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merci pour l’info Agemon,
très étrange :1-heben:
si le phénomène est arrivé à Saigon, il devrait y avoir beaucoup d’autres témoins, ce qui permettrait d’éliminer l’idée d’un canular (trucage).
d’après la vidéo, il ne peut (très probablement) pas s’agir d’une météorite car la durée de l’observation est très longue par rapport à la durée habituelle des météorites (quelques secondes), et surtout le phénonmène semble montrer à la fin de l’observation un changement de direction avec une brusque accélération, ce qui est impossible pour une météorite.
Bonjour Xûanvui,
Je ne sais pas ce qu’il en est exactement de le gestion de l’urbanisme au VN, mais à mes yeux, pour l’instant ça reste un joyeux b….l :wink2: , ce qui je crois n’est pas pour déplaire à tout le monde
, mais peut être pas non plus la meilleure solution… Je suppose que le gouvernement et les autorités locales doivent en être conscients et à mon avis il y a beaucoup à faire dans ce domaine…J’aurais donc tendance à penser qu’il y a de l’avenir en matière de conseil en urbanisme au Vietnam (ne serait que pour ne pas faire les mêmes bêtises que nous avons fait en France :p), mais ça reste une impression purement subjective.@Thomas2 135645 wrote:
Merci Kilian de ta gentille réponse.
Je suis très novice sur un forum.
Me conseilles-tu de créer un topic dans le forum adéquat? ou cela va-t-il faire double sujet avec ma présentation?
Cela me fait chaud au coeur que tu m’es répondu.
Très bonne soirée à toi
Amicalementbonjour Thomas2,
Pour répondre à ta question, créer un topic spécifique sur le forum pourrais être plus pratique pour ta question mais certains membres t’ayant déjà répondu ici…enfin je ne sais pas, c’est toi qui vois!
Sinon puisque que tu as l’acte de naissance de ton frère, personnellement j’envisagerais une démarche auprès des administrations vietnamiennes ou françaises pour obtenir la dernière adresse de ton frère.
Aussi, puisque ton frère a été confié à ta grand mère, tu as peut être des tantes, oncles ou cousins du coté de ta mère qui connaissent et/ou ont gardé des relations avec ton frère? Si quelqu’un pouvait rentrer en contact avec eux (comme tu ne parles pas le vietnamien) cela pourrait aussi être une piste.
Si tu connais le domicile de ta grand mère, des voisins ou des gens du lieu de son domicile pourraient peut être aussi te renseigner sur la famille du coté de ta mère et te permettre de rentrer en contact avec celle-ci, voire sur ton frère (si ta grand mère est décédée, ton frère aurais pu venir à son enterrement).
Mais si ton frère a changé de nom, cela me semble bien plus compliqué…:confused:
:bye:je ne l’avais pas mis car l’image me semblait un peu grande
, mais elle a l’avantage de ramener la consommation de produits alimentaires selon un critère plus parlant en terme d’émissions de GES (distance parcourue en automobile)pour revenir un peu dans le sujet! :clapping:
Quel est l’impact pour le climat de notre choix de protéines ?
Cet appétissant cheeseburger que vous avez englouti ce midi, aussi savoureux qu’il se soit révélé, vous a coûté l’équivalent de 15 km de voiture en termes d’émissions de gaz à effet de serre. A contrario, si vous aviez opté pour une portion de lentilles, aussi rabat-joie que cela puisse paraître, vous auriez à peine fait tourner le moteur. Voilà les conclusions d’un nouveau rapport sur les effets de la dépendance à la viande aux Etats-Unis, publié lundi 18 juillet par l’organisme de recherche américain Environmental Working Group.
Rien de nouveau sous le soleil, pourrait-on penser. En réalité, cette étude, intitulée Le guide du mangeur de viande, mesure et compare l’impact sur le climat, du champ à l’assiette, de 20 types de protéines différents, la viande et les lentilles, donc, mais aussi le fromage, les fruits de mer, les haricots ou les noix.
Ainsi, l’ensemble de leur cycle de vie est passé au crible, grâce aux données fournies par le ministère de l’agriculture américain, depuis les pesticides, les engrais et l’eau utilisés pour cultiver la nourriture du bétail jusqu’aux émissions générées par l’élevage des animaux, la transformation, le transport et la cuisson de la viande, en passant par la fin de vie et notamment le gaspillage. En détail, sur les 60 millions d’hectares de terres cultivées aux Etats-Unis, 8 millions de tonnes d’engrais azotés et 80 000 tonnes de pesticides sont utilisés seulement pour faire pousser l’alimentation du bétail ; l’élevage génère par ailleurs près de 500 millions de tonnes de fumier par an, ce qui contribue à détériorer les nappes phréatiques et polluer l’air.
Au rayon des protéines les plus polluantes, on trouve l’agneau, le bœuf puis le fromage – donnée dont nous sommes moins conscients – en raison de la production de méthane, un gaz 25 fois plus nocif que le CO2 en termes d’émissions, par le bétail, l’énergie qu’exige l’élevage et l’abattage et le fumier produit. A l’opposé, les lentilles, haricots et noix comptent pour peanuts dans les émissions de gaz à effet de serre : selon le rapport, elles sont ainsi trente fois moins importantes que celles du bœuf.
Le problème réside bien sûr dans le fait que nous consommons trop de protéines animales au détriment des végétales, et, surtout, trop de protéines trop court. Aux Etats-Unis en particulier, les enfants mangent le quadruple, et les adultes le double, de la quantité recommandée de protéines, selon Hamerschlag Kari, auteur du rapport. « Bien que cela fasse un moment que les scientifiques et ONG soulèvent le problème, les Américains continuent à avoir des taux de consommation de viande très élevés. Notre pays produit et consomme, par personne, 60% de viande de plus que les Européens », explique la scientifique.
En conclusion, le rapport ne nous incite évidemment pas à tous devenir végétariens mais à moins et mieux consommer des protéines animales. L’étude confirme ainsi ce que prônent les associations écolos depuis des années : si chaque Américain ne mangeait pas de viande ni de fromage un jour par semaine pendant un an, le gain en termes d’émissions de gaz à effet de serre serait équivalent celui provoqué par 7,6 millions de voitures en moins sur les routes. Et à défaut de réduire sa consommation de protéines, mieux choisir leur type et leur origine permettrait de réduire notre empreinte carbone de manière significative.
source : le monde.fr (blog)
