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19 mars 2013 à 16h37 en réponse à : Vietnam : Le calvaire des éléphants, victimes d’une forme de tourisme pas très durable #143337
Bonjour Agemon,
Bonjour à toutes et à tous,A propos d’éléphants, aujourd’hui je viens justement de recevoir d’une amie, par courriel, un étonnant article que je vais essayer de vous transcrire ici tel que je l’ai reçu. Son titre :
Etonnant ! Comment ont-ils su ?
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[TD= »width: 100% »]Lawrence Anthony, une légende en Afrique du Sud, auteur de 3 livres,dont le best-seller «The Elephant Whisperer», a courageusement sauvé la faune contre les atrocités de l’homme,y compris le sauvetage des animaux de Zoo de Bagdad lors de l’invasion américaine en 2003 et il a réhabilité des éléphants dans le monde entier.
Le 7 Mars 2012 Lawrence Anthony est mort.
Deux jours après son décès, les éléphants sauvages se sont présentés à son domicile, menés par deux grandes matriarches. D’autres troupeaux sauvages sont arrivés séparément en masse pour dire au revoir à leur ami humain bien-aimé. 31 éléphants, au total, ont patiemment marché plus de 20 kms pour se rendre à sa maison en Afrique du Sud.
[IMG]http://fr.f1722.mail.yahoo.com/ya/download?mid=2%5f0%5f0%5f1%5f1151717%5fAI8l5C4AAOhzUUdcIwcKEW8u2Y0&pid=2.3&fid=Inbox&inline=1&appid=YahooMailNeoCL[/IMG] [IMG]http://fr.f1722.mail.yahoo.com/ya/download?mid=2%5f0%5f0%5f1%5f1151717%5fAI8l5C4AAOhzUUdcIwcKEW8u2Y0&pid=2.4&fid=Inbox&inline=1&appid=YahooMailNeoCL[/IMG]
Témoins de ce spectacle, les humains étaient de toute évidence étonnés, non seulement par l’intelligence et par la précision du moment où ces éléphants ont détecté le décès de Lawrence, mais aussi par cette manifestation d’émotion profonde que les animaux bien-aimés ont montrée et évoquée d’une façon organisée: une marche lente de leur habitat jusqu’à la maison de Lawrence – pendant des jours – en file indienne et de façon solennelle.Alors, comment, après la mort d’Anthony, ces éléphants de la réserve, qui vivent dans des régions éloignées du parc ont-ils su?
«Un homme bon est mort subitement», dit le rabbin Leila Gal Berner, Ph.D., «et à plusieurs kms de distance, deux troupeaux d’éléphants qui ont détecté qu’ils avaient perdu un ami cher, ont commencé a se déplacer comme dans une procession solennelle, presque « funèbre » jusqu’à la maison du défunt pour montrer leur respect à sa famille »
«S’il fallait avoir une preuve de la merveilleuse interdépendance de tous les êtres vivants, la voilà, avec les éléphants de la réserve deThulaThula. Nous en avons la preuve. Le cœur d’un homme s’arrête, et le cœur de centaines d’éléphants est en deuil. Le cœur de cet homme a offert la guérison à ces éléphants, et maintenant, ils sont venus pour rendre un hommage affectueux à leur ami.»La femme de Lawrence, Françoise, était particulièrement touchée sachant que les éléphants n’étaient pas revenus chez lui depuis plus de 3 ans! Mais pourtant, ils savaient où ils allaient.
Les éléphants,de toute évidence,ont voulu montrer leur profond respect et honorer l’ami qui leur a sauvé la vie, en restant devant la maison pendant 2 jours et 2 nuits sans rien manger.
Puis, un matin, ils sont repartis.
Voilà l’article. Pour avoir étudier le comportement animal, j’incline à dire qu’il y a peut-être un peu trop d’anthropomorphisme (attribution du comportement humain aux animaux) dans ce texte. Mais franchement, c’est si beau que j’ai bien envie d’y croire les yeux fermés. Pas vous ?[/TD]
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[/TABLE]Bonjour à toutes et à tous,
Il y a quelques jours je vous ai informés que je vous offrais à lire :
« 1944-2004 : Une eurasienne de France raconte… »
en vous adressant vers un blog où j’avais commencé le récit et le continuais au fur et à mesure. Hélas, j’ai rencontré trop de problèmes sur cette plateforme modifiée qui n’est pas au point. J’ai cherché et trouvé un autre hébergeur afin de créer un nouveau blog. Après quelques tâtonnements, voilà, c’est fait, c’est lisible.
Je vous informe donc que désormais l’adresse du récit est :http://une-eurasienne-de-france-raconte.eklablog.com
(Titre désormais raccourci. Mais on ne peut pas tout avoir…)
Bonjour AnhTruc,
En lisant ta réponse, il m’est venu cette petite pensée, proverbe asiatique :jap: :
» A quelqu’un qui a faim, il vaut mieux lui apprendre à pêcher que de lui donner du poisson ! «Courage Némésia, essaie encore et encore, tu y arriveras, c’est sûr !
Grand bonjour Mamyché,
Avec ton arrivée je me sens moins seule comme (presque)petite nouvelle ! Bon forum !Merci Mike. Il me semble juste me rappeler que mon avatar était – peut-être… – la célèbre silhouette noire du taureau, en Andalousie, sur fond de soleil couchant. Mais ne te donne pas trop de mal. J’assume mon nouveau pseudo.
Au fait, par curiosité juste une petite question : est-ce tous les anciens posts sont encore en ligne ? Mais je ne tiens pas particulièrement à les retrouver, ce qui est dit est dit. Voir MP.Thuong,
Et quand il tirait sur sa « chasse d’eau » pour faire sonner dans la cabine du conducteur afin de le prévenir qu’il pouvait démarrer ?Bonjour cher lecteur…
Ainsi c’est bien le même forum. A dire vrai, ma mémoire a des trous et je ne me souviens plus de mon ancien pseudo. Mon PC d’alors a un jour brusquement rendu l’âme avec toutes mes données, rien ne fut récupéré : dur pour les petits cœurs fragiles !
Mon récit t’a accroché ? Aaah ! merci, ça me fait plaisir. Bon, je vais « envoyer » une suite.
Je suis un peu ennuyée de ne pas savoir comment cela va se présenter. J’avais un petit blog chez le même hébergeur, mais Overblog vient de changer complétement (tiens, lui aussi) ses données, et ce que je savais faire ne correspond plus. Pour ce nouveau blog de mon récit, j’ai un peu de mal à tout assimiler.
Toutefois, indépendamment des chapitres, j’ai pensé que diviser le texte par paragraphe numéroté permettrait au lecteur du blog de s’y retrouver. Voilà. Il te suffira de noter le dernier lu, si ça ne se présente pas dans un ordre chronologique que je ne peux pas gérer.Tu es du XIIème ? Non ! :bye: Tu as reconnu les autobus d’alors ? Les « 66 » : Terminus Place Daumesil- Square des Batignolles, et le « 29 » … mais celui-là je ne me souviens plus. Quand il faisait beau, j’aimais me mettre sur la plateforme du 66 que j’empruntais le plus souvent. Mais les 29 qui allait vers « Alésia », véhicules plus récents n’avaient pas de plateforme, on disait qu’on prenait le « moderne ». Ah, c’était l’bon temps, mon bon monsieur !
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