adeptes. La raison pour laquelle les Français aiment cet art martial est qu’il leur apporte une bonne condition physique, mais aussi spirituelle, avec un code éthique bien établi.
Aux dires du maître indien Praveen Garg, les techniques de vovinam sont « très difficiles, surtout pour les démonstrations ». Mais c’est aussi cette difficulté qui a conquis de nombreux adeptes ou simples spectateurs.
Vietnam+ 29/07/2011
Sorti en 1983, ce film fût le premier film « occidental » a être tourné dans un Vietnam alors encore farouchement communiste. Pour l’équipe de tournage: la galère. Il fallait tout apporter, tout… moyennant quoi, une bonne partie de ce film si authentique a été reconstituée en France….Poussière d’empire, oeuvre passablement mal foutue, est composé de deux parties qui s’articulent vaille que vaille. Le héros du film c’est un message -le message écrit sur un lambeau de papier pelure qu’un combattant, emprisonné dans les geôles françaises, tente de faire parvenir à son épouse pour lui dire qu’il est toujours vivant et lui donner rendez vous devant un rocher mythique. Mais la jeune femme, inconsolable, qui est bonne d’enfants chez une famille de Saïgon, est retournée en France avec ses employeurs…. Le lambeau, transformé en éventail par un enfant, finira par lui parvenir. Mais devant le rocher, personne. Sniff.
Avant cela, il y a une partie complètement obscure. Une bonne soeur chichiteuse, et passablement jetée, (Dominique Sanda) cornaquée par IMG_0617.JPGun sergent mal embouché (Jean François Stévenin avec encore plein de cheveux) se rend dans la campagne vietnamienne pour évangéliser. {Dominique Sanda est exécrable. Mal dirigée sans doute, elle a l’air de se demander ce qu’elle fait là….}
Ils se retrouvent dans une maison cernée par les soldats vietcongs, mais le propriétaire de la maison est protégé car il recueille les cendres des combattants morts et les classe dans un meuble à tiroirs. Les soldats font sauter les digues, et la maison se remplit d’eau. Le lendemain, l’eau disparaît, laissant la boue et la désolation. Un soldat mort est déposé dans un cercueil. Le lendemain encore, le cercueil retrouvé échoué, poussé par les eaux, est vide.
La maison dévastée c’est, (bien sûr!), le Vietnam, la religieuse et le sergent représentant les deux bras de l’oppression colonialiste: l’armée et l’église. Le soldat mort est sans doute ressuscité, comme le Christ, donnant naissance à mille autres soldats… Ca va sans dire, mais ça va encore mieux quand Lâm Le, qui est venu animer le débat au ciné club de La Clef, nous l’explique…. Je pense que, en son temps, ce film a eu une grosse valeur ajoutée historique parce que, je le répète, il représentait la première ouverture du Vietnam. Maintenant, est ce bien utile d’exhumer ce témoignage? Je n’en suis pas sûre, car la première partie est passablement incohérente, et la seconde, lacrymogène…
Nouvel obs 28/07/2011@vietnamvietnamien 135620 wrote:
Bonjour Dong Phong
Merci bcp pour le lien et ton efficacite. j’ai aussi trouve la recette de « cha trung hap » de mon cote sur un blog d’un couple de vietkieu des US. c’est un blog tres sympa avec plein de vraies recettes viet.
on peut avoir le lien de ce blog ? :wink2:
Cam on nhieu
:bye:[YOUTUBE]DBAZvBe7Gug[/YOUTUBE]
Tôi lại gặp anh, người trai nơi chiến tuyến
Súng trên vai bước lê qua đường phố
Tôi lại gặp anh giờ đây nơi quán nhỏ
Tuổi 30 mà ngỡ như trẻ thơ
Nhớ gì từ ngày anh xa mái trường
Nhớ gì từ ngày anh vui lên đường
Lối gầy về nhà anh hoa phượng thắm
Màu xanh áo người thương
Nắng chiều đẹp quê hương
Hay nhạc buồn đêm sươngTôi lại gặp anh trời đêm nay sáng quá
Ánh trăng như hé tươi sau ngàn lá
Tôi lại gặp anh đường khuya vui bước nhỏ
Kể nhau nghe chuyện cũ bao ngày qua
Lối gầy về nhà anh hoa vẫn nở
Kỷ niệm từ ngày xưa chưa xóa mờ
Ánh đèn vàng ngoài ô vẫn còn đó
Bạn anh vẫn còn đây
Sống cuộc đời hôm nay
Với bọn mình đêm nayAnh sống đời trai giữa núi đồi
Tôi viết bài ca xây đời mới
Bờ tre quê hương
Cây súng anh gìn giữ
Tôi hát vang giữa đời để người vuiThôi mình chia tay
Cầu mong anh chiến thắng
Ánh trăng khuya sắp tàn trên hè phố
Thôi mình chia tay
Rồi mai đây có về
Quà cho tôi anh nhớ chép bài thơ
Nắng đẹp của bình minh đang hé chờ
Nỗi buồn vui biệt ly chưa xóa mờ
Súng thù từ rừng sâu vẫn còn đó
Đừng lưu luyến gì đây
Thôi bọn mình chia tay
Thôi bọn mình chia tayQuel enthousiasme !!! :wink2:
T’as pas préparé ton séjour ??
:bye:La tortue de Hô Guom – ou Hô Hoan Kiêm : Lac de l’Epée restituée – a été remise en liberté mardi dans son espace naturel après 100 jours de soins dans un bassin spécial implanté au pied de la tour de la Tortue, au milieu de ce lac qui est en plein centre de Hanoi.
Cette nouvelle a été annoncée mercredi par le docteur Lê Xuân Rao, vice-président du Comité de pilotage du traitement de la tortue de Hô Guom, qui a assuré que cette remise en liberté, décidée en suite d’un complet rétablissement de l’animal symbolique de Hanoi, est intervenue dans des conditions de sécurité maximales afin de ne pas porter atteinte à sa santé.
Le nettoyage de Hô Guom continue d’être effectué par les services concernés afin d’assurer un environnement de vie propre, stable et durable pour la torture.
Auparavant, durant son traitement, des scientifiques et spécialistes ont également examiné et étudié la tortue, une espèce endémique du Vietnam vivant dans les bassins des fleuves Rouge, Ma et Da au Nord du Vietnam.
Les résultats obtenus après analyse des ADN de la tortue de Hô Guom et de plusieurs grandes tortues de la pagode Hung Ky (Hanoi) et de Quang Phu (Thanh Hoa) ont révélé qu’elles sont toutes de la même variété. – AVI
[YOUTUBE]RWXVKuAc7Po[/YOUTUBE]
L’animal a été soigné dans un bassin spécial sur une petite île du lac Hoan Kiem. AFPHANOI – La légendaire tortue géante de Hanoï, symbole de la longue lutte pour l’indépendance du Vietnam, a été renvoyée chez elle dans un petit lac du centre-ville, après sa capture en avril pour des soins médicaux, a indiqué un responsable mercredi.
L’animal, l’une des quatre tortues géantes à carapace molle (Rafetus swinhoei) connues dans le monde, qui pèserait 169 kilos, a été soigné dans un bassin spécial sur une petite île du lac Hoan Kiem ou «Lac de l’épée restituée».
Il a recouvré la liberté mardi, a précisé Le Xuan Rao, directeur du Département des Sciences et de la Technologie de la capitale, en affirmant que «sa santé (était) bonne et qu’il ne souffrait plus d’ulcères».
Les eaux du lac ont été nettoyées pour améliorer son environnement naturel, en proie à une pollution chronique. Selon les médias locaux, la tortue avait été blessée par des hameçons et de petites tortues de Floride apparues dans le lac ces dernières années.
Une autre de la même espèce vit dans un autre lac de la capitale. Les deux dernières vivent en Chine.
Un expert a affirmé que le célèbre reptile aurait plus de 100 ans. Mais il symbolise surtout des siècles de lutte pour l’indépendance du Vietnam.
Selon une leçon d’histoire donnée aux écoliers du pays, le roi Le Loi, qui s’était révolté contre les Chinois, avait utilisé une épée magique pour chasser les envahisseurs au 15e siècle.
Le Loi était ensuite devenu empereur. Lors d’une promenade sur le lac, la tortue lui avait subtilisé son épée pour la garder jusqu’à ce que le pays en ait de nouveau besoin.
Sa capture au début d’avril avait attiré l’attention de milliers de curieux à Hanoï.
Agence France Presse – 13 juillet 2011
Bienvenue sur le forum :bye:
La passion d’un métier, celui de photographe de presse, a conduit Henri Huet à sillonner les routes du Vietnam en guerre pendant près de vingt ans. L’amour du pays où il est né se reflète dans ses photos, douloureux témoignages d’un conflit dont tous les hommes sont les victimes. La force et l’émotion contenues dans ses clichés ont eu le pouvoir de changer le regard de l’Amérique sur cette guerre. Entrés dans la mémoire collective, ils demeurent des références pour les photographes d’aujourd’hui. Comme bien d’autres, Henri Huet a donné sa vie pour son métier. La Maison européenne de la photographie, à Paris, lui rend hommage, quarante ans après sa disparition.
6 juillet 2011 à 4h55 en réponse à : Unesco: la citadelle de la dynastie Hô (Vietnam) inscrit au patrimoine mondial #139021Avec la récente reconnaissance de la citadelle des Hô dans la province de Thanh Hoa en tant que patrimoine culturel mondial, le Vietnam compte 15 patrimoines ainsi distingués par l’UNESCO.
Parmi les trois patrimoines naturels mondiaux du Vietnam, la baie de Ha Long (province de Quang Ninh, Nord), d’une superficie de 1.553 km² abritant 1.969 îles et îlots, est la plus connue en tant que chef-d’oeuvre magnifique de la nature.
Ce site a été reconnu par l’UNESCO en tant que patrimoine naturel mondial en 1994 au titre des critères naturels puis en 2000 au titre des critères géologiques.
Grâce à la biodiversité et à la beauté particulière du réseau de grottes, de cavernes et de monts calcaires, le Parc national Phong Nha-Ke Bang dans la province de Quang Binh (Centre) a été classé dans la liste des patrimoines naturels mondiaux en 2003 au titre des critères géologiques. A présent, sa reconnaissance en tant que patrimoine naturel mondial au titre des critères de la biodiversité est en cours.
En 2010, le plateau calcaire de Dong Van, province de Ha Giang (Nord), a été reconnu par l’UNESCO au titre de parc géologique mondial.
Le Vietnam compte cinq patrimoines culturels matériels mondiaux que sont la Cité impériale de Huê (cité royale des Nguyên, la dernière dynastie d’empereurs au Vietnam), les anciennes rues de Hôi An (port et comptoir de commerce international prospère au Vietnam de 16e au 19e siècle), le sanctuaire de My Son (centre religieux des Chams), la cité impériale de Thang Long (cité interdite des empereurs de plusieurs dynasties du Vietnam) et la citadelle des Hô (ouvrage architecturalement unique en ce qu’il est construit en pierres monolithiques assemblées).
La liste des patrimoines culturels immatériels mondiaux en comprend cinq originaires du Vietnam : la « Nha nhac » (musique de cour), l’espace culturel des gongs du Tây Nguyên, le « Quan ho » de Bac Ninh, le « Ca tru », et enfin la fête du génie Thanh Giong.
La « Nha nhac » a été créée sous la dynastie des Hô (1400-1407) pour connaître son âge d’or sous celle des Nguyên (1802-1945).
Les gongs sont un instrument de musique spécifique des populations ethniques des cinq provinces des Hauts Plateaux du Centre (Kon Tum, Gia Lai, Dak Lak, Dak Nong et Lam Dong), où ils sont considérés comme la voix de l’âme de celles-ci, et utilisés pour exprimer joies et tristesses de la vie quotidienne.
Le « Quan ho » est lié aux cultes des déesses du Kinh Bac, l’ancien nom de la province de Bac Ninh. Il compte environ 200 variantes avec une musique très variée, des gestes et des costumes très soignés. Le festival de Quan ho de Lim, à une vingtaine de kilomètres de Hanoi, a lieu chaque année du 13e au 15e jour du premier mois lunaire. Il est le grand rendez-vous annuel de tous les interprètes et passionnés de cet art.
Le « Ca tru » est un art folklorique vietnamien qui existe depuis le 15e siècle. Ayant pour berceau la culture populaire, il est devenu une « expression savante » de la musique traditionnelle du Vietnam. A une certaine époque, le « Ca tru » était le « pain spirituel » indispensable des intellectuels.
La fête de Thanh Giong – le Génie Giong – est organisée chaque année du 6e au 12e jour du 4e mois lunaire dans le village de Phù Dông, situé en banlieue de Hanoi, ainsi que dans plusieurs localités du Nord, afin de rendre hommage à l’un des grands génies immortels du Vietnam, un personnage légendaire de l’histoire du pays selon les croyances populaires.
Dans la liste des patrimoines documentaires mondiaux figurent les 82 stèles des Docteurs du Van Miêu – Quôc Tu Giam, ainsi que les Tablettes de bois de la dynastie des Nguyen (Moc Ban).
Les 82 stèles des Docteurs des concours de doctorat des dynasties des Lê et des Mac (1442-1779), situées au sein du Van Miêu – Quôc Tu Giam, un temple dédié à Confucius tout autant que la première université nationale du Vietnam, ont été classées en 2010 au titre de patrimoine documentaire mondial et figurent sur le Registre de la Mémoire du Monde de l’UNESCO depuis 2011.
Quant aux « Moc Ban » des Nguyên (1802-1945), elles figurent au Registre de la Mémoire du Monde de l’UNESCO depuis 2009. Leur valeur est autant historique qu’artistique, et la technique employée pour leur création représente de plus un véritable repère du développement au Vietnam de la gravure et de l’impression sur bois.
AVI6 juillet 2011 à 4h48 en réponse à : Re-Diffusion du film documentaire "Les enfants du dragon" #139020Les enfants du dragon – Aider un enfant au Vietnam
Depuis son ouverture aux occidentaux en 1986, l’aide internationale afflue de plus en plus au Vietnam. Parmi les nombreuses organisations non gouvernementales, un petit groupe d’intervenants bénévoles attire particulièrement l’attention. À travers la vie quotidienne d’un bénévole français nous allons à la rencontre d’un chef d’entreprise belge, de religieuses bouddhistes et catholiques, d’étudiants et d’adoptants français, d’une artiste Suisse, et d’un universitaire vietnamien qui sont aussi des passionnés, tous engagés corps et âme au pays du dragon. Quel que soit leur terrain d’intervention et leur façon d’agir, tous ces hommes et ces femmes participent à l’amélioration des conditions de vie dans ce pays, grâce aux liens tissés avec les populations locales.
[YOUTUBE]QnnvYTBjafg[/YOUTUBE]
nouvel obs 05 Juillet 2011LA HABANA
rue Cao Ba Quat Q1 ( je ne me rappelle plus du numéro )
Tapas, paella, cigares cubains, mojitos et musique en live .:bye:
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